Goddard c’est l’archétype du cinéma intello-bobo. Aussi imbuvable que de l’ « art contemporain »… Des films qui s’amusent à ne rien vouloir dire. Tout est dans la forme… Rien d’étonnant à ce qu’un de mes anciens amis, devenu petit prof d’université, en était fan absolu quand nous avions 20 ans…
Godard est intéressant à ses débuts, car il renouvelle la grammaire cinématographique. Le Mépris est un pur chef d'oeuvre ! Par contre, après, c'est un peu du n'importe quoi et du foutage de gueule !
Le cinéma italien est de loin le meilleur cinéma mondial dans la catégorie des classiques du cinéma mondial. Le plus fou, le plus beau, le plus subversif.
@@audreykarelita Nous nous sommes tant aimés - Mariage à l'italienne - Au nom du peuple italien - Le guépard - Parfum de femme - Une journée particulière - Les damnés - Fellini Roma - Le fanfaron - Les monstres - L'argent de la vieille - Les tournesols - Accatone - La ciociara - Affreux, sales et méchants - Huit et demi - Le voleur de bicyclettes - La dolce vita... Vous trouverez bien votre bonheur dans ce kit de départ totalement foutraque. J'ai une tendresse particulière pour les cinq ou six premiers, mais tout est bon et il y aurait tant à ajouter.
Excellent, franchement c'est une EXCELLENTE analyse du ciné de godard. Il a tout dit c'est juste EXACTEMENT ça. Je viens de finir la vidéo, c'était une putain de masterclass! incroyable.
Il y a une maîtrise du temps long chez Antonioni qu'on n'a pas chez Godard. Avec lui, ça va trop vite, il esquive toujours... ALPHAVILLE va aussi dans ce sens, mais ça reste trop littéraire et donc ça sort du cinéma. L'accelération du film rejoué de la fin décolle de toute réalité vécue. Une citadelle bourgeoise comme on en trouve partout.
Je comprends ce qui dit Soral, néanmoins certains films de la Nouvelle Vague me font rêver (poétique) encore aujourd'hui par leur analyse de caractère et absurdité. Je mets à part Eric Rohmer qui décrit et nous ouvre les personnages dans leurs contradictions intimes assez réelles.
Très intéressant. Petit bémol : les plus grands du cinéma italien ne s appellent pas Antonioni en ce qui me concerne, mais plutôt De Sica et Scola. La naïveté abusée, outragée, souillée, par quoi l homme devient grand, parce ce que, loin de céder à la haine que pourraient lui inspirer ceux qui l ont offensé, il s arme de compassion, et s'efforce de garder en lui-même quelque chose de cette naïveté première.
@@vraikorrigan ...à celui qui se refuse à entendre autre chose que le discours habituel qu'il souhaiterait entendre pour le conforter dans son positionnement bien pensant
"Les jeunes sont tellement débiles qu'ils gobent que Belmondo peut être assassin". Tout l'art de Godard consiste justement à jouer sur l'invraisemblable, les clichés, à ne pas faire croire à, et c'est justement ce qui est drôle et intelligent. Mais il est con ce Soral c'est un truc de fou.
comme d'habitude avec alain soral, il y a beaucoup de vrai dans ce qu'il dit, mais c'est mélangé à des approximations la nouvelle vague n'a pas besoin de faire réaliste car c'est un jeu formel qui se moque des conventions & qui joue avec le spectateur pour lui rappeler que ce qu'il regarde n'est qu'un film & que la réalité est bien plus captivante il a complètement tort quand il dit que PIERROT LE FOU est irregardable alors que c'est un pur chef-d'oeuvre par sa totale modernité de forme, exactement comme quand il dit que LE MEPRIS est "un film qui ne marche pas alors qu'il a tout pour plaire" jlg veut que le cinéma ne soit pas un art passif mais un art actif & c'est pour ça qu'il amène le spectateur à questionner ce qu'il voit & à le remettre en perspective par contre totalement d'accord sur les derniers films de merde de truffaut jlg n'a jamais été compris, que ce soit à l'époque par la nouvelle vague ou aujourd'hui par ceux qui se réclament de ses successeurs d'accord aussi sur BLOWUP d'antonioni, qui figure dans mes 10 meilleurs films jlg a raison quand il dit qu'il faut montrer les camps de concentration plutôt que d'en parler, car qui a vu les images des camps documentées par les allemands ou les américains?
Soral reprend le vieux discours anti-intellectuel que les cinéphiles ont toujours tenu contre JLG parce que JLG les dérangeait dans leur confort de spectateurs. Ce qui prouve que Soral n'est ni très original ni très malin.
L'art c'est une convention, on adhère ou on adhère pas... on prend ou on rejette en toute liberté. C'est une façon de voir et d'entendre le réel, le vivant, l'existence des êtres, des lieux et des acteurs que l'on a jamais connus dans la "vraie vie"... Après une certaine objectivité peut prévaloir sur certains aspects : originalité, profondeur, finesse, justesse, cohérence, intelligibilité etc. mais ce ne sont que des aspects... C'est comme la bouffe, certains se contentent de peu, d'autres sont très difficiles, certains ont beaucoup d'appetit, d'autres peu... sachant que tout cela peu évoluer au fil du temps... En tout cas j'essaie de voir les films au moins une fois, voire plusieurs fois avant d'affirmer ci ou ça quand à leurs mérites... les préjugés ("politiques" entre autres) dominent souvent le débat critique Blow-Up m'a beaucoup plu même si je n'y ai pas cherché à y comprendre grand chose, comme souvent avec les films d'Antonioni j'accompagne avec plaisir les personnages dans leur "promenade", leur errance enigmatique. Idem pour JLG, je n'ai jamais cherché à comprendre, j'accompagne ou pas (majoritairement oui). J'en reviens toujours aux lieux, aux êtres que sont les acteurs, au vivant...
La nouvelle vague c'est le début du téléfilm à la France 3....soit de la grosse mer....de...!!!..je vais au cinoch pour voir autre chose que les élucubrations d'une jeunesse dorée qui se plaint de tout...et surtout d'eux même...J'aime les belles images, ce fut mon métier, et non ces ramassis d'images mal mis en place à tout point de vue justement, prise de vue, cadre, montage, photos...!!! Le rêve chez ces gens là n'existe pas sauf de leur petit nombril qui leur sert de cerveau ....Je hais ce soit disant cinéma qui a donné que de la médiocrité et qui a donc créer le genre téléfilm très à gauche de Fr3.....!!! Du soit disant cinéma...égocentrique....!!! Ce con de truffaut qui déteste Mr Audiard ne fait plus du tout d'audience quand ses films passe à la télé...Quand un Audiard/Gabin passe c'est le carton assuré et on rigole...!!!!! La nouvelle vague c'est comme le front populaire qui n'est pas populaire du tout mais un rassemblement de bobos bourgeois...qui haîssent le peuple.....!!!
@@mouradgouasmi4114 Tout à fait d'accord avec vous Mr Mourad....De toute façon Belmondo haïssait ce film et n'aimait plus Godard qui n'arrêtait pas de lui dire qu'il haîssait Gabin et Audiard et qu'il ne devait pas jouer avec eux...ce fut leur grande dispute...Bebel a bien eu raison!!!
@@remynoel5506 Je ne dis pas le contraire. Le problème de Soral c'est qu'il parle encore plus qu'il ne s'instruit. Faut savoir le reconnaître quand on ne maîtrise pas un sujet.
