Yah, j’ai un tas de mélodie grâce dans ma tête C’est grâce à toi que j’continue d’vivre dans ce monde traître Tisse nos liens, tisse mes leds Toutes nos histoires nous concernent J’étais concis et forcé d’vivre jusqu’au jour d’aujourd’hui J’suis pas expressif, juste pressé de parler d’mes blem-pro Qui me tuent et me donnent plus l’envie d’être ado Comme un gamin qui a pas eu sa part du gâteau J’ai beaucoup eu peur et, à même ce jour, j’suis rempli de rancœur Je m’invente pas une vie, j’investis dans le monde que j’vois à travers mon pupitre J’essaye d’écrire mon rêve d’être artiste, vivre de cette musique Ma life n’avait plus aucun sens, j’étais un putain de navet Qui naviguait sans cesse à la recherche de compliments et d’pavés C’est triste, certes Mais j’fais quoi dans ce world pas net Pas foutu de pronom le n-word Plus d’désir pour les video games Car j’ai envie de créer ma propre game Comme un rappeur haut de game Qui écrit des sons avec l’aide de son cerveau accompagné d’une écriture incomparable J’ai perdu masse potes C’est pas grave, j’leur dis “à tard-plus” Car cette situation me plaît plus Vois le monde pour le cul Vois le cul pour le monde Mais pour l’amour du ciel J’peux même vous parler d’ma vie Vous étalez la vôtre mais les autres, vous en avez rien à foutre
J’rambobine la cassette Au jour où la vie ce manger à la fourchette Rien à gagner tu leur est égale Mais il seront bien bête comme la cigale … Ça tu la prôd vénère 🔥🔥🤯
Titre : "Vertiges des Cimes" Couplet 1 : J’marche sur un fil tendu entre l’ombre et les flammes Chaque pas pèse des tonnes, chaque souffle alimente mon âme La vie m’met des crochets, j’réplique en esquive fine J’traverse des zones minées, chaque rime comme un éclat d'mine Ils rêvent d’riches, moi j’rêve d’impact, qu'chaque ligne laisse des traces Dans ce manège où tout s’efface, j’fais durer l’éphémère qui passe La plume affûtée, j'cisèle des vers comme un artisan d’la lame Chaque mot une cathédrale où mes pensées gravent leurs psaumes J'vois leurs chaînes dorées, illusion d’liberté vendue Le monde est une cage ouverte, mais les rêves restent suspendus J’grimpe des sommets hostiles, le vertige comme compagnon Chaque couplet, un cri d’guerre gravé dans les partitions Couplet 2 : Là où les regards fuient, j’plante mes racines dans l’silence Dans ce désert de vérités, j’suis l’écho qui perce l'absence Chaque note cogne l’crâne, comme un marteau sur l’enclume J’déclenche des tempêtes verbales dans l’vide où les cœurs s’enrhument Ils veulent des punchlines vides, j'construis des vers infinis Chaque syllabe comme un engrenage dans l’horloge de l’infini J’dompte la bête dans ma poitrine, le doute m’tient en laisse Mais chaque mot libère un peu d’moi, chaque phrase devient ma fierté Le système blesse, moi j’cicatrise, j’colle les morceaux brisés Ils voient des murs, moi j’vois des portes prêtes à exploser Dans l’ombre j’forge des armes, les rimes comme des projectiles Chaque tir est chirurgical, l’auditeur saigne mais s’redresse docile Couplet 3 : Les étoiles meurent, mais leur lumière reste en héritage Moi j’veux briller même dans l’oubli, être une voix dans le passage Chaque rime est un tatouage, gravée sur l’peau de l’existence Les blessures s’ferment mal, alors j’écris pour trouver la distance J’ai vu les masques tomber, les faux-semblants brûlés dans l’néant La vérité dérange, mais c’est mon oxygène, mon vent J’suis l’orage dans l’calme, l’éclair dans la nuit profonde Chaque ligne éclate l’cosmos, mes mots résonnent à chaque onde Ils m’disent rêve pas trop