Carissimi Lamentationes

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  • Опубліковано 23 гру 2024

КОМЕНТАРІ • 7

  • @polomokipo6000
    @polomokipo6000 8 років тому +1

    GIACOMO CARISSIMI { MARINO 1605-1674 ROMA } LAMENTATIONES MARIA KIEHR SOPRANO, CONCERTO SOAVE , DIRECTOR JEAN MARC AYMES.Une pure merveille la voix de MARIA KIEHR , qui vous emporte au paradis , qui vous fait rêver de cette époque grandiose, orchestre majestueux, merci pour ce moment avec GIACOMO CARISSIMI et LAMENTATIONES qui reste ETERNEL merci pour la video sublime.

  • @joachimehlers5380
    @joachimehlers5380 2 роки тому +1

    Ja ich wollte sagen sämtliche Werke von Giocomo Carissimi mir ans Herz gewachsen ist . Gruß Joachim ehlers aus Schallstadt Baden Württemberg

  • @pierrelouis8877
    @pierrelouis8877 8 років тому +4

    Encore une oeuvre totalement méconnue !
    On sent poindre la musique religieuse de Charpentier dans cette composition. Intimité et dépouillement.

  • @pascalmayer9421
    @pascalmayer9421 2 роки тому +1

    Quelle pureté ! magnifique merci Stefano Sauli . Giacomo Carissimi est un compositeur italien, baptisé à Marino, près de Rome, le 18 avril 1605 et mort à Rome le 12 janvier 16741. Il est l'un des plus éminents compositeurs de la période baroque et l'un des principaux représentants de l'école romaine. Sa vie est mal connue et seuls les évènements les plus importants sont certains. Il reste, pour ses héritiers, le plus grand compositeur du xviie siècle, « le plus grand compositeur que l'Italie ait produit » d'après Pierre Bourdelot et Pierre Bonnet en 1715.
    Biographie
    Enfance et formation
    Son père, Amico (1548-1633) exerce la profession de tonnelier. Il se marie avec Livia (1565-1622), le 14 mai 1595. Ils ont 7 enfants dont le cadet est Giacomo. La date de sa naissance, à Marino près de Rome, n'est pas connue : elle se situe en 1605 ou, au plus tôt, en 16042. Orphelin à l'âge de 10 ans, il semble être recueilli par l'une des institutions pour enfants pauvres dispensant un enseignement musical. À 18 ans, il étudie le chant et l'orgue à la cathédrale San Lorenzo de Tivoli puis en devient l'organiste deux ans plus tard. À 22 ans, il s'établit à Assise, où il exerce la fonction de maître de chapelle à la cathédrale San Rufino entre 1628 et 16291.
    Rome et le Collegio germanico
    À 24 ans, il s'installe à Rome où il devient maître de chapelle à l'église de Sant'Apollinare attachée au Collegium Germanicum et Hungaricum de 1629 à sa mort. Invité à Venise et à Vienne, il décline les postes proposés. Il a de nombreux élèves dont Marc-Antoine Charpentier, Alessandro Scarlatti, Christoph Bernhard, Philipp Jacob Baudrexel, Giovanni Maria Bononcini et Giovanni Paolo Colonna.
    Style et héritage musical
    Choisi pour maître de la chapelle pontificale en 1649, il introduit dans les églises l'accompagnement de la musique instrumentale. Il est le premier à employer la cantate pour des sujets religieux. Il rencontre en 1656 la reine Christine de Suède en exil et compose de nombreuses pièces profanes en son honneur.
    Œuvres
    La plupart de ses œuvres romaines ne sont connues que par des copies, les autographes ayant été dispersés ou détruits après la dissolution de l'ordre des jésuites en 1773. Les œuvres qui nous sont parvenues (environ 280) sont des messes, des oratorios, des motets et des cantates. Les plus remarquées ont été les oratorios Jephté (ou Histoire de Jephté, basé sur la promesse de sacrifice faite par Jephté, et composé vers 1648), ou encore le Jugement de Salomon, ainsi que son motet Turbabuntur impii. Il restera un compositeur apprécié, spécialement par Haendel (qui vécut au siècle suivant), ou par le prêtre et musicologue Sébastien de Brossard († 1730, lui-même maître de chapelle et compositeur). Ce dernier fera figurer quelques oratorios et motets de Carissimi dans sa célèbre collection, actuellement conservée à la Bibliothèque nationale de France (à qui il en avait fait don). Certains d'entre eux restent des exemplaires uniques de ce compositeur. Carissimi a composé au moins deux opéras, Giuditta (Rome, 1656) et Il sacrificio d'Isaaco (Rome, 1656), tous deux perdus.

  • @13Aureille
    @13Aureille 10 років тому +3

    C'est d'une immense beauté...

  • @radaphhesig
    @radaphhesig 13 років тому +3

    Wow! I didn't know this piece existed

  • @radaphhesig
    @radaphhesig 13 років тому +1

    are there other parts?