Comment peut-on dire que ces films sont presque irregardable ?Non, ces films sont des chefs-d’œuvre car ils étaient totalement conscients de la chance qu’ils avaient a leur époque et ils n’en pas fait de simple « easy rider » mais bien des grandes œuvres d’art comme « l’homme à la caméra » ou «la règle du jeu » (même plus qui sait…?) . Ils ont montré qu’il était possible de faire de l’art avec ces potes de classes. Pierrot est le symbole ultime de l’art cinématographique il représente cet art et nous dit que l’art est beau car l’art est fou. Ceux ne sont pas des films cultes au même titre que Robotcop ou Poulpe Fiction. Ils ont réussi à mettre du Picasso en mouvement et Faire parler les tableaux de Renoir. Ils ont montré que cet chose là était de l’art et on veut nous dire le contraire parce que que cet art là est dans une industrie qui a besoin de beaucoup d’argent ? Avant, les producteurs prenaient des risques quand ils décidaient d’investir un film ils savaient qu’ils allaient perdre de l’argent mais si il le faisait c’était pour faire une œuvre qui allait dépasser ce simple aspect lucratif. Aujourd’hui je veux bien l’admettre. Il n’y a plus du tout de producteurs qui prennent de risque alors oui aujourd’hui on pourrait dire ça mais pas pour tous avant. Mais en quoi cela dérogerait aux règles de l’art puisque l’art n’a pas de règles si ce n’est de ne pas en avoir. Et aujourd’hui on veut nous faire croire que ces films ne sont que (presque) de la pacotille ? Non vous vous trompez. Tous ceux qui manquent d’imagination ce réfugient dans la réalité. Le cinéma n’est pas la réalité mais la projection d’images mentale sur un drap (ou LED) donc évidemment que rien n’est logique. Les films cultes sont de la culture alors que les chefs d’œuvre sont de l’art et l’art c’est l’exception, au même titre de la nouvelle vague et la culture c’est la règle et la règle déteste l’exception et c’est pourquoi on veut la supprimer cette exception. Le cinéma déteste la règle comme je la hais aussi c’est pourquoi j’ai envie de le comprendre (même si il se pourrait bien que la vérité soit triste). Bref on peut parler encore si vous voulez
Il est approximatif, subjectif et arrogant. "L'industrie" en France n'est pas soumise à un pouvoir unique et donc a mille visages. Le cinéma français est le plus divers du monde. Soral est un frustré qui règle des comptes.
@@vraikorrigan "mille visages"; mais les producteurs sont toujours les mêmes... "le plus divers du monde"; la majorité des films est devenue une propagande idéologique (pro-LGBT, pro-migrants, et des points goldwin en veux-tu en voilà).
@@PA-jh5vi Tu ne sais pas de quoi tu parles. Je suis dans le cinéma, ce que tu décris vaut pour 25% des films, il y a une grande diversité, beaucoup de producteurs, beaucoup de sources de financement. Renseigne-toi au lieu de répéter des clichés soraliens.
@@vraikorrigan tu as déjà vu un film français favorable à la peine de mort, favorable au retour et respect des frontières, défavorable au mariage homo ou à l'IVG? C'est peut être parce que tu beignes dans l'idéologie mondialiste que tu ne te rends même pas compte que la fameuse liberté d'expression c'est du flan.
Mdr,ça fait un peu le cinéaste rageux un peu raté qui se lâche sur le cinema,le cinema n'est pas en soi inférieur ou supérieur tous depend de l'oeuvre,tous les livres et films ne sont pas égaux,La Dolce Vita est supérieur a Harry Potter au meme titre que Balzac est supérieur a Madame Web,quel argument réducteur et simpliste,et puis il est en total contradiction,a ce que sache les écrivains a travers l'Histoire n’était ni des paysans ni des prolétaires(d’ailleurs au passage la majorité des gens jadis,ne savaient ni lire ni écrire)paradoxalement le cinema demande beaucoup plus de travail au final que la littérature,art d'intello individualist,je me demande bien ce qu'il pense des films étrangers a sous-titres? lol...
Les francais sont forts en littérature, en analyse psychologique profonde. La langue francaise offrant de nombreuses possibilités . Je nai jamais vraiment compris "la nouvelle vague", ce cinema ne parle pas a tous le monde .cest un cinema etrange . Ils nont jamais vraiment percé . Ce cinema sinscrit vraiment dans les annees 60 70 . Je prefere largement Audiard, dautres: autant lara . Les films avec gabin, ventura .delon de funes , jean lefebvre . La nouvelle vague cest linfluence americaine du cinema francais "nouvelle" vague
Les escrocs des cahiers du cinéma chantaient les louanges des grands réalisateurs américains hollywoodiens de l'âge d'or mais n'hésitaient pas une seule occasion de casser les réalisateurs français dit populaire, donc commercial, donc vulgaire pour ces metteurs en scène de la nouvelle vague minable.
C'est marrant, moi, *Le Mépris*, je trouve que c'est moins foutage de gueule (que c'est un peu plus "propre", formellement) que les autres de Godard. Par ailleurs, j'ignore si je suis le seul à avoir trouvé ça, mais, dans *Le Mépris*, Piccoli a un peu l'air de se foutre de ce que pense Bardot : à la fin elle meurt et il s'en fait une raison. C'est elle qui est beaucoup plus vexée de la façon dont il la traite en l'envoyant dans les pattes de Jack Palance. De sorte qu'on se demande si ça ne parle pas surtout du mépris de l'homme pour la femme, là-dedans, contrairement à ce qu'on explique généralement. Ce serait assez cohérent avec la misogynie de Godard notée par Soral dans *A bout de souffle*.
Ah non, Piccoli souffre. Mais il ne souffre pas seulement du mépris de sa femme, il souffre aussi de vendre ses fesses au producteur américain alors qu'au fond il est du côté de Fritz Lang.
@@vraikorrigan Ma foi, vous devez avoir raison. Je ne suis pas un cinéphile averti. C'est sans doute l'attitude assez passive de Piccoli, vraisemblablement pour traduire sa faiblesse de caractère, que j'ai voulu comprendre à tort comme du je-m'en-foutisme "cool". Parce que dans mon souvenir, on ne le montre jamais en train de pleurer ou de supplier très pathétiquement sa femme, ce qui suggérerait encore trop de "nerf", il faut croire. Mais sa résignation navrée peut alors passer pour une forme de stoïcisme.
@@misanthropemodere Dans la longue scène dans l'appartement, son personnage (à Piccoli) évolue du je-m'en-foutisme cool dont vous parlez, qui est une attitude d'emprunt, vers l'inquiétude et la tristesse quand il comprend que Bardot le méprise pour toujours. Une partie des "cinéphiles" méprise Godard sans voir qu'il fut un grand et fin psychologue, dans ce film en particulier. Mais Godard n'appuie pas, il dispose des signes, et le spectateur doit les déchiffrer. Mais tout est là pour qu'on comprenne. Godard a confiance en l'intelligence du spectateur. Je l'admire éperdument pour ça.
C'est parler cinéma sans évoquer la fameuse communauté qui serait surprenant quand on connaît le monde des producteurs et les cooptations dans ce milieu.
François Truffaut a écrit la phrase la plus con de toute l'histoire des critiques de cinéma au sujet d'audiar, les cons ca ausent tout c'est à ça qu'on les reconnait
@@PA-jh5vi Oui, oui Ou de son propre échec à exister comme il l'aurait initialement voulu, comme un certain peintre viennois. C'est le privilège de l'âge, j'étais très jeune au siècle dernier. Soral y a eu une petite hype dans les médias avec ses bouquins et ça lui plaisait tellement d'être l'invité, le "bon client". Seulement, comme tout buzz, ça a fini par passer. Il a trouvé des responsables à son échec et un nouveau créneau. D'ailleurs, si son évier est bouché, c'est aussi les Juifs. Bonne journée et bonne continuation
Dire que le cinéma est de la sous littérature parce qu'il adapte mieux des romans "mineurs" est quelque peu absurde : le cinéma est un art visuel / temporel qui a en réalité peu de rapport avec la littérature, sinon à la base de raconter une histoire.
Bah ce qu'il dit reste réel. Le cinéma est par essence un art passif, qui demande peu d'implication intellectuel au premier plan, contrairement à la littérature qui force au lecteur à s'impliquer de manière active dans sa lecture. La peinture aussi est un art visuel, mais comme il n'est pas mouvant il se trouve selon moi à la frontière entre la littérature et le cinéma, c'est en quelques sortes le compromis entre les deux.
On te dit qu'une forme est mieux adaptée à une autre, tu en conclues que tous les propos s'égalent ipso facto. C'est la caméra qui filme le phare, comme c'est le roman qui illumine le scénario --- comme c'est la bateau qui coule et pas la mer ; comme c'est le jour qui passe pas la vie.
Un artiste est indissociable de son art et c'est cela qui fait que c'est de l'art. Aujourd'hui, même dans les arts dits majeurs, tout se fait pour et par l'argent. On accouche d'un grand livre, cela veut tout dire. Le cinéma est objectivement de l'art mineur, ça ne fait aucun doute
Surtout en prenant Mme Bovary comme exemple du roman mineur ^^ Le point de vue de Soral pourrait être intéressant s'il ne reposait pas sur un ramassis de frustrations en tout genre.
