Magnifique ! Grâce à vous je découvre Victor Hugo autrement que par ses livres les plus connus et j adore Et vous monsieur votre diction votre récitation est très belle Vous mettez si bien en relief sa poésie !
La poésie met des images à la vie .. Elle l illumine , elle l embellit , et c est un régal quand c est si bien dit .. C est une magie .. A écouter , à partager , sans se lasser . Tout simplement ..Merci .
Bonjour,,oh!!!, que dire après c" est jolies phrases Merveilleusement déclarées avec tellement de passion,,,et dire que petit à petit nous y arrivons, et prenons cette routes ,merci monsieur Victor Hugo, vous êtes dans nos mémoires et le resterez à jamais,, je vous suis reconnaissante pour toutes ces paroles tellement realistes, , MERCI,POUR LA VRAIES VIE,,
Quelle est-cette voix qui fait vibrer le coffre ? Elle ajoute de la puissance à ce qui est grand, et s'offre... Elle est celle de Gilles-Claude Thériault donnant de la caverne et du son chaud à la haute et belle pensée d'Hugo ! Mille merci à vous pour cet organe de vent lourd résonnant en l'être et aux alentours ...
Avec quel art, vous avez su rendre la finesse et la grandeur de ce texte. J'ai passé en vous écoutant un merveilleux moment ! Victor Hugo est sans conteste un des plus grands poètes français. Merci mille fois ! Bien amicalement. Thierry
Douceur mélancolique aux saveurs suaves ... Merci pour ces quelques secondes de plaisir simple. Mais, que disais-je il y a peu !? Avant tout cela. Avant tous ces mots. Que m'importe ... Seules ces quelques instants comptes. Merci pour ce partage et ce moment plaisant.
MAGNIFIQUE - c'est un Bonheur de vous écouter - Merci à Victor HUGO pour de si beaux textes et merci pour nous le faire partager avec un timbre de voix qui ne laisse pas insensible, je pense très souvent aux personnes malentendantes et sourdes, privées de la possibilité d'entendre les voix, les sons, tout ce qui fait vibrer le coeur, je suis très sensible aux timbres de voix et c'est un vrai Bonheur d'entendre la vôtre - Merci - retrouver le plaisir des mots loin des acronymes
Merci a cette voix envoûtane qui nous lit notre immortel , notre Père de l'humanité. ..Je suis sûre que notre poète serait bouleversé aussi du haut des cieux...Ah des mots.Des mots,Hudo les cherisait tant, car ''Les mots sont les êtres vivants...''Merci Hugo pour ces mots d'or, aimons les plus que le vrai or... .
Merci pour cette merveilleuse video ! L'interpretation est magnifique merci a vous cher GillesClaude !!!!!!!
13 років тому+3
Merci beaucoup pour le partage de cette superbe video et votre merveilleuse recit sur le poeme de Victor Hugo.. !!! Mes amicales salutations. Francois.
Il n'y a point de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin. Magnifique Victor Hugo. Hier après-midi, une dame âgée de ma voisine qui m'a donné pas ses vieux livres depuis 1800 notament 'ai récupéré encore des livres de Victor Hugo
🌞🌀🔥❤️🌍🖐🏼🌍❤️🔥🌀🌞.... Merci beaucoup.... Je viens de m'abonner à votre chaîne. Très très belle lecture et choix de texte et d'auteurs Formidable. Encore merci pour la nourriture de l'âme 🙏🏼🙏🏼🙏🏼
Merci pour vos superbes lectures! j'aime beaucoup la poésie mais je préfère l’écouter par vous que de la lire, vous avez une voix profonde faite pour cela, merci !!!merci !!!pour votre interprétation si juste
mais où est donc le bonheur? ici ou ailleurs? ou tout simplement, là, au fond de mon coeur... qui sait? mais où est donc le bonheur...quand mon coeur de mère aura fini de saigner je compterai sans peine mes rides fânées dans les sillons que mes larmes ont creusés. Mais où donc est le bonheur? il est dans le pré...c'est le printemps...vite, courir le rattraper!
là est une belle question le bonheur se n'est pas se surpasser afin d'avoir dans l'opulence mais de savourer chaque moment prendre le temps d'écouter de regarder et appréçier
Vieillir... L'avant dernier arrêt du traim de la vie. Stade des regrets et des repentirs de l'Homme. La fin, (presque) de tout... c'est inévitable, autant que naître...
