Beaucoup de savoir ! L’homme ignorant est heureux dans son ignorance L’homme savant est malheureux dans son savoir Merci beaucoup pour toutes ces informations que l’on ignorait Et allah donne le savoir à des musulmans parfois pour informer les autres musulmans Merci
Salam Allah alykoum, Je t’envoie ce adith car je pense que tu fais partie de ces gens qu’Allah aime et j’aime ces gens qu’Allah aime parce que c’est une évidence Tu as réussi à nous transmettre ton amour pour Allah est c’est extraordinaire. Je pense que tu connais ce adith mais je tenais à le partager avec toi je trouve que tu le mérites beaucoup et tu dois ça à nôtre créateur qui grâce à lui on t’aime également. Qu’Allah éclaire ton cœur🤲 adith Qudsi 24 D'après Abu Harayrah (que Dieu l'agrée), le Prophète (S.B) a dit: Si Dieu aime un serviteur [parmi les Siens], Il appelle Gabriel (Paix sur lui) et dit: J'aime untel, alors aime-le. Il (le Prophète SB) dit: Alors Gabriel l'aime. Ensuite, Il (Gabriel) appelle les gens du Paradis, en disant: Dieu aime untel, alors aimez-le. Et tous les habitants du Paradis l'aime. Il (le Prophète S.B) dit: Alors l'acceptation est établie pour lui sur terre. Et si Dieu déteste un serviteur [parmi les Siens], Il appelle Gabriel (Paix sur lui) et dit: Je déteste untel, alors déteste-le. Il (le Prophète S.B) dit: Alors Gabriel le déteste. Ensuite, Il (Gabriel) appelle les gens du Paradis, en disant: Dieu déteste untel, alors déteste-le. Et tous les habitants du Paradis le déteste. Il (le Prophète S.B) dit: Alors le rejet est établi pour lui sur terre. Rapporté par Muslim (et par al-Bukhari, Malik, et at-Tirmidhi). PS : si les commentaires dérangent j’efface tout.🙂
Amin ! Merci d'avoir pensé à moi pour ce dou'a ! On essaye de faire au mieux. Qu'Allah nous guide et nous donne la sincérité dans nos œuvres ! Merci encore pour ton soutien :-)
Salâm soubhan Allah je voulais faire une émission sur lui. Ça va me prendre du temps car il y a beaucoup de choses à dire (Yasir Qadhi en a fait 2 épisodes) mais c'est extrêmement intéressant et assez triste aussi. J'y consacrerai le prochain épisode incha Allah car c'est un personnage trop méconnu
@@alarecherchedusavoir-chain5460 Exactement surtout que je sais pas si tu es comme moi mais idéal pour être le Calife. C''est de choisir un gouverneur et non un système monarchique. A l'exemple de Abu Bakr, Omar, Othman, Ali. Même le prophète sws faisait la consultation. Et la bay'a c'est justement pour confirmer le choix l'année précédente. Soubhan'Allah
Oui. Une ascendance noble, un comportement noble, un homme pieux. Hélas en face de lui il avait des hommes sans vergogne qui ne craignaient pas Allah. Il mérite en effet un hommage, incha Allah j'essayerai de m'y atteler, mais avec un bébé c'est un peu compliqué maintenant 😅 qu'Allah mette sa bénédiction dans notre temps et nous permette d'accomplir un maximum de bonnes œuvres qui seront acceptées
Salam Allah alykoum, J’ai écouté toutes tes vidéos sont magnifiques ainsi que ta voix qui est très paisible mais c’est bien dommage que tu arrêtes brusquement🤔 Petite remarque si tu me le permets bien sûr, je me disais si tes vidéos sont sous-titrés en arabe je pense que tu aura plus de personnes qui t’écouterai avec plaisir car en lisant certains commentaires en arabe ces derniers demandent la traduction parce qu’ils ne comprennent pas le français étant donné ils sont restés sans réponse alors ils n’y sont plus là malheureusement Salam Akhi 🤍 Je suis de Rouen
'aleykoum salam wa rahmatoullah wa barakatouh. Merci pour ce gentil message qui fait très plaisir. Que veux-tu dire par "c’est bien dommage que tu arrêtes brusquement" ? Oui ce serait bien de sous-titrer en arabe, effectivement j'ai également vu les commentaires en question. Hélas je n'en ai pas le temps ni les capacités. En outre, sous-titrer une vidéo est un travail assez laborieux. J'ai commencé sur ma vidéo sur la dépression mais pas encore fini. Baraka Allahou fik :-)
