Tout d’abords, un grand merci aux chercheurs qui montrent les contraintes croissantes que représente l’élevage des abeilles mellifères en Europe et qui tentent d’apporter leur contribution pour ouvrir des voies d’avenir. En effet, nous avons fait le constat depuis le début des années 2000 que l’environnement dans lequel évolue nos abeilles change, en particulier dû au réchauffement climatique, qui allonge la présence de couvain dans les colonies, mais également les pollutions atmosphériques, agricoles et les « défauts d’efficacité récurrents » des traitements acaricides de synthèse. Cependant, nous regrettons que le projet de recherche Innov’api omette totalement les recherches et les solutions telles que le Varroa Controller qui proposent un traitement biotechnique efficace qui tue 97% du varroa présent en reproduction dans le couvain operculé sans lui porter atteinte. Votre présentation le montre, la majorité du varroa se situe dans le couvain en saison ! Pourquoi tuer le couvain d’abeille quand il existe des solutions non chimiques et non létales pour le traiter ? Et non Monsieur Bouetard, il est faux de promouvoir la destruction de couvain comme compatible avec l’agriculture biologique ce n’est pas autorisé par le cahier des charges. Nous proposons avec le Varroa Controller, une méthode de lutte par hyperthermie qui évitera un « griffage traumatisant pour l’apiculteur » comme l’indique l’apiculteur qui a expérimenté ces techniques. Nous préférons traiter le couvain operculé par hyperthermie (même pendant les miellées) et le rendre à la colonie, ce qui permet de garder son dynamisme, d’éviter des surcoûts de nourrissement, de faire des essaims indemnes de varroa sans risque d’effondrement, tout un réduisant l’exposition aux acides organiques des abeilles qui sont en meilleure santé.
Tout d’abords, un grand merci aux chercheurs qui montrent les contraintes croissantes que représente l’élevage des abeilles mellifères en Europe et qui tentent d’apporter leur contribution pour ouvrir des voies d’avenir. En effet, nous avons fait le constat depuis le début des années 2000 que l’environnement dans lequel évolue nos abeilles change, en particulier dû au réchauffement climatique, qui allonge la présence de couvain dans les colonies, mais également les pollutions atmosphériques, agricoles et les « défauts d’efficacité récurrents » des traitements acaricides de synthèse.
Cependant, nous regrettons que le projet de recherche Innov’api omette totalement les recherches et les solutions telles que le Varroa Controller qui proposent un traitement biotechnique efficace qui tue 97% du varroa présent en reproduction dans le couvain operculé sans lui porter atteinte. Votre présentation le montre, la majorité du varroa se situe dans le couvain en saison ! Pourquoi tuer le couvain d’abeille quand il existe des solutions non chimiques et non létales pour le traiter ? Et non Monsieur Bouetard, il est faux de promouvoir la destruction de couvain comme compatible avec l’agriculture biologique ce n’est pas autorisé par le cahier des charges.
Nous proposons avec le Varroa Controller, une méthode de lutte par hyperthermie qui évitera un « griffage traumatisant pour l’apiculteur » comme l’indique l’apiculteur qui a expérimenté ces techniques. Nous préférons traiter le couvain operculé par hyperthermie (même pendant les miellées) et le rendre à la colonie, ce qui permet de garder son dynamisme, d’éviter des surcoûts de nourrissement, de faire des essaims indemnes de varroa sans risque d’effondrement, tout un réduisant l’exposition aux acides organiques des abeilles qui sont en meilleure santé.