J’aime beaucoup vos émissions Monsieur Hondelatte, et je vous écoute tous les jours. Permettez moi de vous faire quelques remarques concernant cette émission sur le Bazar de la Charité. Le ton narquois et sous-entendu critique à l’égard de la haute société qui s’est rendue au Bazar ce jour-là est, à mon avis, malvenu. Au XIXe, l’Etat - bien que radical socialiste - ne subvenait pas aux besoins de la population : pas de sécurité sociale, pas de mutuelles - et ce sont les dons de ces gens riches qui permettaient d’assurer, par les oeuvres de l’Eglise très souvent- un soutien aux démunis. Il y a des riches généreux, et des riches avares. On ne peut pas reprocher aux gens leur milieu social. Ceux-là étaient venus pour donner. Et que ce soit une occasion de mettre une jolie robe et des dentelles, hé bien pourquoi pas. Dans nos kermesses et fêtes actuelles, nous faisons la même chose à la mode d’aujourd’hui. Et pour attirer du monde, pour inciter les gens à dépenser, rien de mieux qu’une fête, où l’on joint l’utile à l’agréable. On ne peut juger la société d’alors avec nos yeux d’aujourd’hui. C’était comme cela à l’époque, et les dames qui s’occupaient de leur petit commerce charitable dans ce bazar de la charité, avaient certainement préparé tout avec soin, et voulaient bien faire pour aider les hôpitaux, les orphelinats, les déshérités de l’époque. Beaucoup sont mortes, paix à leur âme et merci pour les dons et le temps passé. Donner, c’est beau. Même quand on est riche, cela reste une générosité. C’est un peu facile de décréter que parce qu’on est riche, c’est normal et point besoin de reconnaissance. Quant au comportement et jugements « vertueux « des hommes politiques dans ces années là, et de leur indignation face au comportement de certains hommes qui auraient piétiné des femmes pour sortir, vous savez mieux que moi que dans ces cas de grand danger, la nature humaine n’est ni de droite, ni de gauche, et que certains obéissent à leurs instincts les plus basiques. C’aurait été certainement pareil si la fête de l’Humanité avait eu lieu en ce temps-là ! Je suis déçue par votre parti-pris, et le ton moqueur que vous avez employé pour critiquer une façon de vivre qui était celle de l’ epoque, et dont la gauche profitait également. En tout cas, ma déception sur ce podcast n’ira pas jusqu’à m’empêcher de vous écouter 😊
Merci beaucoup Florence pour cette mise au point. Christophe Hondelatte a, en effet, une propension au sarcasme et à la dérision lorsqu'il parle de l'Eglise, du clergé catholique ou de l'aristocratie. Cette tendance est détestable et dénote d'un esprit partial au regard des bienfaits, parfois incommensurables, dispensés par l'une et les autres.
faire la charité c'est pour les nantis jeter quelques miettes de "bienfaits" aux démunis, puis ces dispensateurs regagnent leurs confortables demeures, leur luxe, leurs luxures, leurs boulimies diverses, la conscience tranquille et le paradis assuré.
le style hondelatte c'est la faconde populiste pimentée de vulgarité de bon aloi. le crime raconté paie comptant.* * pour preuve la pléthore démissions télévisées et radiophoniques**. ** podcast est un barbarisme, un de ces innombrables vocables anglosaxons qui polluent notre langue.
Dimanche 13 octobre 2024. 🧶Le ""bonus."" RACONTE est au demeurant et à tout les mode tout les temps. (Je tu il nous vous Elles )""PARTICULIEREMENT APPRECIABLE .🟥👍🖐️
Un plaisir d'écouter c'est histoires tellement bien raconter.
Original cette narration de victimes du à un incendie, ça change des homicides quoique les deux soit intéressant 👍
J’aime beaucoup vos émissions Monsieur Hondelatte, et je vous écoute tous les jours.
Permettez moi de vous faire quelques remarques concernant cette émission sur le Bazar de la Charité.
Le ton narquois et sous-entendu critique à l’égard de la haute société qui s’est rendue au Bazar ce jour-là est, à mon avis, malvenu.
