👉 Pour recevoir « Mes fondamentaux pour des rénovations pertinentes » : formation.soigner-l-habitat.com/fondamentaux-ye/ 🏡 Et si vous souhaitez faire appel à un Habitologue proche de chez vous : habitologue.com/ye
Encore une très très bonne vidéo. Je suis surpris et même désappointé de voir que vos vidéos ne soient pas assez vues... et pourtant elles sont tellement censées et très bien faites car compréhensible par le plus grand nombre. Encore merci Claude
Merci Stéphane, il est vrai que mes vidéos, dédiées à l'éco-habitat n'ont pas un succès aussi important que certains autres thèmes. Cependant, petit à petit, elles trouvent leur public et, si, on m'avait dit lorsque j'ai publié la première, que je dépasserais les 10 000 abonnés, plus de 2000 vues par jour en cumul, je ne l'aurais pas cru. Un commentaire comme le vôtre encourage à continuer.
Merci Papy 😊. J'ai néanmoins une réserve sur la laine de bois. Tous les bois n'ont pas les mêmes qualités en fonction de leur essence et de leur terroir. De même, les monocultures du bois créent de nombreux autres problèmes.
Bonjour, Tout peut être sujet à réserves car tout, absolument tout ce qui est manufacturé ou produit a au moins un impact négatif ici ou là, également tout, absolument tout a une faiblesse ici ou là et il est forcément possible de se focaliser sur les limites de l'un ou l'autre des matériaux. Il est également possible de se focaliser sure les avantages de l'un ou l'autre des matériaux pour en faire un trop. Je ne pense pas que ce soit ainsi qu'il faut opérer pour choisir. Pour ma part je me focalise sur les aspects globaux, une approche holistique : Critère 1: l'usage qu'on attend d'une solution, quelles sont ses capacités y répondre : mieux, moins bien que telle ou telle autre solution. Donc en 1Er l'efficacité réelle et avérée, pas celle revendiquée ou mise en avant, Critère 2 : quels sont ses effets induits directs ou collatéraux sur le support, la maison, entre autres au niveau salubrité ou sécurité pour les occupants, Critère 3 : Le matériau ou le système que j'analyse génère-t-il des effets sur l'environnement, sur ceux qui le fabriquent ou le mettent en œuvre ? Critère 4 : a) j'analyse l'amortissement possible en bilan CO2 et autres émissions de GES suite à un choix : combien de débours de CO2 (la marqueur le plus connu et facile à évaluer) pour la fabrication, le transport, la mise en œuvre, l'entretien, la dépose, le devenir en fin de vie ? b) Combien de CO2 économisé annuellement à l'exploitation grâce à ce choix.c) je divise le débours global par le 'économie annuelle, ce qui me donne le temps d'amortissement. d) je recherche la durée réelle de vie de cet équipement. Si la durée d'amortissement est supérieure à la 'espérance moyenne de vie : mauvais choix, je cherche ailleurs.
Bonjour, étant un fervent défenseur (et utilisateur) des isolants biosourcés, je vous remercie pour cette vidéo très complète ! Je me permets tout de même d'ajouter quelques éléments qui pourraient être en leur "défaveur", mais qui sont surtout à connaitre pour éviter des désordres tout à fait contournables. Premièrement, sur la propagation des incendies : ils sont effectivement très bons pour limiter la propagation de chaleur à travers l'isolation. Par contre, leur surface favorise beaucoup plus la propagation des flammes que les isolants minéraux. Il faut donc bien les couvrir dans les locaux sensibles ! Et surtout, porter une attention forte au stockage pendant le chantier, moment ou un incendie peut être critique (tout particulièrement pour les isolants en vrac et pour la paille qui offrent plus de surface) Néanmoins, des précautions sont possible : stockage plutôt en extérieur (sous bâche ventilée); nettoyage très régulier des déchets de pose (je pense tout particulièrement à la paille en vrac dans les chantiers d'autoconstruction) ; éloignement des systèmes électroniques... Le deuxième point concerne la sensibilité à l'eau. Si on prend les isolants seuls, effectivement les isolants minéraux perdront beaucoup plus vite leurs capacité thermiques en cas d'humidification. Par contre, les biosourcés présentent un plus grand de développement de champignons à grande échelle... ce qui devient un risque pour la structure dès lors que celle ci y est sensible (les ossatures bois !!). La réponse à cette problématique est dans votre vidéo : les murs peuvent (et devraient!) être perspirants, pour le confort oui mais aussi pour permettre aux isolants d'évacuer l'humidité avant que les moisissures n'aient le temps de se former ! Reste le cas d'un apport accidentel d'eau liquide (fuite de canalisation ou de gouttière par exemple), dans ce cas il est très très important de sonder les isolants et si besoin d'entamer des travaux de dépose. Ces remarques sont vraiment à prendre dans le sens d'une sensibilisation aux bonnes pratiques, les biosourcés sont extrêmement bénéfiques mais ils souffrent encore d'idées reçues inhérentes à de mauvaises mises en œuvre !
