quelle émotion et quel bonheur cette voix sublime n'aurait pas dû s'éteindre c'est la culture commune de notre jeunesse juifs et arabes .je connais bien Simone elle a passé une nuit entière chez moi pour une fête pour mon fils que de souvenirs iiiiiii de plus toutes cette peinture c'est de chez moi , moi qui suis de Bou Saada Dinet était très connu au moulin Ferrero de Boussaâda
Célèbre musicien et poète populaire. Abdallah Mohamed Ibn Ahmed Ibn Msaib naquit au début de 18ème siècle à Tlemcen d’une famille originaire d’Andalousie qui habita successivement Fes et Oujda avant de se fixer à Tlemcen. Sa famille habitait au quartier Bab Zir. Il eut une jeunesse assez mouvementée et travailla comme tisserand (Derraz). Il tomba amoureux d’Aïcha, la fille de son patron, qu’il finit d’ailleurs par épouser mais après lui avoir écrit de brillantes poésies qui le rendirent célèbre et suspect à la fois. En effet, les pères de famille se défiaient beaucoup du voisinage et de l’approche du galant jeune homme. Fut mis en prison. Remis en liberté à la suite démarches de parents et d’amis puissants, il se rendit à Meknès. Cet exil volontaire lui fut salutaire et profitable. Revient ensuite à sa ville natale, se réconcilie avec les autorités turques de Tlemcen et entreprend le pèlerinage à la Mecque pour se laver de ses péchés. Revenu des Lieux Saints, il ne songea plus qu’à être un parfait musulman et se consacra entièrement à la dévotion et aux œuvres de piété. Mourut en l’an 1768 et fut en enterré au cimetière d’Ain Ounzouta. Aux yeux des tlemceniens, il n’est pas seulement un poète mais aussi un saint. Son tombeau est l’objet de fréquentes visites pieuses. On connait d’avantage ses poésies amoureuses parce qu’il aimait chanter « les filles de ce monde », mais il a également laissé de très beaux chants religieux dont l’immortel poème Al Houn Ya Rassoul Allah. Hafnoui Amokrane et Asma Sifaoui ont rassemblé une centaine de textes du poète dans un Diwan
Cimone elle est magnifique mais de la a comparé ça voix a celle d oum Khartoum du moin celle que je connais c est grave celle de cairo quand elle a lever la voix c est les mur de l'Olympia de Paris qui se sont fissurer .cordialement
Abou Abdillah Mohamed Ben’Ahmed Ben’Msayeb est né vers la fin du 17ème siècle à Tlemcen. Sa famille originaire d’Andalousie s’était installée à Tlemcen après la chute de Grenade, dernier royaume musulman d’Espagne. A Tlemcen,le jeune Mohamed apprend à lire et à écrire. Il apprend le Coran, la grammaire et le fiq’h. Il doit tout abandonner pour aider sa famille. Il intègre un atelier de tissage. Sa poésie commencera avec Aicha qui venait souvent à l’atelier. Il en tombe amoureux. La plupart de ses poèmes lui sont dédiés ! - Aïcha, Ya Aïcha… - Salef Aïcha Bravant tous les interdits sociaux de l’époque, il écrivit des poèmes d’amour en son honneur. - « Soltane El’Hob Ett’gha W’djar Aânni B’djich… » - Kathrat Fel Hob Techwachi Men Aicha La îicha Wa La Fi Dhanni N’îich Rani Bel H’idjra Rechi » Cela lui valut la haine de la famille de Aicha qui le repoussait à cause de sa pauvreté. La famille de la jeune fille va se plaindre aux autorités Et Benmsayeb est contraint alors de fuir au Maroc. A cette époque, vers la fin du 17ème siècle, Tlemcen était le centre d’affrontements continus entre les Deys ottomans et les souverains du Maroc. Le poète Ben Msayeb prend position pour les souverains du Maroc dans plusieurs poèmes, où il pleure la beauté et la gloire de la ville de Tlemcen tombée aux mains des ottomans. Ben Msaib critiquait souvent la société et meme les gouverneurs de TLemcen de cette