bien du courage !! il s'agit d'un linoleum à base caoutchouc moulé sur fibres et collé aux supports a la colle genre carrelage (depuis fin 19 eme aux années fin 50 ) , remplacé depuis par les balatum, puis sols vinyle. souvent par économie seuls les nez étaient en bois dur (chêne/orme) et le reste en bois blanc (résineux, voire peuplier ...)
Salut Sylvain, et merci des précisions, ça colle pas mal a ce que tu dis et je comprends mieux pourquoi la colle carrelage était ci dure à enlever... On en apprend tous les jours ahah
comme dit sylvain, la grande mode à l'époque était de recouvrir avec du ciment colle partout, tu risques de retrouver ça souvent sur du 'beau' parquet. Je pense que le grincement des parquets emmerdait tout le monde à l'époque, d'où ciment colle + lino à la mode
Après tes explications on comprend mieux pourquoi les autres artisans ont refusé le chantier. J'espère surtout pour toi que tu t'en sors correctement coté finances. On attend la suite. Bon courage.
Salut, le fait d'être indépendant, je n'ai pas les même charges qu'une PME. Ça me permet de faire plus facilement ce type de chantier. Oui je m'en sors sans problème niveaux finances, en expliquant les choses les clients comprennent majoritairement les choses
Bien content que tu t'en sortes sur ce genre de chantier. J'ai également été indépendant sur pratiquement l'intégralité de ma carrière et ce n'est pas toujours évident de s'en sortir financièrement quand on doit faire des devis avant la découverte des travaux.@@MathieuDAVID
En effet, il faut réussir à émettre des réservés au devis et que le client soit compréhensif quand on lui proposes plusieurs solutions à un problème découvert
Tout remplacer c est aussi des incertitudes pour les ancrages dans les mur et le sol - parce qu ici la structure et la rampe en metal vintage restent. Le restaurateur sur ce chantier ne prend que le risque de passer plus de temps, rien sur le cout materiaux, le vieux chene/noyer/chataignier coute une fortune. Non professionnel, ayant experimente les 2 choix, je repare toujours.
Salut, en ce qui concerne un remplacement, dans l'ancien je fonctionne toujours avec du limon ou de la crémaillère porteuse, donc au final tout est indépendant des murs. Surtout dans un cas comme celui ci ou la maison reste quand même plutôt humide car au pied d'une rivière. Le vieux bois ne coite pas ci cher que ça en menuiserie quand on prend le temps de le chercher et qu'on a de quoi le stocker. Ce qui coûte cher c'est quand on a besoin rapidement d'une essence précise en vieux bois et qu'on ne l'a pas chez soi. À mon sens la restauration reste le travail le plus difficile car trop d'imprévus. Mais en effet, si le client voulait du neuf à l'identique, c'est un escalier à 15000€...
@@MathieuDAVID Il faudrait aussi preciser si les lieux ont une valeur historique. Cout ou valeur du stock ? L antiquaire restaurateur a un stock de pieces qu il a recupere gratuitement pendant des annees, en pratique c est la valeur de son fonds de commerce.
Toute vieille bâtisse respectée à une valeur historique à mes yeux, après si c'est classé ou inscrit, ça change pas tant que ça de choses sur une restauration, le cahier des charges dépend surtout du donneur d'ordre en gros mais aussi des exigences de chacun, et au final c'est le portefeuille qui décide quand même
Bonjour André, c'est exactement ça, on ne peut pas tout prévoir quand le support est caché mais avec un client qui comprend le chantier, ça aide à avancer dans la meilleure des directions. C'est en 4 parties donc le résultat très prochainement ! Et merci de l'intention reçue par voie postale, ça me sera en effet fort utile!
Pas le revêtement mais la colle et le ragreage. Sinon pour le dpe ça ne serait pas la 1ere fois qu’on y trouve que des éléments superficiels. De toute façon c’est fait et tu portais un bon casque. Bon courage
bien du courage !! il s'agit d'un linoleum à base caoutchouc moulé sur fibres et collé aux supports a la colle genre carrelage (depuis fin 19 eme aux années fin 50 ) , remplacé depuis par les balatum, puis sols vinyle.
souvent par économie seuls les nez étaient en bois dur (chêne/orme) et le reste en bois blanc (résineux, voire peuplier ...)
Salut Sylvain, et merci des précisions, ça colle pas mal a ce que tu dis et je comprends mieux pourquoi la colle carrelage était ci dure à enlever... On en apprend tous les jours ahah
salut bon mardi soir 🙂 je partage la video 🙂
Merci et bon courage. Ça fait plaisir de savoir qu il reste des artisans qui restaurent de l ancien. 🤘👍.
Merci, on fait au mieux pour conserver ce qu'on nous a transmis
Quelle satisfaction après une restauration malgré la galère et on apprend bien plus ( cool David)
Oui on en apprend toujours plus sur l'ancien
Les joies de la restauration 😅 Bon courage.
