Cette intervention est incroyable. Au terme d'une éloquence et d'une rhétorique apparemment très bien maitrisées, un peu matinées c'est vrai de moqueries inopportunes sur les contradicteurs les plus identifiés de Monsieur Bencheikh , on aboutit à la vacuité de la forme et on abandonne le point du match aux arguments "adverses". Donc l'islam pourrait être bien, mais il est au fond du trou. Il faut revoir le rapport à la science, le rapport aux femmes et on ne peut pas continuer comme ça. Il faut tout revoir, mais personne ne veut et personne ne nous aidera, ni d'ici ni de l'étranger. Il n'y a pas de communautarisme parce que les imams turcs n'aiment pas les imams marocains et parce que le camp des "contre" la démocratie est divisé !! Voilà de l'argument !!! Franchement l'islam n'a pas besoin de Monsieur Finkielkraut comme procureur, monsieur Bencheikh lui met le compte tout seul. On se moque du procureur dans un baroud d'honneur avant de lui donner raison. Jusqu'au visionnage de cette intervention , je considérais que monsieur Bencheikh était érudit et habile, fort en bla bla, mais que ça ne menait à rien. Certes je ne le pensais pas malintentionné , et je ne le pense toujours pas, quoi que mettre sur le même plan des gens qui refusent l'enseignement de l'école et des gens qu'on en a privé soit un chouya malhonnête, mais je ne voyais pas à quoi servait ce discours essentiellement formaliste et anti islamothrope. Aujourd'hui, je suis scié; il dépeint un islam idéal d'il y a x siècles ( comme ça on a du mal à vérifier) qui n'existe plus, que personne ne veut, que personne n'est prêt à reconstruire et qui du coup est chimérique. Il s'appuie sur les imperfections des accointances entre les musulmans "pas idéaux" pour ne pas traiter de la réalité de leur volonté de nuisance. Bref, l'enfer est pavé de bonnes intentions et ne promet pas de cheptel de vierges, mais aujourd'hui c'est la Bérésina de la posture, la délimitation du petit business universitaire qui ne sert qu'à gagner sa croute et son image marketing, comme le marxisme d'Alain Badiou ou ce genre de choses. Il y a des clients pour ça, des gens qui aiment bien qu'on dise du mal de méchants consensuels, mais sur le fond, le match est perdu.
On peut parfaitement parler sereinement ou pas de l'islam aujourd'hui car je vous rappelle l'islam et francais comme les autres religions,et si on regarde juste les statistiques ca sera la première religion du monde en 2050 et en france ca sera plutôt vers 2070 mais fatalement oui on peux disctuer de la prochaine première religion de france sans aucun soucis. La france etant un pays de liberté d'abord.
C'est un bonheur de vous écouter BENCHEIKH!
Mr Khaled ben bien cheikh est le reflet du musulman intelligent en pays non musulmans !! bonne continuation Khaled !!
Cette intervention est incroyable.
Au terme d'une éloquence et d'une rhétorique apparemment très bien maitrisées, un peu matinées c'est vrai de moqueries inopportunes sur les contradicteurs les plus identifiés de Monsieur Bencheikh , on aboutit à la vacuité de la forme et on abandonne le point du match aux arguments "adverses".
Donc l'islam pourrait être bien, mais il est au fond du trou.
Il faut revoir le rapport à la science, le rapport aux femmes et on ne peut pas continuer comme ça. Il faut tout revoir, mais personne ne veut et personne ne nous aidera, ni d'ici ni de l'étranger.
Il n'y a pas de communautarisme parce que les imams turcs n'aiment pas les imams marocains et parce que le camp des "contre" la démocratie est divisé !! Voilà de l'argument !!!
Franchement l'islam n'a pas besoin de Monsieur Finkielkraut comme procureur, monsieur Bencheikh lui met le compte tout seul.
On se moque du procureur dans un baroud d'honneur avant de lui donner raison.
Jusqu'au visionnage de cette intervention , je considérais que monsieur Bencheikh était érudit et habile, fort en bla bla, mais que ça ne menait à rien.
Certes je ne le pensais pas malintentionné , et je ne le pense toujours pas, quoi que mettre sur le même plan des gens qui refusent l'enseignement de l'école et des gens qu'on en a privé soit un chouya malhonnête, mais je ne voyais pas à quoi servait ce discours essentiellement formaliste et anti islamothrope.
Aujourd'hui, je suis scié; il dépeint un islam idéal d'il y a x siècles ( comme ça on a du mal à vérifier) qui n'existe plus, que personne ne veut, que personne n'est prêt à reconstruire et qui du coup est chimérique. Il s'appuie sur les imperfections des accointances entre les musulmans "pas idéaux" pour ne pas traiter de la réalité de leur volonté de nuisance.
Bref, l'enfer est pavé de bonnes intentions et ne promet pas de cheptel de vierges, mais aujourd'hui c'est la Bérésina de la posture, la délimitation du petit business universitaire qui ne sert qu'à gagner sa croute et son image marketing, comme le marxisme d'Alain Badiou ou ce genre de choses. Il y a des clients pour ça, des gens qui aiment bien qu'on dise du mal de méchants consensuels, mais sur le fond, le match est perdu.
Oui bien sur nous parlons facilement de l'islam aujourd'hui par contre parler de la Bible a un musulman c'est plus risqué
Pourquoi les états ont laissé le wahabisme rentre chez eux.
oui on peut parler sereinement de l'islam mais chez lui en pays musulman pas en France
Oui, tant qu'on aborde aucun sujet sensible.
On peut parfaitement parler sereinement ou pas de l'islam aujourd'hui car je vous rappelle l'islam et francais comme les autres religions,et si on regarde juste les statistiques ca sera la première religion du monde en 2050 et en france ca sera plutôt vers 2070 mais fatalement oui on peux disctuer de la prochaine première religion de france sans aucun soucis. La france etant un pays de liberté d'abord.