Nan mais quand il dit que le cinéma est un art passif, oui mais pour celui qui le regarde pas pour ceux qui le fabrique, car dans ce cas on peux dire la même chose de la musique, c'est un art passif pour ceux qui l'écoutent, et la peinture est un art passif pour ceux qui la contemplent... Pour moi le cinéma est l'art qui contient en lui même tous les autres arts : la musique (quand on écoute les musiques de films de John Williams à part de leur film, c'est presque de la musique classique) , le scénario d'un film c'est de la littérature, certaines compositions de plan dans un film (si elles sont bien faites) peuvent se rapprocher de la peinture ou de la photographie. Donc il y'a de tout dans le cinéma, le cinéma est un concentré d'artS.
Ce qu’il veut dire c’est que le cinéma est beaucoup moins conceptuel que la littérature. Pourtant le cinema de Godard se veut très conceptuel (hormis la révolution concrète qu’il a opéré sur le plan de la réalisation), ce qui est une erreur selon Soral, qui fait que c’est selon lui un cinéma de merde, et que le cinéma Italien a bien mieux compris ce qu’étais un bon film, qui avait pour eux une dimension conceptuelle en cohérence avec son médium, c’est à dire moins présente ou du moins mieux imbriquées avec l’objet filmique, donc tout ce qui le compose, la réalisation, le scénario, le découpage, etc.
@@Restosef mais non, le cinéma est justement l'art ultime dans la mesure où c'est l'art qui contient et condense tout les autres. Prenons Le Parrain par ex (mais j'aurais pu en choisir des tonnes d'autres) , on y retrouve du théâtre, pour le jeu des acteurs, de la musique pour l'incroyable partition de la musique du film, on y retrouve quelque chose se rapprochant de la littérature via le scénario qui est d'ailleurs une adaptation d'un roman du même nom, et enfin on retrouve aussi des choses s'apparentant à la photographie aussi. Y'a tout dans le cinéma
@@Lsda1210 Il y a une très bonne vidéo qui répond à cet argument de « l’art ultime » d’Antoine Goya quand les fans du Jeux vidéos disent que c’est l’art ultime. La réponse que je vous donnerai est assez similaire, une bonne musique ou une belle image ajoute à la qualité du film, mais toute ces choses s’articulent autour de ce qui fait la spécificité du cinéma, à savoir la réalisation, la mise en scène, le découpage : tout ce qu’on ne trouve pas dans les autres formes d’art. Dans le jeux vidéo, une bonne musique, une belle photographie, une bonne mise en scène bien cinématographique, ajoutent à la qualité d’un jeu. Mais la qualité principale autour de quoi tout s’articule reste la sensation de jeu, l’immersion, le level design, tout ce qui fait la spécificité du jeu vidéo. Et pour finir sur le conceptuel, j’entends par conceptuel « qui apporte du concept ». 2001 est conceptuel, mais en accord avec le cinéma. Il dit très peu de choses, il montre beaucoup, c’est ça un bon film, c’est exploiter la spécificité du cinéma pour créer quelque chose qui n’a jamais été fait. Si vous essayez de transposer en livre 2001, c’est à dire transposer tout ce qui se passe à l’écran à l’écris, il y a de grande chance que ce soit un livre de merde, non pas que l’histoire sois mauvaise, mais que ce sera très dur de la rendre intéressante, et surtout Parceque le sujet a déjà été abordé des centaines de fois de manières plus profonde dans la littérature. Au fond la littérature sera toujours plus conceptuelle que le cinéma, et quand on regarde un film, on ne veut pas le même niveau de concept que devant un livre, on veut quelque chose de cinématographique, de divertissant. Si vous filmez un livre, vous aurez un grand niveau de concept, mais où est le cinéma la dedans ? Ne serais ce pas la même chose de lire le livre en question ?
Mais pourquoi UA-cam me propose cela ? Déjà le postulat cinéma = passivité, et illustrer l’incapacité à étudier en montrant Rohmer professeur agrégé c’est bon encore une belle illustration du vide sous la calvitie !
Godard a volé son grand père maternel (Banque Monod), il est parti avec la caisse des cahiers du cinéma, il faisait les poches de tous ses visiteurs, Godard a pu faire des films avec le pognon des autres friqués. Godard un psychopathe nombriliste terne et asocial d'un ennui mortel ...
Le film charnière, film de papa et nouvelle vague, c'est peut-être l'âge ingrat de Gabin et Monsieur Fernand. C'est l'après guerre à la charnière entre l'avant et l'après 1968. Une frontière entre deux mondes. Une des dimensions du cinéma que Soral n'évoque pas c'est l'Opéra. Si vous regardez "Robin des Bois" avec Errol Flynn et Olivia De Haviland en 1938, vous reconnaitrez l'opéra et le ballet classique, c'est là tout le géni du cinéma hollywoodien. Les Russes poursuivent ce travail des grands spectacles mêlant chants, danses, décors, musiques et mise en scène. Et low cost, ce n'est que du bois, du décor, de la scène en châtaignier et du chant à capela. RT à diffusé au moins deux très grand spectacles dans ce genre. Dans cet esprit il y a un film qui est en cours de restauration c'est "Napoléon" d'Abel Gance en version original. A suivre.
Ces films nouvelles vagues sont insupportables ! C'est pareil que les gars au théâtre qui miment un loup qui chie sur une musique déconstruite pendant que des vieux boomers mordillent leurs lunettes dans le public. À la même époque, ce qu'il y a en Italie, aux USA et même en URSS (Stalker de Tarkowski c'est pas à bout de souffle !)
Vivre sa vie, Le Signe du Lion, La Religieuse, Les Cousins, sont tous supérieurs à Stalker. La Nouvelle Vague est l'un des grands moments artistiques du 20ème siècle. Seuls les anti-intellectuels et les faux esthètes ne le comprennent pas.
Ces films Nouvelle Vague sont peut-être trop bavards pour vous ? Cet esprit "parisiano-français" que j'adore vous agace peut-être ? Et j'aime plutôt bien Tarkovsky ceci-dit...
En france la Nouvelle Vague c'etait des destructeurs de la forme cinématographique. Par exemple en Italie à la même époque il y avait des créateurs de forme.
"des destructeurs de la forme cinématographique", n'importe quoi ! Tu emploies des mots que tu ne comprends pas toi-même. Un peu de modestie ne te ferait pas de mal. Mais c'est pas chez Soral que tu apprendras ça.
"Il n'y a rien de pire qu'un vieux qui veut faire jeune " dit le vieillard qui s'est fait choppé sur le net en train d'envoyer des photos de lui à poils à une gamine de vingt ans.
@@cosmojairzinho14 à cause de l' algorithme baisé de youtube, parce que j'aime le cinéma... de là à écouter cette brèle la ramener sur le sujet, non merci
Après la boxe, la géopolitique, la musique, la sociologie, la psychologie, la physique, ......... Voici Soral expert du cinéma..... Ok si ça vous convainc....
Belle analyse; JP Léaud verbeux :excellente parodie dans Le Dernier Tango à Paris; Godard imbitable, définitivement, jamais vu plus de 5 minutes de ses films; ex : One+One, on a hâte de retrouver les Stones, après cette chiasse godardienne récurrente qui interrompt les sessions des Stones.
Un bel hommage au travail de Godard en illustrant ici que n'importe quelle connerie enrobée d'une rhétorique ad hominem, devient un objet intellectuel sous le regard atone du public régressif. Merci. Belle bouillie cérébelleuse M. S.
Voyez plutôt les films : A bout de souffle, Vivre sa vie, Le Signe du Lion, Ma nuit chez Maud, Les Cousins, La Femme infidèle, La Religieuse. Soral parle sans savoir.
Je suis d'accord sur presque tout. En particulier en ce qui concerne le cinéma italien. En parallèle je me demande aussi si le rêve caché d'Alain Soral n'aurait pas été d'être juif. Mdrrr
il ne sait meme pas analyser un plan de cinéma. Il pense qu'il ne faut pas " réfléchir " mais c'est faux évidemment que le cerveau réfléchit quand on regarde certains films
Je suis fan de Godard et du mépris ou pierrot le fou mais ol a fait quelques merdasses aussi. Rohmer j'aime bien ça reste assez simpliste. Le reste est sans intérêt.
@@vraikorrigan Moi 30 ans et j'ai vu aussi tout le reste pour pouvoir en tirer les meme conclusions qu'AS. A comparer la Nouvelle Vague c'est essentiellement de la posture de cultureux dans ton genre, gamin
Merci à Alain Soral de continuer à parler de chose qu'il ne connaît pas, cela permet à des gens comme Antoine Goya de comprendre qu'il raconte n'importe quoi !