époque. Il eut des ennuis avec le gouverneur de TLemcen qui ordonna sa Capture et prononça son execution. Avant d’etre exécuté, Ben Msaib demanda une derniere faveur au gouverneur. Il voulait faire ses ablutions et prier. Le Gouverneur accéda à sa demande. Ben Msaib après ses prieres, composa la fameuse Qasida : « Ya AhL Allah Ghithou EL MeLhouf » La qacida est remise au gouverneur. Ce dernier apres l’avoir lu, décida de le gracier. c’est une tres longue qsida fiha 182 beyt. Certains disent que Ben Msayeb a compose plus de 3000 qassayed ! Après son pélerinage à la Mecque, le poète changea complètement de registre. Il ne consacre désormais qu’à l’amour divin. « lik Nechtki B’amri Ya L’wahdani Ya Krim Nettolbek Taâfou Aâliya… » Il atteint un degré de ferveur et de piété Ce qui lui a permis de revenir à Tlemcen après de longues années d’exil. Il passa le restant de son existence dans les pratiques de dévotion et la crainte d’Allah. Il mourut à TLEMCEN en 1190 de l’hégire (1776 de l’ère chrétienne). On l’enterra dans le voisinage du cheikh Essenoussî, dans le cimetière d’Aïn Ouazoûta . Quelques Qassayed du cheikh Bna Msayeb : - Sidi Men Issal Aâla Kahl El Aâyne - Ana El Ghrib - Ya Dhay Aâyani - Aâyiit Fi Qalbi Yosbor - Hbibek La Tensah - Ya Aâchaq Ezzine - Yal Ouecham Dkhil Aâlik - Wallah Ma N’sitek Ya Lilet El Barah - Men Sab Mâa Elmlih Fardja - Fel Mnam Ya Lesyadi, Zarni Hbibi L’Bareh Fel Mnam - Men Ne’Houa Rouhi Ourahti - Ya Qamat Ghosn Elyas - Dkhil N’hasbek Ya Ould Ettir - Fadh Elwahch Aâliya - Mal Hbibi Malou, Ya Nassi Ghodh’Bane… - Kif Aâmali Ouhilti, Limen Necht’ki Bi Dhel Amar - Tal El Aâdab Biya - Limen Nechki Bqorh Djmar Ghezali, Ah’ Yel Ghali…Essalf Ettouil - EL Horm Ya Rassoul Allah - Nar ouelfi, - Rani H’mim H’ayem, - Anaya Barani Ghrib - Rabi Q’da - Marit Fel Mlah « Nari w’qourhti We Sbeb El Qelb El Hzine Aï Sidi, AâmH’oudj Chaftou Aâïnya » - H’adj Aâani wah’ch El Mahboub - Mahboubi Zah’we El Khattar « Mawfachi Tolbi » - Yal Ouahdani - Zora Ya Aâchqine Zora
Je viens de découvrir cette merveille ,une voix magnifique sublime , oh Constantine ma ville natale comme je souffre moi aussi ,la horde sauvage s'accapare de plus en plus et étouffe toute beauté
Pensées d Algérie 🇩🇿 pour tous ses enfants qq soient leurs religions leurs races. Un pays tant aimé multicultirel e multiraciale c ça qui lui fait de ce beau pays sa spécificité. Simone tamare était une fille du pays qui reste ds la cœur de tous e son art fait partie du patrimoine artistique algérien. Hélas quel guachi quel destin. Vive l amitié entre les peuples '
Simone Tamar Aouizerate née Allouche naît le 15 janvier 1932 à Souk Ahras. Élève des plus grands musiciens de malouf, elle chante d’abord dans l’orchestre de Sylvain Ghrenassia, le père d’Enrico Macias puis se lance seule. On la surnommera vite «la voix d’or de Constantine». Mais ce qui fait d’elle une véritable artiste ce sont ses connaissances parfaites des règles du malouf qu’elle applique scrupuleusement. Elle décida de se lancer seule dans la "jungle musicale", renoue dans les années 1980 avec les musiciens Constantinois, et se produit assez souvent avec succès aussi bien en Algérie qu'en France. Elle quitte l’Algérie bien après l’indépendance. Elle enregistre par la suite plusieurs albums CD de bonne qualité et se produit avec succès autant en France qu’en Algérie. Elle décède à Paris le 15 janvier 1982 alors qu'elle allait fêter son cinquantième anniversaire
This is just stunning. I am captivated by this great vocalist after hearing this track on an anthology found at Oxfam today, and I am delighted to find it here on youtube.
