free ~ Luidji x Nelick type beat "persiste"

138bpm gmin bien bouncy les amis
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[@sarahmelodie4166]

Ma ville est noir, ma ville est sale, ma ville est fake, ma ville est fade,
Ma ville est belle mais ma ville est sad,
Mais je l’aime car je suis noyée dans ses bads.
Ici tous esclaves d’une ptn de comédie,
Ou tout le monde fait sa loi
Rend des vies maudites
Tous se croient parfaits
Car tous jugent à en jouir
Tous se sucent pour monter de grade
Atteints de la maladie de « qui regarde »
Tous vendu leur ame pour l’avis d’Instagram,
Mais tous finis en larmes quand sur eux on parle
Ma ville est fait d’un monde de manicure et mélodrame.
Des habitants abrutis depuis la nuit des time,
Se croient tous différents pourtant sont tous les mêmes,
Et sa vaut pour les collégiens jusqu’au 50taine.
D’autres sont restés gamins depuis le passé,
Toujours des choses à dire sur tout ce que tu fais,
Mais se regardent pas dans leur reflet avant de s’en tacher.
J’ai grandis une ville, ou y avait que des enculés,
Des enfants maudits par leur parents qui sont thunés
Je les ai tous vu grandir, mais rien de miraculé,
Je suis déçu de comment tous ne font que reculé,
Le matin ils se lèvent pour aller se faire du mal
Personne n’est sois même, tout le monde est animal,
Trop de mental faible, gaspiller avec le time,
Je me rappelle du début du film y avait déjà la faille,
Quand j’étais qu’une inconnu avant d’être capturé à vie,
Dans les griffes de ma ville, j’ai longtemps perdu le smile
Le temps est passé vite, mais ma vie jamais n’oublie,
Les gens passent et vite mais pour toujours détruit,
Un jour j’étais Sarah et j’ai choisis Mélodie.
Je connais tout ses secrets, je connais tout ses produits,
Ici rien n’est pour la gloire, plutôt que du désespoir,
Entre des hommes en chiens, et des femmes perdu dans le noir,
Peu importante le niveau, l’age ou l’endroit
Ici tout le monde est dans le même panier, même ceux qui ont la foi,
Ma ville la nuit est dangereuse
Ma ville la nuit est cauchemard
Marginale vie, des plus heureuses
Se libèrent comme des cannibales
Ma ville ma vie sans etre mon choix
La capitale de mon pays mais aussi
La capitale raison de qui je suis
Ma ville grandit avec des prostitués,
Tous constitué pour tirer profit et interet
Ma ville a mis au monde la fée en moi qui brille mais que la nuit,
La fée qui bat de ses ailes, et qui fait parler des villes,
Ma ville c’est mon devil, mon encyclopédie,
Ma ville c’est mon école, ma ville c’est mon amie,
Mais ma ville souvent déconne a cause de tout ses parasytes,
Ma ville est morte en vérité, ma ville n’est qu’un ptn de zombie,
Dedans c’est de la survie c’est loin de ce qu’est la vie,
Le président refait sa vie sans demander nos avis,
Mais à côté il la decore pour montrer signe de vie
Même ses batiments sont fait pour le paraître, pendant que derrière des pyramides de déchets.
Ma ville est fausse jusqu’au bout des doigts, alors automatiquement les humains aussi.
Ma ville me fou la haine depuis la 6è
Je suis née ici mais je me suis faite ailleurs
Oui du côté de l’Est, sous la pluie et la chaleur,
Ma ville enft n’est pas ma ville,
Ma ville est une erreur,
Mais ma ville ma vrai,
La ville de mon coeur
Elle, était paradis, liberté et honneur,
Elle était censée être ma vie
C’était écrit, ma destinée c’était elle
Mais la vie m’a rappelé vite que le monde est juste cruel,
J’avais même le pouvoir de me voir dans l’avenir
Tellement je connaissais le moindre des ses formes,
Chez elle je me sentais vivre loin d’eux, des iphone
La mer était ma mère et mes potes étaient la paix,
On était de toutes les couleurs,
On était de toutes les pensées,
On était tous vrai de peau, d’ame et défait
Des autres mondes,qui dans le gris,
Grandissait dans des carrés
Condamné à être les futurs destructeurs de ceux qui devaient réparer.
Je suis victime de ce processus
Qu’à eu ma vie a tout jamais
J’ai longtemps eu des idées sombre
J’ai longtemps eu des envies de tirer
J’ai longtemps pensé à ma ville
Car la vraie hantait mes pensées,
Mon corps y était plus mais mon ame y était ancré,
A cette vie toute faite, que jamais j’ai pu rencontrer
A cette autre tête de moi qui aurait pu contrer,
A cette réussite qu’un jour j’ai eu de l’autre côté
A cette fille des iles atypiques et si recentrer.