@@vraikorrigan lol! J'avais vu plusieurs Godard, mais seulement des extraits du film du Big Alain. C'est la Nouvelle V. qui t'a amené à cette vidéo je suppose, pas Soral? Me trompé-je?
@@Rango965 C'est une blague, évidemment: le film d'Alain est honorable comme premier (et unique) essai, mais Godard est à des années lumières de ça. On peut trouver des poux à tout le monde, ce qui compte est la trace qu'on laisse: *nulle* en ce qui concerne Soral, dans l'histoire du cinéma.
Les arguments avancés sont très justes. Chabrol, par exemple, a vite compris que le cinéma était de la distraction et, a réalisé des films dans ce sens. C'est de notoriété que Truffaut "se tapait" ses actrices (je ne savais pas que Jeanne Moreau lui avait tenu tête). Ils ont bénéficié d'une nouveauté technique : une nouvelle caméra qui permettait de filmer en extérieur (dixit Bernadette Lafond).
"Chabrol, par exemple, a vite compris que le cinéma était de la distraction" La dimension spectaculaire ou "de divertissement" du cinéma n'a été niée par personne dans la Nouvelle Vague, ni par Rivette, ni par Godard (voir Pierrot le fou), ni par Rohmer. Simplement il y a, ou il devrait y avoir, mille manières de faire. du spectacle.
@@vraikorriganChaque réalisateur a un style, une pâte, voire une "recette" ... le tout étant de se renouveler un minimum et de ne pas lasser son public. Chabrol a beaucoup tourné, presque avec boulimie, et il s'en est plutôt bien sorti...
Le Mépris, le film est moins bon que le roman. Mais Le Conformiste, de Moravia aussi, donne un excellent film lorque Bertolluci s'en empare. Le film est supérieur au roman. Ayant d'abord vu et apprécié le film qui est pour ainsi dire mon film préféré, ,j'ai été déçu par le roman.
@@papatango5085 Sur ce piint nous sommes d'accord. Les fesses de BB étaient émouvantes et nos draps d'adolescents conservaient la trace de cette émotion.
Le commentaire de M. Soral est très intéressant. Je doute qu'il ne plaise à tout le monde 🙂
Je ne suis pas un fan de ciné ni donc un cinéphile mais j'apprécie beaucoup ces explications sur ce qu'était "la nouvelle vague" . Merci !
Le cinéma est l'art le plus complexe à créer.
aussi le plus surcoté. Catherine Deneuve met moins de maquillage et t'as un film social. Almodovar : on s'encule et on prend une Paëlla.
Ouais.
Goddard c’est l’archétype du cinéma intello-bobo. Aussi imbuvable que de l’ « art contemporain »… Des films qui s’amusent à ne rien vouloir dire. Tout est dans la forme… Rien d’étonnant à ce qu’un de mes anciens amis, devenu petit prof d’université, en était fan absolu quand nous avions 20 ans…
Godard est intéressant à ses débuts, car il renouvelle la grammaire cinématographique. Le Mépris est un pur chef d'oeuvre ! Par contre, après, c'est un peu du n'importe quoi et du foutage de gueule !
Alain tu oublies le génie révolutionnaire du cinéma Japonais d'après Guerre, qui équivaut en qualité et pépites le cinéma italien
Le cinéma italien est de loin le meilleur cinéma mondial dans la catégorie des classiques du cinéma mondial. Le plus fou, le plus beau, le plus subversif.
Les italiens ont sorti de grands réalisateurs pratiquement en même temps.
Il n'y a pas eu de relève après les années 70.
des titres merci
Dans les années 60 et 70 peut être,maintenant….
Question de point de vue. Le cinéma français peut prétendre au titre. Le cinéma soviétique aussi.
@@audreykarelita Nous nous sommes tant aimés - Mariage à l'italienne - Au nom du peuple italien - Le guépard - Parfum de femme - Une journée particulière - Les damnés - Fellini Roma - Le fanfaron - Les monstres - L'argent de la vieille - Les tournesols - Accatone - La ciociara - Affreux, sales et méchants - Huit et demi - Le voleur de bicyclettes - La dolce vita...
Vous trouverez bien votre bonheur dans ce kit de départ totalement foutraque. J'ai une tendresse particulière pour les cinq ou six premiers, mais tout est bon et il y aurait tant à ajouter.
En décrivant les critique de cinéma il fait un excellent autoportrait il se pique de beaucoup de choses mais le résultat est toujours inconsistant
Excellent, franchement c'est une EXCELLENTE analyse du ciné de godard. Il a tout dit c'est juste EXACTEMENT ça.
Je viens de finir la vidéo, c'était une putain de masterclass! incroyable.
c'est extrêmement mauvais, il n' a rien compris, aucune nuance aucune compréhension des concepts
@@MisterPoppy-sc1sj 😴
@@MisterPoppy-sc1sj Hoooo! bravoooooo! quelle répartie d'un véritable Nintélektuel!
Tu peux développer un peu ou tu pisses juste en passant ?
Il y a une maîtrise du temps long chez Antonioni qu'on n'a pas chez Godard. Avec lui, ça va trop vite, il esquive toujours... ALPHAVILLE va aussi dans ce sens, mais ça reste trop littéraire et donc ça sort du cinéma. L'accelération du film rejoué de la fin décolle de toute réalité vécue. Une citadelle bourgeoise comme on en trouve partout.
Aaah super ça calme mon impatience jusqu'à "nabilla sur l'idealisme allemand" merci!!!
"La nouvelle vague... plus vague que nouvelle"😂😂😂😂😂😂😂
Je comprends ce qui dit Soral, néanmoins certains films de la Nouvelle Vague me font rêver (poétique) encore aujourd'hui par leur analyse de caractère et absurdité. Je mets à part Eric Rohmer qui décrit et nous ouvre les personnages dans leurs contradictions intimes assez réelles.
Cela me fait penser aux inconnus 🙂
Henri Papier et Daniel Toscan S'est Planté héros des calle-pieds du cinéma
Très intéressant. Petit bémol : les plus grands du cinéma italien ne s appellent pas Antonioni en ce qui me concerne, mais plutôt De Sica et Scola. La naïveté abusée, outragée, souillée, par quoi l homme devient grand, parce ce que, loin de céder à la haine que pourraient lui inspirer ceux qui l ont offensé, il s arme de compassion, et s'efforce de garder en lui-même quelque chose de cette naïveté première.
Je rajouterais Pasolini,Piétri,et l'immense Comencinni ou Léone.
la vague est un film sur le danger de suivre un baratineur
Pierrot le Fou inregardable, mais qu'est-ce qu'il raconte... c'est un chef-d'oeuvre absolu, tout simplement.
Soral est inécoutable.
@@vraikorrigan ...à celui qui se refuse à entendre autre chose que le discours habituel qu'il souhaiterait entendre pour le conforter dans son positionnement bien pensant
@@benoitpisarchick6866 Au contraire, Soral enfile les clichés confortables. La plupart des crétins du cinéma français disent la même chose que lui.
Bien sur Godard casse le genre du cinéma à papa et filme ses personnages en pleine liberté,sa nonchalance...
Hahahahahaha...vraiment?
24:49 le côté gay de Soral qui ressort
Cette incapacité qu'il a à aimer, ça doit être pesant.
Masterclass
"Les jeunes sont tellement débiles qu'ils gobent que Belmondo peut être assassin". Tout l'art de Godard consiste justement à jouer sur l'invraisemblable, les clichés, à ne pas faire croire à, et c'est justement ce qui est drôle et intelligent. Mais il est con ce Soral c'est un truc de fou.
J'ai toujours eu du mal avec godard, surtout les derniers, maintenant je comprends mieux. Merci pour votre analyse
L'homme qui aimait les femmes , avec Charles Denner .❤
Merci Alain ! ❤
Blow up magnifique, félicitations
Il a un avis sur tout…
C'est typique des types qui, au fond, n'ont qu'un seul avis : qu'ils ont la plus grosse.
Il a surtout un avis.
@@R_V_ Il a surtout un vit.
