Enfin quelqu'un qui y voit clair, qui n'a pas un discours "convenu" et trop fleur bleu. Dommage qu'il soit interrompu par le présentateur et ne puisse pas développer sereinement ses idées audacieuses ! Encore bravo.
Après visionnage de ce superbe échange entre Monsieur Selosse (Que je ne connaissais pas. Merci l'Académie du Climat) et le public, il aurait été intéressant d'aborder un sujet important : le respect de la biodiversité en place, avant de penser à la conserver, la développer, etc. Tout autour du lac du Bois de Boulogne il y a des zones de biodiversité clôturées afin que les lieux ne soient pas piétinés par les usagers mais qui servent de déchèteries (mégots, bouteilles d'eau en plastique, canettes de bière, barquettes en plastique, capsules de cannettes, couverts à usage unique et j'en passe). Est-ce de cette façon qu'on doit "préserver" la biodiversité en place depuis des décennies ?
Sa naissance aussi a été décidé et au moins on le tue avant de commencer à manger car dans la nature tu es souvent mangé vivant et ça peut durer longtemps avant de perdre conscience.
Une approche qui semble pédagogique mais qui souffre de certaines incompréhensions. Pas un mot de génétique des populations, pourtant essentielle pour comprendre la biodiversité comme conditions du vivant, et une vision des maladies infectieuses assez primitive (il faut éradiquer les agents pathogènes… ), voici quelques exemples du côté frustrant de cet exposé. Longtemps, par exemple grossier, on a pensé qu’il fallait éradiquer le staphylocoque doré pathogène au motif qu’il pouvait tuer des humains. Puis on s’est rendu compte que c’était impossible, que tuer 99% des bactéries laissait le champ libre aux 1% résistantes qui n’avaient plus de “concurrence alimentaire”. Au moment du Covid, la plupart des politiques ont vendu des perspectives d’éradication du virus ou de vaccins d’une efficacité exceptionnelle sans jamais évoquer les origines zoonotiques (évidemment car la conséquence e serait l’arrêt de la déforestation et de la mondialisation à outrance) sans comprendre non plus la relation pathogénique terrain-virus (vieillesse, obésité, diabète etc), sans comprendre l’évolution génétique ultra rapide de la réalité “hôte-parasite” qui conduit la population virale la plus pathogène à disparaître au fil des mutations. Bien qu’il s’en défende, l’orateur garde une vision morale, judéo-chrétienne, d’un sujet qui n’en n’a pas. Il précise bien néanmoins les limites de notre compréhension de la complexité, des interactions du vivant avec le milieu.
Commencez donc déjà par ne plus cogner vos femmes vos enfants ou vos animaux domestiques....ce sera déjà un grand pas .....et je pense que le restant suivra.si vous n en voulez pas jusqu a la fin de leur vie laissez les où ils sont
Merci à toutes les équipes qui ont permis cette conférence et cette vidéo, la publication sur youtube est d'utilité publique, bravo.
Enfin quelqu'un qui y voit clair, qui n'a pas un discours "convenu" et trop fleur bleu.
Dommage qu'il soit interrompu par le présentateur et ne puisse pas développer sereinement ses idées audacieuses !
Encore bravo.
Après visionnage de ce superbe échange entre Monsieur Selosse (Que je ne connaissais pas. Merci l'Académie du Climat) et le public, il aurait été intéressant d'aborder un sujet important : le respect de la biodiversité en place, avant de penser à la conserver, la développer, etc. Tout autour du lac du Bois de Boulogne il y a des zones de biodiversité clôturées afin que les lieux ne soient pas piétinés par les usagers mais qui servent de déchèteries (mégots, bouteilles d'eau en plastique, canettes de bière, barquettes en plastique, capsules de cannettes, couverts à usage unique et j'en passe). Est-ce de cette façon qu'on doit "préserver" la biodiversité en place depuis des décennies ?
Quand la mort de l animal est décidé par l’homme,
On peux peut-être imaginer que cela ne contribue pas à son bonheur …
Merci pour votre travail ❤
Sa naissance aussi a été décidé et au moins on le tue avant de commencer à manger car dans la nature tu es souvent mangé vivant et ça peut durer longtemps avant de perdre conscience.
Comme la naissance ,pas un rêve de princesse ....ni une merveilleuse sensation de rêve
Une approche qui semble pédagogique mais qui souffre de certaines incompréhensions.
Pas un mot de génétique des populations, pourtant essentielle pour comprendre la biodiversité comme conditions du vivant, et une vision des maladies infectieuses assez primitive (il faut éradiquer les agents pathogènes… ), voici quelques exemples du côté frustrant de cet exposé.
Longtemps, par exemple grossier, on a pensé qu’il fallait éradiquer le staphylocoque doré pathogène au motif qu’il pouvait tuer des humains. Puis on s’est rendu compte que c’était impossible, que tuer 99% des bactéries laissait le champ libre aux 1% résistantes qui n’avaient plus de “concurrence alimentaire”.
Au moment du Covid, la plupart des politiques ont vendu des perspectives d’éradication du virus ou de vaccins d’une efficacité exceptionnelle sans jamais évoquer les origines zoonotiques (évidemment car la conséquence e serait l’arrêt de la déforestation et de la mondialisation à outrance) sans comprendre non plus la relation pathogénique terrain-virus (vieillesse, obésité, diabète etc), sans comprendre l’évolution génétique ultra rapide de la réalité “hôte-parasite” qui conduit la population virale la plus pathogène à disparaître au fil des mutations.
Bien qu’il s’en défende, l’orateur garde une vision morale, judéo-chrétienne, d’un sujet qui n’en n’a pas.
Il précise bien néanmoins les limites de notre compréhension de la complexité, des interactions du vivant avec le milieu.
Vidéo passionnante. Par contre, le présentateur (host) a l'air d'avoir des problèmes d'égo.
Quand la mort de l animal est décidé par l’homme,
On peux peut-être imaginer que cela ne contribue pas à son bonheur …
Commencez donc déjà par ne plus cogner vos femmes vos enfants ou vos animaux domestiques....ce sera déjà un grand pas .....et je pense que le restant suivra.si vous n en voulez pas jusqu a la fin de leur vie laissez les où ils sont