@@seguelaguy8787 Si on prend en considération le plan exclusif de la définition des conditions de la création picturale dans le contexte post-moderniste (ce que vous semblez ne pas faire de par votre commentaire, ce cours date du début des années 70 sauf erreur), Deleuze met le doigt sur ce qui crée une oeuvre artistique (peinture) considérée alors comme authentique (donc jugée véritable) par les institutions nationales et médiatiques chargées de nommer à la fois la légitimité et l'héritage légitime historique de l'Art (encore une fois, nous sommes ici entre 1970 et 1974). Or, l'Histoire (de l'Art) est écrite par les vainqueurs, ce que je déplore à titre personnel mais c'est une autre histoire.
El cuchito deleuz por aqui vengo a escuchar con corazon de colombia feliz de entenderlo en franchute. Gracias al profe de filo florian gaité y su historia tragica de la universidad de Vincennes que como todo lo inovador se fue por culpas que los de siempre provocan
il faut de bonnes bases pour écouter Deleuze ... ce n'est pas un penseur qu'on peut prendre comme ça au début ..en un mot on doit déjà avoir sa propre idée pour le supporter et s y confronter, et dès lors il devient vraiment intéressant, comme un bavard de bistrot qui, parfois, ne dit pas que des conneries ...qui a des fulgurances.
Un occurrence de changement profond, c'est la plaie, la suture. L'alchimie du trauma, post trauma, l'alchimie de la chute signifie résurgence et alchimie. L'équilibre change, le régime change. Au fond c'est une transposition vers un symbolisme nouveau, et une nouvelle forme et un nouveau langage. Donc oui cela affecte toute la peinture et la personne, donc là il y a une morale réelle de résurgence et d'affirmation, qui vient de l'alchimie de la chute. Bacon nous amène vers cette affirmation conceptuelle et humaine dans ses peintures, le discours est nouveau à la fin, et le Bien (ou le mieux) s'affirme à travers le Mal. Quelque part il y a toujours une conscience, et qui dit peintre des catastrophes dit moraliste conscient du Mal, et alchimie humaine qui tendra toujours vers une structure de plus en plus affirmée et un discours clair (mais symbolique, avec son langage). La chute perfectionne et humanise, en somme. Colore et fait revivre en autre. Alchimie du Feu et des Ombres.
Le circuit automobile autour des immeubles gothiques : hauteur soutenue d’une ville. Si l’étonnant tient au seul geste d’un enfant, apte à restituer les enthousiasmes silencieux d’un peuple tout entier (dont les plus vieilles pièces rappellent ces auto tamponneuses adossées aux fjords rouges)... La résonance des aigus : une fleur de magnolia aux reflets métalliques restitué en chacun des grains du désert, un détecteur de soucoupe volante, un arpenteur dubitatif, un éro-mécanicien et sept cow boys rejouant au loin l’objet d’une conquête du sentiment…
Parfaitement ça jusqu’au moment où ce chaos laisse enfin la place à l’harmonie et à la ré-organisation structurelle retrouvée ...si l’œuvre est menée à terme et réussie .Sinon on retombe de nouveau dans le chaos et tout est à refaire!
Dix milles images dans la tête et dans le corps, mais la seule qui est vraie se manifeste sur la toile où plutôt apparaît. Lorsque cette entente a lieu et que opère la maturité, à l'insu du peintre lui-même- puisque dans le silence-, la peinture ou le dessin ignore toute catastrophe, surtout pré-picturale (...). La création d'une oeuvre d'art, l'acte de peindre, ignore toute forme de combat et s'effectue sans réaction aucune. Ensuite, les hommes jugeront de sa valeur.
Il se sert du langage, des mots, comme un peintre se sert des couleurs et de son pinceau. Il dépose des phrases, remet des mots, il regarde, rajoute, redit, superpose...etc En un mot il nous soûle.. Un orateur nous rend compte de l'idée à son état d'achèvement, il ne nous gonfle pas avec ses bricolages préparatoires.
Exemple totalement partial et choisi pour servir ses propos. La catastrophe est tout simplement une thématique qui attire par son caractère exceptionnel et spectaculaire , d'ailleurs c'est bien ce qui se diffuse le plus, publie des vidéos de tsunami et une autre d'une femme qui cous , et tu verras ce qui attire l'attention. Deleuze fonde son expérience esthétique sûr une narration visuel non objectif et sur un texte, Non chez piero della francesca, Vermer , Ingre ou Mondrian, il n'y a pas de trace de catastrophe ni narrative ni fondatrice.
