4:40 le mot est d'abord prononcé, et dix secondes plus tard, le bon mot est lâché. Le cheminement de la pensée de Jacques Martin est ici très tangible. A l'instar de De Kersauson, Jean Yanne et quelques autres dotés de cette fulgurance, il assène un "zob sec" magistral, le savant équilibre entre l'à-peu-près phonétique et la justesse de la métrique humoristique, l'instant "T" de la vanne. Fascinant. Olivier rebondit d'ailleurs avec brio à 7:42 en lâchant un "En solitaire, faudrait un siège éjectable !" de toute beauté. ;)
Ca fait du bien à l'époque de la soi disant tolérance respect de tous où l'on ne peut plus rien dire, là qu'est ce que ça fait du bien c'est tout sauf politiquement correct et bon sang que ça fait du bien! je n'ose imaginer de nos jours le coup des accents les lettres de protestation qu'il y aurait et c'est bien dommage!
4:40 le mot est d'abord prononcé, et dix secondes plus tard, le bon mot est lâché. Le cheminement de la pensée de Jacques Martin est ici très tangible. A l'instar de De Kersauson, Jean Yanne et quelques autres dotés de cette fulgurance, il assène un "zob sec" magistral, le savant équilibre entre l'à-peu-près phonétique et la justesse de la métrique humoristique, l'instant "T" de la vanne. Fascinant. Olivier rebondit d'ailleurs avec brio à 7:42 en lâchant un "En solitaire, faudrait un siège éjectable !" de toute beauté. ;)
bravo et merci
Ca fait du bien à l'époque de la soi disant tolérance respect de tous où l'on ne peut plus rien dire, là qu'est ce que ça fait du bien c'est tout sauf politiquement correct et bon sang que ça fait du bien! je n'ose imaginer de nos jours le coup des accents les lettres de protestation qu'il y aurait et c'est bien dommage!
Oh que oui !
00₩pqqppPP
J'ai toujours trouvé que Martin s'était beaucoup étiolé entre son départ puis son retour rue Bayard de 89 à 92.
C'est la bande à polygrôtte ....vive l'espéranto 🙏
Tbien
p