Quand cent ans quand je serai très vieux j’aurai des souvenirs faits de mille chansons Et au rideau à mon ultime adieu à l’oreille de mon fils elles diront en mon nom pourquoi… j’ai chanté ! Quel chef d’œuvre !!!
"J'ai chanté" J'emportais, de ma chambre au collège, Une ancienne chanson faite en alexandrins. Je rêvais en suivant ses arpèges Sur des mots enchantés d'un nommé Vidalin. A la maison, j'ai vécu tant de choses Qui ont peint mon enfance moitié gris, moitié rose. J'imitais mes parents, mes idoles, Jouant avec l'accent des héros de Pagnol. Et puis j'ai chanté. J'ai maquillé mon cœur. J'ai maquillé mon corps. J'ai voilé tant de choses. J'ai chanté Pour vivre à l'ombre des géants Qui tremblent en attendant Que le rideau se lève Pour entrer dans leurs rêves. Parlerai-je de mes amours d'enfant, Dans une loge, en haut d'un certain Olympia ? Elles étaient mannequins ou danseuses Et me prenaient toujours pour un fils à papa. Dans cent ans, quand je serai très vieux, J'aurai des souvenirs faits de mille chansons Et au rideau, à mon ultime adieu, A l'oreille de mon fils, elles diront en mon nom, Pourquoi j'ai chanté..
Quand cent ans quand je serai très vieux j’aurai des souvenirs faits de mille chansons
Et au rideau à mon ultime adieu à l’oreille de mon fils elles diront en mon nom pourquoi… j’ai chanté ! Quel chef d’œuvre !!!
"J'ai chanté"
J'emportais, de ma chambre au collège,
Une ancienne chanson faite en alexandrins.
Je rêvais en suivant ses arpèges
Sur des mots enchantés d'un nommé Vidalin.
A la maison, j'ai vécu tant de choses
Qui ont peint mon enfance moitié gris, moitié rose.
J'imitais mes parents, mes idoles,
Jouant avec l'accent des héros de Pagnol.
Et puis j'ai chanté.
J'ai maquillé mon cœur.
J'ai maquillé mon corps.
J'ai voilé tant de choses.
J'ai chanté
Pour vivre à l'ombre des géants
Qui tremblent en attendant
Que le rideau se lève
Pour entrer dans leurs rêves.
Parlerai-je de mes amours d'enfant,
Dans une loge, en haut d'un certain Olympia ?
Elles étaient mannequins ou danseuses
Et me prenaient toujours pour un fils à papa.
Dans cent ans, quand je serai très vieux,
J'aurai des souvenirs faits de mille chansons
Et au rideau, à mon ultime adieu,
A l'oreille de mon fils, elles diront en mon nom,
Pourquoi j'ai chanté..
Je cherchais ce titre depuis des mois. Merci
Merci pour ces doux souvenirs!
OUR PRECIOUS MICHEL SARDOU !!!
Excellent philippe
Une des plus belles de sardou
c'est vrai 73 belle année c'était l'armée
une belle annee 1973
super ! grand merci ;)
Thank you Anastarou!