Bonjour monsieur Theriault Nous sommes 2 jeunes musiciens actifs depuis un peu plus d'un an. Nous sommes tombés par hasard sur votre travail qui nous a inspiré. Nous voudrions savoir si avec votre permission et en vous mentionnant dans ledit morceau nous pourrions utiliser des extraits de votre vidéo qui pourrait nous servir musicalement. Merci de votre réponse, Cordialement.
Sed satis est jam posse mori. LUCAIN. Où donc est le bonheur ? disais-je. - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Plus tard, aimer, - garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main, Aspirer aux douceurs d'un ineffable hymen, Envier l'eau qui fuit, le nuage qui vole, Sentir son coeur se fondre au son d'une parole, Connaître un pas qu'on aime et que jaloux on suit, Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit, Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes, Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes, Tous les buissons d'avril, les feux du ciel vermeil, Ne chercher qu'un regard, qu'une fleur, qu'un soleil ! Puis effeuiller en hâte et d'une main jalouse Les boutons d'orangers sur le front de l'épouse ; Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ; Voir aux feux de midi, sans espoir qu'il renaisse, Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse, Perdre l'illusion, l'espérance, et sentir Qu'on vieillit au fardeau croissant du repentir, Effacer de son front des taches et des rides ; S'éprendre d'art, de vers, de voyages arides, De cieux lointains, de mers où s'égarent nos pas ; Redemander cet âge où l'on ne dormait pas ; Se dire qu'on était bien malheureux, bien triste, Bien fou, que maintenant on respire, on existe, Et, plus vieux de dix ans, s'enfermer tout un jour Pour relire avec pleurs quelques lettres d'amour ! Vieillir enfin, vieillir ! comme des fleurs fanées Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années, Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris, Boire le reste amer de ces parfums aigris, Être sage, et railler l'amant et le poète, Et, lorsque nous touchons à la tombe muette, Suivre en les rappelant d'un oeil mouillé de pleurs Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs ! Ainsi l'homme, ô mon Dieu ! marche toujours plus sombre Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d'ombre. C'est donc avoir vécu ! c'est donc avoir été ! Dans la joie et l'amour et la félicité C'est avoir eu sa part ! et se plaindre est folie. Voilà de quel nectar la coupe était remplie ! Hélas ! naître pour vivre en désirant la mort ! Grandir en regrettant l'enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! Où donc est le bonheur, disais-je ? - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! Le 28 mai 1830. Victor Hugo.
Comme en musique !!! savoir mettre des " silences ", des passages " piano " ou " fortissimo " ...accélérer et aussi ralentir...En fait, une partition ressemble à un texte...on déchiffre les notes ( comme des mots ) et ensuite l'on " interprête le texte "...C'est le plus difficile...mais dans une partition, l'on à des indications du compositeur...Et pour un texte, comme pour le piano, il faut jouer et rejouer... Tiens ( période de confinement oblige) j'ai fait une vidéo " texte+piano " sur un poème de Victor Hugo..Tu pourras me dire ce que tu en penses... Je te mets le lien sur you-tube : ua-cam.com/video/rMgUdJt98EI/v-deo.html