elle dit : tal laadhab biya , ouahram aani lemnam , ouaayiit ya elkhaoua nardaa leoukat , c'est a dire : Mon long souffrances et les yeux défavorisées et rêve fatigué, mes frères et moi avons attendu au moments , c'est pour Maria Luiza Bechelli
totalement méconnue ,aucune biographie sur wikipédia,bien dommage pour une si talentueuse artiste. Un hommage devrait lui être rendu. J'appelle quiconque aurait des renseignements sur elle,de m'éclairer.
Que Dieu bénisse son âme c'est mon papa Allah yarhmou qui me la faite découvrir lorsque j'étais toute jeune.
Qu'elle repose en paix ,une très grande artiste inégalable !...
Merci pour la Très Belle Histoire Magnifique ET Magique qu el très Belle Époque Perdue,.
quelle émotion et quel bonheur cette voix sublime n'aurait pas dû s'éteindre c'est la culture commune de notre jeunesse juifs et arabes .je connais bien Simone elle a passé une nuit entière chez moi pour une fête pour mon fils que de souvenirs iiiiiii de plus toutes cette peinture c'est de chez moi , moi qui suis de Bou Saada Dinet était très connu au moulin Ferrero de Boussaâda
Les sellem sont de Biskra,non?
Tout est magnifique les peintures la voix de Simone sublime merci pour ce moment de bonheur
Tres riche notre patrimoine. C tres apaisant .t3ich constantine et ses enfants partout sur cette terre
Simone Tamar c'est une Souk Ahrasienne
Je crois qu'elle est de soug hras
Une tenor incourtenable simone une voix sublime qui marque son epoque du malouf talentueux allah yarehema
Célèbre musicien et poète populaire. Abdallah Mohamed Ibn Ahmed Ibn
Msaib naquit au début de 18ème siècle à Tlemcen d’une famille originaire
d’Andalousie qui habita successivement Fes et Oujda avant de se fixer à
Tlemcen. Sa famille habitait au quartier Bab Zir. Il eut une jeunesse
assez mouvementée et travailla comme tisserand (Derraz). Il tomba
amoureux d’Aïcha, la fille de son patron, qu’il finit d’ailleurs par
épouser mais après lui avoir écrit de brillantes poésies qui le
rendirent célèbre et suspect à la fois. En effet, les pères de famille
se défiaient beaucoup du voisinage et de l’approche du galant jeune
homme. Fut mis en prison. Remis en liberté à la suite démarches de
parents et d’amis puissants, il se rendit à Meknès. Cet exil volontaire
lui fut salutaire et profitable. Revient ensuite à sa ville natale, se
réconcilie avec les autorités turques de Tlemcen et entreprend le
pèlerinage à la Mecque pour se laver de ses péchés. Revenu des Lieux
Saints, il ne songea plus qu’à être un parfait musulman et se consacra
entièrement à la dévotion et aux œuvres de piété. Mourut en l’an 1768
et fut en enterré au cimetière d’Ain Ounzouta. Aux yeux des tlemceniens,
il n’est pas seulement un poète mais aussi un saint. Son tombeau est
l’objet de fréquentes visites pieuses. On connait d’avantage ses poésies
amoureuses parce qu’il aimait chanter « les filles de ce monde », mais
il a également laissé de très beaux chants religieux dont l’immortel
poème Al Houn Ya Rassoul Allah. Hafnoui Amokrane et Asma Sifaoui ont
rassemblé une centaine de textes du poète dans un Diwan
Merci pour votre contribution!
merci Karim
Merci pour ce rappel histoire.
