Les contre exemples sont le théâtre et cette forme de dialogue qu'est l'épistolaire. Le dialogue peut-être une facilité menant à la gare du coin, mais aussi un procédé d'activation des personnages couvrant tout un ensemble d'épisodes; en ce dernier cas, pas facile de maintenir l'animation uniquement par la conversation. C'est le tour de force du scénario, surtout dans une pièce purement audio... Bref quand c'est un choix plutôt qu'une facilité, le dialogue maintenu devient un défi non trivial à relever.
Merci, Monsieur.
Les contre exemples sont le théâtre et cette forme de dialogue qu'est l'épistolaire. Le dialogue peut-être une facilité menant à la gare du coin, mais aussi un procédé d'activation des personnages couvrant tout un ensemble d'épisodes; en ce dernier cas, pas facile de maintenir l'animation uniquement par la conversation. C'est le tour de force du scénario, surtout dans une pièce purement audio... Bref quand c'est un choix plutôt qu'une facilité, le dialogue maintenu devient un défi non trivial à relever.
Je parlais en effet uniquement des dialogues dans le roman.
Tu es nuancé et altruiste. Merci.