LA VIEILLE GRABATAIRE (En réaction à "SUR UN PORTRAIT DE SAINTE" de Victor Hugo). Le miroir à la main, mollement allongée, Sur ton grabat de bois oses-tu te mirer Encore ? C’est bien toi, ravagée par l’épreuve Qui, malgré dix enfants mis au monde, meurt veuve Dans un palais de crasse hanté par la vermine. Reine aujourd’hui déchue d’un vieux taudis en ruine, Te souviens-tu encor de tes deux fines hanches Qui faisaient se pâmer ces amants de dimanche Dont l’un finit un jour par demander ta main ? Le château du passé perdit son châtelain Et toi, tu restes là à saupoudrer tes joues Creuses, d’un fard infect, et il te plait beaucoup Encore de ne voir que toi sur le jeu d’ondes. Ta silhouette d’antan, aux allures girondes, A perdu de sa grâce et de sa volupté Et tu gis là, destin de mère délaissée Par le cortège hideux de ta progéniture. Les tuiles sont cassées, se lézardent les murs, Le vieux mas de famille enregistre des fuites Comme tu as aussi les tiennes, quand s’alite Ton corps de cendre froide où la mort se devine A travers les saillies laides qui s’y dessinent ; Sous ta couette, étendue, tu n’es plus qu’un cœur sec ; Tel un sombre corbeau, la camarde a son bec Tapant au carreau sale et rayé de ta chambre ! L’âtre bouché de suie, il fait froid, c’est décembre ; Le parc est déserté; la glace a pris au piège Les feuilles du bassin sur qui tombe la neige ; Sous le kiosque écroulé l’oiseau a fait son nid, La fanfare n’est plus… Hugo, je te maudis ! Qu’il fut grand ton programme et belle ta vision ! Conçois d'Eve et d'Adam l'affreuse damnation; Contemple désormais la conclusion horrible Des versets de nos vies plus noirs que ceux des Bibles ! Et bien : Regarde donc ce qu’est devenu l’homme. Scrute chaque détail de l’erreur que nous sommes ; Quelle agonie ! Plains-tu toujours la sainte amère Qui pour Dieu, rejeta sa destinée de mère Préférant s’éclairer du flambeau des ténèbres Plutôt que te torcher les derrières funèbres D’une idiote lignée aux instincts asservie ? Loin des mâles en rut, que la femme au loin fuit ! Le couple a échoué comme il échoua toujours. De toutes nos valeurs, la plus fausse est l’amour. Ô femme ! Prie Jésus, Mahomet ou Bouddha : Les ventres les plus beaux sont ceux qui restent plats. Au nom d’un dieu réel ou bien d’un idéal Même athée, souffre et soit du prochain le fanal ; Mais ne réponds jamais à ces brames viriles Ayant bâti sur terre, une à une, ces villes Croulant sous la misère et la folie sans fond ; Vivre seule est subir une moindre affliction. Sous la croix, le croissant, ou la divine étoile, La solitude vraie est le rayon d’opale Qui comble l’âme offerte au dégoût de la chair. Au feu le billet doux parfumé du très cher ! Jette tes illusions au plus profond de l’âtre. Au feu la lettre aimée du stupide bellâtre ! Promène dans les bois seule, et sans Don Juan ; Du lovelace épris refuse les serments ; Assez du minaudage et des enfantillages ! Pour appendre à rester seule, il n’est point d’âge. L’autre pâtit bien trop pour que notre nombril Soit le centre du monde en ce siècle débile ! Va, vois et vis auprès de celles et ceux qui sombrent Et se meurent partout - Hélas - en trop grand nombre. A genoux sous la Loi céleste, sois austère. Il faut monter au ciel en rampant sur la terre.
Quelques vers sublimes même si je suis embarrassé par le fond. Vous choisissez de ne voir dans l'amour que la passion de deux amants. L'amour est bien plus grand que cela, et Hugo a su resituer son entière dimension. Vous faites l’apologie de la solitude, de l'émancipation et, pour finir celle, de la charité. J'entends et je conçois toutes ces choses. Je vous donne même raison certains soirs. Et puis parfois, retrouver l’émerveillement de l'enfance dans les yeux de quelqu'un suffit à me redonner de l'espoir. Enfin, je dois saluer la grande maîtrise technique et la beauté fulgurante de vos images. Seul bémol, vous associez parfois des rimes féminines avec des masculines comme allongée et mirer ou joues et beaucoup. Bien à vous, Julien.
J'espère que vous ne prendrez pas mal mon commentaire car vous défendez tout de même brillamment ces femmes sacrifiées qui n'ont été que des ventres à trop vouloir croire en l'amour et au romantisme.