@@alarecherchedusavoir-chain5460 السلام عليكم ورحمة الله وبركاته Merci d’avoir répondu à mon commentaire c’est très gentil à toi Pour la question dans ton commentaire je pa parlais des vidéos car ta dernière vidéo elle remonte à plus deux mois C’est pour cela j’ai pensé que tu avais arrêté les vidéos J’ai regardé pour les sous-titre et j’ai trouvé ça Changer la langue d'une vidéo Vous pouvez modifier la langue d'une de vos vidéos si elle n'a pas été correctement définie. Connectez-vous à UA-cam Studio. Dans le menu de gauche, sélectionnez Contenu. Cliquez sur la miniature d'une vidéo. En bas de la page, cliquez sur PLUS. Dans la section Langue de la vidéo, sélectionnez la langue appropriée, puis cliquez sur Enregistrer. Remarque : Si vous modifiez le paramètre de la langue originale de votre vidéo, tous les sous-titres traduits par la suite utiliseront la même langue source (cela n'aura aucune conséquence sur la version publiée et le brouillon de vos sous-titres). Sinon tu peux regarder des vidéos sur UA-cam en cherchant comment faire les sous-titres de ma vidéo J’en ai trouvé beaucoup de vidéo mais de préférence à toi de voir les vidéos qui explique clairement le sujet et dans certains apparemment tu fais les réglages une fois et plus besoin de le refaire à chaque fois sauf si tu ne veux pas pour une vidéo tu désactive selon toi J’espère que je t’ai apporté des idées qui te facilite ton travail ? J’ai oublié tu peux également chercher le sujet sur Google et si tu trouves je m’emmêle dans ton travail et que ça ne me regarde pas je te prie de m’en excuser et je ne recommence plus. J’aime aider mes je n’aime pas déranger.
@@alarecherchedusavoir-chain5460 Salam mon frère. Je pense qu'il sous entend par "c’est bien dommage que tu arrêtes brusquement" le fait que tu ne postes plus de vidéos depuis bientôt 1 an :(
Aleykoum salam wa rahmatoullah akhi. Merci c'est gentil. Oui vu que j'ai un jeune garçon et que je dois subvenir aux besoins de ma famille, c'est plus difficile de dégager du temps. J'espère pouvoir faire de nouvelles vidéos à l'avenir bi idhni Llah. Qu'Allah nous facilite les choses à tous
La naissance de l’empire califal Pour le musulman comme pour l’historien, la deuxième moitié du VIIe siècle apparait comme assez nébuleuse : après la période des « califes bien guidés » selon l’expression consacrée de la tradition musulmane sunnite (« bien guidés dans l’islam »), les quatre premiers « successeurs du prophète » (Abu Bakr, Omar, Othman, Ali), cette même tradition évoque une succession de guerres fratricides entre califes, anticalifes, clans prétendant au califat (les fitna), et l’accession au pouvoir de « califes » qui ne sont donc plus, selon l’islam lui-même, des « bien guidés ». Or, nous avions vu précédemment que, du point de vue historique, ces chefs arabes décrits par la tradition ne pouvaient être réellement qualifiés de « musulmans » au sens que donne l’islam à cette dénomination. Les sources non-musulmanes[1] qui mentionnent ces luttes entre clans n’évoquent de plus aucun « califat », aucun pouvoir centralisé avant l’avènement du « roi arabe » Muawiya Ier, en 661, fondateur de la dynastie omeyyade. Pourquoi donc se battaient ces différentes factions arabes ? Pourquoi la fitna ? La prise en compte du contexte apocalyptique et des attentes messianiques de cette période nous aide à comprendre : s’ajoutant aux querelles d’ambition, ce sont aussi les questions de l’établissement du « règne de Dieu », de la divinité du pouvoir qui ont nourri le jeu de concurrence politico-religieuse entre factions[2]. Les prétendants se sont