J'adore écouter vos vidéos pleines de bon sens. Je suis dans le sud-est de la france dans une maison de 2008. Comme les cordonniers étant les plus mal chaussés, j'ai environ 20cm de laine de verre dans mes combles perdus. Si j'ai un R de 3 ou 4, c'est le bout du monde. Elle est encore en bonne état... c'est pour ca que j'ai décidé de mettre un petit plancher d'OSB avec une réhausse de 3cm sur solive et selon vos conseils, je vais mettre 10cm de panneau de laine de bois sous les rampants (Isonat+) . J'aurai pu enlever cette laine de verre.... mais c'était un boulot de dingue. J'ai du faire un choix.... j'espère qu'il sera pas top mauvais. En tout cas ... ca devrait me faire un R de 6.... et comme vous le montrer pas besoin de s'acharner pour les derniers % ... même si la toiture est le plus important. Je vais également remplacer ma VMC pour une plus économique et hygrométrique.
Le choix de la laine de bois est bien, par contre garder la laine de verre dessous représente des risques que j'ai détaillés dans cette vidéo : ua-cam.com/video/lVvWlqZvLeE/v-deo.html
@@PapyClaude Oui je l'avais vu ... mais techniquement la laine de verre ne sera pas en dessous (entre placo et plancher de comble) des panneaux de laine de bois. (sous rampants) Il y a aura à minima une lame d'air de 3cm à 90cm entre...
@@sebydocky5080 Alors le nouvel isolant ne donnera pas son réel rendement, loin s'en faut. En effet cet air sera en contact avec les parois extérieures, ce qui constituera un pont thermique… on a toujours intérêt à fair les choses de la façon la plus nickelle possible.
@@PapyClaude Oui je me doute ... mon idée est de surtout faire un barrière pour l'été.... Pour l'hiver, je suis conscient que je n'aurai pas la somme des 2 isolants
Bravo et Merci pour cette vidéo. J'allais me détourner des isolants végétaux (que j'utilise depuis 10ans dans mon habitation) pour faire quelques économies ponctuelles mais, grâce à votre vidéo je vais continuer à les utiliser. Vous insistez sur la densité de l'isolant alors pourquoi recommander Gramitherm qui ne propose qu'une densité de 40kg/m3 ?
40 kg en matière d'isolant, c'est déjà bien et, surtout, la densité combinée à la chaleur spécifique et au lambda ont une influence sur le déphasage, l'effusivité et la diffusivité et donc c'est un tout qu'il faut considérer. On a trop mis en avant et en exergue le lambda, il ne faut pas non plus mettre un autre critère plus en avant que nécessaire… sans pour autant le négliger.
Oui effectivement. Finalement le liège est probablement un des meilleurs isolants (très haute densité , très durable, ...). En ITE il doit être très bon pour l'accroche de l'enduit, probablement meilleur que la laine de bois non ? On est d'accord qu'il reste perspirant ?
@@christopheroldan5403 Oui, très bon isolant mais trop praire et précieux pour le destiner à une utilisation courante, là où d'autres pourraient remplir les mêmes fonctions, permettant ainsi d'en protéger la disponibilité pour une utilisation là où les autres ne peuvent l'être : en milieu humide.