@@vraikorrigan De là à le traiter de tête de gland... ;-)
@@R_V_ ...il n'y a qu'un pas, que je vous propose que nous fassions ensemble ! 😅
comme d'habitude avec alain soral, il y a beaucoup de vrai dans ce qu'il dit, mais c'est mélangé à des approximations
la nouvelle vague n'a pas besoin de faire réaliste car c'est un jeu formel qui se moque des conventions & qui joue avec le spectateur pour lui rappeler que ce qu'il regarde n'est qu'un film & que la réalité est bien plus captivante
il a complètement tort quand il dit que PIERROT LE FOU est irregardable alors que c'est un pur chef-d'oeuvre par sa totale modernité de forme, exactement comme quand il dit que LE MEPRIS est "un film qui ne marche pas alors qu'il a tout pour plaire"
jlg veut que le cinéma ne soit pas un art passif mais un art actif & c'est pour ça qu'il amène le spectateur à questionner ce qu'il voit & à le remettre en perspective
par contre totalement d'accord sur les derniers films de merde de truffaut
jlg n'a jamais été compris, que ce soit à l'époque par la nouvelle vague ou aujourd'hui par ceux qui se réclament de ses successeurs
d'accord aussi sur BLOWUP d'antonioni, qui figure dans mes 10 meilleurs films
jlg a raison quand il dit qu'il faut montrer les camps de concentration plutôt que d'en parler, car qui a vu les images des camps documentées par les allemands ou les américains?
Soral reprend le vieux discours anti-intellectuel que les cinéphiles ont toujours tenu contre JLG parce que JLG les dérangeait dans leur confort de spectateurs. Ce qui prouve que Soral n'est ni très original ni très malin.
L'art c'est une convention, on adhère ou on adhère pas... on prend ou on rejette en toute liberté.
C'est une façon de voir et d'entendre le réel, le vivant, l'existence des êtres, des lieux et des acteurs que l'on a jamais connus dans la "vraie vie"...
Après une certaine objectivité peut prévaloir sur certains aspects : originalité, profondeur, finesse, justesse, cohérence, intelligibilité etc. mais ce ne sont que des aspects...
C'est comme la bouffe, certains se contentent de peu, d'autres sont très difficiles, certains ont beaucoup d'appetit, d'autres peu... sachant que tout cela peu évoluer au fil du temps...
En tout cas j'essaie de voir les films au moins une fois, voire plusieurs fois avant d'affirmer ci ou ça quand à leurs mérites... les préjugés ("politiques" entre autres) dominent souvent le débat critique
Blow-Up m'a beaucoup plu même si je n'y ai pas cherché à y comprendre grand chose, comme souvent avec les films d'Antonioni j'accompagne avec plaisir les personnages dans leur "promenade", leur errance enigmatique. Idem pour JLG, je n'ai jamais cherché à comprendre, j'accompagne ou pas (majoritairement oui). J'en reviens toujours aux lieux, aux êtres que sont les acteurs, au vivant...
Excellent M. Soral
La nouvelle vague c'est le début du téléfilm à la France 3....soit de la grosse mer....de...!!!..je vais au cinoch pour voir autre chose que les élucubrations d'une jeunesse dorée qui se plaint de tout...et surtout d'eux même...J'aime les belles images, ce fut mon métier, et non ces ramassis d'images mal mis en place à tout point de vue justement, prise de vue, cadre, montage, photos...!!! Le rêve chez ces gens là n'existe pas sauf de leur petit nombril qui leur sert de cerveau ....Je hais ce soit disant cinéma qui a donné que de la médiocrité et qui a donc créer le genre téléfilm très à gauche de Fr3.....!!! Du soit disant cinéma...égocentrique....!!! Ce con de truffaut qui déteste Mr Audiard ne fait plus du tout d'audience quand ses films passe à la télé...Quand un Audiard/Gabin passe c'est le carton assuré et on rigole...!!!!! La nouvelle vague c'est comme le front populaire qui n'est pas populaire du tout mais un rassemblement de bobos bourgeois...qui haîssent le peuple.....!!!
Rien d'étonnant quand on sait que Truffaut faisait partie de la communauté de lumière 👀😑🌚🏁..
@@djamelnini4478 truffaut est juif ?
@@audreykarelita Oui clairement 🧐.. par son père 👀..mais il l'a su très tard, son père ne voulant jamais le voir...😑🌚🏁 .
C'est mai 68 avant l heure
Il faut tue le cinéma de papa
Mais Belmondo est bien meilleur dans 100 mille dollars au soleil
Que Pierrot le fou.
@@mouradgouasmi4114 Tout à fait d'accord avec vous Mr Mourad....De toute façon Belmondo haïssait ce film et n'aimait plus Godard qui n'arrêtait pas de lui dire qu'il haîssait Gabin et Audiard et qu'il ne devait pas jouer avec eux...ce fut leur grande dispute...Bebel a bien eu raison!!!
Et Robert Bresson ?
Ne lui demandez pas l'impossible. Soral ne connaît à peu près rien au cinéma.
@@vraikorrigan Il a tout de même réalisé un film.
@@remynoel5506 Pas mauvais d'ailleurs. Mais ça n'en fait pas un grand connaisseur en cinéma.
@@vraikorrigan Il a beaucoup lu. Il ne s'est pas consacré au 7e art. J'ai entendu qu'il lisait quatre heures par jour. C'est un essayiste.
@@remynoel5506 Je ne dis pas le contraire. Le problème de Soral c'est qu'il parle encore plus qu'il ne s'instruit. Faut savoir le reconnaître quand on ne maîtrise pas un sujet.
Comment peut-on dire que ces films sont presque irregardable ?Non, ces films sont des chefs-d’œuvre car ils étaient totalement conscients de la chance qu’ils avaient a leur époque et ils n’en pas fait de simple « easy rider » mais bien des grandes œuvres d’art comme « l’homme à la caméra » ou «la règle du jeu » (même plus qui sait…?) . Ils ont montré qu’il était possible de faire de l’art avec ces potes de classes. Pierrot est le symbole ultime de l’art cinématographique il représente cet art et nous dit que l’art est beau car l’art est fou. Ceux ne sont pas des films cultes au même titre que Robotcop ou Poulpe Fiction. Ils ont réussi à mettre du Picasso en mouvement et Faire parler les tableaux de Renoir. Ils ont montré que cet chose là était de l’art et on veut nous dire le contraire parce que que cet art là est dans une industrie qui a besoin de beaucoup d’argent ? Avant, les producteurs prenaient des risques quand ils décidaient d’investir un film ils savaient qu’ils allaient perdre de l’argent mais si il le faisait c’était pour faire une œuvre qui allait dépasser ce simple aspect lucratif. Aujourd’hui je veux bien l’admettre. Il n’y a plus du tout de producteurs qui prennent de risque alors oui aujourd’hui on pourrait dire ça mais pas pour tous avant. Mais en quoi cela dérogerait aux règles de l’art puisque l’art n’a pas de règles si ce n’est de ne pas en avoir. Et aujourd’hui on veut nous faire croire que ces films ne sont que (presque) de la pacotille ? Non vous vous trompez. Tous ceux qui manquent d’imagination ce réfugient dans la réalité. Le cinéma n’est pas la réalité mais la projection d’images mentale sur un drap (ou LED) donc évidemment que rien n’est logique. Les films cultes sont de la culture alors que les chefs d’œuvre sont de l’art et l’art c’est l’exception, au même titre de la nouvelle vague et la culture c’est la règle et la règle déteste l’exception et c’est pourquoi on veut la supprimer cette exception. Le cinéma déteste la règle comme je la hais aussi c’est pourquoi j’ai envie de le comprendre (même si il se pourrait bien que la vérité soit triste). Bref on peut parler encore si vous voulez
Propos totalement abscons qui affiirme sans démontrer
faut reprendre un buvard, vous etes en descente de toute évidence
Blowup d'Antonioni est un grand film 👀
Il faut le savoir...tu vois..😑🌚🏁..
Godard c’est du cinéma de gauche. Chiant. Faussement esthétique. Cyniquement stupide.
Godart, tout sauf un realisateur, cineaste. Du vent.
Super intéressant!
Oui ... c'est aussi La Peau Douce, Baisers volés, l'enfant sauvage... Truffaut. C'est pas dégueu
Ce monsieur est brillant, clairvoyant, et apporte un point de vue neuf, loin de la propagande de cette industrie.
Il est approximatif, subjectif et arrogant. "L'industrie" en France n'est pas soumise à un pouvoir unique et donc a mille visages. Le cinéma français est le plus divers du monde. Soral est un frustré qui règle des comptes.