Parler en barbouillant ses phrases, c'est vouloir nous faire croire à tout prix à la matérialité de la pensée. C'est une exhibition narcissique et une posture intellectuelle.
Je n'aime pas du tout. Il fait dire des choses à des phrases qui ne sont pas de lui, ce qui l'arrange pour mener à bien son discours.. enfin discours.. ça frôle le délire.. il se répète, il ne sait pas ou il va et on se perd..
L'art de ne rien dire avec beaucoup de mots. C'est désolant de voir la dégénerescence civilisationelle. Qu'un fumiste pareil soit considéré comme un philosophe majeur aurait été incroyable pour les Lumières.
'' fumiste'' ne s applique pas dans son cas .. il était très travailleur et incroyablement documenté sur ce qu'il étudiait, ce que vous identifiez comme ''dégénérescence civilisationnelle'' n'est en fait que votre propre manque de poésie et votre rigidité mentale presque cadavérique ...
Justement non, on ne peut pas juste dire on s'en fout. Les formes, la couleur, tout cela détient en soi un sens, jamais figé, toujours à percevoir en fonction d'un contexte d'écriture, de lecture.
beaucoup d'humanité et d'intelligence, les cours de Deleuze sont une fenêtre sur la vie
Hum ! C'est de l'humour ? Fermez plutôt les fenêtres !!!
C est vais pas facillll
@@seguelaguy8787 Si on prend en considération le plan exclusif de la définition des conditions de la création picturale dans le contexte post-moderniste (ce que vous semblez ne pas faire de par votre commentaire, ce cours date du début des années 70 sauf erreur), Deleuze met le doigt sur ce qui crée une oeuvre artistique (peinture) considérée alors comme authentique (donc jugée véritable) par les institutions nationales et médiatiques chargées de nommer à la fois la légitimité et l'héritage légitime historique de l'Art (encore une fois, nous sommes ici entre 1970 et 1974). Or, l'Histoire (de l'Art) est écrite par les vainqueurs, ce que je déplore à titre personnel mais c'est une autre histoire.
El cuchito deleuz por aqui vengo a escuchar con corazon de colombia feliz de entenderlo en franchute. Gracias al profe de filo florian gaité y su historia tragica de la universidad de Vincennes que como todo lo inovador se fue por culpas que los de siempre provocan
Garouste est un grand peintre , tout simplement , merci monsieur Deleuse
il faut de bonnes bases pour écouter Deleuze ... ce n'est pas un penseur qu'on peut prendre comme ça au début ..en un mot on doit déjà avoir sa propre idée pour le supporter et s y confronter, et dès lors il devient vraiment intéressant, comme un bavard de bistrot qui, parfois, ne dit pas que des conneries ...qui a des fulgurances.
Très bien dit.
Grand merci
Impressionnant. J'avais entendu cette conférence limpide il y a quelques mois et je n'avais pas compris un traître mot.
Génial !!!!!!!! Encore encore !!!
Ils viennent d'où ces fichiers audio???
Il doit y en avoir sur la chaîne de l'INRA, sinon un DVD "l’abécédaire" existe et il est fort intéressant.
Un plaisir de l'écouter cet immense érudit .
Merci
Un occurrence de changement profond, c'est la plaie, la suture. L'alchimie du trauma, post trauma, l'alchimie de la chute signifie résurgence et alchimie. L'équilibre change, le régime change. Au fond c'est une transposition vers un symbolisme nouveau, et une nouvelle forme et un nouveau langage. Donc oui cela affecte toute la peinture et la personne, donc là il y a une morale réelle de résurgence et d'affirmation, qui vient de l'alchimie de la chute. Bacon nous amène vers cette affirmation conceptuelle et humaine dans ses peintures, le discours est nouveau à la fin, et le Bien (ou le mieux) s'affirme à travers le Mal. Quelque part il y a toujours une conscience, et qui dit peintre des catastrophes dit moraliste conscient du Mal, et alchimie humaine qui tendra toujours vers une structure de plus en plus affirmée et un discours clair (mais symbolique, avec son langage). La chute perfectionne et humanise, en somme. Colore et fait revivre en autre. Alchimie du Feu et des Ombres.
Le circuit automobile autour des immeubles gothiques : hauteur soutenue d’une ville. Si l’étonnant tient au seul geste d’un enfant, apte à restituer les enthousiasmes silencieux d’un peuple tout entier (dont les plus vieilles pièces rappellent ces auto tamponneuses adossées aux fjords rouges)... La résonance des aigus : une fleur de magnolia aux reflets métalliques restitué en chacun des grains du désert, un détecteur de soucoupe volante, un arpenteur dubitatif, un éro-mécanicien et sept cow boys rejouant au loin l’objet d’une conquête du sentiment…
Salade de mots.