Ok, j'en suis désolé, mais pour le reste, les infos données sont gratuites et, en totalisant environ 60000 vues par mois (toutes vidéos confondues) le gain se situe entre 50 et 70€ par mois… si c'est ennuyeux pour celui qui visionne, ça n'est guère rémunérateur pour celui qui produit ! Promis, le jour où j'aurai trouve d'autres moyens de subsistance, je réduis ces pubs (je ne pourrai jamais les éliminer totalement sinon je ne peux pas, moi-même, communiquer sur mes propres supports).
que pensez vous d'épandre à la main de la chènevotte sur une dalle béton en comble perdu ? Faut-il la melanger au préalable avec de la chaux (pour eviter les rongeurs) etant en bordure de toiture je pensais combler tout le volume.
Bonjour, La chènevotte de chanvre a l'avantage de ne pas être très intéressante pour les rongeurs. dans des combles perdus, vous pouvez aussi souffler de la ouate de cellulose (papiers journaux recyclés avec du sel de bore qui empêche les rongeurs d'y faire des galeries). Quel que soit l'isolant en vrac choisi, attention à mettre un carton ou autre sous les chevrons pour laisser plusieurs centimètres entre la couverture et l'isolant!
@@PapyClaude Tout à fait ! La fibre de bois, par son caractère industriel permet une diffusion à échelle conséquente des biosourcés. La paille, à l'opposé, est bien plus vertueuses de par sa localité et le peu de transformations qu'elle nécessite... tout en restant pour moins facilement démultipliable à grande échelle. Et il y en as bien d'autre ! Intéressants pour une caractéristique spécifique : le liège imputrescible, les bétons de chanvre à forte inertie... ; intéressants parce qu'ils sont localement disponibles : laine animale, laine de chanvre... ; parce qu'une entreprise près de chez vous s'est spécialisée dans une pratique peu usuelle mais tout aussi vertueuse : roseau, chaume... ; parce qu'ils sont le résultat du recyclage d'une ressource "déchet" : cellulose de textile recyclé etc. Je trouve que c'est justement cette grande variété qui permet de répondre à toute sortes de contextes, même si parfois on s'y perds un peu !
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Merci ! Ca m'a permis de porter un meilleur choix pour ma rénovation.
Plaisir !
Encore une très très bonne vidéo. Je suis surpris et même désappointé de voir que vos vidéos ne soient pas assez vues... et pourtant elles sont tellement censées et très bien faites car compréhensible par le plus grand nombre. Encore merci Claude
Merci Stéphane, il est vrai que mes vidéos, dédiées à l'éco-habitat n'ont pas un succès aussi important que certains autres thèmes.
Cependant, petit à petit, elles trouvent leur public et, si, on m'avait dit lorsque j'ai publié la première, que je dépasserais les 10 000 abonnés, plus de 2000 vues par jour en cumul, je ne l'aurais pas cru.
Un commentaire comme le vôtre encourage à continuer.
Merci Papy 😊. J'ai néanmoins une réserve sur la laine de bois. Tous les bois n'ont pas les mêmes qualités en fonction de leur essence et de leur terroir. De même, les monocultures du bois créent de nombreux autres problèmes.
Bonjour,
Tout peut être sujet à réserves car tout, absolument tout ce qui est manufacturé ou produit a au moins un impact négatif ici ou là, également tout, absolument tout a une faiblesse ici ou là et il est forcément possible de se focaliser sur les limites de l'un ou l'autre des matériaux.
Il est également possible de se focaliser sure les avantages de l'un ou l'autre des matériaux pour en faire un trop.
Je ne pense pas que ce soit ainsi qu'il faut opérer pour choisir.
Pour ma part je me focalise sur les aspects globaux, une approche holistique :
Critère 1: l'usage qu'on attend d'une solution, quelles sont ses capacités y répondre : mieux, moins bien que telle ou telle autre solution. Donc en 1Er l'efficacité réelle et avérée, pas celle revendiquée ou mise en avant,
Critère 2 : quels sont ses effets induits directs ou collatéraux sur le support, la maison, entre autres au niveau salubrité ou sécurité pour les occupants,
Critère 3 : Le matériau ou le système que j'analyse génère-t-il des effets sur l'environnement, sur ceux qui le fabriquent ou le mettent en œuvre ?