@@vraikorrigan "mille visages"; mais les producteurs sont toujours les mêmes...
"le plus divers du monde"; la majorité des films est devenue une propagande idéologique (pro-LGBT, pro-migrants, et des points goldwin en veux-tu en voilà).
@@PA-jh5vi Tu ne sais pas de quoi tu parles. Je suis dans le cinéma, ce que tu décris vaut pour 25% des films, il y a une grande diversité, beaucoup de producteurs, beaucoup de sources de financement. Renseigne-toi au lieu de répéter des clichés soraliens.
@@vraikorrigan tu as déjà vu un film français favorable à la peine de mort, favorable au retour et respect des frontières, défavorable au mariage homo ou à l'IVG?
C'est peut être parce que tu beignes dans l'idéologie mondialiste que tu ne te rends même pas compte que la fameuse liberté d'expression c'est du flan.
Soral, le raté...Dans toute sa splendeur
Mdr,ça fait un peu le cinéaste rageux un peu raté qui se lâche sur le cinema,le cinema n'est pas en soi inférieur ou supérieur tous depend de l'oeuvre,tous les livres et films ne sont pas égaux,La Dolce Vita est supérieur a Harry Potter au meme titre que Balzac est supérieur a Madame Web,quel argument réducteur et simpliste,et puis il est en total contradiction,a ce que sache les écrivains a travers l'Histoire n’était ni des paysans ni des prolétaires(d’ailleurs au passage la majorité des gens jadis,ne savaient ni lire ni écrire)paradoxalement le cinema demande beaucoup plus de travail au final que la littérature,art d'intello individualist,je me demande bien ce qu'il pense des films étrangers a sous-titres? lol...
t'as jamais écrit un livre toi, c'est évident...
Ce mec est exclusif et désagréable.
Brillantissime Alain ici! Le cinéma comme art mineur, ça reste à débattre, en revanche!
Soral chercherait-il à séduire une classe moyenne suisse éduquée pour s'en faire une clientèle ?
Hein ?!
Non la vidéo a 2 ans
Le meilleur film de Rhomer est son 1er, le signe du lion.
Non, c'est Le Rayon vert, 1986.
NUL, bref du soral quoi ou comment se tromper toute sa vie sur tous les sujets
il tape au contraire très juste, c'est d'ailleurs pour ca que tu le trouves nul rosse baltringue. ca te dérange dans tes certitudes de bobos
Sur quels sujets par exemple?
Godard est barbant …
Les francais sont forts en littérature, en analyse psychologique profonde. La langue francaise offrant de nombreuses possibilités . Je nai jamais vraiment compris "la nouvelle vague", ce cinema ne parle pas a tous le monde .cest un cinema etrange .
Ils nont jamais vraiment percé .
Ce cinema sinscrit vraiment dans les annees 60 70 .
Je prefere largement Audiard, dautres: autant lara . Les films avec gabin, ventura .delon de funes , jean lefebvre .
La nouvelle vague cest linfluence americaine du cinema francais "nouvelle" vague
Les escrocs des cahiers du cinéma chantaient les louanges des grands réalisateurs américains hollywoodiens de l'âge d'or mais n'hésitaient pas une seule occasion de casser les réalisateurs français dit populaire, donc commercial, donc vulgaire pour ces metteurs en scène de la nouvelle vague minable.
Le cinéma français commercial français (Delannoy etc.) était très mauvais, ils ont eu raison.
J'aime les mégalos qui le cache maladroitement.
C'est marrant, moi, *Le Mépris*, je trouve que c'est moins foutage de gueule (que c'est un peu plus "propre", formellement) que les autres de Godard.
Par ailleurs, j'ignore si je suis le seul à avoir trouvé ça, mais, dans *Le Mépris*, Piccoli a un peu l'air de se foutre de ce que pense Bardot : à la fin elle meurt et il s'en fait une raison. C'est elle qui est beaucoup plus vexée de la façon dont il la traite en l'envoyant dans les pattes de Jack Palance. De sorte qu'on se demande si ça ne parle pas surtout du mépris de l'homme pour la femme, là-dedans, contrairement à ce qu'on explique généralement. Ce serait assez cohérent avec la misogynie de Godard notée par Soral dans *A bout de souffle*.
Ah non, Piccoli souffre. Mais il ne souffre pas seulement du mépris de sa femme, il souffre aussi de vendre ses fesses au producteur américain alors qu'au fond il est du côté de Fritz Lang.
@@vraikorrigan
Ma foi, vous devez avoir raison. Je ne suis pas un cinéphile averti. C'est sans doute l'attitude assez passive de Piccoli, vraisemblablement pour traduire sa faiblesse de caractère, que j'ai voulu comprendre à tort comme du je-m'en-foutisme "cool". Parce que dans mon souvenir, on ne le montre jamais en train de pleurer ou de supplier très pathétiquement sa femme, ce qui suggérerait encore trop de "nerf", il faut croire. Mais sa résignation navrée peut alors passer pour une forme de stoïcisme.
@@misanthropemodere Dans la longue scène dans l'appartement, son personnage (à Piccoli) évolue du je-m'en-foutisme cool dont vous parlez, qui est une attitude d'emprunt, vers l'inquiétude et la tristesse quand il comprend que Bardot le méprise pour toujours. Une partie des "cinéphiles" méprise Godard sans voir qu'il fut un grand et fin psychologue, dans ce film en particulier. Mais Godard n'appuie pas, il dispose des signes, et le spectateur doit les déchiffrer. Mais tout est là pour qu'on comprenne. Godard a confiance en l'intelligence du spectateur. Je l'admire éperdument pour ça.
C’est un ouf Soral, il peut pas s’empêcher de parler des juifs😂
C'est parler cinéma sans évoquer la fameuse communauté qui serait surprenant quand on connaît le monde des producteurs et les cooptations dans ce milieu.
François Truffaut a écrit la phrase la plus con de toute l'histoire des critiques de cinéma au sujet d'audiar, les cons ca ausent tout c'est à ça qu'on les reconnait
Ils vivent à l'intérieur de sa boîte cranienne.
Un grand paranoïaque.
@@marieamar5802 une compréhension du monde et des relations de dominations, manipulations, et de causes à effets qui l'animent.
@@PA-jh5vi
Oui, oui
Ou de son propre échec à exister comme il l'aurait initialement voulu, comme un certain peintre viennois.
C'est le privilège de l'âge, j'étais très jeune au siècle dernier.
Soral y a eu une petite hype dans les médias avec ses bouquins et ça lui plaisait tellement d'être l'invité, le "bon client".
Seulement, comme tout buzz, ça a fini par passer.
Il a trouvé des responsables à son échec et un nouveau créneau.
D'ailleurs, si son évier est bouché, c'est aussi les Juifs.
Bonne journée et bonne continuation
Dire que le cinéma est de la sous littérature parce qu'il adapte mieux des romans "mineurs" est quelque peu absurde : le cinéma est un art visuel / temporel qui a en réalité peu de rapport avec la littérature, sinon à la base de raconter une histoire.
Exactement.
Bah ce qu'il dit reste réel. Le cinéma est par essence un art passif, qui demande peu d'implication intellectuel au premier plan, contrairement à la littérature qui force au lecteur à s'impliquer de manière active dans sa lecture. La peinture aussi est un art visuel, mais comme il n'est pas mouvant il se trouve selon moi à la frontière entre la littérature et le cinéma, c'est en quelques sortes le compromis entre les deux.
On te dit qu'une forme est mieux adaptée à une autre, tu en conclues que tous les propos s'égalent ipso facto. C'est la caméra qui filme le phare, comme c'est le roman qui illumine le scénario --- comme c'est la bateau qui coule et pas la mer ; comme c'est le jour qui passe pas la vie.
Un artiste est indissociable de son art et c'est cela qui fait que c'est de l'art. Aujourd'hui, même dans les arts dits majeurs, tout se fait pour et par l'argent. On accouche d'un grand livre, cela veut tout dire. Le cinéma est objectivement de l'art mineur, ça ne fait aucun doute
Surtout en prenant Mme Bovary comme exemple du roman mineur ^^
Le point de vue de Soral pourrait être intéressant s'il ne reposait pas sur un ramassis de frustrations en tout genre.
"Tue-moi mais arrête de me faire chier"; et elle le fait... Énorme.