Enfin quelqu'un qui é-crie !
Non on ne s'arrange pas avec la profondeur, la profondeur est vitale
50:31
-- Brillant & lumineux, comme un Turner ou un Monet. --
tout juste fascinant
Parfaitement ça jusqu’au moment où ce chaos laisse enfin la place à l’harmonie et à la ré-organisation structurelle retrouvée ...si l’œuvre est menée à terme et réussie .Sinon on retombe de nouveau dans le chaos et tout est à refaire!
Dix milles images dans la tête et dans le corps, mais la seule qui est vraie se manifeste sur la toile où plutôt apparaît. Lorsque cette entente a lieu et que opère la maturité, à l'insu du peintre lui-même- puisque dans le silence-, la peinture ou le dessin ignore toute catastrophe, surtout pré-picturale (...). La création d'une oeuvre d'art, l'acte de peindre, ignore toute forme de combat et s'effectue sans réaction aucune.
Ensuite, les hommes jugeront de sa valeur.
9:28 def d'une composition
Il se sert du langage, des mots, comme un peintre se sert des couleurs et de son pinceau. Il dépose des phrases, remet des mots, il regarde, rajoute, redit, superpose...etc
En un mot il nous soûle.. Un orateur nous rend compte de l'idée à son état d'achèvement, il ne nous gonfle pas avec ses bricolages préparatoires.
cesanne faisait des boites à gateaux, fo le savoir
il parle de boites à gateaux surtout
génie de la pensée
Exemple totalement partial et choisi pour servir ses propos.
La catastrophe est tout simplement une thématique qui attire par son caractère exceptionnel et spectaculaire , d'ailleurs c'est bien ce qui se diffuse le plus, publie des vidéos de tsunami et une autre d'une femme qui cous , et tu verras ce qui attire l'attention.
Deleuze fonde son expérience esthétique sûr une narration visuel non objectif et sur un texte,
Non chez piero della francesca, Vermer , Ingre ou Mondrian, il n'y a pas de trace de catastrophe ni narrative ni fondatrice.
12:26 regarde la vidéo stppp
Parler en barbouillant ses phrases, c'est vouloir nous faire croire à tout prix à la matérialité de la pensée. C'est une exhibition narcissique et une posture intellectuelle.
34:40 chaos, se perdre dans l'abîme, soleil qui fait naitre
36:30 Cézanne construction mentale qui émerge de l'abîme
38:30 l'armature sort du chaos
38:55 les plans tombent sur les autres
Ça peut échouer
L'un submerge l'autre et tout est évanescent
53:30 ça ne s'écroule pas, toujours régi par les règles de l'armature, la texture vient s'accrocher par tâche
la folie de vangogh etait son acoufen!!!!!
Chacun ses délires
Je n'aime pas du tout. Il fait dire des choses à des phrases qui ne sont pas de lui, ce qui l'arrange pour mener à bien son discours.. enfin discours.. ça frôle le délire.. il se répète, il ne sait pas ou il va et on se perd..
L'art de ne rien dire avec beaucoup de mots.
C'est désolant de voir la dégénerescence civilisationelle. Qu'un fumiste pareil soit considéré comme un philosophe majeur aurait été incroyable pour les Lumières.
'' fumiste'' ne s applique pas dans son cas .. il était très travailleur et incroyablement documenté sur ce qu'il étudiait, ce que vous identifiez comme ''dégénérescence civilisationnelle'' n'est en fait que votre propre manque de poésie et votre rigidité mentale presque cadavérique ...
Quand la bétise parle !
ils dit nimportequoi, ça veut rien dire, on s'en fou des formes et des couleures, ce qui compte c'est ce que ça raconte et qui raconte
le fameux point gris, Nicolas, penses-y
Moi ça me parle, absolument. La peinture c'est pas de la communication. On fait pas des panneaux de circulation, on ne lance pas des mots d'ordre....
Justement non, on ne peut pas juste dire on s'en fout. Les formes, la couleur, tout cela détient en soi un sens, jamais figé, toujours à percevoir en fonction d'un contexte d'écriture, de lecture.
"Trieste est un maître du beau qui travaille l'esthétisme des couleurs". Apparemment vous avez changé d'avis ?
Merci