affrontés en arguant de leur légitimité à régner en tant qu’auxiliaires du messie de Dieu censé établir ce règne, quand ils ne se prenaient pas eux-mêmes pour le messie (comme aurait prétendu l’être Ali, selon la tradition chiite, voire aussi Omar, que la tradition pare d’un titre messianique). Certains prétendaient régner « au nom de Dieu » comme on le voit inscrit sur leurs pièces de monnaies, régner comme intermédiaire entre Dieu et les croyants[3], régner en tant que « lieutenant de Dieu » sur terre, et donc régner comme « envoyé de Dieu », c’est à dire par le pouvoir même de Dieu. Abd al Malik fonde le califat La lutte fait émerger des chefs de plus en plus forts, jusqu’à l’avènement d’Abd al Malik en 685, personnage clé pour l’émergence du futur islam. Issu du clan omeyyade, il est celui qui constitue le premier et réel empire arabe[4], régnant à mesure de ses conquêtes et des défaites des autres factions sur le Levant, l’Égypte, l’Arabie et la partie occidentale de l’Empire perse. Il est le premier à se proclamer « calife », plus exactement « calife de Dieu », c’est-à-dire « lieutenant de Dieu sur terre » (et non « successeur » d’un Mahomet dont on ne trouve toujours quasiment pas de trace). En fondant le califat, il inaugure ainsi une sorte de gouvernorat de Dieu sur terre. Les temps messianiques sont donc accomplis. Il n’y a plus à attendre le retour du messie Jésus : un autre serviteur de Dieu (un autre messie ?) fait le travail à sa place. www.numisbids.com/n.php?p=lot&sid=1937&lot=3 L’empire nouveau qui vient de se constituer s’affranchit des tutelles et influences byzantines et persanes. Abd al Malik affirme les symboles d’un pouvoir nouveau sur ses pièces de monnaies ou dans les inscriptions du Dôme du Rocher, à Jérusalem (construit autour de 692) : suppression des références chrétiennes (croix) ou zoroastriennes, condamnation claire et subordination des chrétiens et des Juifs, expression en langue arabe. Il se présente comme l’égal, ou plutôt le supérieur en tout, du nouvel empereur de Byzance, Justinien II, cet autre « lieutenant de Dieu sur terre » arrivé au pouvoir en même temps que lui, et qui tentait de restaurer la puissance romaine et l’orthodoxie de la foi chrétienne. S’agit-il alors d’islam ? Non, pas encore : le calife tient son pouvoir de Dieu lui-même, comme en témoigne la force de ses armes, sans référence à une prophétie ou révélation divine qui le lui aurait donné. C’est cependant une étape décisive pour la constitution du futur islam. C’est d’ailleurs sous Abd al Malik que ce mot décrira pour la première fois le système politico-religieux qu’il met en place, ses affidés devenant alors les muslimun (« soumis »).mission-ismerie.com/mais-quand-donc-est-ne-lislam/
Mais quand donc est né l’islam ? Les découvertes relatives aux origines de l’islam ont mis en évidence qu’il n’est pas vraiment né en tant que tel avec Mahomet, ni même avec la « conquête arabe ». Nous avions vu précédemment que le « Mahomet de l’histoire » prêchait bien davantage le retour imminent sur terre de Jésus, dans le contexte général des attentes apocalyptiques exacerbées du VIIe siècle. Le groupe de Mahomet semblait ainsi focaliser ses attentions sur la prise de Jérusalem et le relèvement de son Temple (le « lieu d’Abraham », lieu de la « présence de Dieu », centre névralgique du culte juif, détruit par les Romains en 70). C’est ce qu’il advint à la fin des années 630. Plusieurs sources indépendantes et convergentes le décrivant ont été (re)découvertes par les chercheurs ces dernières années. Plus globalement, la découverte de sources non-musulmanes du VIIe siècle et au-delà [1] change ainsi radicalement notre compréhension des événements. On se reposait précédemment pour l’essentiel sur la tradition musulmane, mise