Critère 4 : a) j'analyse l'amortissement possible en bilan CO2 et autres émissions de GES suite à un choix : combien de débours de CO2 (la marqueur le plus connu et facile à évaluer) pour la fabrication, le transport, la mise en œuvre, l'entretien, la dépose, le devenir en fin de vie ? b) Combien de CO2 économisé annuellement à l'exploitation grâce à ce choix.c) je divise le débours global par le 'économie annuelle, ce qui me donne le temps d'amortissement. d) je recherche la durée réelle de vie de cet équipement. Si la durée d'amortissement est supérieure à la 'espérance moyenne de vie : mauvais choix, je cherche ailleurs.
Bonjour, étant un fervent défenseur (et utilisateur) des isolants biosourcés, je vous remercie pour cette vidéo très complète ! Je me permets tout de même d'ajouter quelques éléments qui pourraient être en leur "défaveur", mais qui sont surtout à connaitre pour éviter des désordres tout à fait contournables.
Premièrement, sur la propagation des incendies : ils sont effectivement très bons pour limiter la propagation de chaleur à travers l'isolation. Par contre, leur surface favorise beaucoup plus la propagation des flammes que les isolants minéraux. Il faut donc bien les couvrir dans les locaux sensibles ! Et surtout, porter une attention forte au stockage pendant le chantier, moment ou un incendie peut être critique (tout particulièrement pour les isolants en vrac et pour la paille qui offrent plus de surface) Néanmoins, des précautions sont possible : stockage plutôt en extérieur (sous bâche ventilée); nettoyage très régulier des déchets de pose (je pense tout particulièrement à la paille en vrac dans les chantiers d'autoconstruction) ; éloignement des systèmes électroniques...
Le deuxième point concerne la sensibilité à l'eau. Si on prend les isolants seuls, effectivement les isolants minéraux perdront beaucoup plus vite leurs capacité thermiques en cas d'humidification. Par contre, les biosourcés présentent un plus grand de développement de champignons à grande échelle... ce qui devient un risque pour la structure dès lors que celle ci y est sensible (les ossatures bois !!). La réponse à cette problématique est dans votre vidéo : les murs peuvent (et devraient!) être perspirants, pour le confort oui mais aussi pour permettre aux isolants d'évacuer l'humidité avant que les moisissures n'aient le temps de se former !
Reste le cas d'un apport accidentel d'eau liquide (fuite de canalisation ou de gouttière par exemple), dans ce cas il est très très important de sonder les isolants et si besoin d'entamer des travaux de dépose.
Ces remarques sont vraiment à prendre dans le sens d'une sensibilisation aux bonnes pratiques, les biosourcés sont extrêmement bénéfiques mais ils souffrent encore d'idées reçues inhérentes à de mauvaises mises en œuvre !
Merci Erwan,
Les isolants fibreux minéraux ne se sèchent pas mieux que les biosourcés.
J'adore écouter vos vidéos pleines de bon sens. Je suis dans le sud-est de la france dans une maison de 2008. Comme les cordonniers étant les plus mal chaussés, j'ai environ 20cm de laine de verre dans mes combles perdus. Si j'ai un R de 3 ou 4, c'est le bout du monde. Elle est encore en bonne état... c'est pour ca que j'ai décidé de mettre un petit plancher d'OSB avec une réhausse de 3cm sur solive et selon vos conseils, je vais mettre 10cm de panneau de laine de bois sous les rampants (Isonat+) . J'aurai pu enlever cette laine de verre.... mais c'était un boulot de dingue. J'ai du faire un choix.... j'espère qu'il sera pas top mauvais. En tout cas ... ca devrait me faire un R de 6.... et comme vous le montrer pas besoin de s'acharner pour les derniers % ... même si la toiture est le plus important. Je vais également remplacer ma VMC pour une plus économique et hygrométrique.
Le choix de la laine de bois est bien, par contre garder la laine de verre dessous représente des risques que j'ai détaillés dans cette vidéo : ua-cam.com/video/lVvWlqZvLeE/v-deo.html
@@PapyClaude Oui je l'avais vu ... mais techniquement la laine de verre ne sera pas en dessous (entre placo et plancher de comble) des panneaux de laine de bois. (sous rampants) Il y a aura à minima une lame d'air de 3cm à 90cm entre...
@@sebydocky5080 Alors le nouvel isolant ne donnera pas son réel rendement, loin s'en faut.
En effet cet air sera en contact avec les parois extérieures, ce qui constituera un pont thermique… on a toujours intérêt à fair les choses de la façon la plus nickelle possible.
