Passionnant et très argumenté. Un travail sérieux loin de tous les délires mystico-religieux habituels. Très intéressant le passage du culte des ancêtres (chaque statue représentant un ancêtre d'une famille avec lequel on a besoin de dialoguer) au culte d'une divinité permettant d'unifier la société par une même croyance, conséquence d'un accroissement de la population. Seul point faible et de taille : il n'explique pas comment ont été transportées les statues de plateforme. Il démoli la thèse de la marche des statues ainsi que celle du transport couchées sur des rondins, mais ne fournit aucune explication. Bizarre. Or, c'est justement le transport des statues qui reste un mystère. A suivre...
Je ne trouve pas que l'absence d'explication sur le transport des statues soit bizarre, je préfère quelqu'un qui ne sait pas et ne dit rien, ça plutôt rare, à quelqu'un qui ne sait pas mais d'une une explication bidon pour dire "voilà, j'ai résolu le mystère, en fait c'était très simple".
Dommage qu'on ne nous montre qu’incidemment les diapo projetées !!! Peut-être ont-elles un intérêt puisque le conférencier les montre et s’appuie dessus pendant qu'on ne filme que sa barbiche. Dommage d'être aussi peu profeccionnel.
sa critique de l'hypothèse de la "marche" des Moaï est particulièrement maigre. - à 28:57 il examine un dallage et conclu qu'il n'est pas assez bon pour faire marcher un Moaï dessus. Hors il se base sur l'aspect contemporain du dallage, c'est absurde : le sol a eu tout le temps de se déformer ! - à 27:10 il juge la légende locale qui dit que les Moaïs marchaient : "ça veut pas dire qu'ils marchaient, [..] ça veut dire que c'était des esprit, une puissance symbolique [...] et les 2 chercheurs ont pris ça au pieds de la lettre." -> cela semble s'accorder justement très bien avec les faits qu'il présente plus loin : peut-être que les statues étaient régulièrement changées d'emplacement, peu importe la technique de déplacement. - à 28:02 il plaint rapidement les membres des équipes tirant sur les cordes pour faire marcher les statues, en disant qu'il devaient se faire mal aux pieds parce qu'il y a plein de cailloux au sol de l'île de Paques. C'est faire presque insulte aux capacités des peuples historiques, et plus généralement aux capacités humaines ! Cette idée transporte presque avec elle le mythe du bon sauvage nu sur son île et incapable de faire quoi que ce soit pour modifier son environnement. (idée qui pourtant est allègrement opposée lorsqu'il s'agit de dire que les Rapa Nui ont déforesté idiotement toute leur île). - à 28:14 : il dit que la tête d'un Moaï ne peut très certainement pas résister aux "chocs" donnés pour tirer la statue. Justement, le principe est de ne pas donner de chocs, mais d'utiliser l'inertie du basculement pour tirer juste au moment où il faut. D'une pour avoir à faire le moins d'efforts possibles, et de deux, pour induire le mouvement. D'un point de vue résistance structurelle, lorsqu'un élément est en rotation sur sa base, un effort de traction à sa tête n'induit strictement aucun moment de flexion susceptible de créer des contraintes allant jusqu'à la rupture. Il y a juste un effort tranchant exercé, et ce type d'effort, dans le domaine de la résistance des matériaux, n'est généralement pas susceptible d'induire des ruptures, surtout pour la structure qu'on étudie ici. C'est sans doute pour ça que les membre de l'expérience ont négligé ce risque d'arrachage de la tête, et ont demandé à Nicolas Cauwe de prouver ses dires car c'est à lui qu'incombe la charge de l'administration de la preuve. Mais le poids propre et la fragilité du matériau est en effet quelque chose qui pourrait être étudié plus en détails.
Reste donc à démontrer qu'elles aient ainsi marché avec des statuts en tuf. Avec du béton (et encore plus armé) de résistance et de densité différentes ça ne démontre rien. Du moins pour moi dont on exigeait - dans ma profession - de vrais expériences pour être publié. Maintenant, pour le bruit sur le web, c'est une autre histoire !!
