Je crois effectivement qu'il y a beaucoup d'ignorance de ce que sont les soins palliatifs. Bravo à vous de démystifier et différencier ces soins de l'aide médical à mourir. J'ai eu la chance (oui, oui, la chance! 🙂) que mon père passe les dernières semaines de sa vie aux soins palliatifs. J'ai vécu tellement de beaux moments avec lui durant cette période. Ses douleurs étaient bien contrôlées donc il était conscient et très serein. Dans notre cas, le personnel soignant a aussi été extraordinaire pour mon père mais aussi beaucoup avec ma mère, moi et mon frère. Mon père est décédé dans la dignité entouré de soins, de compassion et d'amour!
MERCI pour cette excellente émission qui a répondu à plusieurs de nos questions ! Et merci et respect aux intervenants pour leur courage et leur droiture, qui se font rares, hélas !, par les temps qui courent… alors que les excès dans l’Aide médicale à mourir est une honte pour le Canada !
Merci à Antoine Malenfant et l'équipe de Le Verbe médias pour cet échange avec Claire Gravel et le Dr Marc Bergeron. Une petite correction à mes propos (à 17:40): un seul médecin ou IPS doit accompagner un patient souhaitant remplir une demande anticipée d'aide médicale à mourir au Québec. Plus tard, deux professionnels soignants doivent évaluer la demande lorsque ses critères sembleront être atteints.
Je crois effectivement qu'il y a beaucoup d'ignorance de ce que sont les soins palliatifs. Bravo à vous de démystifier et différencier ces soins de l'aide médical à mourir. J'ai eu la chance (oui, oui, la chance! 🙂) que mon père passe les dernières semaines de sa vie aux soins palliatifs. J'ai vécu tellement de beaux moments avec lui durant cette période. Ses douleurs étaient bien contrôlées donc il était conscient et très serein. Dans notre cas, le personnel soignant a aussi été extraordinaire pour mon père mais aussi beaucoup avec ma mère, moi et mon frère. Mon père est décédé dans la dignité entouré de soins, de compassion et d'amour!
MERCI pour cette excellente émission qui a répondu à plusieurs de nos questions ! Et merci et respect aux intervenants pour leur courage et leur droiture, qui se font rares, hélas !, par les temps qui courent… alors que les excès dans l’Aide médicale à mourir est une honte pour le Canada !
Merci à Antoine Malenfant et l'équipe de Le Verbe médias pour cet échange avec Claire Gravel et le Dr Marc Bergeron. Une petite correction à mes propos (à 17:40): un seul médecin ou IPS doit accompagner un patient souhaitant remplir une demande anticipée d'aide médicale à mourir au Québec. Plus tard, deux professionnels soignants doivent évaluer la demande lorsque ses critères sembleront être atteints.
Merci à toi Jasmin d'avoir été des nôtres!