Les événements contemporains continuent de se dérouler (élections, terrorisme, conflits de toutes sortes, etc.) mais sans un Baudrillard pour les commenter, ils ont perdu toute épaisseur.
Ah ah, un badiouiste. On comprend que ceux qui ne croient qu'à l'économisme et à la lutte armée ne puissent ni aimer ni comprendre Baudrillard. C'est bon signe.
L'économisme et la lutte armée... ? Ah, bon. J'aurais bien voulu aimer Baudrillard, mais pour le moment c'est extrêmement décevant de découvrir ce verbiage vain, de le voir s'accrocher à quelques formules toutes faites pour faire un effet quand il n'a rien à dire, histoire de donner à ses ouailles un petit frisson de dégoût ou de peur avec quelques mots-repoussoirs : "la société Américaine, c'est... Disneyland, d'accord", "je trouvais tout ça... réalisé, _hyper-réalisé_, l'hyper-réalité américaine..." "tous ces termes-là, démocratie, droits de l'homme, il faut bien voir que, euh... on est instrumentalisés". OK. Le degré zéro de l'analyse, ça ne risque pas d'empêcher ses adversaires de dormir. Il propose quelque chose ? Purement et simplement de choisir "le Mal", quel qu'il soit, pour s'opposer à un empire du mal qui se réclame du "Bien". Il adhère complètement au système de référence qu'il prétend critiquer. Champion du monde du raisonnement fallacieux. C'est sa posture désabusée et nihiliste, il ne propose rien.
Il ne propose pas de "choisir" le Mal, mais d'en avoir l'intelligence. "Nihiliste" ? Mais en effet, il ne propose pas de solution politique, contrairement aux démagogues, de quelque bord politique soient-ils. C'est un penseur, pas un séducteur de foules. Si vous voulez connaître la pensée de Baudrillard, tournez-vous plutôt vers ses livres, pas vers des interviews à des télévisions serbes... Ses entretiens écrits sont déjà nettement plus construits et précis.
Les événements contemporains continuent de se dérouler (élections, terrorisme, conflits de toutes sortes, etc.) mais sans un Baudrillard pour les commenter, ils ont perdu toute épaisseur.
Génie.
Please, translate in: English or español!!
Auto-translate into English doesn't cut the mustard for this one. I need to learn french!
Curé mondain.
Retournez lire Michel Onfray.
S'il fallait vraiment jouer ce jeu-là, plutôt Père du désert pour J.B.
Ah ah, un badiouiste. On comprend que ceux qui ne croient qu'à l'économisme et à la lutte armée ne puissent ni aimer ni comprendre Baudrillard. C'est bon signe.
L'économisme et la lutte armée... ? Ah, bon.
J'aurais bien voulu aimer Baudrillard, mais pour le moment c'est extrêmement décevant de découvrir ce verbiage vain, de le voir s'accrocher à quelques formules toutes faites pour faire un effet quand il n'a rien à dire, histoire de donner à ses ouailles un petit frisson de dégoût ou de peur avec quelques mots-repoussoirs : "la société Américaine, c'est... Disneyland, d'accord", "je trouvais tout ça... réalisé, _hyper-réalisé_, l'hyper-réalité américaine..." "tous ces termes-là, démocratie, droits de l'homme, il faut bien voir que, euh... on est instrumentalisés". OK. Le degré zéro de l'analyse, ça ne risque pas d'empêcher ses adversaires de dormir.
Il propose quelque chose ? Purement et simplement de choisir "le Mal", quel qu'il soit, pour s'opposer à un empire du mal qui se réclame du "Bien". Il adhère complètement au système de référence qu'il prétend critiquer. Champion du monde du raisonnement fallacieux. C'est sa posture désabusée et nihiliste, il ne propose rien.
Il ne propose pas de "choisir" le Mal, mais d'en avoir l'intelligence. "Nihiliste" ? Mais en effet, il ne propose pas de solution politique, contrairement aux démagogues, de quelque bord politique soient-ils. C'est un penseur, pas un séducteur de foules. Si vous voulez connaître la pensée de Baudrillard, tournez-vous plutôt vers ses livres, pas vers des interviews à des télévisions serbes... Ses entretiens écrits sont déjà nettement plus construits et précis.
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