*Le Voile, un poème terrifiant de Victor Hugo (1829)* *Toujours d'actualité hélas* , ce poème de Victor Hugo publié en 1829 dans son recueil Les Orientales, nous raconte le dialogue entre une jeune fille dont le voile s'est ouvert un instant en revenant du bain, et ses quatre frères qui la poignardent pour ce forfait
*La soeur* Qu'avez-vous, qu'avez-vous, mes frères ? Vous baissez des fronts soucieux. Comme des lampes funéraires, Vos regards brillent dans vos yeux. Déjà trois fois, hors de l'étui, Sous vos doigts, à demi tirées, Les lames des poignards ont lui. *Le frère ainé* N'avez vous pas levé votre voile aujourdh'ui ? *La soeur* Je revenais du bain, mes frères, Seigneurs, du bain je revenais, Cachée aux regards téméraires Des giaours et des albanais. En passant près de la mosquée Dans mon palanquin recouvert, L'air de midi m'a suffoquée : Mon voile un instant s'est ouvert *Le second frère* Un homme alors passait ? Un homme en caftan vert ? *La soeur* Oui… peut-être… mais son audace N'a point vu mes traits dévoilés Mais vous vous parlez à voix basse, A voix basse vous vous parlez. Vous faut-il du sang ? Sur votre âme, Mes frères, il n'a pu me voir. Grâce ! tuerez- vous une femme, Faible et nue en votre pouvoir ? *Le troisième frère* Le soleil était rouge à son coucher ce soir. *La soeur* Grâce ! qu'ai-je fait ? Grâce ! grâce ! Dieu ! quatre poignards dans mon flanc ! Ah ! par vos genoux que j'embrasse… O mon voile ! ô mon voile blanc ! Ne fuyez pas mes mains qui saignent, Mes frères, soutenez mes pas ! Car sur mes regards qui s'éteignent S'étend un voile de trépas. *Le quatrième frère* C'en est un que du moins tu ne lèveras pas ! Un beau et triste poème de Victor Hugo écrit en vers ----------------------------------------------------------
Magnifique !
Grâce à vous je découvre Victor Hugo autrement que par ses livres les plus connus et j adore
Et vous monsieur votre diction votre récitation est très belle
Vous mettez si bien en relief sa poésie !
La poésie met des images à la vie ..
Elle l illumine , elle l embellit , et c est un régal quand c est si bien dit .. C est une magie ..
A écouter , à partager , sans se lasser .
Tout simplement ..Merci .
Merci
Magnifique. Vieillesse si bien contée. Rêvons et ne regrettons rien. Merci
Bonjour,,oh!!!, que dire après c" est jolies phrases
Merveilleusement déclarées avec tellement de passion,,,et dire que petit à petit nous y arrivons, et prenons cette routes ,merci monsieur Victor Hugo, vous êtes dans nos mémoires et le resterez à jamais,, je vous suis reconnaissante pour toutes ces paroles tellement realistes, ,
MERCI,POUR LA VRAIES VIE,,
Quelle est-cette voix qui fait vibrer le coffre ? Elle ajoute de la puissance à ce qui est grand, et s'offre... Elle est celle de Gilles-Claude Thériault donnant de la caverne et du son chaud à la haute et belle pensée d'Hugo ! Mille merci à vous pour cet organe de vent lourd résonnant en l'être et aux alentours ...
Avec quel art, vous avez su rendre la finesse et la grandeur de ce texte.
J'ai passé en vous écoutant un merveilleux moment !
Victor Hugo est sans conteste un des plus grands poètes français.
Merci mille fois !
Bien amicalement.
Thierry
Oui un des plus gd poète avec Lamartine que j’apprécie aussi bcp!!! Il
Merci.
Bravo à cette voix qui me donne la chair de poule
Merveilleux
Douceur mélancolique aux saveurs suaves ... Merci pour ces quelques secondes de plaisir simple. Mais, que disais-je il y a peu !? Avant tout cela. Avant tous ces mots. Que m'importe ... Seules ces quelques instants comptes. Merci pour ce partage et ce moment plaisant.
Entre la voix et le poème c'est du grand art
J’ai 22 ans, j’écoute, je ferme les yeux, je pleure, j’ouvre les yeux... faut se remaquiller !!!