grand, mais j’vise les cieux fracturés J’gravite entre les échecs et l’espoir d’un monde épuré Les chaînes craquent sous ma plume, la liberté s’écrit en cris Chaque rime un pas vers l’vide, mais jamais vers l’oubli Couplet 4 : Les murs s’effritent quand j’pose, le ciment s’change en poussière Le monde s’écroule, mais j’bâtis des châteaux dans l’air Chaque rime est une prière, une offrande à l’univers Les échos dansent sur mes couplets, mon âme traverse l’enfer J’dompte le temps avec des syllabes, les secondes deviennent élastiques J’tisse des toiles de mots où les pensées deviennent drastiques Le vertige m’fait sourire, j’aime l’risque, l’équilibre Chaque rime un saut d’l’ange, mes phrases volent entre les libres Ils parlent de cash et d’bling, moi j’parle de l’essence de l’être D’une lutte contre l’vide, d’un feu qui s’ravive dans ma tête J’suis pas un joueur de rôles, chaque mot est une lame de fond Dans l’océan d’leurs illusions, mes vers frappent comme un typhon
Je m'isole comme un moine, Alpha Wann à la plume, Dehors, ça joue les durs, mais c'est doux comme un prune. Je vois les rappeurs s'agiter, leur flow manque de volume, Moi j'gravite dans le cosmos, Newton à la lune. Paris est ma scène, les pavés sont le rythme, J'claque des lignes fines comme les aiguilles d'une montre suisse. On s'demande tous pourquoi, j'cherche la vérité comme un sphinx, L'industrie est un labyrinthe, je trace ma route, un fil d'Ariane fixe. Des rêves plein la tête, l'enfance bercée par des mythes, Un œil sur l'histoire, l'autre sur l'avenir, j'me permets l'hybris. Quand j'vois les clowns qui bavent, j'me sens comme Chaplin, J'vise l'horizon large, pas le petit écran d'Charlie. Refrain J'crache des vers comme un prophète, les faux disparaissent, Les vrais restent, ça cogite comme sur une partie d'échecs. Je reste intègre, jamais de triche dans le texte, Alpha sur la scène, le reste c'est que des annexes.
130 Bpm / C major
enfin une instru inspirante dans les types beats fr merci mec
Merci gros ça fait plaisir 🫡
Tellement fort 🦾🫨
Incroyablement lourde 🤯
merci gars !
t’es rayée d’la ligne
?
c'est une dinguerie cette prod
Merci G 🤝
ow shittt mannn
WOOOOOW
🤝 merci G
Ahhh ouaisssssssss !!
Méchant 🔥
C'est chaud ca
la frappe
🤝🙏
Yah, j’ai un tas de mélodie grâce dans ma tête
C’est grâce à toi que j’continue d’vivre dans ce monde traître
Tisse nos liens, tisse mes leds
Toutes nos histoires nous concernent
J’étais concis et forcé d’vivre jusqu’au jour d’aujourd’hui
J’suis pas expressif, juste pressé de parler d’mes blem-pro
Qui me tuent et me donnent plus l’envie d’être ado
Comme un gamin qui a pas eu sa part du gâteau
J’ai beaucoup eu peur et, à même ce jour, j’suis rempli de rancœur
Je m’invente pas une vie, j’investis dans le monde que j’vois à travers mon pupitre
J’essaye d’écrire mon rêve d’être artiste, vivre de cette musique
Ma life n’avait plus aucun sens, j’étais un putain de navet
Qui naviguait sans cesse à la recherche de compliments et d’pavés
C’est triste, certes
Mais j’fais quoi dans ce world pas net
Pas foutu de pronom le n-word
Plus d’désir pour les video games
Car j’ai envie de créer ma propre game
Comme un rappeur haut de game
Qui écrit des sons avec l’aide de son cerveau accompagné d’une écriture incomparable
J’ai perdu masse potes
C’est pas grave, j’leur dis “à tard-plus”
Car cette situation me plaît plus
Vois le monde pour le cul
Vois le cul pour le monde
Mais pour l’amour du ciel
J’peux même vous parler d’ma vie
Vous étalez la vôtre mais les autres, vous en avez rien à foutre
Plus lourde que Depardieu !
