Je comprend l’idée de base concernant la revendication des terres kanaks parce que la culture repose sur cette aspect là puisque la spoliation des terres étaient encore d’actualité et ses prises de positions radicales à l’encontre du festival melanesia 2000 ne me surprennent pas. Il y avait des divergences par rapports aux actions militantes parce que même si le combat pour l’independance faisait l’unanimité chez le peuple kanak les modes de mobilisations et les modèles de revendications n’etaient pas les mêmes tout simplement .Je pense qu’il n’y a pas de bons ou de mauvaises méthodes et je dois dire que dans le contexte qui se presentait à ce moment là on avait besoin aussi de méthodes radicales aussi parce qu’il fallait sortir de cette oppression et de cette domination coloniale qui n’avait que trop duré.Monsieur Élie Poigoune parlait de critique de la religion,de certaines chefferies aussi qui roulaient avec l’administration coloniale et de l’opposition qui je pense ne pouvais pas admettre que la terre soit au coeur des préoccupations des revendications kanak.Je me joins aussi à l’idée aussi qu’il avance sur le fait que la culture kanak ça n’est pas du folklore, je veux dire ’quand il a des propos durs tels que: on va pas aller faire les singes en dansant devant les gens" ça ramène aussi à l’exposition coloniale de 1931 qui a été une farce politique orchestré par l’empire coloniale.C’est toute cette imaginaire coloniale qui reste ancrée dans la conscience politique et qu’il faut comprendre.Je ne pense pas que la demarche de Jean-Marie Tjibaou allait dans ce sens mais dans le fait de rehabiliter l’image de la culture kanak et des arts pour provoquer cette renaissance culturelle.
Je comprend l’idée de base concernant la revendication des terres kanaks parce que la culture repose sur cette aspect là puisque la spoliation des terres étaient encore d’actualité et ses prises de positions radicales à l’encontre du festival melanesia 2000 ne me surprennent pas. Il y avait des divergences par rapports aux actions militantes parce que même si le combat pour l’independance faisait l’unanimité chez le peuple kanak les modes de mobilisations et les modèles de revendications n’etaient pas les mêmes tout simplement .Je pense qu’il n’y a pas de bons ou de mauvaises méthodes et je dois dire que dans le contexte qui se presentait à ce moment là on avait besoin aussi de méthodes radicales aussi parce qu’il fallait sortir de cette oppression et de cette domination coloniale qui n’avait que trop duré.Monsieur Élie Poigoune parlait de critique de la religion,de certaines chefferies aussi qui roulaient avec l’administration coloniale et de l’opposition qui je pense ne pouvais pas admettre que la terre soit au coeur des préoccupations des revendications kanak.Je me joins aussi à l’idée aussi qu’il avance sur le fait que la culture kanak ça n’est pas du folklore, je veux dire ’quand il a des propos durs tels que: on va pas aller faire les singes en dansant devant les gens" ça ramène aussi à l’exposition coloniale de 1931 qui a été une farce politique orchestré par l’empire coloniale.C’est toute cette imaginaire coloniale qui reste ancrée dans la conscience politique et qu’il faut comprendre.Je ne pense pas que la demarche de Jean-Marie Tjibaou allait dans ce sens mais dans le fait de rehabiliter l’image de la culture kanak et des arts pour provoquer cette renaissance culturelle.