C'est bien à celui qui affirme une possibilité de démontrer cette possibilité. Ils ont démontré la possibilité de marche pour un bloc de béton armé sur le sol plat de Hawaï. Nicolas Cauwe leur demande d'alller au bout de leur démonstration en prouvant la faisabilité dans les conditions réelles : un bloc de tuf sur le sol vallonné de l'Île de Pâques.
Des " rouines " ? Ah ah ah ... Encore une bonne histoire belge. Tous les quatre matins, un américain, un australien ou même un belge, arpente Rapa Nui quelques jours, creuse ici où là puis il s'écrie " Eurêka !! ". Il a trouvé la solution et s'empresse de dénigrer les précédentes thèses. Il a tout compris lui et il le prouve avec ... avec rien d'autre qu'une nouvelle hypothèse. Bien sûr il écrit en toute hâte un énième bouquin ou organise une grande tournée de conférences avec un joli diaporama, pour éclairer le monde de ses certitudes. Ca amuse beaucoup les autochtones, beaucoup plus humbles avec leur propre histoire dont les mêmes "blancs-becs" les ont ignominieusement dépossédés. Ils ont apporté l'esclavage, les maladies, la colonisation, la mort et l'oubli. On dirait que depuis ils essaient vainement de réparer en réinventant leur histoire, faute des écrits (tablettes) qu'ils ont consciencieusement brûlés. Pathétique et prétentieux. C'est Eri, une guide descendante des survivants, qui m'a raconté tout ça, lors d'un séjour sur l'île. Si vous allez à Rapa Nui demandez-la, elle vous resituera les choses à leur vraie place et les beaux discours des "savants" au rang de billevesées.
Nicolas Cauwe its a not very smart person and also not good professional, he its ignore alot of serious other research in the island.. so he is talking about something he didn't know, just to be invited to this talk show, they make money with this.. 🤦♂️
L'ahu Akivi est beaucoup plus à l'ouest qu'au centre, et c'est précisément cet ahu qui est orienté au soleil couchant de l'équinoxe. La question reste donc posée, le dialogue entre morts et vivants étant une interprétation.
Les statues de l'île de Pâques viennent d'Afrique du sud, elles ont dérivé au grand déluge universel. C'est le savant du nord Fernand Crombette, qui a découvert l'origine et la signification des statues, durant le XXè s.. Elles représentent les patriarches antédiluviens, et leur emplacement d'origine, face à la mer, au débouché d'un fleuve du continent unique, était prévu pour les marins pêcheurs.. Les diamants d'afrique du sud ont permis certains menus travaux de la pierre. L'étude complète est publiée au CESHE, linguistique, géographie antique, sciences et techniques... "Essai de géographie divine" Tome IV Ile de Pâques, ceshe.fr
Pas vraiment dérivées , mais la Lémurie , continent existant avant le déluge , entre Madagascar et le Sri Lanka , peut être ,il y avait ces mêmes statut , là c'est Mu , continent du Pacifique . Et pour Billy Eduard Meier ce sont ,c'est .. une trace laissée par Viracocha , des bâtisseurs / et qui ne supportaient pas l'atmosphère et autres de la terre (alors avant ,ou après le déluge !!(???)
Ça me rappelle Raymond Roussel Impressions d'Afrique édité en 1909, ce qui nous rajeunit pas, un livre que je recommande aux passionnés de littérature d'avant garde.
@@lerondthierry3505 , j'aurais dû mettre les aspets batymétriques, de l'énorme travail de Crombette, suite aux expéditions du Glomar challenger, sondage sonar des océans, et travail sur les niveaux immergés des bordures de plateaux continentales.