Ahaha merci 😭
C'est quoi cette dinguerie
Ça me fait penser à "Aou - Théodort"
🔥 Ça mitraille fort 🔥
Merci gars 🫡
Je suis le 1k em like, sinon c’est fort 💪🏾
💣💣💣💣💣💣💣💣
BOOM BOOM ‼️🔥🔥
Je vais l'utiliser pour moi
J’rambobine la cassette
Au jour où la vie ce manger à la fourchette
Rien à gagner tu leur est égale
Mais il seront bien bête comme la cigale
…
Ça tu la prôd vénère 🔥🔥🤯
La cigale et la fourmi
Titre : "Vertiges des Cimes"
Couplet 1 :
J’marche sur un fil tendu entre l’ombre et les flammes
Chaque pas pèse des tonnes, chaque souffle alimente mon âme
La vie m’met des crochets, j’réplique en esquive fine
J’traverse des zones minées, chaque rime comme un éclat d'mine
Ils rêvent d’riches, moi j’rêve d’impact, qu'chaque ligne laisse des traces
Dans ce manège où tout s’efface, j’fais durer l’éphémère qui passe
La plume affûtée, j'cisèle des vers comme un artisan d’la lame
Chaque mot une cathédrale où mes pensées gravent leurs psaumes
J'vois leurs chaînes dorées, illusion d’liberté vendue
Le monde est une cage ouverte, mais les rêves restent suspendus
J’grimpe des sommets hostiles, le vertige comme compagnon
Chaque couplet, un cri d’guerre gravé dans les partitions
Couplet 2 :
Là où les regards fuient, j’plante mes racines dans l’silence
Dans ce désert de vérités, j’suis l’écho qui perce l'absence
Chaque note cogne l’crâne, comme un marteau sur l’enclume
J’déclenche des tempêtes verbales dans l’vide où les cœurs s’enrhument
Ils veulent des punchlines vides, j'construis des vers infinis
Chaque syllabe comme un engrenage dans l’horloge de l’infini
J’dompte la bête dans ma poitrine, le doute m’tient en laisse
Mais chaque mot libère un peu d’moi, chaque phrase devient ma fierté
Le système blesse, moi j’cicatrise, j’colle les morceaux brisés
Ils voient des murs, moi j’vois des portes prêtes à exploser
Dans l’ombre j’forge des armes, les rimes comme des projectiles
Chaque tir est chirurgical, l’auditeur saigne mais s’redresse docile
Couplet 3 :
Les étoiles meurent, mais leur lumière reste en héritage
Moi j’veux briller même dans l’oubli, être une voix dans le passage
Chaque rime est un tatouage, gravée sur l’peau de l’existence
Les blessures s’ferment mal, alors j’écris pour trouver la distance
J’ai vu les masques tomber, les faux-semblants brûlés dans l’néant
La vérité dérange, mais c’est mon oxygène, mon vent
J’suis l’orage dans l’calme, l’éclair dans la nuit profonde
Chaque ligne éclate l’cosmos, mes mots résonnent à chaque onde
Ils m’disent rêve pas trop grand, mais j’vise les cieux fracturés
J’gravite entre les échecs et l’espoir d’un monde épuré
Les chaînes craquent sous ma plume, la liberté s’écrit en cris
Chaque rime un pas vers l’vide, mais jamais vers l’oubli
Couplet 4 :
Les murs s’effritent quand j’pose, le ciment s’change en poussière
Le monde s’écroule, mais j’bâtis des châteaux dans l’air
Chaque rime est une prière, une offrande à l’univers
Les échos dansent sur mes couplets, mon âme traverse l’enfer
J’dompte le temps avec des syllabes, les secondes deviennent élastiques
J’tisse des toiles de mots où les pensées deviennent drastiques
Le vertige m’fait sourire, j’aime l’risque, l’équilibre
Chaque rime un saut d’l’ange, mes phrases volent entre les libres
Ils parlent de cash et d’bling, moi j’parle de l’essence de l’être
D’une lutte contre l’vide, d’un feu qui s’ravive dans ma tête
J’suis pas un joueur de rôles, chaque mot est une lame de fond
Dans l’océan d’leurs illusions, mes vers frappent comme un typhon
excellent
🗽
Je m'isole comme un moine, Alpha Wann à la plume,
Dehors, ça joue les durs, mais c'est doux comme un prune.
Je vois les rappeurs s'agiter, leur flow manque de volume,
Moi j'gravite dans le cosmos, Newton à la lune.
Paris est ma scène, les pavés sont le rythme,
J'claque des lignes fines comme les aiguilles d'une montre suisse.
On s'demande tous pourquoi, j'cherche la vérité comme un sphinx,
L'industrie est un labyrinthe, je trace ma route, un fil d'Ariane fixe.
Des rêves plein la tête, l'enfance bercée par des mythes,
Un œil sur l'histoire, l'autre sur l'avenir, j'me permets l'hybris.
Quand j'vois les clowns qui bavent, j'me sens comme Chaplin,
J'vise l'horizon large, pas le petit écran d'Charlie.
Refrain
J'crache des vers comme un prophète, les faux disparaissent,
Les vrais restent, ça cogite comme sur une partie d'échecs.
Je reste intègre, jamais de triche dans le texte,
Alpha sur la scène, le reste c'est que des annexes.
M5 sur bandlab
Qui t'as faché comme ca mec ???
Mdrrr ah gars 😈
"Faut etre un cineaste ma gueule pour kiffer cette merde"
Faut voir comment j'ai ouvert ma bouche c'est giga lourd
Ahaha merci frro 🤝
@@spleen673
R😮
je veux des tall,on decalle pour la monnaie