Merci pour tout
"Jjeme
Merci grande dame.Vous avez une voix sublime.Vous faite parti du patrimoine culturel algérien qqe soit votre confession.Allah yarhamek.
Sublimejadore
On voyage très, loin avec Simone c,'est une grande chanteuse constantinois qu'on écoute avec beaucoup de plaisir.
Quand Simone lève sa voie j'ai des frissons elle lève sa voie parfois plus aum Khartoum.merci pour partage.
le choix des peintures est excellent aussi. On fait un voyage dans le temps... dire que nos ancetres ont vecu de la sorte
Cimone elle est magnifique mais de la a comparé ça voix a celle d oum Khartoum du moin celle que je connais c est grave celle de cairo quand elle a lever la voix c est les mur de l'Olympia de Paris qui se sont fissurer .cordialement
Merci messieurs messieurs Karim Karima pour tous ces informations.vive le chant andalous (malouf).
Les Poetes du malhoun Algerien...
Je ne la connaissait pas ,je viens de la decouvrir su Radio MCD où il y avait Abbas righi comme invité. C'est une tuerie cette voix .Rabi yarhamha.
Machaallah,machaallah c'est du o négatif...Merci...Allah yarhamha
Le malouf est une musique pleine de spiritualité. Dieu fasse que cette musique survive vandales
exactement le malouf au rythme mystique
vandales?
Très beau maniphique . Je me les soirées . Et souvenirs avec les amis c'était la vraie amitié.
Abou Abdillah Mohamed Ben’Ahmed Ben’Msayeb est né vers la fin du 17ème siècle à Tlemcen. Sa famille originaire d’Andalousie s’était installée à Tlemcen après la chute de Grenade, dernier royaume musulman d’Espagne.
A Tlemcen,le jeune Mohamed apprend à lire et à écrire. Il apprend le
Coran, la grammaire et le fiq’h. Il doit tout abandonner pour aider sa
famille. Il intègre un atelier de tissage. Sa poésie commencera avec
Aicha qui venait souvent à l’atelier. Il en tombe amoureux. La plupart
de ses poèmes lui sont dédiés ! - Aïcha, Ya Aïcha…
- Salef Aïcha Bravant tous les interdits sociaux de l’époque, il écrivit des poèmes d’amour en son honneur. - « Soltane El’Hob Ett’gha W’djar Aânni B’djich… » - Kathrat Fel Hob Techwachi Men Aicha La îicha Wa La Fi Dhanni N’îich Rani Bel H’idjra Rechi »
Cela lui valut la haine de la famille de Aicha qui le repoussait à
cause de sa pauvreté. La famille de la jeune fille va se plaindre aux
autorités Et Benmsayeb est contraint alors de fuir au Maroc. A cette
époque, vers la fin du 17ème siècle, Tlemcen était le centre
d’affrontements continus entre les Deys ottomans et les souverains du
Maroc. Le poète Ben Msayeb prend position pour les souverains du Maroc
dans plusieurs poèmes, où il pleure la beauté et la gloire de la ville
de Tlemcen tombée aux mains des ottomans. Ben Msaib critiquait
souvent la société et meme les gouverneurs de TLemcen de cette époque.
Il eut des ennuis avec le gouverneur de TLemcen qui ordonna sa Capture
et prononça son execution. Avant d’etre exécuté, Ben Msaib demanda une
derniere faveur au gouverneur.
