14 ans, mais j’suis pas comme les autres, Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes. J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes, L’amour absent, remplacé par des dettes en chute. J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres, C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes. Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires, Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer. Les nuits sont longues quand t’as l’ventre creux, Tu marches seul dans la ville, l’avenir te rend peureux. Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence, Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence. Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève, À force de survivre, j’ai enterré mes rêves. Et si demain tout changeait, est-ce que j’croirais encore ? Ou est-ce que l’passé m’laisserait bloqué dehors ? 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, J’traîne ma vie comme un poids que personne porte. Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir, Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir. J’ai vu des rêves s’éteindre sous les néons de la ville, Des sourires se faner, des âmes perdues dans l’utile. Chaque pas me ramène vers des vestiges d’hier, Où l’amour était pur, où l’avenir brillait clair. Les murs suintent des cris qu’on n’a jamais prononcés, On construit des prisons dans nos têtes à force d’y penser. J’marche seul sous la lune, complice de mes doutes, La vérité blesse, mais l’espoir trace ma route. Refrain Et si tout s’efface, dis-moi c’qu’il restera, Une lueur dans l’ombre ou l’écho de nos pas ? J’écris pour survivre, pour soigner les éclats, Chaque mot que je lâche, c’est mon âme dans le combat.
And now i’ve been drinking I’ve been thinking I’ve been sinking So deep in thoughts I should learn to revive as much i give Why did i trust To forget you u must I opened my heart and you tunred it into dust
Comme les autres 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes. J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes, L’amour absent, remplacé par des dettes en chute. J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres, C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes. Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires, Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer. Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence, Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence. Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève, À force de survivre, j’ai enterré mes rêves. 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, J’traîne ma vie comme un poids que personne porte. Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir, Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
Essa é a cena Pensa, lembra quem tá por cima Alguém viu a Vanessa? Ficou a espera Na casa da vizinha Mais que eu tu relas Ralas, pergunto quando te calas? Sempre fora da caixa Bons movimentos, atitudes erradas De mim nada esperes Não me aproveito da tua bondade Como oq quiser Faço oq quiser Até lá, acabe Macabro, Oq se passa do outro lado Vou a pé Tu Vais de carro, Garanto chego mais rápido Narrado Na rádio Referência dos fracos Já falamos Tiago Piso nos cornos do diabo Autoridade sem tar fardado Ups já tá falado Ela pergunta como tanto sabo Conhecimento ou sabedoria Te Torna sábio Antes ressabiado Odiado Farei tudo p quem amo Meteu 3 kilos nos labios Mini me sentou num poof Repito eles são stradvarius Lambo, c’est pas ouf Fodase salários Quero a saúde dos meus Sou tudo ao contrario Desta vez por ageu Afinal será que agiu Salvou o povo filisteu Donde a besta surgiu No desespero so via eu
Comme les autres 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes. J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes, L’amour absent, remplacé par des dettes en chute. J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres, C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes. Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires, Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer. Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence, Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence. Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève, À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
Comme les autres 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes. J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes, L’amour absent, remplacé par des dettes en chute. J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres, C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes. Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires, Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer. Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence, Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence. Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève, À force de survivre, j’ai enterré mes rêves. 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, J’traîne ma vie comme un poids que personne porte. Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir, Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
Comme les autres 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes. J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes, L’amour absent, remplacé par des dettes en chute. J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres, C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes. Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires, Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer. Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence, Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence. Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève, À force de survivre, j’ai enterré mes rêves. 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, J’traîne ma vie comme un poids que personne porte. Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir, Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
Comme les autres 14 ans, mais j’suis pas comme les autres, Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes. J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes, L’amour absent, remplacé par des dettes en chute. J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres, C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes. Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires, Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer. Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence, Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence. Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève, À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
![[FREE] Hamza x Josman Type Beat - "Plus d'issue"](http://i.ytimg.com/vi/Y6tz037vgqE/mqdefault.jpg)
Mec t un fou
Encore un Banger
@@KNSR un de +
Prymus qui fait du Prymus hein 💫
Une p'tite pépite ❤
@@LuacoBeats 😇
Exceeeeelleeent
@@Prod.Bifrost merci les gars 👐
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes.
J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes,
L’amour absent, remplacé par des dettes en chute.
J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres,
C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes.
Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires,
Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer.
Les nuits sont longues quand t’as l’ventre creux,
Tu marches seul dans la ville, l’avenir te rend peureux.
Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence,
Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence.
Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève,
À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
Et si demain tout changeait, est-ce que j’croirais encore ?
