Je ne suis pas un homme, je n’ai pas 30 ans et je ne me définie pas comme particulièrement timide mais je me permets de mettre ma petite pierre à la discussion, je suis d’accord avec toi quand tu dis que le confort s’apprend. Après avoir travaillé pendant plusieurs années dans un contexte qui me demande de présenter / convaincre / converser extrêmement souvent je me suis rendue compte que tout le monde quelque soit son expérience peut être confronté à ce genre d’angoisses. Aussi banal que cela peut paraître après avoir fait 100 présentations en anglais, après avoir rencontré 200 clients, après avoir vu et appris de ses collègues qui font du small talk 20 fois par jour on commence à relativiser et à prendre confiance. Mon petit conseil c’est faites le même si c’est nul, même si c’est gênant, même si c’est juste deux mots et au bout d’un certain temps on stresse moins, on comprend que le monde ne s’écroule pas si la blague qu’on fait tombe à plat et que la personne en face est probablement aussi stressée que nous. 💪🏻
Hello, merci beaucoup pour ton partage ! Il est super chouette ! 😊 Et oui c'est exactement ça, c'est participer et pratiquer un maximum. Il n'y a pas de secrets pour progresser dans quelque chose. On n'apprend pas à nager en lisant un manuel de natation mais en se jetant à l'eau. C'est clair qu'au bout de 200 interventions on relativise. Il existe des techniques pour apprendre à changer sa façon de percevoir les choses comme "rectifier" sa façon de penser car il existe environ 12 façons de pensées qui ont une tendance destructrice et non constructrice, je pense notamment à la généralisation, la pensée du tout ou rien, le fait de filtrer le positif, le fait d'évaluer ses expériences en petite partie plutôt que l'ensemble. C'est sûr que quelque soit la compétence qu'on a envie d'apprendre, on a besoin de pratiquer régulièrement et comme tu dis en faisant du small talk 20 fois par jour, c'est clair que ça donne un coup de boost pour progresser. Un emploi salarié est souvent un excellent moyen de se mettre dans un contexte avec des contraintes où on n'a pas le choix d'apprendre. Merci pour ton partage !
Je ne suis pas un homme, je n’ai pas 30 ans et je ne me définie pas comme particulièrement timide mais je me permets de mettre ma petite pierre à la discussion, je suis d’accord avec toi quand tu dis que le confort s’apprend. Après avoir travaillé pendant plusieurs années dans un contexte qui me demande de présenter / convaincre / converser extrêmement souvent je me suis rendue compte que tout le monde quelque soit son expérience peut être confronté à ce genre d’angoisses. Aussi banal que cela peut paraître après avoir fait 100 présentations en anglais, après avoir rencontré 200 clients, après avoir vu et appris de ses collègues qui font du small talk 20 fois par jour on commence à relativiser et à prendre confiance. Mon petit conseil c’est faites le même si c’est nul, même si c’est gênant, même si c’est juste deux mots et au bout d’un certain temps on stresse moins, on comprend que le monde ne s’écroule pas si la blague qu’on fait tombe à plat et que la personne en face est probablement aussi stressée que nous. 💪🏻
Hello, merci beaucoup pour ton partage ! Il est super chouette ! 😊 Et oui c'est exactement ça, c'est participer et pratiquer un maximum. Il n'y a pas de secrets pour progresser dans quelque chose. On n'apprend pas à nager en lisant un manuel de natation mais en se jetant à l'eau.
C'est clair qu'au bout de 200 interventions on relativise. Il existe des techniques pour apprendre à changer sa façon de percevoir les choses comme "rectifier" sa façon de penser car il existe environ 12 façons de pensées qui ont une tendance destructrice et non constructrice, je pense notamment à la généralisation, la pensée du tout ou rien, le fait de filtrer le positif, le fait d'évaluer ses expériences en petite partie plutôt que l'ensemble.
C'est sûr que quelque soit la compétence qu'on a envie d'apprendre, on a besoin de pratiquer régulièrement et comme tu dis en faisant du small talk 20 fois par jour, c'est clair que ça donne un coup de boost pour progresser.
Un emploi salarié est souvent un excellent moyen de se mettre dans un contexte avec des contraintes où on n'a pas le choix d'apprendre.
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