Ehhhhh une interprétation alors que vous ne maîtrisez pas la culture polynésienne par rapport aux ancêtres.... Un peu trop simpliste avec une vision occidentale toujours qui fait défaut à l'archéologie officielle alalalalalalaa 🤔🤔🤔🧐🧐
Il faut reconnaître tout de même que pour une fois on a une analyse des statues qui prend en compte leur matériau. Et quand on connaît le tuf, imaginer que ces statues ont été abattues violemment comme les études précédentes le supposaient n'a effectivement aucun sens. Les visages devraient êtres fortement endommagés par le choc avec les galets du sol. L'hypothèse d'une dépose en douceur est beaucoup plus crédible que celle d'une action violente. Par contre il n'apporte aucune explication sur la manière de déplacer ces statues et je trouve que sa manière d'affirmer que la technique de marche est totalement impossible est un peu trop péremptoire. J'aurais aimé un discours plus mesuré en émettant simplement des réserves dans l'attente d'une démonstration plus réaliste avec du tuf ou un matériau similaire sur sol accidenté. Au moins ces aspects ne sont pas culturels mais purement mécaniques. On ne peut pas rejeter son travail sur ces points sous prétexte qu'il n'a pas une bonne connaissance de la culture locale.
Très très intéressant ! J'ai tout regardé/écouter avec une grande oreille bien attentive ! Bravo et Merci Monsieur Cauwe!
Une conférence qui donne matière à réfléchir, merci beaucoup!
Un grand merci pour cette intervention ..et vos éclaircissements , Monsieur Cauwe ., passionnant . !!!
ça fait un peu moins rêver quand on nous explique la réalité des faits mais Très intéressant merci
Passionnant et très argumenté. Un travail sérieux loin de tous les délires mystico-religieux habituels. Très intéressant le passage du culte des ancêtres (chaque statue représentant un ancêtre d'une famille avec lequel on a besoin de dialoguer) au culte d'une divinité permettant d'unifier la société par une même croyance, conséquence d'un accroissement de la population. Seul point faible et de taille : il n'explique pas comment ont été transportées les statues de plateforme. Il démoli la thèse de la marche des statues ainsi que celle du transport couchées sur des rondins, mais ne fournit aucune explication. Bizarre. Or, c'est justement le transport des statues qui reste un mystère. A suivre...
Je ne trouve pas que l'absence d'explication sur le transport des statues soit bizarre, je préfère quelqu'un qui ne sait pas et ne dit rien, ça plutôt rare, à quelqu'un qui ne sait pas mais d'une une explication bidon pour dire "voilà, j'ai résolu le mystère, en fait c'était très simple".
MERCI Mr pour avoir rétabli ces réalités !
Dommage qu'on ne nous montre qu’incidemment les diapo projetées !!! Peut-être ont-elles un intérêt puisque le conférencier les montre et s’appuie dessus pendant qu'on ne filme que sa barbiche.
Dommage d'être aussi peu profeccionnel.
Professionnel *
@@user-tp1pl9cr3t Excusez cette faute de frappe étrange SVP !
Exact, c'est très désagréable d'entendre des explication sur une diapo en regardant le conférencier s'agiter. J'ai tenu 20 minutes avant de zapper.
Très intéressant !
Comme on dit à Rapa Nui
"Muy interesante.......poco probable"
Oui, à Rapa Nui on a des touristes à faire venir, comme au Loch Ness.
sa critique de l'hypothèse de la "marche" des Moaï est particulièrement maigre.
- à 28:57 il examine un dallage et conclu qu'il n'est pas assez bon pour faire marcher un Moaï dessus. Hors il se base sur l'aspect contemporain du dallage, c'est absurde : le sol a eu tout le temps de se déformer !
- à 27:10 il juge la légende locale qui dit que les Moaïs marchaient : "ça veut pas dire qu'ils marchaient, [..] ça veut dire que c'était des esprit, une puissance symbolique [...] et les 2 chercheurs ont pris ça au pieds de la lettre." -> cela semble s'accorder justement très bien avec les faits qu'il présente plus loin : peut-être que les statues étaient régulièrement changées d'emplacement, peu importe la technique de déplacement.