par écrit à partir des VIII-IXe siècles et racontant l’histoire d’un prophète ayant reçu une révélation divine, le Coran, la prêchant à ses congénères de l’Arabie déserte qui partirent à sa suite conquérir glorieusement le monde et y répandre l’islam. Or, ces sources nouvelles - documents, vestiges archéologiques, pièces de monnaies… - démentent ce récit. On n’y voit pas l’émergence du nouvel État islamique unifié et centralisé par les « successeurs de Mahomet », mais des prises de pouvoir opportunistes par des chefs arabes dans les divers territoires des deux grands empires perses et byzantins épuisés par leur guerre totale achevée en 628 avec l’écrasement de la Perse. En Égypte, à Jérusalem, à Damas, en Mésopotamie, on assiste à une forme de transfert du pouvoir colonial aux nouveaux maîtres arabes, transfert facilité par le rôle qu’ils tenaient auparavant comme auxiliaires (entre autres militaires) des empires. Certes, il y eut des batailles, mais on ne trouve nulle part les vestiges d’une « conquête » (ruines, sources documentaires), et certainement pas d’une conquête menée au nom d’une religion nouvelle. Les nouveaux maîtres arabes sont d’abord vus, en effet, comme des chrétiens à la christologie plus ou moins déviante, inspirant parfois la crainte, mais s’inscrivant toujours dans la sphère perso-judéo-chrétienne du Proche Orient sur les plans civilisationnels, culturels et religieux. Ils reprennent les structures des pouvoirs impériaux, leurs fonctionnaires, leurs calendriers, leurs monnaies et les symboliques de leurs pouvoirs - monnaies frappées à l’Ouest (byzantin) de croix chrétiennes et figures impériales (a), et à l’Est (persan) des emblèmes du zoroastrisme, culte du feu, croissant et étoile, et de la figure de l’empereur (b). (b) Pièce de monnaie frappée par un gouverneur arabe en Perse (651/661), en imitation des monnaies perses sassanides : à l’avers, mention à l’empereur Yazdgard III (en pahlavi) et effigie impériale ; reprise des emblèmes zoroastriens de culte du feu sacré [en vert] (Collection David, Danemark - www.davidmus.dk/en/collections/islamic/dynasties/umayyads/coins/c1) Ils n’imposent pas l’arabe. Ils n’évoquent pas le « prophète Muhammad ». Ils ne convertissent pas à l’islam. Ils n’imposent pas de symbolique islamique. On raconte comment leurs chefs font leurs dévotions dans les églises et sanctuaires chrétiens. On retrouve même une plaque commémorative évoquant Muawiya Ier (5e calife selon la tradition musulmane) introduit par une croix chrétienne ! Inscription grecque de Gadara (Hamat Gader, au nord d’Israël) datée de 663, introduite par une croix chrétienne et mentionnant Muawiya Ier ; (Wikimedia Commons) Peut-on alors réellement parler d’islam avec ces premiers chefs arabes ? Non, même si l’on trouve déjà certains éléments que reprendra l’islam. Il faut attendre la mise en place de l’empire d’Abd al Malik, à partir de 685, et plus encore de l’empire abbasside, après 750, pour trouver les fondations de l’islam, ses textes, son prophète, sa religion, son système. mission-ismerie.com/mais-quand-donc-est-ne-lislam/
La fin du vidéo ma tellement touchée, le zikr et la prière augmentent la foi. C'est vrai. Merci beaucoup qu'Allah vous récompense
بارك الله اسلامك وثبتك على دين الحق / تحياتي لك من توتس ،
Beaucoup de savoir !
L’homme ignorant est heureux dans son ignorance
L’homme savant est malheureux dans son savoir
Merci beaucoup pour toutes ces informations que l’on ignorait
Et allah donne le savoir à des musulmans parfois pour informer les autres musulmans
Merci
Je ne saurais jamais de remercier mes parents de m'avoir nommé omar ❤
❤ baraka Allah oufik
Wa fik baraka Allah 🤲🏻
Qu Allah te récompense vraiment !!!
Amin 😃 content que l'épisode vous ait plu
Merci, qu'Allah te récompense.
