Traduction mélodique de : Udem n ldzayer (Le visage de L’Algérie) Gravement malade, l'Algérie Et, ce qui la hante est Une incurable maladie Tous ses enfants croient que Les Musulmans, la rendraient Peut-être sur la voie Mais ses entrailles, affectées Par une potion maléfique Un oxyde intrinsèque Qui s'est rendu, la place, prenant Le passé, le reniant Et, ce que sa main a fait Ce jour, papiers certifiés En sérénité Au bureau, place assurée Jurant, par tous les serments Et, maire devenant Pauvre de ceux donnant leur sang Oh ! Oh ! C'est ainsi Le visage de l'Algérie Le sou donné pour les villages On se le partage En poumon, par des chats, entouré La sueur des orphelins Cherchant des pots-de-vin Aux enfants, ils ne pensent jamais Si tu parles, on va te dire Le pauvre, il délire Dans la tête, il n’a plus rien Oh, oh, c’est ainsi Le visage de l’Algérie Arbitraire dans les villages Le feu, des ravages Quand on brûlait des maisons Que de sang versé là-bas Des balles en flocons Dans chaque rue, crie une voix Tous, leur vie, ils l’ont sacrifiée S'ils avaient su cela Je doute qu'ils l'auraient accepté. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Très belle chanson, athirham rebi inchalah
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Paix à son âme leounas 😢😢😢😢😢
Tu été et vous resterez vivant dans nos coeurs
Un chanteur éternel
Cette.une.vrais.dimontion
ⵜⵉⵍⴻⵍⵍⵉ ⵉ ⵜⴰⵎⴰⵣⵖⴰ
Tilelli i Tamazɣa
إن أغاني معتوب الوناس لن تموت أبدن
La vérité a l'état brute.
Traduction mélodique de : Udem n ldzayer (Le visage de L’Algérie)
Gravement malade, l'Algérie
Et, ce qui la hante est
Une incurable maladie
Tous ses enfants croient que
Les Musulmans, la rendraient
Peut-être sur la voie
Mais ses entrailles, affectées
Par une potion maléfique
Un oxyde intrinsèque
Qui s'est rendu, la place, prenant
Le passé, le reniant
Et, ce que sa main a fait
Ce jour, papiers certifiés
En sérénité
Au bureau, place assurée
Jurant, par tous les serments
Et, maire devenant
Pauvre de ceux donnant leur sang
Oh ! Oh ! C'est ainsi
Le visage de l'Algérie
Le sou donné pour les villages
On se le partage
En poumon, par des chats, entouré
La sueur des orphelins
Cherchant des pots-de-vin
Aux enfants, ils ne pensent jamais
Si tu parles, on va te dire
Le pauvre, il délire
Dans la tête, il n’a plus rien
Oh, oh, c’est ainsi
Le visage de l’Algérie
Arbitraire dans les villages
Le feu, des ravages
Quand on brûlait des maisons
Que de sang versé là-bas
Des balles en flocons
Dans chaque rue, crie une voix
Tous, leur vie, ils l’ont sacrifiée
S'ils avaient su cela
Je doute qu'ils l'auraient accepté.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
والله اخسارة اكبيرة للفن الجزايري ربي ارحمو
J'ai pas de sons