Mon mari soufrait d’une maladie irréversible et sans traitement adapté à ce jour. Après plusieurs mois de souffrance, une dégradation physique très importante, des difficultés à respirer de plus en grandes jusqu’à des détresses respiratoires, la maladie avançant de plus en plus vite, il a prit une décision : il savait que sans ça il mourrait par étouffement. Avec l’équipe de soins palliatifs, avec nous aussi, il a parlé de son souhait d’être sédaté. Il a dit je veux que ça s’arrête. Lui et les médecins se sont donc entendus. A la prochaine décompensation il sera sédaté. Et ensemble pleurant dans les bras l’un de l’autre je lui ai dit que je comprenais très bien et qu’il fallait arrêter ces insupportables souffrances. Qu’il ne devait surtout pas culpabiliser.qu’on l’aimait, qu’il nous manquerait, Mais surtout, surtout qu’on ne voulait pas qu’il souffre. C’est ça la sédation profonde et définitive. Et merci des milliers de merci à tous les médecins qui la pratique. Arrêter la souffrance humaine est le plus beau des actes. Quelques soit la méthode à appliquer. Même la plus difficile. Je déplore les autres ceux pour lesquels la « vie » doit être maintenue même aux plus agonisants. Et ils s’en ventent! J’ai vu dans un centre de gérontologie une pauvre femme mourant d’étouffement. Quelle horreur. Qui est ou qui sont ces tortionnaires qu’on appelle « docteur » ???
Il faut aider les personnes à abréger leurs souffrances avec une aide active à mourir !!!!! Parfois les personnes agonisent dans des conditions effroyables et atroces ! L'ADMD se bat pour une aide active à mourir !!!!! Les riches vont en Suisse ou en Belgique !!!!! Certains médecins refusent même de pratiquer des sedations et préfèrent devenir des bourreaux !!!!!! Ce sont des réalités sur le sol Français !!!!!!
Après nous l'avons tous fait, tripler les doses de midazolam soulage autant lae patient.e que les soignant.e.s ; mieux vaut éteindre le cœur trois semaines avant pour le bien de toustes
Mon mari soufrait d’une maladie irréversible et sans traitement adapté à ce jour.
Après plusieurs mois de souffrance, une dégradation physique très importante, des difficultés à respirer de plus en grandes jusqu’à des détresses respiratoires, la maladie avançant de plus en plus vite, il a prit une décision : il savait que sans ça il mourrait par étouffement.
Avec l’équipe de soins palliatifs, avec nous aussi, il a parlé de son souhait d’être sédaté. Il a dit je veux que ça s’arrête. Lui et les médecins se sont donc entendus. A la prochaine décompensation il sera sédaté.
Et ensemble pleurant dans les bras l’un de l’autre je lui ai dit que je comprenais très bien et qu’il fallait arrêter ces insupportables souffrances. Qu’il ne devait surtout pas culpabiliser.qu’on l’aimait, qu’il nous manquerait,
Mais surtout, surtout qu’on ne voulait pas qu’il souffre.
C’est ça la sédation profonde et définitive. Et merci des milliers de merci à tous les médecins qui la pratique.
Arrêter la souffrance humaine est le plus beau des actes. Quelques soit la méthode à appliquer. Même la plus difficile.
Je déplore les autres ceux pour lesquels la « vie » doit être maintenue même aux plus agonisants.
Et ils s’en ventent!
J’ai vu dans un centre de gérontologie une pauvre femme mourant d’étouffement. Quelle horreur. Qui est ou qui sont ces tortionnaires qu’on appelle « docteur » ???
La pratique de l'euthanasie ne serait t'elle pas plus efficace ?
Oui les médecins peuvent devenir des bourreaux et des tortionnaires ! Laisser une personne agoniser dans des conditions atroces est inhumain !!!!!
Il faut aider les personnes à abréger leurs souffrances avec une aide active à mourir !!!!! Parfois les personnes agonisent dans des conditions effroyables et atroces ! L'ADMD se bat pour une aide active à mourir !!!!! Les riches vont en Suisse ou en Belgique !!!!! Certains médecins refusent même de pratiquer des sedations et préfèrent devenir des bourreaux !!!!!! Ce sont des réalités sur le sol Français !!!!!!
Après nous l'avons tous fait, tripler les doses de midazolam soulage autant lae patient.e que les soignant.e.s ; mieux vaut éteindre le cœur trois semaines avant pour le bien de toustes
Josée Baillargeon