Amin toi aussi mon frère 👍
صلى الله عليه وسلم
Salam Allah alykoum,
Je t’envoie ce adith car je pense que tu fais partie de ces gens qu’Allah aime et j’aime ces gens qu’Allah aime parce que c’est une évidence
Tu as réussi à nous transmettre ton amour pour Allah est c’est extraordinaire.
Je pense que tu connais ce adith mais je tenais à le partager avec toi je trouve que tu le mérites beaucoup et tu dois ça à nôtre créateur qui grâce à lui on t’aime également. Qu’Allah éclaire ton cœur🤲
adith Qudsi 24
D'après Abu Harayrah (que Dieu l'agrée), le Prophète (S.B) a dit: Si Dieu aime un serviteur [parmi les Siens], Il appelle Gabriel (Paix sur lui) et dit: J'aime untel, alors aime-le. Il (le Prophète SB) dit: Alors Gabriel l'aime. Ensuite, Il (Gabriel) appelle les gens du Paradis, en disant: Dieu aime untel, alors aimez-le. Et tous les habitants du Paradis l'aime. Il (le Prophète S.B) dit: Alors l'acceptation est établie pour lui sur terre.
Et si Dieu déteste un serviteur [parmi les Siens], Il appelle Gabriel (Paix sur lui) et dit: Je déteste untel, alors déteste-le. Il (le Prophète S.B) dit: Alors Gabriel le déteste. Ensuite, Il (Gabriel) appelle les gens du Paradis, en disant: Dieu déteste untel, alors déteste-le. Et tous les habitants du Paradis le déteste. Il (le Prophète S.B) dit: Alors le rejet est établi pour lui sur terre. Rapporté par Muslim (et par al-Bukhari, Malik, et at-Tirmidhi).
PS : si les commentaires dérangent j’efface tout.🙂
Amin ! Merci d'avoir pensé à moi pour ce dou'a ! On essaye de faire au mieux. Qu'Allah nous guide et nous donne la sincérité dans nos œuvres ! Merci encore pour ton soutien :-)
Masha Allah
Salam eleycoum
Je vous découvre aujourd'hui
Machallah pour vôtre conversation
Je m'abonne à votre chaîne .
Salam
Magnifique travail
Pourrais tu nous parler de AbdAllah Ibn zoubeyr, surtout de sa période en tant que dirigeant.
De ce que j'ai lu, il semblait être le dirigeant idéal pour le Califat et Allah oualam
Salâm soubhan Allah je voulais faire une émission sur lui. Ça va me prendre du temps car il y a beaucoup de choses à dire (Yasir Qadhi en a fait 2 épisodes) mais c'est extrêmement intéressant et assez triste aussi. J'y consacrerai le prochain épisode incha Allah car c'est un personnage trop méconnu
@@alarecherchedusavoir-chain5460
Exactement surtout que je sais pas si tu es comme moi mais idéal pour être le Calife.
C''est de choisir un gouverneur et non un système monarchique.
A l'exemple de Abu Bakr, Omar, Othman, Ali.
Même le prophète sws faisait la consultation.
Et la bay'a c'est justement pour confirmer le choix l'année précédente.
Soubhan'Allah
Oui. Une ascendance noble, un comportement noble, un homme pieux. Hélas en face de lui il avait des hommes sans vergogne qui ne craignaient pas Allah. Il mérite en effet un hommage, incha Allah j'essayerai de m'y atteler, mais avec un bébé c'est un peu compliqué maintenant 😅 qu'Allah mette sa bénédiction dans notre temps et nous permette d'accomplir un maximum de bonnes œuvres qui seront acceptées
@@alarecherchedusavoir-chain5460
Mach'Allah Allah y barak fikom
Inch'Allah tu trouveras un peu de temps
Salam Allah alykoum,
J’ai écouté toutes tes vidéos sont magnifiques ainsi que ta voix qui est très paisible mais c’est bien dommage que tu arrêtes brusquement🤔
Petite remarque si tu me le permets bien sûr, je me disais si tes vidéos sont sous-titrés en arabe je pense que tu aura plus de personnes qui t’écouterai avec plaisir car en lisant certains commentaires en arabe ces derniers demandent la traduction parce qu’ils ne comprennent pas le français étant donné ils sont restés sans réponse alors ils n’y sont plus là malheureusement
Salam Akhi 🤍
Je suis de Rouen
'aleykoum salam wa rahmatoullah wa barakatouh.