Il voulait faire ses ablutions et prier. Le Gouverneur accéda à sa demande. Ben Msaib après ses prieres, composa la fameuse Qasida : « Ya AhL Allah Ghithou EL MeLhouf »
La qacida est remise au gouverneur. Ce dernier apres l’avoir lu, décida
de le gracier. c’est une tres longue qsida fiha 182 beyt. Certains disent que Ben Msayeb a compose plus de 3000 qassayed ! Après son pélerinage à la Mecque, le poète changea complètement de registre. Il ne consacre désormais qu’à l’amour divin. « lik Nechtki B’amri Ya L’wahdani Ya Krim Nettolbek Taâfou Aâliya… »
Il atteint un degré de ferveur et de piété Ce qui lui a permis de
revenir à Tlemcen après de longues années d’exil. Il passa le restant de
son existence dans les pratiques de dévotion et la crainte d’Allah.
Il mourut à TLEMCEN en 1190 de l’hégire (1776 de l’ère chrétienne). On
l’enterra dans le voisinage du cheikh Essenoussî, dans le cimetière
d’Aïn Ouazoûta . Quelques Qassayed du cheikh Bna Msayeb : - Sidi Men Issal Aâla Kahl El Aâyne
- Ana El Ghrib
- Ya Dhay Aâyani
- Aâyiit Fi Qalbi Yosbor
- Hbibek La Tensah
- Ya Aâchaq Ezzine
- Yal Ouecham Dkhil Aâlik
- Wallah Ma N’sitek Ya Lilet El Barah
- Men Sab Mâa Elmlih Fardja
- Fel Mnam Ya Lesyadi, Zarni Hbibi L’Bareh Fel Mnam
- Men Ne’Houa Rouhi Ourahti
- Ya Qamat Ghosn Elyas
- Dkhil N’hasbek Ya Ould Ettir
- Fadh Elwahch Aâliya
- Mal Hbibi Malou, Ya Nassi Ghodh’Bane…
- Kif Aâmali Ouhilti, Limen Necht’ki Bi Dhel Amar
- Tal El Aâdab Biya
- Limen Nechki Bqorh Djmar Ghezali, Ah’ Yel Ghali…Essalf Ettouil
- EL Horm Ya Rassoul Allah
- Nar ouelfi,
- Rani H’mim H’ayem,
- Anaya Barani Ghrib
- Rabi Q’da
- Marit Fel Mlah « Nari w’qourhti We Sbeb El Qelb El Hzine Aï Sidi, AâmH’oudj Chaftou Aâïnya »
- H’adj Aâani wah’ch El Mahboub
- Mahboubi Zah’we El Khattar « Mawfachi Tolbi »
- Yal Ouahdani
- Zora Ya Aâchqine Zora
Karim Karimi k
Cette interpretation est merveilleuse.
pour l'histoir, elle a besoin de sources pour construire un discours! Donc donnez nous des sources.
Merci M. Karim Karimi pour toute ces informations.
Merci bien.
Merci pour tout cet historique.
Cordialement
J ai toujours admirée cette chanteuse a la si voie si profonde que dieu aie don.ame
Je viens de découvrir cette merveille ,une voix magnifique sublime , oh Constantine ma ville natale comme je souffre moi aussi ,la horde sauvage s'accapare de plus en plus et étouffe toute beauté
Pensées d Algérie 🇩🇿 pour tous ses enfants qq soient leurs religions leurs races. Un pays tant aimé multicultirel e multiraciale c ça qui lui fait de ce beau pays sa spécificité.
Simone tamare était une fille du pays qui reste ds la cœur de tous e son art fait partie du patrimoine artistique algérien. Hélas quel guachi quel destin. Vive l amitié entre les peuples '
سيمون تمار مطربة مالوف من مواليد سوق اهراس سنة 1932 .
من تلاميذ استاذ المالوف الشيخ ريموند ريليس بقسنطينة .
توفيت سنة 1990 بباريس.
توفيت في 1982
J'adore le concept le poème .فينكم يا احباب قلبي
Quelle belle voix bien de chez nous bravo tu est eternelle.
Et merci
Simone Tamar Aouizerate née Allouche naît le 15 janvier 1932 à Souk Ahras.
