Traduction mélodique de : Ig aadan ay ul (Le passé, ô cœur) Ô cœur, le passé N'y pense plus, ça y est Nous avions juré Moi et toi, en avant, on va continuer Ya la la la la la la Ô lièvre, tu n'es pas lion Ya la la la la la la Je t'avais laissé, laisse-moi Ya la la la la la la Tes oreilles telles celles de l'ânon Ya la la la la la la A Dieu, tu diras pourquoi Ô vague, emmène-moi En mer, avec toi La trace restera Si on a dit vrai Ou je ne fais que rêver Ya la la la la la la Untel est un clou, on a dit Ya la la la la la la Là où je la mets, c'est brouillée Ya la la la la la la Si mer, troublée par le vrai Ya la la la la la la Cette année, je m'exilerai Une vie de contrainte On y ajoute l'arbitraire On quête le juste Son accès est fermé Ya la la la la la la L'homme qui a la dignité Ya la la la la la la Si s'aliène, ne le blâmez Ya la la la la la la Voilà en crue la rivière Ya la la la la la la Il ne voit pas, aveuglé Tourments en excès L’humeur n’est pas gaie Un mensonge qui naît On le rend comme vrai Ô toi, qui es avisé La cause du départ, tu sais Celui qui est décédé Au moins, il repose en paix L’Unique est là, heureusement Le faux, Il ne le tolère Les gens cupides, diffamant Ils retourneront à la terre. NB : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Ig aadan ay ul (Le passé, ô cœur)
Ô cœur, le passé
N'y pense plus, ça y est
Nous avions juré
Moi et toi, en avant, on va continuer
Ya la la la la la la
Ô lièvre, tu n'es pas lion
Ya la la la la la la
Je t'avais laissé, laisse-moi
Ya la la la la la la
Tes oreilles telles celles de l'ânon
Ya la la la la la la
A Dieu, tu diras pourquoi
Ô vague, emmène-moi
En mer, avec toi
La trace restera
Si on a dit vrai
Ou je ne fais que rêver
Ya la la la la la la
Untel est un clou, on a dit
Ya la la la la la la
Là où je la mets, c'est brouillée
Ya la la la la la la
Si mer, troublée par le vrai
Ya la la la la la la
Cette année, je m'exilerai
Une vie de contrainte
On y ajoute l'arbitraire
On quête le juste
Son accès est fermé
Ya la la la la la la
L'homme qui a la dignité
Ya la la la la la la
Si s'aliène, ne le blâmez
Ya la la la la la la
Voilà en crue la rivière
Ya la la la la la la
Il ne voit pas, aveuglé
Tourments en excès
L’humeur n’est pas gaie
Un mensonge qui naît
On le rend comme vrai
Ô toi, qui es avisé
La cause du départ, tu sais
Celui qui est décédé
Au moins, il repose en paix
L’Unique est là, heureusement
Le faux, Il ne le tolère
Les gens cupides, diffamant
Ils retourneront à la terre.
NB : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.