Lucio je t'ai découvert ce soir grâce à un poto saches qu'en 1h d'écoute tu m'as redonné foie dans le rap t'as un talent monstre et tes intrus totalement malade ! Big up et continue surtout
Mon dieu, ce que le hasard fait bien les chose, il me semble que vous avez rencontrer Baptiste en concert, et quest ce que vous avez bien fait ! Un joueur de talent de ouf !
Je sais qu'on s'en tape, mais le rosé ça se décante pas. (on décante un vieux rouge qui a beaucoup de dépôt, vu que le rosé se boit jeune, il y a rarement du dépôt) C'était la minute inutile du jour. Excellent morceau, comme toujours sinon. :)
Je réponds des années plus tard en passant sur le son, à l'occasion. " ... Pour quant les heures éclosent, avant d'achever le procès ! Avant l'ivresse ultime, laisses décanter le rosé." En y re-réflichissant, si l'on attend "l'ivresse ultime" l'on peut peut bien laisser "décanter le rosé" ! Il y a bien assez de temps pour que du dépôt se forme et qu'il y ai besoin de laisser décanter le vin. Cela dit, ça ne pourrait arriver que sur les rosés de saignées travaillés pour être de "gastronomie" (Bandol, Tavel, ...). Du coup, il est probable que tout cela s'accorde fort bien avec le reste du texte. Dire qu'il m'a fallu des années pour comprendre ...
Tel un synesthète, j'mets des couleurs dans ma musique Elle est triste, elle est glauque, elle est un slow dans un bal d'usine Drôle, dans un bar, j'urine et songe que ma part du rêve En est peut-être l'échec et ronge une part de fiel Curares de la symétrie des villes, le monde est parallèle À cet instant précis, un génocide approche en caravelle Caramel de l'enfance fondant sous la dent du Temps Ta Javel ne nettoie rien des traces qu'on recrache en luttant La jeunesse n'a plus d'racines, elle est née sous X Finira bouffie et pleine d'acide façon Jimmy Hendrix Le monde du père s'effondre quand les fils font irruption Tout tombera à l'eau quand ils verront les fils de l'illusion Espoir d'un cafard sublime perdu dans une rue sordide Éponge d'un regard subtil l'étendue d'une vie hors beat Ce contexte n'est que Newton pourrissant sous l'arbre Ma poésie : le fruit des cris d'un mugissant soûlard [Refrain] Où sont passés nos parcs ? Où sont passés nos cars ? Où sont passés nos samedis aprem à trainer tard ? Où sont passés nos espoirs de gosses, nos rêves naïfs ? Où sont passées nos promesses de profiter d'la ie-v ? Où sont passés les autres ? Où sont passés les nôtres ? Où sont passés les potes perdus en route ? Sont-ils heureux ? Où sont passés nos morts ? Où sont passés nos torts ? Où sont passés les décors plein d'or de la jeunesse ? [Pont] Eaux fortes de Jean-Etienne Nasal Eaux fortes de Jean-Etienne Nasal Eaux fortes, le parfum de la jeunesse Non, je peux faire mieux [Couplet 2] Tel un synesthète, j'mets des couleurs dans ma musique Elle est triste, elle est glauque, elle est un slow dans un bal d'usine Drôle, dans un bar, j'urine et songe que ma part du rêve En est peut-être l'échec et ronge une part de fiel Blues dans la gorge, le millénaire traverse des couloirs ivre La nostalgie en Louboutin sur des boulevards vides Vestiges de rampes plein ciel, tremble à temps partiels Tant l'élan est lent et l'or brille pour cent par siècle Allez, allonge ton âme dans des ginsengs tels Que les chrysanthèmes fanent si tôt qu'ma poigne écrit sans thème Plus jamais aigri sans elle, nan, j'réclamerai plus cent ailes Le Fil d'Ariane s'échappe du pull de Dieu et puis s'emmêle Les jeunes, qu'est-ce qu'ils s'en mettent Au fond, qu'est-ce qu'ils s'emmerdent Tous auto-détruis aussi vrai que le pays s'endette Épuise des vies en traître quand on dérive en fait Ils toucheront pas l'enclume d'idées que j’ me suis mise en tête Jette des étincelles sur l'essence des choses Serrures et pensées closes finiraient toutes en tes proses Pour quand les heures écloses avant d'achever l'procès En attendant l'ivresse ultime vient se décanter l'rosé
Ce morceau est vraiment très bon. Merci les mecs
Comme d'hab' votre musique est plus qu'un art.. Juste merci!
Tu est le mec qui est avec Lucio dans le poete et le vandal etc... ?
Si oui ta une chaine ?
+Adonis Bakri Non c'est pas moi je suis juste fan son nom c'est Anton Serra au passage!
+Lucio Serra a ok mdrrr thé pour le nom d'la chaîne
+Adonis Bakri thx*
Ce texte a une force monumentale
Lucio je t'ai découvert ce soir grâce à un poto saches qu'en 1h d'écoute tu m'as redonné foie dans le rap t'as un talent monstre et tes intrus totalement malade ! Big up et continue surtout
+Théo Vallier la meme!!
Un vrai plaisir pour les oreilles. Ma préférée de l'album.
Je vous invite à aller acheter ce dernier sur la page facebook de Lucio
+Bernard Tapis Merci, Bernard tapis...