Nan mais quand il dit que le cinéma est un art passif, oui mais pour celui qui le regarde pas pour ceux qui le fabrique, car dans ce cas on peux dire la même chose de la musique, c'est un art passif pour ceux qui l'écoutent, et la peinture est un art passif pour ceux qui la contemplent... Pour moi le cinéma est l'art qui contient en lui même tous les autres arts : la musique (quand on écoute les musiques de films de John Williams à part de leur film, c'est presque de la musique classique) , le scénario d'un film c'est de la littérature, certaines compositions de plan dans un film (si elles sont bien faites) peuvent se rapprocher de la peinture ou de la photographie. Donc il y'a de tout dans le cinéma, le cinéma est un concentré d'artS.
Ce qu’il veut dire c’est que le cinéma est beaucoup moins conceptuel que la littérature.
Pourtant le cinema de Godard se veut très conceptuel (hormis la révolution concrète qu’il a opéré sur le plan de la réalisation), ce qui est une erreur selon Soral, qui fait que c’est selon lui un cinéma de merde, et que le cinéma Italien a bien mieux compris ce qu’étais un bon film, qui avait pour eux une dimension conceptuelle en cohérence avec son médium, c’est à dire moins présente ou du moins mieux imbriquées avec l’objet filmique, donc tout ce qui le compose, la réalisation, le scénario, le découpage, etc.
@@Restosef mais non, le cinéma est justement l'art ultime dans la mesure où c'est l'art qui contient et condense tout les autres. Prenons Le Parrain par ex (mais j'aurais pu en choisir des tonnes d'autres) , on y retrouve du théâtre, pour le jeu des acteurs, de la musique pour l'incroyable partition de la musique du film, on y retrouve quelque chose se rapprochant de la littérature via le scénario qui est d'ailleurs une adaptation d'un roman du même nom, et enfin on retrouve aussi des choses s'apparentant à la photographie aussi. Y'a tout dans le cinéma
@@Restosef regarde 2001 ou des films de Lynch , c'est ultra conceptuel aussi
@@Lsda1210 Le cinéma se sert énormément de la littérature.
@@Lsda1210 Il y a une très bonne vidéo qui répond à cet argument de « l’art ultime » d’Antoine Goya quand les fans du Jeux vidéos disent que c’est l’art ultime.
La réponse que je vous donnerai est assez similaire, une bonne musique ou une belle image ajoute à la qualité du film, mais toute ces choses s’articulent autour de ce qui fait la spécificité du cinéma, à savoir la réalisation, la mise en scène, le découpage : tout ce qu’on ne trouve pas dans les autres formes d’art.
Dans le jeux vidéo, une bonne musique, une belle photographie, une bonne mise en scène bien cinématographique, ajoutent à la qualité d’un jeu. Mais la qualité principale autour de quoi tout s’articule reste la sensation de jeu, l’immersion, le level design, tout ce qui fait la spécificité du jeu vidéo.
Et pour finir sur le conceptuel, j’entends par conceptuel « qui apporte du concept ». 2001 est conceptuel, mais en accord avec le cinéma. Il dit très peu de choses, il montre beaucoup, c’est ça un bon film, c’est exploiter la spécificité du cinéma pour créer quelque chose qui n’a jamais été fait.
Si vous essayez de transposer en livre 2001, c’est à dire transposer tout ce qui se passe à l’écran à l’écris, il y a de grande chance que ce soit un livre de merde, non pas que l’histoire sois mauvaise, mais que ce sera très dur de la rendre intéressante, et surtout Parceque le sujet a déjà été abordé des centaines de fois de manières plus profonde dans la littérature.
Au fond la littérature sera toujours plus conceptuelle que le cinéma, et quand on regarde un film, on ne veut pas le même niveau de concept que devant un livre, on veut quelque chose de cinématographique, de divertissant. Si vous filmez un livre, vous aurez un grand niveau de concept, mais où est le cinéma la dedans ? Ne serais ce pas la même chose de lire le livre en question ?
Mais pourquoi UA-cam me propose cela ? Déjà le postulat cinéma = passivité, et illustrer l’incapacité à étudier en montrant Rohmer professeur agrégé c’est bon encore une belle illustration du vide sous la calvitie !
Tu as raison excellent.
sauf que Mme Bovary c'est loin d'être un roman secondaire, il est dans le top 10 des meilleurs romans français
Non pas fou madame bovary
Godard a volé son grand père maternel (Banque Monod), il est parti avec la caisse des cahiers du cinéma, il faisait les poches de tous ses visiteurs, Godard a pu faire des films avec le pognon des autres friqués. Godard un psychopathe nombriliste terne et asocial d'un ennui mortel ...
oh un faquin ! :)
Le film charnière, film de papa et nouvelle vague, c'est peut-être l'âge ingrat de Gabin et Monsieur Fernand. C'est l'après guerre à la charnière entre l'avant et l'après 1968.
Une frontière entre deux mondes.
Une des dimensions du cinéma que Soral n'évoque pas c'est l'Opéra. Si vous regardez "Robin des Bois" avec Errol Flynn et Olivia De Haviland en 1938, vous reconnaitrez l'opéra et le ballet classique, c'est là tout le géni du cinéma hollywoodien.
Les Russes poursuivent ce travail des grands spectacles mêlant chants, danses, décors, musiques et mise en scène. Et low cost, ce n'est que du bois, du décor, de la scène en châtaignier et du chant à capela. RT à diffusé au moins deux très grand spectacles dans ce genre.
Dans cet esprit il y a un film qui est en cours de restauration c'est "Napoléon" d'Abel Gance en version original.
A suivre.
Soulèvement de jupe en toute tranquillité 😅
Ces films nouvelles vagues sont insupportables ! C'est pareil que les gars au théâtre qui miment un loup qui chie sur une musique déconstruite pendant que des vieux boomers mordillent leurs lunettes dans le public.
À la même époque, ce qu'il y a en Italie, aux USA et même en URSS (Stalker de Tarkowski c'est pas à bout de souffle !)
Vivre sa vie, Le Signe du Lion, La Religieuse, Les Cousins, sont tous supérieurs à Stalker. La Nouvelle Vague est l'un des grands moments artistiques du 20ème siècle. Seuls les anti-intellectuels et les faux esthètes ne le comprennent pas.
Ces films Nouvelle Vague sont peut-être trop bavards pour vous ? Cet esprit "parisiano-français" que j'adore vous agace peut-être ?
Et j'aime plutôt bien Tarkovsky ceci-dit...
Remarquable!
En france la Nouvelle Vague c'etait des destructeurs de la forme cinématographique.
Par exemple en Italie à la même époque il y avait des créateurs de forme.
"des destructeurs de la forme cinématographique", n'importe quoi ! Tu emploies des mots que tu ne comprends pas toi-même. Un peu de modestie ne te ferait pas de mal. Mais c'est pas chez Soral que tu apprendras ça.
@@vraikorrigan C'est quoi le "8 et demi" Français ? ou "l'éclipse" ? ou même "Il était une fois dans l'ouest" ?
encore une suite d'inepties signée Soral...
Rien sur Debord qui a inventé le spectacle sans spectateur
"Il n'y a rien de pire qu'un vieux qui veut faire jeune " dit le vieillard qui s'est fait choppé sur le net en train d'envoyer des photos de lui à poils à une gamine de vingt ans.
t'es un prix nobel, toi...Puceau ?
et toi celles de tes vid watsapp avec des jeunes éphèbes on en parle?
L art c est d abord l émotion...pas le crédible...
Rien à voir avec la philosophie.
Le fameux Dostoïovski.
qui s'en branle ?
Si t es ici ,..c est que cela a un minimum d intérêt même si t es pas phase avec l argumentaire ..non ??
@@cosmojairzinho14 à cause de l' algorithme baisé de youtube, parce que j'aime le cinéma... de là à écouter cette brèle la ramener sur le sujet, non merci
Propos intelligible et intelligent
Le problème avec Soral , c’est qu’il est expert en tout et il y croit lui même car il est honnête. Ceci étant dit , il en raconte des conneries.
Et non perdu.
@@TheZlatanDG et si, gagné
Céline en effet, on voit mal quel comédien serait crédible en Bardamu, ou en Courtial " des Péreires".
Si...mais il est mort.
Patrick Dewaere
@@tomlechat3778 Oui peut-être.
Après la boxe, la géopolitique, la musique, la sociologie, la psychologie, la physique, ......... Voici Soral expert du cinéma..... Ok si ça vous convainc....
et toi? tu es bon en quoi ? jalousie??