En effet, ahah, merci
Super boulot,merci de nous montrer la progression du chantier,bon courage, à bientôt salut Jeannot ⚒😉
Merci, au plaisir de partager, comme toujours
Bravo pour la restauration et bon courage!
Merci
Salut. Beau boulot. Sacré taf. On dirait du chêne le nez de marche. On attend la suite avec impatiente
Salut, et merci, oui c'est bien ça, mais dur d'être certain avant on vrai ponçage
comme dit sylvain, la grande mode à l'époque était de recouvrir avec du ciment colle partout, tu risques de retrouver ça souvent sur du 'beau' parquet.
Je pense que le grincement des parquets emmerdait tout le monde à l'époque, d'où ciment colle + lino à la mode
Je vois ça et le découvre. Pourtant je ne l'avais jamais rencontré en 12 ans, comme quoi
un escalier a noyau et finalement c est le pepin
En effet, la mauvaise surprise mais on s'en sort
Après tes explications on comprend mieux pourquoi les autres artisans ont refusé le chantier. J'espère surtout pour toi que tu t'en sors correctement coté finances. On attend la suite. Bon courage.
Salut, le fait d'être indépendant, je n'ai pas les même charges qu'une PME. Ça me permet de faire plus facilement ce type de chantier. Oui je m'en sors sans problème niveaux finances, en expliquant les choses les clients comprennent majoritairement les choses
Bien content que tu t'en sortes sur ce genre de chantier. J'ai également été indépendant sur pratiquement l'intégralité de ma carrière et ce n'est pas toujours évident de s'en sortir financièrement quand on doit faire des devis avant la découverte des travaux.@@MathieuDAVID
En effet, il faut réussir à émettre des réservés au devis et que le client soit compréhensif quand on lui proposes plusieurs solutions à un problème découvert
Tu es très courageux d avoir dénié t attaquer a cette restauration, car il était bon a remplacer. Là faut pas ce tromper sur le devis. Bon courage.
En vrai la restauration coûte moins cher au client qu'un démontage et refabrication et pose d'un neuf ayant un minimum de cachet...
Tout remplacer c est aussi des incertitudes pour les ancrages dans les mur et le sol - parce qu ici la structure et la rampe en metal vintage restent.
Le restaurateur sur ce chantier ne prend que le risque de passer plus de temps, rien sur le cout materiaux, le vieux chene/noyer/chataignier coute une fortune.
Non professionnel, ayant experimente les 2 choix, je repare toujours.
Salut, en ce qui concerne un remplacement, dans l'ancien je fonctionne toujours avec du limon ou de la crémaillère porteuse, donc au final tout est indépendant des murs. Surtout dans un cas comme celui ci ou la maison reste quand même plutôt humide car au pied d'une rivière.
Le vieux bois ne coite pas ci cher que ça en menuiserie quand on prend le temps de le chercher et qu'on a de quoi le stocker. Ce qui coûte cher c'est quand on a besoin rapidement d'une essence précise en vieux bois et qu'on ne l'a pas chez soi.
À mon sens la restauration reste le travail le plus difficile car trop d'imprévus. Mais en effet, si le client voulait du neuf à l'identique, c'est un escalier à 15000€...
@@MathieuDAVID Il faudrait aussi preciser si les lieux ont une valeur historique. Cout ou valeur du stock ? L antiquaire restaurateur a un stock de pieces qu il a recupere gratuitement pendant des annees, en pratique c est la valeur de son fonds de commerce.
Toute vieille bâtisse respectée à une valeur historique à mes yeux, après si c'est classé ou inscrit, ça change pas tant que ça de choses sur une restauration, le cahier des charges dépend surtout du donneur d'ordre en gros mais aussi des exigences de chacun, et au final c'est le portefeuille qui décide quand même
Eh bah bon courage !
Ahah c'est bon ça s'est fait quand meme
Tu parles dune corvée, acceptable en considerant la satisfaction à venir une fois la restauration achevée. Bon courage pour la suite.
Bonjour André, c'est exactement ça, on ne peut pas tout prévoir quand le support est caché mais avec un client qui comprend le chantier, ça aide à avancer dans la meilleure des directions. C'est en 4 parties donc le résultat très prochainement !
Et merci de l'intention reçue par voie postale, ça me sera en effet fort utile!
@@MathieuDAVID
Avec grand plaisir et bien content de savoir le colis arrivé à bon port !
Je m'en sers dès demain, et en effet je vais gagner en stabilité d'affûtage.
Attention ça pue l’amiante
Non t'inquiètes pas, le revêtement n'était pas mentionné dans le DPE et était trop souple pour être amianté
Pas le revêtement mais la colle et le ragreage. Sinon pour le dpe ça ne serait pas la 1ere fois qu’on y trouve que des éléments superficiels. De toute façon c’est fait et tu portais un bon casque. Bon courage
@samuelloiseau170 ah oui en effet, je n'y ai pas pensé, ça se faisait dans la colle a carrelage?
@@MathieuDAVID Oui, au moins dans les colles à carrelage noires.
@@benjamin213 j'ai l'impression que c'est pas le cas du coup, elle était bien grise claire