+psicho- pates Si c'est sur mon nom que tu bloques, c'est un pseudo.
Je sais, ca me fais juste rire, je suis un gamin.
De la véritable poésie comme d'hab
Mon dieu, ce que le hasard fait bien les chose, il me semble que vous avez rencontrer Baptiste en concert, et quest ce que vous avez bien fait ! Un joueur de talent de ouf !
super morceaux, la guitare est vraiment apaisante
Toujours aussi bon les gars. MERCI
Zo19 ça meeeeeere !!! OSTER /LUCIO intemporelle ma gueule
Magnifique.
allez on va mettre celle-là en favoris pour pouvoir checker si je peux pas la trouver en magasin et l'écouter tranquillement.
Pour moi clairement sa plus belle chanson... si triste, si vrai...
ça fait plaisir de bon rappeur comme toi :)
Vraiment bien Lucio continue !
Sublime!
Je sais qu'on s'en tape, mais le rosé ça se décante pas. (on décante un vieux rouge qui a beaucoup de dépôt, vu que le rosé se boit jeune, il y a rarement du dépôt)
C'était la minute inutile du jour.
Excellent morceau, comme toujours sinon. :)
au contraire, merci de partager ta culture.
Je réponds des années plus tard en passant sur le son, à l'occasion.
" ... Pour quant les heures éclosent, avant d'achever le procès ! Avant l'ivresse ultime, laisses décanter le rosé."
En y re-réflichissant, si l'on attend "l'ivresse ultime" l'on peut peut bien laisser "décanter le rosé" ! Il y a bien assez de temps pour que du dépôt se forme et qu'il y ai besoin de laisser décanter le vin.
Cela dit, ça ne pourrait arriver que sur les rosés de saignées travaillés pour être de "gastronomie" (Bandol, Tavel, ...).
Du coup, il est probable que tout cela s'accorde fort bien avec le reste du texte. Dire qu'il m'a fallu des années pour comprendre ...
Tel un synesthète, j'mets des couleurs dans ma musique
Elle est triste, elle est glauque, elle est un slow dans un bal d'usine
Drôle, dans un bar, j'urine et songe que ma part du rêve
En est peut-être l'échec et ronge une part de fiel
Curares de la symétrie des villes, le monde est parallèle
À cet instant précis, un génocide approche en caravelle
Caramel de l'enfance fondant sous la dent du Temps
Ta Javel ne nettoie rien des traces qu'on recrache en luttant
La jeunesse n'a plus d'racines, elle est née sous X
Finira bouffie et pleine d'acide façon Jimmy Hendrix
Le monde du père s'effondre quand les fils font irruption
Tout tombera à l'eau quand ils verront les fils de l'illusion
Espoir d'un cafard sublime perdu dans une rue sordide
Éponge d'un regard subtil l'étendue d'une vie hors beat
Ce contexte n'est que Newton pourrissant sous l'arbre
Ma poésie : le fruit des cris d'un mugissant soûlard
[Refrain]
Où sont passés nos parcs ? Où sont passés nos cars ?
Où sont passés nos samedis aprem à trainer tard ?
Où sont passés nos espoirs de gosses, nos rêves naïfs ?
Où sont passées nos promesses de profiter d'la ie-v ?
Où sont passés les autres ? Où sont passés les nôtres ?
Où sont passés les potes perdus en route ? Sont-ils heureux ?
Où sont passés nos morts ? Où sont passés nos torts ?
Où sont passés les décors plein d'or de la jeunesse ?
[Pont]
Eaux fortes de Jean-Etienne Nasal
Eaux fortes de Jean-Etienne Nasal
Eaux fortes, le parfum de la jeunesse
Non, je peux faire mieux
[Couplet 2]
Tel un synesthète, j'mets des couleurs dans ma musique
Elle est triste, elle est glauque, elle est un slow dans un bal d'usine
Drôle, dans un bar, j'urine et songe que ma part du rêve
En est peut-être l'échec et ronge une part de fiel
Blues dans la gorge, le millénaire traverse des couloirs ivre
La nostalgie en Louboutin sur des boulevards vides
Vestiges de rampes plein ciel, tremble à temps partiels
Tant l'élan est lent et l'or brille pour cent par siècle
Allez, allonge ton âme dans des ginsengs tels
Que les chrysanthèmes fanent si tôt qu'ma poigne écrit sans thème
Plus jamais aigri sans elle, nan, j'réclamerai plus cent ailes
Le Fil d'Ariane s'échappe du pull de Dieu et puis s'emmêle
Les jeunes, qu'est-ce qu'ils s'en mettent
Au fond, qu'est-ce qu'ils s'emmerdent
Tous auto-détruis aussi vrai que le pays s'endette
Épuise des vies en traître quand on dérive en fait
Ils toucheront pas l'enclume d'idées que j’ me suis mise en tête
Jette des étincelles sur l'essence des choses
Serrures et pensées closes finiraient toutes en tes proses
Pour quand les heures écloses avant d'achever l'procès
En attendant l'ivresse ultime vient se décanter l'rosé
Je mousse
une tortue ne peut pas sortir de sa carapace
Stheive Duel of Champions quelle conclusion en fais tu donc ?
Au punaise! j'ai commenté spontanément sans que 7 fois j'ai pensé, ta réponse me tire vers de profondes réflexions :O