La bonne critique sceptique c'est celle qui 1) reconnait avant tout de reconnaitre qu'elle pourrait avoir tort et 2) en arrive à accepter les thèses de l'autre. Bref, je veux bien accepter le jeu de la liberté d'expression et du dialogue dès lors qu'à la fin c'est toujours moi qui gagne.
Ce que nous vous reprochons - faisons-fi des éternels polémistes, le monde est ainsi fait - c'est de ne pas être une science, notamment dans la méthodologie, le reste n'est que verbiage oiseux !
la psychanalyse se rapproche du cadre épistémologique des sciences humaines/compréhensives; cela n'a rien à voir avec celui des sciences expérimentales ou positives, qui ne sont pas la seule source de savoir sur terre...
Perdu les sciences humaines sont également soumises à la méthode scientifique. Oui ce n'est peut-être pas la méthode parfaite, mais excusez moi de douter d'une discipline qui prétend plein de choses mais refuse de soumettre ses idées à la moindre expérience rigoureuse. @@yespti4647
La psychanalyse n’a jamais prétendu être une science mais c’est une clinique et une tentative d’exploration du psychisme humain avec une pratique et une théorie toujours capable de réflexivité et de questionnement critique.
Je ne crois pas que ça soit Freud qui soit le plus maladroit. La psychanalyse transporte son bagage depuis Kanner et Bettelheim qui ont parlé de mère frigidaire. Effectivement les suivants et notamment Lacan a apporté du matériel clinique d'une grande richesse
Les psychoses sans délire massif envahissant, donnent impression de grande froideur (voir Liaisons dangereuses : une perverse, aux défenses psychotiques, instrumentalise un narcisse, défenses psychotiques, pour démolir une névrosée sensible qu'elle envie...) ua-cam.com/video/HP_J8nnkBT8/v-deo.html
Je pense que Monsieur Gallen doit revoir sa manière de définir le "bon" et le "mauvais" scepticisme. On peut ne pas avoir expérimenté tout en étant sceptique des allégations affirmées. La charge de la preuve revenant à celui qui affirme telle ou telle pseudo vérité. Ce n'est que mon avis, mais le coup du "moi j'ai essayé ça marche", ou pas d'ailleurs, n'a rien de rigoureux scientifiquement parlant.
Très intéressant merci ;) !
La bonne critique sceptique c'est celle qui 1) reconnait avant tout de reconnaitre qu'elle pourrait avoir tort et 2) en arrive à accepter les thèses de l'autre.
Bref, je veux bien accepter le jeu de la liberté d'expression et du dialogue dès lors qu'à la fin c'est toujours moi qui gagne.
Ce que nous vous reprochons - faisons-fi des éternels polémistes, le monde est ainsi fait - c'est de ne pas être une science, notamment dans la méthodologie, le reste n'est que verbiage oiseux !
la psychanalyse se rapproche du cadre épistémologique des sciences humaines/compréhensives; cela n'a rien à voir avec celui des sciences expérimentales ou positives, qui ne sont pas la seule source de savoir sur terre...
Perdu les sciences humaines sont également soumises à la méthode scientifique. Oui ce n'est peut-être pas la méthode parfaite, mais excusez moi de douter d'une discipline qui prétend plein de choses mais refuse de soumettre ses idées à la moindre expérience rigoureuse. @@yespti4647
La psychanalyse n’a jamais prétendu être une science mais c’est une clinique et une tentative d’exploration du psychisme humain avec une pratique et une théorie toujours capable de réflexivité et de questionnement critique.
Je pense même qu'elle est une philosophie de l'esprit.
@@lagrandefille trop ésotérique et encore plus sujette aux interprétations personnelles
Je ne crois pas que ça soit Freud qui soit le plus maladroit. La psychanalyse transporte son bagage depuis Kanner et Bettelheim qui ont parlé de mère frigidaire. Effectivement les suivants et notamment Lacan a apporté du matériel clinique d'une grande richesse
Les psychoses sans délire massif envahissant, donnent impression de grande froideur (voir Liaisons dangereuses : une perverse, aux défenses psychotiques, instrumentalise un narcisse, défenses psychotiques, pour démolir une névrosée sensible qu'elle envie...) ua-cam.com/video/HP_J8nnkBT8/v-deo.html
Je pense que Monsieur Gallen doit revoir sa manière de définir le "bon" et le "mauvais" scepticisme. On peut ne pas avoir expérimenté tout en étant sceptique des allégations affirmées. La charge de la preuve revenant à celui qui affirme telle ou telle pseudo vérité.
Ce n'est que mon avis, mais le coup du "moi j'ai essayé ça marche", ou pas d'ailleurs, n'a rien de rigoureux scientifiquement parlant.
Aux fous...