Élève des plus grands musiciens
de malouf, elle chante d’abord dans l’orchestre de Sylvain Ghrenassia,
le père d’Enrico Macias puis se lance seule. On la surnommera vite «la
voix d’or de Constantine». Mais ce qui fait d’elle une véritable artiste
ce sont ses connaissances parfaites des règles du malouf qu’elle
applique scrupuleusement.
Elle décida de se lancer seule dans
la "jungle musicale", renoue dans les années 1980 avec les musiciens
Constantinois, et se produit assez souvent avec succès aussi bien en
Algérie qu'en France. Elle quitte l’Algérie bien après l’indépendance.
Elle enregistre par la suite plusieurs albums CD de bonne qualité et se
produit avec succès autant en France qu’en Algérie.
Elle décède à Paris le 15 janvier 1982 alors qu'elle allait fêter son cinquantième anniversaire
Merci M. Karim Karimi pour ces informations.
Merci bien pour ces rappels histoire. Merci pour votre engagement sur le patrimoine Algerien.
La voix de Simone reste éternelle la pure voix constantinoise que j’ai connu
شكرا لك عزيزي على هاته المعلومة القيمة
Très belle voix 😍😍😍😍😍
Emouvant. Quelles paroles!!!!
sublime, merci
This is just stunning. I am captivated by this great vocalist after hearing this track on an anthology found at Oxfam today, and I am delighted to find it here on youtube.
Le MALOUF ORIGINEL que beaucoup de jeunes chanteurs d'aujourd'hui " FOLKLORISENT " ; Inconsciemment j'espère ‼️
magique
Magnifique
merciiiii beaucoup
Une ville citadine le pouvoir de 62 à 2020 l a rendu un grand douar
100% Hawzi Tlemcenien : Tal aadab biya de Mohamed Ben Msayab rahimahou allah ... sur un rih Malouf.
Desole mais c.est du malouf de l.est algerien
.la kassida est peut etre de msaid le tlemceniem.
.sans prejudice...merci.
excellent ....
Aprés permission du responsable du canal, je suis prêt à faire la traduction aprés reception du poème car je ne le possede pas.
Vous avez ma permission mais pour le texte du poème, j'ai égaré le livre!
Allouche Simone est née à Souk-Ahras le 15 Janveir 1932 et morte à Paris le 15 Janvier 1982
alors ce morceau pour moi, c'est telle une piqure de morphine, pour resumer
elle dit : tal laadhab biya , ouahram aani lemnam , ouaayiit ya elkhaoua nardaa leoukat , c'est a dire :
Mon long souffrances et les yeux défavorisées et rêve fatigué, mes frères et moi avons attendu au moments , c'est pour Maria Luiza Bechelli
C faux elle dit rien, elle répète ce que dit l’auteur Benmsayeb et ça na rien a voir avec Maria.....
elle a de souk ahrass et chant un chanson malouf pas de tlemcen وعييت يا لخاوة ترجعشي ليام اغنية مالوف وليس حوزي
C'est le poète Ibn Msayeb auteur de cette chanson qui est de Tlemcen !
يمكن تشابه في عناوين لكني متأكدة بأنها مالوف متل اغنية "مال حبيبي مالوا" هناك اغنيتين لكل منهما مؤلف واحدة صنعة و الاخرى مالوف
un chansat malouf Constantinois; 3yit Yel Khawa Terje3 Chiy Liyem. Pas Huzi
Le genre poétique est un Hawzi mais la musique est Constantinoise.
الموسيقى هي اللي حوزي، أما القصيدة فهي لابن مسايب التلمساني
طال العذاب بيا
موسيقى محن محن وسوة يقول اسكة اني المحن وني وش نقول
اني المحن بلا محن ومن نتلاڨ المحن نعلمها المشوق من المحن وش يدير فلمحنا
totalement méconnue ,aucune biographie sur wikipédia,bien dommage pour une si talentueuse artiste. Un hommage devrait lui être rendu. J'appelle quiconque aurait des renseignements sur elle,de m'éclairer.