Je suis preneur de ton éventuelle antithèse
Nofake
@@muhamadoumuhamed306Le mec est abonné a Cyril Hanounah et critique soral 😂😂
Autrefois, les penseurs étaient multi-taches. Toi tu n'es même pas mono-tache. Tu es juste une tache😂😂😂😂😂
Connais bien Soral... Sinon rien.
Pierrot le fou, t'as raison! j'ai pas réussi à aller jusqu'à la fin... J'avais des hémorroïdes au cerveau. De l'enculage de mouches en gros plan !
Belle analyse; JP Léaud verbeux :excellente parodie dans Le Dernier Tango à Paris; Godard imbitable, définitivement, jamais vu plus de 5 minutes de ses films; ex : One+One, on a hâte de retrouver les Stones, après cette chiasse godardienne récurrente qui interrompt les sessions des Stones.
Un bel hommage au travail de Godard en illustrant ici que n'importe quelle connerie enrobée d'une rhétorique ad hominem, devient un objet intellectuel sous le regard atone du public régressif. Merci. Belle bouillie cérébelleuse M. S.
Sur la question de l'art moderne, il y a un livre qui explique son histoire cachée en des mots simples:
L'art caché enfin dévoilé
Aude de Kerros
Soral a presque tjs raison... 😂😂J'ai découvert la nouvelle vague en Espagne par ma femme qui a tjs baigné ds le milieu gauchiste... Voilà tt est dit😂
Non mais c'est qui ce mec ? C'est parce qu'il parle de Godard qu'il se sent obligé d'imiter Antoine Goya ?
superbe analyse du cinéma de la nouvelle vague par Soral
J'y vois plus clair maintenant
Voyez plutôt les films : A bout de souffle, Vivre sa vie, Le Signe du Lion, Ma nuit chez Maud, Les Cousins, La Femme infidèle, La Religieuse. Soral parle sans savoir.
Ma nuit chez Maud est inregardable
@@jadebouchard9563 Je te plains.
@@vraikorrigan Vous faites semblant d'aimer par snobisme. Je ris de vous.
Soral en fin de cycle, analyse très faible
Un type qui apprécie Les 400 coups a quelques choses dans le ventre.
Je suis d'accord sur presque tout. En particulier en ce qui concerne le cinéma italien. En parallèle je me demande aussi si le rêve caché d'Alain Soral n'aurait pas été d'être juif. Mdrrr
La nouvelle vague a tué le vrai cinema.
il étaient déjà vieux avant d'être vieux
Soral, égal à lui-même.
Hélas.
Très intéressant, merci pour cette vidéo.
Il y a du vrai mais le cinéma est tout de même un art
Il y'en a sur youtube !
On voit que M Soral maîtrise bien le sujet. On ne peut qu’être d’accord avec lui.
Non, il ne maitrise pas du tout le sujet, il n' y connait absolument rien
il ne sait meme pas analyser un plan de cinéma. Il pense qu'il ne faut pas " réfléchir " mais c'est faux évidemment que le cerveau réfléchit quand on regarde certains films
J'aime bien Soral mais force est de constater qu'il n'y connaît absolument rien sur ce sujet
Jean-Pierre Leaud. Une vraie farce😂😂😂😂😂😂😂😂
Je suis fan de Godard et du mépris ou pierrot le fou mais ol a fait quelques merdasses aussi. Rohmer j'aime bien ça reste assez simpliste. Le reste est sans intérêt.
Rohmer simpliste ?? Rivette sans intérêt ?? Je vous jure, vous vous trompez.
J'adore Godard !
Et les "confessions d'un dragueur" c'était quoi comme vague ?🤔
La nouvelle nouvelle vague, celle annoncé par Chris Marker.
Il dit de la merde, mais il a tellement d'assurance que tout le monde ici l'encense. Bêêêêêêê.
C'est un Bardella.
absolument pas, bvous n'y connaissez rien pour ne pas voir que ce qu'il dit est justement très pertinent au sujet de ce cinéma surestimé
@@benoitpisarchick6866 C'est vous et lui qui n'y connaissez rien. Je connais la Nouvelle Vague depuis 20 ans et j'ai vu tous les films.
@@vraikorrigan Moi 30 ans et j'ai vu aussi tout le reste pour pouvoir en tirer les meme conclusions qu'AS. A comparer la Nouvelle Vague c'est essentiellement de la posture de cultureux dans ton genre, gamin
@@benoitpisarchick6866 Chabrol, Rivette, Rohmer, Godard, des poseurs ? Ok. Dialoguer avec toi n'a aucun intérêt. Adieu, le vioque.
Merci à Alain Soral de continuer à parler de chose qu'il ne connaît pas, cela permet à des gens comme Antoine Goya de comprendre qu'il raconte n'importe quoi !
de toute évidence il en connait plus que vous. il suffit d'avoir vu ses films pour comprendre immédiatement la justesse de son propos.
J'ignore si Antoine Goya raconte n'importe quoi, ce qui est sûr c'est que ce que tu dis toi n'est pas très clair.
"Confessions d'un dragueur" vaut mieux que tout Godard, c'est évident...
🤣🤣🤣🤣
Vraie question: vous pourriez argumenter please?
@@Rango965 Vraie réponse : il ne peut pas.
@@vraikorrigan lol! J'avais vu plusieurs Godard, mais seulement des extraits du film du Big Alain. C'est la Nouvelle V. qui t'a amené à cette vidéo je suppose, pas Soral? Me trompé-je?
@@Rango965 C'est une blague, évidemment: le film d'Alain est honorable comme premier (et unique) essai, mais Godard est à des années lumières de ça.
On peut trouver des poux à tout le monde, ce qui compte est la trace qu'on laisse: *nulle* en ce qui concerne Soral, dans l'histoire du cinéma.
Le fameux festival de Khan; dédicace au professeur Faurisson.
Lino🎩👍🏻
Les arguments avancés sont très justes.
Chabrol, par exemple, a vite compris que le cinéma était de la distraction et, a réalisé des films dans ce sens.
C'est de notoriété que Truffaut "se tapait" ses actrices (je ne savais pas que Jeanne Moreau lui avait tenu tête).
Ils ont bénéficié d'une nouveauté technique : une nouvelle caméra qui permettait de filmer en extérieur (dixit Bernadette Lafond).
"Chabrol, par exemple, a vite compris que le cinéma était de la distraction"
La dimension spectaculaire ou "de divertissement" du cinéma n'a été niée par personne dans la Nouvelle Vague, ni par Rivette, ni par Godard (voir Pierrot le fou), ni par Rohmer.
Simplement il y a, ou il devrait y avoir, mille manières de faire. du spectacle.
@@vraikorriganChaque réalisateur a un style, une pâte, voire une "recette" ... le tout étant de se renouveler un minimum et de ne pas lasser son public. Chabrol a beaucoup tourné, presque avec boulimie, et il s'en est plutôt bien sorti...
@@jandron94 Très bien même !
@@vraikorrigan Oui du très bon, du bon et assez peu de films médiocres
Chabrol, à sa manière, était le seul Maître de "La nouvelle vague" C'est d'ailleurs le seul dont on se souviendra 😂😂😂
👍👍
21:12 on sent l'aigreur
Paul gegauff beau mec ? lol
Beau mec ? Oui, si on le compare aux cinéastes de la nouvelle vague, tous quelconques ou carrément moches. Godard est un homme particulièrement laid.
@@MrFeuerbach lol
Paul Gegauff:
Tue moi mais arrête de me faire chier ! 👀🤪
Tu vois le mec était intéressant ! 🤣..mdr ! 🌚🏁..
très fort.
il était moche
@@audreykarelita j'ai revu partie de plaisir hier soir, comme ça, clairement 🧐....c est vrai qu'il est chelou 👀..🤣🌚🏁..
la fin de cette vidéo est digne des plus grands films
Le Mépris, le film est moins bon que le roman. Mais Le Conformiste, de Moravia aussi, donne un excellent film lorque Bertolluci s'en empare. Le film est supérieur au roman. Ayant d'abord vu et apprécié le film qui est pour ainsi dire mon film préféré, ,j'ai été déçu par le roman.
Moi je préfère le film car la musique est tellement belle et BB aussi
@@papatango5085 Sur ce piint nous sommes d'accord. Les fesses de BB étaient émouvantes et nos draps d'adolescents conservaient la trace de cette émotion.