@@PapyClaude Oui je me doute ... mon idée est de surtout faire un barrière pour l'été.... Pour l'hiver, je suis conscient que je n'aurai pas la somme des 2 isolants
@@sebydocky5080 Je comprends mais c'est quand même dommage de en pas tirer le maximum d'un matériau.
Bravo et Merci pour cette vidéo. J'allais me détourner des isolants végétaux (que j'utilise depuis 10ans dans mon habitation) pour faire quelques économies ponctuelles mais, grâce à votre vidéo je vais continuer à les utiliser.
Vous insistez sur la densité de l'isolant alors pourquoi recommander Gramitherm qui ne propose qu'une densité de 40kg/m3 ?
40 kg en matière d'isolant, c'est déjà bien et, surtout, la densité combinée à la chaleur spécifique et au lambda ont une influence sur le déphasage, l'effusivité et la diffusivité et donc c'est un tout qu'il faut considérer.
On a trop mis en avant et en exergue le lambda, il ne faut pas non plus mettre un autre critère plus en avant que nécessaire… sans pour autant le négliger.
Oui effectivement. Finalement le liège est probablement un des meilleurs isolants (très haute densité , très durable, ...). En ITE il doit être très bon pour l'accroche de l'enduit, probablement meilleur que la laine de bois non ? On est d'accord qu'il reste perspirant ?
@@christopheroldan5403 Oui, très bon isolant mais trop praire et précieux pour le destiner à une utilisation courante, là où d'autres pourraient remplir les mêmes fonctions, permettant ainsi d'en protéger la disponibilité pour une utilisation là où les autres ne peuvent l'être : en milieu humide.
Très bonne vidéo. Par contre trop de pub... c’est dommage
Ok, j'en suis désolé, mais pour le reste, les infos données sont gratuites et, en totalisant environ 60000 vues par mois (toutes vidéos confondues) le gain se situe entre 50 et 70€ par mois… si c'est ennuyeux pour celui qui visionne, ça n'est guère rémunérateur pour celui qui produit !
Promis, le jour où j'aurai trouve d'autres moyens de subsistance, je réduis ces pubs (je ne pourrai jamais les éliminer totalement sinon je ne peux pas, moi-même, communiquer sur mes propres supports).
@@PapyClaude aucun problème je comprend l intérêt des PUB. C'est juste que je trouvais qu'il y en avait toute les 5min.
Bonjour, la laine (de mouton 🐑) est souvent oublié pour quelle raison ?
Pour ma part je ne l'oublie pas, cependant elle n'est pas plus oubliés que d'autres, lin, chanvre, herbe…
que pensez vous d'épandre à la main de la chènevotte sur une dalle béton en comble perdu ?
Faut-il la melanger au préalable avec de la chaux (pour eviter les rongeurs)
etant en bordure de toiture je pensais combler tout le volume.
Bonjour,
La chènevotte de chanvre a l'avantage de ne pas être très intéressante pour les rongeurs. dans des combles perdus, vous pouvez aussi souffler de la ouate de cellulose (papiers journaux recyclés avec du sel de bore qui empêche les rongeurs d'y faire des galeries).
Quel que soit l'isolant en vrac choisi, attention à mettre un carton ou autre sous les chevrons pour laisser plusieurs centimètres entre la couverture et l'isolant!
vive la fibre de bois!😄😄😄
… Et les autres biosourcés !
@@PapyClaude Tout à fait ! La fibre de bois, par son caractère industriel permet une diffusion à échelle conséquente des biosourcés. La paille, à l'opposé, est bien plus vertueuses de par sa localité et le peu de transformations qu'elle nécessite... tout en restant pour moins facilement démultipliable à grande échelle. Et il y en as bien d'autre ! Intéressants pour une caractéristique spécifique : le liège imputrescible, les bétons de chanvre à forte inertie... ; intéressants parce qu'ils sont localement disponibles : laine animale, laine de chanvre... ; parce qu'une entreprise près de chez vous s'est spécialisée dans une pratique peu usuelle mais tout aussi vertueuse : roseau, chaume... ; parce qu'ils sont le résultat du recyclage d'une ressource "déchet" : cellulose de textile recyclé etc. Je trouve que c'est justement cette grande variété qui permet de répondre à toute sortes de contextes, même si parfois on s'y perds un peu !