Merci pour ce gentil message qui fait très plaisir.
Que veux-tu dire par "c’est bien dommage que tu arrêtes brusquement" ?
Oui ce serait bien de sous-titrer en arabe, effectivement j'ai également vu les commentaires en question. Hélas je n'en ai pas le temps ni les capacités. En outre, sous-titrer une vidéo est un travail assez laborieux. J'ai commencé sur ma vidéo sur la dépression mais pas encore fini.
Baraka Allahou fik :-)
@@alarecherchedusavoir-chain5460 السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
Merci d’avoir répondu à mon commentaire c’est très gentil à toi
Pour la question dans ton commentaire je pa parlais des vidéos car ta dernière vidéo elle remonte à plus deux mois
C’est pour cela j’ai pensé que tu avais arrêté les vidéos
J’ai regardé pour les sous-titre et j’ai trouvé ça
Changer la langue d'une vidéo
Vous pouvez modifier la langue d'une de vos vidéos si elle n'a pas été correctement définie.
Connectez-vous à UA-cam Studio.
Dans le menu de gauche, sélectionnez Contenu.
Cliquez sur la miniature d'une vidéo.
En bas de la page, cliquez sur PLUS.
Dans la section Langue de la vidéo, sélectionnez la langue appropriée, puis cliquez sur Enregistrer.
Remarque : Si vous modifiez le paramètre de la langue originale de votre vidéo, tous les sous-titres traduits par la suite utiliseront la même langue source (cela n'aura aucune conséquence sur la version publiée et le brouillon de vos sous-titres).
Sinon tu peux regarder des vidéos sur UA-cam en cherchant comment faire les sous-titres de ma vidéo
J’en ai trouvé beaucoup de vidéo mais de préférence à toi de voir les vidéos qui explique clairement le sujet et dans certains apparemment tu fais les réglages une fois et plus besoin de le refaire à chaque fois sauf si tu ne veux pas pour une vidéo tu désactive selon toi
J’espère que je t’ai apporté des idées qui te facilite ton travail ?
J’ai oublié tu peux également chercher le sujet sur Google et si tu trouves je m’emmêle dans ton travail et que ça ne me regarde pas je te prie de m’en excuser et je ne recommence plus.
J’aime aider mes je n’aime pas déranger.
@@alarecherchedusavoir-chain5460 Salam mon frère. Je pense qu'il sous entend par "c’est bien dommage que tu arrêtes brusquement" le fait que tu ne postes plus de vidéos depuis bientôt 1 an :(
Aleykoum salam wa rahmatoullah akhi. Merci c'est gentil. Oui vu que j'ai un jeune garçon et que je dois subvenir aux besoins de ma famille, c'est plus difficile de dégager du temps. J'espère pouvoir faire de nouvelles vidéos à l'avenir bi idhni Llah. Qu'Allah nous facilite les choses à tous
@@alarecherchedusavoir-chain5460 Qu'Allah vous bénisse mon frère. Allah i sahal ljami3. Merci pour ton travail akhi l'karim.
as-salam alaikoum wa rahmatoullah, dans quelle livre as-tu trouvé les propos d'Ibn Taymiyyah sur les Omeyyades ?
Salam
Toujours pas de retour
Salam, j'ai cherché mais n'ai pas trouvé. J'ai repris les propos du Sheikh Yasir Qai
La naissance de l’empire califal
Pour le musulman comme pour l’historien, la deuxième moitié du VIIe siècle apparait comme assez nébuleuse : après la période des « califes bien guidés » selon l’expression consacrée de la tradition musulmane sunnite (« bien guidés dans l’islam »), les quatre premiers « successeurs du prophète » (Abu Bakr, Omar, Othman, Ali), cette même tradition évoque une succession de guerres fratricides entre califes, anticalifes, clans prétendant au califat (les fitna), et l’accession au pouvoir de « califes » qui ne sont donc plus, selon l’islam lui-même, des « bien guidés ».