- à 28:02 il plaint rapidement les membres des équipes tirant sur les cordes pour faire marcher les statues, en disant qu'il devaient se faire mal aux pieds parce qu'il y a plein de cailloux au sol de l'île de Paques. C'est faire presque insulte aux capacités des peuples historiques, et plus généralement aux capacités humaines ! Cette idée transporte presque avec elle le mythe du bon sauvage nu sur son île et incapable de faire quoi que ce soit pour modifier son environnement. (idée qui pourtant est allègrement opposée lorsqu'il s'agit de dire que les Rapa Nui ont déforesté idiotement toute leur île).
- à 28:14 : il dit que la tête d'un Moaï ne peut très certainement pas résister aux "chocs" donnés pour tirer la statue. Justement, le principe est de ne pas donner de chocs, mais d'utiliser l'inertie du basculement pour tirer juste au moment où il faut. D'une pour avoir à faire le moins d'efforts possibles, et de deux, pour induire le mouvement.
D'un point de vue résistance structurelle, lorsqu'un élément est en rotation sur sa base, un effort de traction à sa tête n'induit strictement aucun moment de flexion susceptible de créer des contraintes allant jusqu'à la rupture. Il y a juste un effort tranchant exercé, et ce type d'effort, dans le domaine de la résistance des matériaux, n'est généralement pas susceptible d'induire des ruptures, surtout pour la structure qu'on étudie ici. C'est sans doute pour ça que les membre de l'expérience ont négligé ce risque d'arrachage de la tête, et ont demandé à Nicolas Cauwe de prouver ses dires car c'est à lui qu'incombe la charge de l'administration de la preuve.
Mais le poids propre et la fragilité du matériau est en effet quelque chose qui pourrait être étudié plus en détails.
Reste donc à démontrer qu'elles aient ainsi marché avec des statuts en tuf. Avec du béton (et encore plus armé) de résistance et de densité différentes ça ne démontre rien. Du moins pour moi dont on exigeait - dans ma profession - de vrais expériences pour être publié. Maintenant, pour le bruit sur le web, c'est une autre histoire !!
C'est bien à celui qui affirme une possibilité de démontrer cette possibilité. Ils ont démontré la possibilité de marche pour un bloc de béton armé sur le sol plat de Hawaï. Nicolas Cauwe leur demande d'alller au bout de leur démonstration en prouvant la faisabilité dans les conditions réelles : un bloc de tuf sur le sol vallonné de l'Île de Pâques.
Concernant les langues..... Les contacts avec les peuples d'Amérique sont avérés car des mots et beaucoup de choses aussi......
Ca c'est de la science !
Merci.
faire marcher les statues ? cela me semble imposible !surtout sur chemin pavé sinegalement ?
La solution du mystère de l'île de Pâques a été donnée par Fernand Crombette dan son Essai de géographie divine (notamment dans le Tome IV-A).
Nicolas, t'es génial ! ;o)
Des " rouines " ? Ah ah ah ... Encore une bonne histoire belge.
Tous les quatre matins, un américain, un australien ou même un belge, arpente Rapa Nui quelques jours, creuse ici où là puis il s'écrie " Eurêka !! ". Il a trouvé la solution et s'empresse de dénigrer les précédentes thèses. Il a tout compris lui et il le prouve avec ... avec rien d'autre qu'une nouvelle hypothèse. Bien sûr il écrit en toute hâte un énième bouquin ou organise une grande tournée de conférences avec un joli diaporama, pour éclairer le monde de ses certitudes.
Ca amuse beaucoup les autochtones, beaucoup plus humbles avec leur propre histoire dont les mêmes "blancs-becs" les ont ignominieusement dépossédés. Ils ont apporté l'esclavage, les maladies, la colonisation, la mort et l'oubli. On dirait que depuis ils essaient vainement de réparer en réinventant leur histoire, faute des écrits (tablettes) qu'ils ont consciencieusement brûlés.
Pathétique et prétentieux.
