Une nouvelle mise en place, tout change sans crier gare, Les murs chuchotent des règles, mais restent avares, Une montagne de travail, qui se dresse devant moi, Je cherche des réponses, mais le silence fait loi. Je déchiffre des ombres, des échos dans le vent, Les heures s’étirent, et je perds mon élan, Le poids des attentes pèse lourd sur mes pas, Je pars en quête, mais je ne sais pas quoi. Oh précieux sésame, où te caches-tu ? Je fouille la nuit, je brise le superflu, Sans repos, sans lumière, juste l’écho de ma voix, Cherchant la clé pour ouvrir le pourquoi. Des indices flous, des chemins sans issue, Un labyrinthe sans fin, aux murs confus, Les minutes s’effacent, les doutes me hantent, Une vérité cachée, mais qui semble absente. Mes mots s’effacent, ma force vacille, Mais au fond de l’ombre, une lueur brille, Je m’accroche au rêve d’une porte ouverte, D’un sens enfin clair, d’une route plus certaine. Oh précieux sésame, où te caches-tu ? Je fouille la nuit, je brise le superflu, Sans repos, sans lumière, juste l’écho de ma voix, Cherchant la clé pour ouvrir le pourquoi. Les jours passent, le doute danse, Mais l’espoir reste, dans le silence, Je gravis la montagne, je ne regarde pas en bas, Le sésame est proche, il m’attend là-bas. Oh précieux sésame, je t’ai presque trouvé, Le chemin était long, mais je suis arrivé, Sans repos, sans lumière, juste la foi dans mes pas, Enfin la clé, enfin le pourquoi. Une nouvelle mise en place, je prends mon élan, La montagne derrière moi, je vais de l’avant, Le sésame en main, je brise les verrous, Et dans cette quête, je trouve mon tout.
Une nouvelle mise en place, tout change sans crier gare,
Les murs chuchotent des règles, mais restent avares,
Une montagne de travail, qui se dresse devant moi,
Je cherche des réponses, mais le silence fait loi.
Je déchiffre des ombres, des échos dans le vent,
Les heures s’étirent, et je perds mon élan,
Le poids des attentes pèse lourd sur mes pas,
Je pars en quête, mais je ne sais pas quoi.
Oh précieux sésame, où te caches-tu ?
Je fouille la nuit, je brise le superflu,
Sans repos, sans lumière, juste l’écho de ma voix,
Cherchant la clé pour ouvrir le pourquoi.
Des indices flous, des chemins sans issue,
Un labyrinthe sans fin, aux murs confus,
Les minutes s’effacent, les doutes me hantent,
Une vérité cachée, mais qui semble absente.
Mes mots s’effacent, ma force vacille,
Mais au fond de l’ombre, une lueur brille,
Je m’accroche au rêve d’une porte ouverte,
D’un sens enfin clair, d’une route plus certaine.
Oh précieux sésame, où te caches-tu ?
Je fouille la nuit, je brise le superflu,
Sans repos, sans lumière, juste l’écho de ma voix,
Cherchant la clé pour ouvrir le pourquoi.
Les jours passent, le doute danse,
Mais l’espoir reste, dans le silence,
Je gravis la montagne, je ne regarde pas en bas,
Le sésame est proche, il m’attend là-bas.
Oh précieux sésame, je t’ai presque trouvé,
Le chemin était long, mais je suis arrivé,
Sans repos, sans lumière, juste la foi dans mes pas,
Enfin la clé, enfin le pourquoi.
Une nouvelle mise en place, je prends mon élan,
La montagne derrière moi, je vais de l’avant,
Le sésame en main, je brise les verrous,
Et dans cette quête, je trouve mon tout.