Je suis un gars et je ne pleure pas, mais j'apprécie tout de même. 😄
Pleur c'est la marque dune grande sensibilité un coeur blanc...tu maquille ton visage. Ton intérieur et dune grande générosité.
Deux ans ..plus tard j espère que vous avez séché vos belles larmes comme signe de votre belle âme
MAGNIFIQUE - c'est un Bonheur de vous écouter - Merci à Victor HUGO pour de si beaux textes et merci pour nous le faire partager avec un timbre de voix qui ne laisse pas insensible, je pense très souvent aux personnes malentendantes et sourdes, privées de la possibilité d'entendre les voix, les sons, tout ce qui fait vibrer le coeur, je suis très sensible aux timbres de voix et c'est un vrai Bonheur d'entendre la vôtre - Merci - retrouver le plaisir des mots loin des acronymes
En effet, c'est magistral!
Merci Monsieur,
Julien
Oui, le bonheur, vous me l'avez donné !! Se tourner presqu'en pleurs, vers le malheur passé !!
Quel beau poème de Victor Hugo.
Bises. Pierre.
Merci a cette voix envoûtane qui nous lit notre immortel , notre Père de l'humanité. ..Je suis sûre que notre poète serait bouleversé aussi du haut des cieux...Ah des mots.Des mots,Hudo les cherisait tant, car
''Les mots sont les êtres vivants...''Merci Hugo pour ces mots d'or, aimons les plus que le vrai or...
.
Que de belles paroles, et une bonne voix à écouter!
le bonheur est un bien précieux qui n'a pas de prix mais une valeur inestimable à condition de savoir le garder et le savourer chaque jour
Très belle interprétation, un grand moment, merci.
Merveilleusement explique pour le bonheur
C'est bouleversant!!! Merci Cher Gilles-Claude!!! Un poème sublime magistralement interprété!!! Je vous embrasse!!! Johanne
Vos oeuvres cher Gille-Claude sont comme les diamants rare et magnifiques. La langue ne cesse pas de vous remercier.
Merci pour cette merveilleuse video !
L'interpretation est magnifique
merci a vous cher GillesClaude !!!!!!!
Merci beaucoup pour le partage de cette superbe video et votre merveilleuse recit sur le poeme de Victor Hugo.. !!!
Mes amicales salutations.
Francois.
Texte splendide où palpite la vie où s' égrènent les souvenirs et petit à petit disparaissent vers l'infini.
Très Jolie poèmes! !!
Le bonheur est auprès du Seigneur des serviteurs
Il n'y a point de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin. Magnifique Victor Hugo. Hier après-midi, une dame âgée de ma voisine qui m'a donné pas ses vieux livres depuis 1800 notament 'ai récupéré encore des livres de Victor Hugo
magnifique ....le bonheur vous me l'avez donné!
🌞🌀🔥❤️🌍🖐🏼🌍❤️🔥🌀🌞....
Merci beaucoup....
Je viens de m'abonner à votre chaîne.
Très très belle lecture et choix de texte et d'auteurs Formidable.
Encore merci pour la nourriture de l'âme 🙏🏼🙏🏼🙏🏼
Très belle lecture.
Une belle voix... Pour déclamer un bien beau poème !
superbe
Magnifique
Que j' adoreee ,j' ai enregistré sur cassette mes poètes préférés , mais j' aime bien votre voix poétique merci ...
J'adore
merci bcp victor hugo
c magnifique
bravo a tous les poemes de victor hugo 💖💖💖💖💖💖💖
Merci pour vos superbes lectures! j'aime beaucoup la poésie mais je préfère l’écouter par vous que de la lire, vous avez une voix profonde faite pour cela, merci !!!merci !!!pour votre interprétation si juste
+malou rollin Moi, itou, la belle voix d´un "autre" m´entraîne à ma propre lecture silencieuse.
