Baptiste Mulliez : après l'alcool - L'invité de Sonia Devillers

Поділитися
Вставка
  • Опубліковано 13 кві 2023
  • Baptiste Mulliez est tombé dans l'alcool à l'âge de 15 ans. Vont suivre des années de déchéance physique et psychologique. Aidé par sa famille, il est parvenu à devenir abstinent. C'était en 2015, il avait 24 ans. Aujourd'hui, il raconte, pour aider. Il est l'invité de 9H10.
    Retrouvez "L'invité de Sonia Devillers" sur
    www.radiofrance.fr/franceinte...

КОМЕНТАРІ • 18

  • @sevengoyer4372
    @sevengoyer4372 4 місяці тому +1

    Merci de sensibiliser, ou de rappeler les effets destructeurs de l'alcool. J'aurais aimé entendre la suite.

  • @TerveDai
    @TerveDai Рік тому +5

    Ce recit sur l'addiction et le parcours pour en sortir, avec un ton calme, pose et une capacite d'auto-analyse prouvee, est tres interessant. Bravo pour ce combat, bon courage pour la suite et continuez votre travail aupres des collegiens et lyceens.

  • @jihanehanan7844
    @jihanehanan7844 Рік тому +4

    Merci pour ce témoignage et pour votre partage d experience auprès des jeunes, nous en avons besoin!

    • @StefWangPARIS
      @StefWangPARIS Рік тому

      @ Jihane
      Complètement d’accord avec vous !

  • @cyrilleguerin445
    @cyrilleguerin445 Рік тому +4

    Felicitations mec. Et en plus, t'es BG. Don't give up.

  • @oliv36
    @oliv36 Рік тому +4

    La journaliste serait plus à propos, en laissant parler ce jeune, car il est fort intéressant.
    Bravo pour ton témoignage.