Au XIXe, l’Etat - bien que radical socialiste - ne subvenait pas aux besoins de la population : pas de sécurité sociale, pas de mutuelles - et ce sont les dons de ces gens riches qui permettaient d’assurer, par les oeuvres de l’Eglise très souvent- un soutien aux démunis. Il y a des riches généreux, et des riches avares. On ne peut pas reprocher aux gens leur milieu social. Ceux-là étaient venus pour donner. Et que ce soit une occasion de mettre une jolie robe et des dentelles, hé bien pourquoi pas.
Dans nos kermesses et fêtes actuelles, nous faisons la même chose à la mode d’aujourd’hui. Et pour attirer du monde, pour inciter les gens à dépenser, rien de mieux qu’une fête, où l’on joint l’utile à l’agréable. On ne peut juger la société d’alors avec nos yeux d’aujourd’hui. C’était comme cela à l’époque, et les dames qui s’occupaient de leur petit commerce charitable dans ce bazar de la charité, avaient certainement préparé tout avec soin, et voulaient bien faire pour aider les hôpitaux, les orphelinats, les déshérités de l’époque. Beaucoup sont mortes, paix à leur âme et merci pour les dons et le temps passé. Donner, c’est beau. Même quand on est riche, cela reste une générosité.
C’est un peu facile de décréter que parce qu’on est riche, c’est normal et point besoin de reconnaissance.
Quant au comportement et jugements « vertueux « des hommes politiques dans ces années là, et de leur indignation face au comportement de certains hommes qui auraient piétiné des femmes pour sortir, vous savez mieux que moi que dans ces cas de grand danger, la nature humaine n’est ni de droite, ni de gauche, et que certains obéissent à leurs instincts les plus basiques. C’aurait été certainement pareil si la fête de l’Humanité avait eu lieu en ce temps-là !
Je suis déçue par votre parti-pris, et le ton moqueur que vous avez employé pour critiquer une façon de vivre qui était celle de l’ epoque, et dont la gauche profitait également.
En tout cas, ma déception sur ce podcast n’ira pas jusqu’à m’empêcher de vous écouter 😊
Merci beaucoup Florence pour cette mise au point. Christophe Hondelatte a, en effet, une propension au sarcasme et à la dérision lorsqu'il parle de l'Eglise, du clergé catholique ou de l'aristocratie. Cette tendance est détestable et dénote d'un esprit partial au regard des bienfaits, parfois incommensurables, dispensés par l'une et les autres.
faire la charité c'est pour les nantis jeter quelques miettes de "bienfaits" aux démunis, puis ces dispensateurs regagnent
leurs confortables demeures, leur luxe, leurs luxures, leurs boulimies diverses, la conscience tranquille et le paradis assuré.
le style hondelatte c'est la faconde populiste pimentée de vulgarité de bon aloi. le crime raconté paie comptant.*
* pour preuve la pléthore démissions télévisées et radiophoniques**.
** podcast est un barbarisme, un de ces innombrables vocables anglosaxons qui polluent notre langue.
Peut être mais de nos jours des nantis ne jettent même pas de miettes...
@@jean-lucb565 des paradisiaques en enfer par le truchement d'un bazar c'est certes une manifestation de la providence.
❤❤❤❤❤❤
Et 70 ans après le drame du 5/7.
Très triste
Bien narré M. Hondelatte.
Rectification cependant : la Fraternité Saint-Pie X n’est pas « intégriste », elle est simplement catholique.
"les intégristes de la fraternité ST PIE X" ^^... pourquoi pas les coupeurs de tête de la fraternité tant que t' y es !
ce genre de fraternité ça coupe surtout l'appétit.
un drame affreux : les boyaux charitables piétinés par les escarpins donateurs.
Dimanche 13 octobre 2024.
🧶Le ""bonus."" RACONTE est au demeurant et à tout les mode tout les temps. (Je tu il nous vous Elles )""PARTICULIEREMENT APPRECIABLE .🟥👍🖐️