Je regarde, ce matin, plusieurs épisodes des actualités française du début des années 60. C'est fou comme mon pays a changé en 60 ans. Quand je vois Paris telle qu'était la ville lumière d'alors, comparée à ce qu'elle est devenue aujourd'hui, un cloaque fangeux défiguré, j'ai honte. Quand je vois le faste Gaullien et la magnificence de la république d'alors, et ce malgré la terrible guerre d'Algérie, et que je compare à l'insignifiant Macron, un pantin aux ordres du mondialisme débridé, j'ai honte. Je comprends, en voyant une certaine joie de vivre de mes compatriotes d'alors, confiants en un avenir de progrès et le rude sentiment de déclassement sans fin et l'abattement mortifère de mes compatriotes aujourd'hui. Je me sens en partie responsable de ce déclin, à force de vouloir croire aux belles paroles de tous les bonimenteurs de foire, qui depuis un demi-siècle nous dorent la pilule et nous rasent gratis, j'ai, à mon tout petit niveau participé à cet effondrement, en ayant longtemps eu le fallacieux sentiment de lutter pour le progrès, alors que je ne participais qu'à un asservissement consenti. Oui, vraiment, comment avons nous pu, en quelques décennies en arriver là ? Et serions nous, capable encore de renverser la table.
Super ! Merci pour le partage. J'avais 9 ans en 1962 c'était une bonne époque...
Je regarde, ce matin, plusieurs épisodes des actualités française du début des années 60.
C'est fou comme mon pays a changé en 60 ans.
Quand je vois Paris telle qu'était la ville lumière d'alors, comparée à ce qu'elle est devenue aujourd'hui, un cloaque fangeux défiguré, j'ai honte.
Quand je vois le faste Gaullien et la magnificence de la république d'alors, et ce malgré la terrible guerre d'Algérie, et que je compare à l'insignifiant Macron, un pantin aux ordres du mondialisme débridé, j'ai honte.
Je comprends, en voyant une certaine joie de vivre de mes compatriotes d'alors, confiants en un avenir de progrès et le rude sentiment de déclassement sans fin et l'abattement mortifère de mes compatriotes aujourd'hui.
Je me sens en partie responsable de ce déclin, à force de vouloir croire aux belles paroles de tous les bonimenteurs de foire, qui depuis un demi-siècle nous dorent la pilule et nous rasent gratis, j'ai, à mon tout petit niveau participé à cet effondrement, en ayant longtemps eu le fallacieux sentiment de lutter pour le progrès, alors que je ne participais qu'à un asservissement consenti.
Oui, vraiment, comment avons nous pu, en quelques décennies en arriver là ?
Et serions nous, capable encore de renverser la table.
J'avais six ans à Pontoise.
J'avais 3 mois
Une époque ou les journalistes étaient......journalistes !