réflexion sur publication je la vis en pleine résonance, merci (cette caméra est vraiment surprenante en qualité d'image et stabilité, là les scènes de gare et de rue on aurait aimé un micro complémentaire, mais c'est juste de la gourmandise!)
7 місяців тому
Merci François pour ce retour. Je comprends bien pour le son de certaines scènes mais c'est un tout autre dispositif de filmer avec un enregistreur numérique et un micro en parallèle de la vidéo, je perdrais cette légerté qu'offre cette merveille de petite caméra légère (tout le temps partout avec moi), mais j'y réfléchis.
c'est superbe (la fin avec les arbres et la nuit qui vient) (et pour le musée, je n'ai pas pu m'empêcher d'y voir une lutte des classes, entre de vraies peaux et visages, abîmés, meurtris, avec la vie qui les a tailladés, sclérosés, et les visages préservés, sculptés et nobles, entiers ceux-là, et possédant chacun un piédestal)
7 місяців тому+1
La scène des arbres dans la nuit et le ciel d'un bleu très profond est également ma scène préférée, les branches des arbres y disparaissent progressivement jusqu'au noir de la nuit. Pour le Musée des moulages, tu as tout fait saisi l'atmosphère très troublante du lieu, ce que révèlent les matériaux utilisés, entre la cire et le marbre.
J'aime beaucoup ! Et sans avoir lu les commentaires,me suis dit à quel point la ville devient ductile sous ton regard- sa peau élonguée, l'issue toujours présente. Et c'est apaisant!
7 місяців тому
Merci infiniment Alain pour cet avis qui me touche sur "la ville ductile" qui résonne forcément avec les images du Musée des moulages !
Les moulages sont fascinants : une empreinte comme celle qui se déposait sur la pellicule de l'appareil photo et que le numérique a bouleversé ; comme le papier et l'encre devenus écran.
7 місяців тому+1
Merci Laurent, en effet c'est un lieu impressionnant à plus d'un titre, les milliers de moulages sont d'un réalisme si troublant que des familles viennent parfois honorer la mémoire de leurs aïeux devant le moulage de leur visage (on imagine leur trouble). Et ce lieu d'enseignement dermatologique à l'hôpital se transforme alors en lieu de mémoire.
je sais pas si j'aurais osé lire dans ce musée des horreurs
7 місяців тому
En fait le plus impressionnant c'est de s'y retrouver seul, dans l'attente du public. Pour la lecture c'était le lieu idéal pour "Histoire de ma peau" dont le Musée pourrait à lui seul être un chapitre du livre de Sergio del Molino !
Quelle qualité de film ! Douceur pour les yeux. Merci de parler de l'édition, ce que tu en dis.
Vos vidéos sont toujours très relaxantes 🥰
C'est un beau compliment, merci !
(accessoirement, merci aussi pour Jaimie Branch, je découvre, hallucinant)
réflexion sur publication je la vis en pleine résonance, merci (cette caméra est vraiment surprenante en qualité d'image et stabilité, là les scènes de gare et de rue on aurait aimé un micro complémentaire, mais c'est juste de la gourmandise!)
Merci François pour ce retour. Je comprends bien pour le son de certaines scènes mais c'est un tout autre dispositif de filmer avec un enregistreur numérique et un micro en parallèle de la vidéo, je perdrais cette légerté qu'offre cette merveille de petite caméra légère (tout le temps partout avec moi), mais j'y réfléchis.
c'est superbe (la fin avec les arbres et la nuit qui vient) (et pour le musée, je n'ai pas pu m'empêcher d'y voir une lutte des classes, entre de vraies peaux et visages, abîmés, meurtris, avec la vie qui les a tailladés, sclérosés, et les visages préservés, sculptés et nobles, entiers ceux-là, et possédant chacun un piédestal)
La scène des arbres dans la nuit et le ciel d'un bleu très profond est également ma scène préférée, les branches des arbres y disparaissent progressivement jusqu'au noir de la nuit. Pour le Musée des moulages, tu as tout fait saisi l'atmosphère très troublante du lieu, ce que révèlent les matériaux utilisés, entre la cire et le marbre.
J'aime beaucoup ! Et sans avoir lu les commentaires,me suis dit à quel point la ville devient ductile sous ton regard- sa peau élonguée, l'issue toujours présente. Et c'est apaisant!
Merci infiniment Alain pour cet avis qui me touche sur "la ville ductile" qui résonne forcément avec les images du Musée des moulages !
j'adore ton journal du regard, merci beaoucoup.
gaël de toulouse
Merci Gaël, très touché !
@ je partage je partage !
@à mes amis, mes amis !
@@ScaleParasitoid Merci, merci !...
Les moulages sont fascinants : une empreinte comme celle qui se déposait sur la pellicule de l'appareil photo et que le numérique a bouleversé ; comme le papier et l'encre devenus écran.
Merci Laurent, en effet c'est un lieu impressionnant à plus d'un titre, les milliers de moulages sont d'un réalisme si troublant que des familles viennent parfois honorer la mémoire de leurs aïeux devant le moulage de leur visage (on imagine leur trouble). Et ce lieu d'enseignement dermatologique à l'hôpital se transforme alors en lieu de mémoire.
je sais pas si j'aurais osé lire dans ce musée des horreurs
En fait le plus impressionnant c'est de s'y retrouver seul, dans l'attente du public. Pour la lecture c'était le lieu idéal pour "Histoire de ma peau" dont le Musée pourrait à lui seul être un chapitre du livre de Sergio del Molino !