Or, nous avions vu précédemment que, du point de vue historique, ces chefs arabes décrits par la tradition ne pouvaient être réellement qualifiés de « musulmans » au sens que donne l’islam à cette dénomination. Les sources non-musulmanes[1] qui mentionnent ces luttes entre clans n’évoquent de plus aucun « califat », aucun pouvoir centralisé avant l’avènement du « roi arabe » Muawiya Ier, en 661, fondateur de la dynastie omeyyade. Pourquoi donc se battaient ces différentes factions arabes ?
Pourquoi la fitna ?
La prise en compte du contexte apocalyptique et des attentes messianiques de cette période nous aide à comprendre : s’ajoutant aux querelles d’ambition, ce sont aussi les questions de l’établissement du « règne de Dieu », de la divinité du pouvoir qui ont nourri le jeu de concurrence politico-religieuse entre factions[2]. Les prétendants se sont affrontés en arguant de leur légitimité à régner en tant qu’auxiliaires du messie de Dieu censé établir ce règne, quand ils ne se prenaient pas eux-mêmes pour le messie (comme aurait prétendu l’être Ali, selon la tradition chiite, voire aussi Omar, que la tradition pare d’un titre messianique). Certains prétendaient régner « au nom de Dieu » comme on le voit inscrit sur leurs pièces de monnaies, régner comme intermédiaire entre Dieu et les croyants[3], régner en tant que « lieutenant de Dieu » sur terre, et donc régner comme « envoyé de Dieu », c’est à dire par le pouvoir même de Dieu.
Abd al Malik fonde le califat
La lutte fait émerger des chefs de plus en plus forts, jusqu’à l’avènement d’Abd al Malik en 685, personnage clé pour l’émergence du futur islam. Issu du clan omeyyade, il est celui qui constitue le premier et réel empire arabe[4], régnant à mesure de ses conquêtes et des défaites des autres factions sur le Levant, l’Égypte, l’Arabie et la partie occidentale de l’Empire perse. Il est le premier à se proclamer « calife », plus exactement « calife de Dieu », c’est-à-dire « lieutenant de Dieu sur terre » (et non « successeur » d’un Mahomet dont on ne trouve toujours quasiment pas de trace). En fondant le califat, il inaugure ainsi une sorte de gouvernorat de Dieu sur terre. Les temps messianiques sont donc accomplis. Il n’y a plus à attendre le retour du messie Jésus : un autre serviteur de Dieu (un autre messie ?) fait le travail à sa place.
www.numisbids.com/n.php?p=lot&sid=1937&lot=3
L’empire nouveau qui vient de se constituer s’affranchit des tutelles et influences byzantines et persanes. Abd al Malik affirme les symboles d’un pouvoir nouveau sur ses pièces de monnaies ou dans les inscriptions du Dôme du Rocher, à Jérusalem (construit autour de 692) : suppression des références chrétiennes (croix) ou zoroastriennes, condamnation claire et subordination des chrétiens et des Juifs, expression en langue arabe. Il se présente comme l’égal, ou plutôt le supérieur en tout, du nouvel empereur de Byzance, Justinien II, cet autre « lieutenant de Dieu sur terre » arrivé au pouvoir en même temps que lui, et qui tentait de restaurer la puissance romaine et l’orthodoxie de la foi chrétienne.
S’agit-il alors d’islam ? Non, pas encore : le calife tient son pouvoir de Dieu lui-même, comme en témoigne la force de ses armes, sans référence à une prophétie ou révélation divine qui le lui aurait donné. C’est cependant une étape décisive pour la constitution du futur islam. C’est d’ailleurs sous Abd al Malik que ce mot décrira pour la première fois le système politico-religieux qu’il met en place, ses affidés devenant alors les muslimun (« soumis »).mission-ismerie.com/mais-quand-donc-est-ne-lislam/
Mais quand donc est né l’islam ?