Quel bonheur que d écouter une aussi belle voix dire un aussi beau poème
Magnifique poème
magnifique poeme. j'adore 7 poeme
......magnifique
J' aime bien cette histoire et la poème to😍
French -- such a jewel of language and the rhythm of sublime poesy.
mais où est donc le bonheur? ici ou ailleurs?
ou tout simplement, là, au fond de mon coeur...
qui sait? mais où est donc le bonheur...quand mon coeur de mère aura fini de saigner je compterai sans peine mes rides fânées dans les sillons que mes larmes ont creusés.
Mais où donc est le bonheur? il est dans le pré...c'est le printemps...vite, courir le rattraper!
c est très manifique ça
Oui , l homme cet éternel insatisfait. Hugo a su faire le résumé de l existence .
très belles lecture
là est une belle question le bonheur se n'est pas se surpasser afin d'avoir dans l'opulence mais de savourer chaque moment prendre le temps d'écouter de regarder et appréçier
Magnifique Sylvie vous avez tout dit magnifique
poésie et musique douce pour les amoureux
Des expressions splendides
Comme une vague qui roule, s'en va et revient.
selon moi le bonheur est au paradis
Vieillir... L'avant dernier arrêt du traim de la vie. Stade des regrets et des repentirs de l'Homme. La fin, (presque) de tout... c'est inévitable, autant que naître...
Bonjour monsieur Theriault
Nous sommes 2 jeunes musiciens actifs depuis un peu plus d'un an. Nous sommes tombés par hasard sur votre travail qui nous a inspiré. Nous voudrions savoir si avec votre permission et en vous mentionnant dans ledit morceau nous pourrions utiliser des extraits de votre vidéo qui pourrait nous servir musicalement.
Merci de votre réponse,
Cordialement.
Victor Hugo.
Sed satis est jam posse mori.
LUCAIN.
Où donc est le bonheur ? disais-je. - Infortuné !
Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné.
Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère,
Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère,
Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment
Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament !
Plus tard, aimer, - garder dans son coeur de jeune homme
Un nom mystérieux que jamais on ne nomme,
Glisser un mot furtif dans une tendre main,
Aspirer aux douceurs d'un ineffable hymen,
Envier l'eau qui fuit, le nuage qui vole,
Sentir son coeur se fondre au son d'une parole,
Connaître un pas qu'on aime et que jaloux on suit,
Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit,
Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes,
Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes,
Tous les buissons d'avril, les feux du ciel vermeil,
Ne chercher qu'un regard, qu'une fleur, qu'un soleil !
Puis effeuiller en hâte et d'une main jalouse
Les boutons d'orangers sur le front de l'épouse ;
Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé
Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ;
Voir aux feux de midi, sans espoir qu'il renaisse,
Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse,
Perdre l'illusion, l'espérance, et sentir
Qu'on vieillit au fardeau croissant du repentir,
Effacer de son front des taches et des rides ;
S'éprendre d'art, de vers, de voyages arides,
De cieux lointains, de mers où s'égarent nos pas ;
Redemander cet âge où l'on ne dormait pas ;
Se dire qu'on était bien malheureux, bien triste,
Bien fou, que maintenant on respire, on existe,
Et, plus vieux de dix ans, s'enfermer tout un jour
Pour relire avec pleurs quelques lettres d'amour !
Vieillir enfin, vieillir ! comme des fleurs fanées
Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années,
Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris,
Boire le reste amer de ces parfums aigris,
Être sage, et railler l'amant et le poète,
Et, lorsque nous touchons à la tombe muette,
Suivre en les rappelant d'un oeil mouillé de pleurs
Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs !
Ainsi l'homme, ô mon Dieu ! marche toujours plus sombre
Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d'ombre.
C'est donc avoir vécu ! c'est donc avoir été !
Dans la joie et l'amour et la félicité
C'est avoir eu sa part ! et se plaindre est folie.
Voilà de quel nectar la coupe était remplie !
Hélas ! naître pour vivre en désirant la mort !
Grandir en regrettant l'enfance où le coeur dort,
Vieillir en regrettant la jeunesse ravie,
Mourir en regrettant la vieillesse et la vie !
Où donc est le bonheur, disais-je ? - Infortuné !
Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné !
Le 28 mai 1830.
Victor Hugo.
Superbe voix, superbe lecture ! Merci. Auriez-vous des conseils à me donner, à moi, qui débute ?
