Ce serait vraiment sous-estimer Céline que de ne voir dans les pamphlets, évidemment exagérés, qu'autant de banalités quand on sait l'aversion qu'il avait, après Nietzche, pour l'humanisme (gréco-latin s'entend), et, tenant compte du sentiment religieux qui l'animait, du monothéisme (judéo chrétien de surcroit).
Ce serait vraiment sous-estimer Céline que de ne voir dans les pamphlets, évidemment exagérés, qu'autant de banalités quand on sait l'aversion qu'il avait, après Nietzche, pour l'humanisme (gréco-latin s'entend), et, tenant compte du sentiment religieux qui l'animait, du monothéisme (judéo chrétien de surcroit).
ok