Ou est-ce que l’passé m’laisserait bloqué dehors ?
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
J’traîne ma vie comme un poids que personne porte.
Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir,
Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
J’ai vu des rêves s’éteindre sous les néons de la ville,
Des sourires se faner, des âmes perdues dans l’utile.
Chaque pas me ramène vers des vestiges d’hier,
Où l’amour était pur, où l’avenir brillait clair.
Les murs suintent des cris qu’on n’a jamais prononcés,
On construit des prisons dans nos têtes à force d’y penser.
J’marche seul sous la lune, complice de mes doutes,
La vérité blesse, mais l’espoir trace ma route.
Refrain
Et si tout s’efface, dis-moi c’qu’il restera,
Une lueur dans l’ombre ou l’écho de nos pas ?
J’écris pour survivre, pour soigner les éclats,
Chaque mot que je lâche, c’est mon âme dans le combat.
14 piges et t'écris déjà comme ça. Continue frérot dans 4 ans tu nous fait un Zénith 🔥🔥
@ inchallah mon rhoo
Trop fort
merci!!
Prymus il nous faut rouge carmin 2
tellement
💥💯💯💯💯💯💯💯💥
And now i’ve been drinking
I’ve been thinking
I’ve been sinking
So deep in thoughts
I should learn to revive as much i give
Why did i trust
To forget you u must
I opened my heart and you tunred it into dust
Comme les autres
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes.
J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes,
L’amour absent, remplacé par des dettes en chute.
J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres,
C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes.
Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires,
Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer.
Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence,
Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence.
Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève,
À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
J’traîne ma vie comme un poids que personne porte.
Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir,
Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
Prymus jai decoupé rouge carmin carrement cest trop sale fait le 2 stp
I just wanne why u left
Left me in the dark on my own
Al alone
i gave you all my heart and now you gone
Essa é a cena
Pensa, lembra quem tá por cima
Alguém viu a Vanessa?
Ficou a espera
Na casa da vizinha
Mais que eu tu relas
Ralas, pergunto quando te calas?
Sempre fora da caixa
Bons movimentos, atitudes erradas
De mim nada esperes
Não me aproveito da tua bondade
Como oq quiser
Faço oq quiser
Até lá, acabe
Macabro,
Oq se passa do outro lado
Vou a pé
Tu Vais de carro,
Garanto chego mais rápido
Narrado
Na rádio
Referência dos fracos
Já falamos Tiago
Piso nos cornos do diabo
Autoridade sem tar fardado
Ups já tá falado
Ela pergunta como tanto sabo
Conhecimento ou sabedoria
Te Torna sábio
Antes ressabiado
Odiado
Farei tudo p quem amo
Meteu 3 kilos nos labios
Mini me sentou num poof
Repito eles são stradvarius
Lambo, c’est pas ouf
Fodase salários
Quero a saúde dos meus
Sou tudo ao contrario
Desta vez por ageu
Afinal será que agiu
Salvou o povo filisteu
Donde a besta surgiu
No desespero so via eu
Comme les autres
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes.
J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes,
L’amour absent, remplacé par des dettes en chute.
J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres,
C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes.
Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires,
Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer.
Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence,
Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence.
Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève,
À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
Comme les autres
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes.
J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes,
L’amour absent, remplacé par des dettes en chute.
J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres,
C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes.
Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires,
Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer.
Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence,
Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence.
Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève,
À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
J’traîne ma vie comme un poids que personne porte.
Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir,
Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
la prod est différente cependant 👀
Comme les autres
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes.
J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes,
L’amour absent, remplacé par des dettes en chute.
J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres,
C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes.
Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires,
Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer.
Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence,
Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence.
Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève,
À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
J’traîne ma vie comme un poids que personne porte.
Les sourires sont rares, la rancune remplace l’espoir,
Et j’me demande si un jour j’verrai mieux que le noir.
Comme les autres
14 ans, mais j’suis pas comme les autres,
Un père dans la Hess, une mère qui s’écroule sous les fautes.
J’ai grandi dans le bruit des cris et des disputes,
L’amour absent, remplacé par des dettes en chute.
J’ai fumé tôt, mais j’suis pas comme les autres,
C’était pas pour le style, juste fuir mes fautes.
Voler pour des billets, traîner sous les lampadaires,
Pendant qu’les autres rêvaient, moi j’vivais l’enfer.
Ils parlent d’avenir, mais j’vois que l’urgence,
Pas comme les autres, j’ai dû grandir dans l’absence.
Les poches vides, le cœur lourd, mais j’me relève,
À force de survivre, j’ai enterré mes rêves.