Les découvertes relatives aux origines de l’islam ont mis en évidence qu’il n’est pas vraiment né en tant que tel avec Mahomet, ni même avec la « conquête arabe ». Nous avions vu précédemment que le « Mahomet de l’histoire » prêchait bien davantage le retour imminent sur terre de Jésus, dans le contexte général des attentes apocalyptiques exacerbées du VIIe siècle. Le groupe de Mahomet semblait ainsi focaliser ses attentions sur la prise de Jérusalem et le relèvement de son Temple (le « lieu d’Abraham », lieu de la « présence de Dieu », centre névralgique du culte juif, détruit par les Romains en 70). C’est ce qu’il advint à la fin des années 630. Plusieurs sources indépendantes et convergentes le décrivant ont été (re)découvertes par les chercheurs ces dernières années.
Plus globalement, la découverte de sources non-musulmanes du VIIe siècle et au-delà [1] change ainsi radicalement notre compréhension des événements. On se reposait précédemment pour l’essentiel sur la tradition musulmane, mise par écrit à partir des VIII-IXe siècles et racontant l’histoire d’un prophète ayant reçu une révélation divine, le Coran, la prêchant à ses congénères de l’Arabie déserte qui partirent à sa suite conquérir glorieusement le monde et y répandre l’islam. Or, ces sources nouvelles - documents, vestiges archéologiques, pièces de monnaies… - démentent ce récit. On n’y voit pas l’émergence du nouvel État islamique unifié et centralisé par les « successeurs de Mahomet », mais des prises de pouvoir opportunistes par des chefs arabes dans les divers territoires des deux grands empires perses et byzantins épuisés par leur guerre totale achevée en 628 avec l’écrasement de la Perse. En Égypte, à Jérusalem, à Damas, en Mésopotamie, on assiste à une forme de transfert du pouvoir colonial aux nouveaux maîtres arabes, transfert facilité par le rôle qu’ils tenaient auparavant comme auxiliaires (entre autres militaires) des empires. Certes, il y eut des batailles, mais on ne trouve nulle part les vestiges d’une « conquête » (ruines, sources documentaires), et certainement pas d’une conquête menée au nom d’une religion nouvelle.
Les nouveaux maîtres arabes sont d’abord vus, en effet, comme des chrétiens à la christologie plus ou moins déviante, inspirant parfois la crainte, mais s’inscrivant toujours dans la sphère perso-judéo-chrétienne du Proche Orient sur les plans civilisationnels, culturels et religieux. Ils reprennent les structures des pouvoirs impériaux, leurs fonctionnaires, leurs calendriers, leurs monnaies et les symboliques de leurs pouvoirs - monnaies frappées à l’Ouest (byzantin) de croix chrétiennes et figures impériales (a), et à l’Est (persan) des emblèmes du zoroastrisme, culte du feu, croissant et étoile, et de la figure de l’empereur (b).
(b) Pièce de monnaie frappée par un gouverneur arabe en Perse (651/661), en imitation des monnaies perses sassanides : à l’avers, mention à l’empereur Yazdgard III (en pahlavi) et effigie impériale ; reprise des emblèmes zoroastriens de culte du feu sacré [en vert] (Collection David, Danemark - www.davidmus.dk/en/collections/islamic/dynasties/umayyads/coins/c1)
Ils n’imposent pas l’arabe. Ils n’évoquent pas le « prophète Muhammad ». Ils ne convertissent pas à l’islam. Ils n’imposent pas de symbolique islamique. On raconte comment leurs chefs font leurs dévotions dans les églises et sanctuaires chrétiens. On retrouve même une plaque commémorative évoquant Muawiya Ier (5e calife selon la tradition musulmane) introduit par une croix chrétienne !
Inscription grecque de Gadara (Hamat Gader, au nord d’Israël) datée de 663,
introduite par une croix chrétienne et mentionnant Muawiya Ier ; (Wikimedia Commons)
Peut-on alors réellement parler d’islam avec ces premiers chefs arabes ? Non, même si l’on trouve déjà certains éléments que reprendra l’islam. Il faut attendre la mise en place de l’empire d’Abd al Malik, à partir de 685, et plus encore de l’empire abbasside, après 750, pour trouver les fondations de l’islam, ses textes, son prophète, sa religion, son système. mission-ismerie.com/mais-quand-donc-est-ne-lislam/