  • @lumieredetoile5350
    @lumieredetoile5350 5 місяців тому

    bravo et merci! Belle interview ! pour oser enlever le masque et briser le tabou, et avoir ce déclic et cette conscience, faire ce travail sur soi et soutenir les autres à s'élever (plus que s'éduquer ; ) ...moi c'est à 50 ans que j'ai le déclic (je l'avais déjà avant et j'ai pu me passer d'alcool aussi) ponctuelles mais des consommations trop excessives et au fond une habitude facile qui devient problématique! Comme un rituel de réconfort et de liberté que je me donnais et qui servait d'exutoire à tout (le sentiment de solitude est parfois une excuse, on peut être bien, bien entourée et pourtant...on se fuit soi m'aime! déconnecté du présent, de ses propres émotions )...alors qu'en réalité ça me bousille...pourtant je ne suis jamais tombée dans la consommation journalière, ni en journée, que le soir! pour me relaxer , me retrouver...dans mon petit bain de calimero, faut le dire! C'est aussi une partie de nous qui pleure et se victimise...ça peut pas aider à aller mieux! pas les symptômes classiques (à part l'oubli ) de sevrage et la prise excessive plutôt hebdo...et je m'aperçois en effet qu'on se cherche dans l'alcool, comme anesthésiant de nos difficultés (je suis polytraumatisée suite à des agressions depuis l'enfance, et durant toute ma vie, pas ou très mal soignée par les psys et addicto pour cela ) on se cherche dans nos émotions, notre bien-être, aussi dans le positif, se sentir libre et accepté comme on naît, comme on est! Moi aussi une éducation trop psychorigide, faite de "devoirs" , d'hyper responsabilités tout en restant soi l'enfant soit le parent ! famille dysfonctionnelle on dit (il suffit d'observer ses parents pour voir leurs failles aussi! et l'image qu'ils veulent donner et projettent sur nous), être ce que veulent mes parents, parfaite, forte et docile quoi!Injonctions contradictoires!! ça fout le bazar dans ma tête! avec des violences psychologiques et morales, une agression et contrôle psychique depuis mon enfance, de gros manques affectifs et en sécurité intérieure, émotionnelle...pas de réconfort vraiment exprimé...Vos mots me touchent et résonnent, c'est très précieux et écouter son ressenti avec sincérité et indulgence, je vous trouve très dur encore avec vous même! attention à ça! moi aussi je le suis (par éducation et des attentes parentales trop élevées, peu de soutien et d'écoute , d'acceptation de mes affects et mes pensées, mes choix )c'est nécessaire un jour d'apprendre à s'aimer ! être indulgent et s'accepter avec des failles, vulnérable, ça protège des névroses et psychoses, dépression ...même si ça paraît difficile, c'est la voix de la paix intérieure et du coeur qu'il faut trouver, la clef de tout! qui sera un socle, un barrage à tout déséquilibre et attaque extérieure comme interne (autosabotage , autodénigrement, quête de perfection sans fin...), évenement difficile à traverser, s'autoriser à être sensible...et prendre soin de soi...notre "maison" de l'âme pour toute la vie...Je me retrouve et je comprends mieux ...moi l'alcool est aussi très présent dans ma famille, une cave de bons vins, d'alcools fait maison, des grands repas, fêtes, champ, plaisirs quotidiens épicuriens et charnels, mon père un peu trop dépendant et 2 verres plus qu'un mais considéré comme un "bon vivant" , alors j'ai cru que moi aussi (c'est vrai mais on peut l'être sans alcool) ma mère tentatrice toujours à proposer en excès mais elle dans le contrôle, moi je suis tombée dedans ! Il aura fallu des épreuves et des chagrins, puis l'adolescente pas facile, les potes, les sorties, la dépression pour oublier...puis la solitude, le travail pas récompensé ou le manque de soutien, de reconnaissance, une femme seule Les galères diverses, à me battre seule pour survivre Puis les agressions sexuelles...ça devient lourd pour une personne hypersensible qui ne cherche que l'affection, la joie, le meilleur...le manque de réconfort! l'alcool était mon ami en effet...l'ivresse joyeuse, sociable, somnifère, le repos enfin ! ça dit beaucoup de ce qu'on aimerait vivre, être, vibrer, qu'on a pas pu nous autoriser enfant et après, qu'il est temps de s'accorder, sans honte ni culpabilité ni dépendance ! ni au regard des autres ! au fond c'est peut-être la mal à dit du chagrin gardé, de la tristesse, du refoulement de soi...où noyer son etmoi etmoi...j'existe...avec un mauvais ami...notre alter ego qui nous comprend, nous laisse respirer, rire, s'amuser sans rien attendre ni juger et un jour nous trahit...parce qu'on lui a laissé toute notre pouvoir, notre âme et notre santé...1 mois bientôt sans alcool ni tabac et je revis, je renais! l'alcool et tabac rendent dépressifs et anxieux, stressés! Je suis plus calme, apaisée, joyeuse et positive! Ce n'est pas l'addicto qui m'aide mais moi m'aime, réfléchir (on ne réfléchit pas quand on consomme, c'est un acte pulsionnel automatique) écouter d'autres témoignages, en parler...librement et sans honte, il faut sortir de la honte d'être soi m'aime...

  • @commeunnoob3235
    @commeunnoob3235 Рік тому +6

    Juste dommage qu'il n'ait pas eu plus de place pour raconter son histoire

  • @studioduranch787
    @studioduranch787 Рік тому +5

    Mais pourquoi ça s’arrête à 15min50????

  • @ogamiitto8627
    @ogamiitto8627 Рік тому +5

    Dommage de ne pas lui avoir demandé plus précisément comment il s'en était sorti non ?

  • @thp1606
    @thp1606 Рік тому +5

    Bravo jeune homme

  • @turbolover909
    @turbolover909 Рік тому

    Pertinent.

  • @Np-si9vq
    @Np-si9vq Рік тому

    C’est bien de partager

  • @Lemad123
    @Lemad123 8 місяців тому

    Bravo Baptiste jai 31 ans et je compte arrêter aussi, il est temps.

  • @annemariebrunet2008
    @annemariebrunet2008 Рік тому

    Tout est dit "première gorgée d’alcool,et l’angoisse à disparue"
    L’alcool pour lutter contre une angoisse "indicible" ,une angoisse dont on ne ignore l’origine !
    Et tant que cette angoisse ne peut être verbalisée ,on appelle l’alcool au secours !
    Batiste vous êtes un garçon magnifique !

  • @marc-antoinetraynard3268
    @marc-antoinetraynard3268 Рік тому

    "Quand ça devient une fierté d'te mettre des grandes doses
    C'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose."
    Orelsan.

  • @francoischarpentier6000
    @francoischarpentier6000 27 днів тому

    Et quelle est la difference avec la politique du Marechal Pétain?