L'extension du capital (capital variable et capital constant) est plus rapide que l'accumulation de plus-value au fil du temps... il y a baisse tendancielle du taux de profit. Ce qui signifie que le but (l'accumulation de plus-value) devient marginal par rapport aux moyens (l'extension du capital nécessaire à l'accumulation de plus-value). La parade est de concentrer l'accumulation de plus-value en quelques mains (le gâteau "plus-value" augmente moins rapidement que les investissements nécessaires à sa réalisation ? Alors on réduit drastiquement le nombre de ceux qui ont part à cette accumulation de plus-value. Ce qui marginalise encore les détenteurs de la plus-value accumulée, leur nombre se réduisant drastiquement) La plus-value étant marginal devant le capital... le but (la plus-value) se transforme en moyen, et, les moyens (l'extension du capital) se transforme en but : l'extension du capital n'est plus à disposition de la plus-value en vue de son accumulation.. mais, c'est la plus-value en tant qu'elle s'investit dans le capital qui est à disposition de l'extension du capital. Se pose alors la question de l'orientation de l'investissement : si c'est en vue de l'extension du capital il faut étendre les marchés à l'ensemble des populations. L'outil industriel est au service des besoins fondamentaux des populations. Le capital est stabilisé et en croissance géométrique et prévue (ou planifiée)..
1) la monnaie est une marchandise (la reine des marchandises) 2) la monnaie est alienatoire par principe, elle ne peut en aucun cas être emancipatoire. 3) nous sommes aliénés( esclave) non d'un tyran, non d'une monnaie ou d'un marché, mais nous somme aliénés par la valeur marchande elle même. 4) la valeur est la traduction d"un rapport social de domination. 5) la saturation du marché et la baisse tendancielle du taux de profit sont les concepts clef pour comprendre la valeur alienatoire et la fin programmé du capitalisme.
@@bacchus7944 franchement si je suis dans l'erreur tant mieux pour nous. Je ne cherche juste qu'à comprendre. Dite moi en quoi " la valeur marchande " n est pas alienatoire et je pourrais alors être en accord avec le concept de friot.
Le taux de profit est le rapport de la plus-value accumulée sur le capital en extension.
L'extension du capital (capital variable et capital constant) est plus rapide que l'accumulation de plus-value au fil du temps...
il y a baisse tendancielle du taux de profit. Ce qui signifie que le but (l'accumulation de plus-value) devient marginal par rapport aux moyens (l'extension du capital nécessaire à l'accumulation de plus-value).
La parade est de concentrer l'accumulation de plus-value en quelques mains (le gâteau "plus-value" augmente moins rapidement que les investissements nécessaires à sa réalisation ? Alors on réduit drastiquement le nombre de ceux qui ont part à cette accumulation de plus-value. Ce qui marginalise encore les détenteurs de la plus-value accumulée, leur nombre se réduisant drastiquement)
La plus-value étant marginal devant le capital... le but (la plus-value) se transforme en moyen, et, les moyens (l'extension du capital) se transforme en but : l'extension du capital n'est plus à disposition de la plus-value en vue de son accumulation.. mais, c'est la plus-value en tant qu'elle s'investit dans le capital qui est à disposition de l'extension du capital.
Se pose alors la question de l'orientation de l'investissement : si c'est en vue de l'extension du capital il faut étendre les marchés à l'ensemble des populations. L'outil industriel est au service des besoins fondamentaux des populations. Le capital est stabilisé et en croissance géométrique et prévue (ou planifiée)..
1) la monnaie est une marchandise (la reine des marchandises)
2) la monnaie est alienatoire par principe, elle ne peut en aucun cas être emancipatoire.
3) nous sommes aliénés( esclave) non d'un tyran, non d'une monnaie ou d'un marché, mais nous somme aliénés par la valeur marchande elle même.
4) la valeur est la traduction d"un rapport social de domination.
5) la saturation du marché et la baisse tendancielle du taux de profit sont les concepts clef pour comprendre la valeur alienatoire et la fin programmé du capitalisme.
Tout ce que vous dites n'est que dogmatisme et idéalisme. Rien à voir avec la rigueur analytique de Friot
@@bacchus7944 franchement si je suis dans l'erreur tant mieux pour nous. Je ne cherche juste qu'à comprendre. Dite moi en quoi " la valeur marchande " n est pas alienatoire et je pourrais alors être en accord avec le concept de friot.