C'est Eri, une guide descendante des survivants, qui m'a raconté tout ça, lors d'un séjour sur l'île. Si vous allez à Rapa Nui demandez-la, elle vous resituera les choses à leur vraie place et les beaux discours des "savants" au rang de billevesées.
Nicolas Cauwe its a not very smart person and also not good professional, he its ignore alot of serious other research in the island.. so he is talking about something he didn't know, just to be invited to this talk show, they make money with this.. 🤦♂️
les tablettes rongo existent dans les collections chiliennes & européennes & même sur place au petit musée de l'ile
intéressant, mais la réalisation est dégueulasse
L'ahu Akivi est beaucoup plus à l'ouest qu'au centre, et c'est précisément cet ahu qui est orienté au soleil couchant de l'équinoxe. La question reste donc posée, le dialogue entre morts et vivants étant une interprétation.
False... 🤦♂️
Et que dire du mur pré-Inca ...il n'existe pas ...
Les statues de l'île de Pâques viennent d'Afrique du sud, elles ont dérivé au grand déluge universel. C'est le savant du nord Fernand Crombette, qui a découvert l'origine et la signification des statues, durant le XXè s.. Elles représentent les patriarches antédiluviens, et leur emplacement d'origine, face à la mer, au débouché d'un fleuve du continent unique, était prévu pour les marins pêcheurs.. Les diamants d'afrique du sud ont permis certains menus travaux de la pierre.
L'étude complète est publiée au CESHE, linguistique, géographie antique, sciences et techniques...
"Essai de géographie divine" Tome IV Ile de Pâques, ceshe.fr
Ben zut alors !
Pas vraiment dérivées , mais la Lémurie , continent existant avant le déluge , entre Madagascar et le Sri Lanka , peut être ,il y avait ces mêmes statut , là c'est Mu , continent du Pacifique . Et pour Billy Eduard Meier ce sont ,c'est .. une trace laissée par Viracocha , des bâtisseurs / et qui ne supportaient pas l'atmosphère et autres de la terre (alors avant ,ou après le déluge !!(???)
Ça me rappelle Raymond Roussel Impressions d'Afrique édité en 1909, ce qui nous rajeunit pas, un livre que je recommande aux passionnés de littérature d'avant garde.
😂😂😂😂😂
@@lerondthierry3505 , j'aurais dû mettre les aspets batymétriques, de l'énorme travail de Crombette, suite aux expéditions du Glomar challenger, sondage sonar des océans, et travail sur les niveaux immergés des bordures de plateaux continentales.
ya du vrai ya du faux, interressant
Vous êtes scientifique ?
@@danielerubino5355peut-être, peut-être pas 😂
Ehhhhh une interprétation alors que vous ne maîtrisez pas la culture polynésienne par rapport aux ancêtres.... Un peu trop simpliste avec une vision occidentale toujours qui fait défaut à l'archéologie officielle alalalalalalaa 🤔🤔🤔🧐🧐
quelle est votre proposition ?
Il faut reconnaître tout de même que pour une fois on a une analyse des statues qui prend en compte leur matériau. Et quand on connaît le tuf, imaginer que ces statues ont été abattues violemment comme les études précédentes le supposaient n'a effectivement aucun sens. Les visages devraient êtres fortement endommagés par le choc avec les galets du sol. L'hypothèse d'une dépose en douceur est beaucoup plus crédible que celle d'une action violente.
Par contre il n'apporte aucune explication sur la manière de déplacer ces statues et je trouve que sa manière d'affirmer que la technique de marche est totalement impossible est un peu trop péremptoire. J'aurais aimé un discours plus mesuré en émettant simplement des réserves dans l'attente d'une démonstration plus réaliste avec du tuf ou un matériau similaire sur sol accidenté.
Au moins ces aspects ne sont pas culturels mais purement mécaniques. On ne peut pas rejeter son travail sur ces points sous prétexte qu'il n'a pas une bonne connaissance de la culture locale.