Comme en musique !!! savoir mettre des " silences ", des passages " piano " ou " fortissimo " ...accélérer et aussi ralentir...En fait, une partition ressemble à un texte...on déchiffre les notes ( comme des mots ) et ensuite l'on " interprête le texte "...C'est le plus difficile...mais dans une partition, l'on à des indications du compositeur...Et pour un texte, comme pour le piano, il faut jouer et rejouer...
Tiens ( période de confinement oblige) j'ai fait une vidéo " texte+piano " sur un poème de Victor Hugo..Tu pourras me dire ce que tu en penses...
Je te mets le lien sur you-tube : ua-cam.com/video/rMgUdJt98EI/v-deo.html
adamiani legenda chemi azrit,chemtvis yvelaze sayvareli wignia ,,kaci romelic icinis"
tout a été dit...
Claire Terrade très belle lecture
LA VIEILLE GRABATAIRE
(En réaction à "SUR UN PORTRAIT DE SAINTE" de Victor Hugo).
Le miroir à la main, mollement allongée,
Sur ton grabat de bois oses-tu te mirer
Encore ? C’est bien toi, ravagée par l’épreuve
Qui, malgré dix enfants mis au monde, meurt veuve
Dans un palais de crasse hanté par la vermine.
Reine aujourd’hui déchue d’un vieux taudis en ruine,
Te souviens-tu encor de tes deux fines hanches
Qui faisaient se pâmer ces amants de dimanche
Dont l’un finit un jour par demander ta main ?
Le château du passé perdit son châtelain
Et toi, tu restes là à saupoudrer tes joues
Creuses, d’un fard infect, et il te plait beaucoup
Encore de ne voir que toi sur le jeu d’ondes.
Ta silhouette d’antan, aux allures girondes,
A perdu de sa grâce et de sa volupté
Et tu gis là, destin de mère délaissée
Par le cortège hideux de ta progéniture.
Les tuiles sont cassées, se lézardent les murs,
Le vieux mas de famille enregistre des fuites
Comme tu as aussi les tiennes, quand s’alite
Ton corps de cendre froide où la mort se devine
A travers les saillies laides qui s’y dessinent ;
Sous ta couette, étendue, tu n’es plus qu’un cœur sec ;
Tel un sombre corbeau, la camarde a son bec
Tapant au carreau sale et rayé de ta chambre !
L’âtre bouché de suie, il fait froid, c’est décembre ;
Le parc est déserté; la glace a pris au piège
Les feuilles du bassin sur qui tombe la neige ;
Sous le kiosque écroulé l’oiseau a fait son nid,
La fanfare n’est plus…
Hugo, je te maudis !
Qu’il fut grand ton programme et belle ta vision !
Conçois d'Eve et d'Adam l'affreuse damnation;
Contemple désormais la conclusion horrible
Des versets de nos vies plus noirs que ceux des Bibles !
Et bien : Regarde donc ce qu’est devenu l’homme.
Scrute chaque détail de l’erreur que nous sommes ;
Quelle agonie ! Plains-tu toujours la sainte amère
Qui pour Dieu, rejeta sa destinée de mère
Préférant s’éclairer du flambeau des ténèbres
Plutôt que te torcher les derrières funèbres
D’une idiote lignée aux instincts asservie ?
Loin des mâles en rut, que la femme au loin fuit !
Le couple a échoué comme il échoua toujours.
De toutes nos valeurs, la plus fausse est l’amour.
Ô femme ! Prie Jésus, Mahomet ou Bouddha :
Les ventres les plus beaux sont ceux qui restent plats.
Au nom d’un dieu réel ou bien d’un idéal
Même athée, souffre et soit du prochain le fanal ;
Mais ne réponds jamais à ces brames viriles
Ayant bâti sur terre, une à une, ces villes
Croulant sous la misère et la folie sans fond ;
Vivre seule est subir une moindre affliction.
Sous la croix, le croissant, ou la divine étoile,
La solitude vraie est le rayon d’opale
Qui comble l’âme offerte au dégoût de la chair.
Au feu le billet doux parfumé du très cher !
Jette tes illusions au plus profond de l’âtre.
Au feu la lettre aimée du stupide bellâtre !
Promène dans les bois seule, et sans Don Juan ;
Du lovelace épris refuse les serments ;
Assez du minaudage et des enfantillages !
Pour appendre à rester seule, il n’est point d’âge.
L’autre pâtit bien trop pour que notre nombril
Soit le centre du monde en ce siècle débile !
Va, vois et vis auprès de celles et ceux qui sombrent
Et se meurent partout - Hélas - en trop grand nombre.
A genoux sous la Loi céleste, sois austère.
Il faut monter au ciel en rampant sur la terre.
Quelques vers sublimes même si je suis embarrassé par le fond. Vous choisissez de ne voir dans l'amour que la passion de deux amants. L'amour est bien plus grand que cela, et Hugo a su resituer son entière dimension. Vous faites l’apologie de la solitude, de l'émancipation et, pour finir celle, de la charité. J'entends et je conçois toutes ces choses. Je vous donne même raison certains soirs. Et puis parfois, retrouver l’émerveillement de l'enfance dans les yeux de quelqu'un suffit à me redonner de l'espoir. Enfin, je dois saluer la grande maîtrise technique et la beauté fulgurante de vos images. Seul bémol, vous associez parfois des rimes féminines avec des masculines comme allongée et mirer ou joues et beaucoup.
Bien à vous, Julien.
J'espère que vous ne prendrez pas mal mon commentaire car vous défendez tout de même brillamment ces femmes sacrifiées qui n'ont été que des ventres à trop vouloir croire en l'amour et au romantisme.
merice pour la lecture c'est si doux votre voie
Une très belle lecture, mais c'est la voix de qui ??
Gilles- claudeThériault....qui nous a quitté trop tot
*Le Voile, un poème terrifiant de Victor Hugo (1829)*
*Toujours d'actualité hélas* , ce poème de Victor Hugo publié en 1829 dans son recueil Les Orientales, nous raconte le dialogue entre une jeune fille dont le voile s'est ouvert un instant en revenant du bain, et ses quatre frères qui la poignardent pour ce forfait
LE VOILE
*La soeur*
Qu'avez-vous, qu'avez-vous, mes frères ?
Vous baissez des fronts soucieux.
Comme des lampes funéraires,
Vos regards brillent dans vos yeux.
Déjà trois fois, hors de l'étui,
Sous vos doigts, à demi tirées,
Les lames des poignards ont lui.
*Le frère ainé*
N'avez vous pas levé votre voile aujourdh'ui ?
*La soeur*
Je revenais du bain, mes frères,
Seigneurs, du bain je revenais,
Cachée aux regards téméraires
Des giaours et des albanais.
En passant près de la mosquée
Dans mon palanquin recouvert,
L'air de midi m'a suffoquée :
Mon voile un instant s'est ouvert
*Le second frère*
Un homme alors passait ? Un homme en caftan vert ?
*La soeur*
Oui… peut-être… mais son audace
N'a point vu mes traits dévoilés
Mais vous vous parlez à voix basse,
A voix basse vous vous parlez.
Vous faut-il du sang ? Sur votre âme,
Mes frères, il n'a pu me voir.
Grâce ! tuerez- vous une femme,
Faible et nue en votre pouvoir ?
*Le troisième frère*
Le soleil était rouge à son coucher ce soir.
*La soeur*
Grâce ! qu'ai-je fait ? Grâce ! grâce !
Dieu ! quatre poignards dans mon flanc !
Ah ! par vos genoux que j'embrasse…
O mon voile ! ô mon voile blanc !
Ne fuyez pas mes mains qui saignent,
Mes frères, soutenez mes pas !
Car sur mes regards qui s'éteignent
S'étend un voile de trépas.
*Le quatrième frère*
C'en est un que du moins tu ne lèveras pas !
Un beau et triste poème de Victor Hugo écrit en vers
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; )
ce n'est pas de moi
C'est pas bien gai tout ça...
Hugo ne connaissait pas le lâcher-prise, l'exaltation du temps présent et l'expression "Carpe diem" !