La Belgique attend le Pape

Dans le cadre exceptionnel de la Basilique de Koekelberg à Bruxelles, la rédaction de KTO vous propose un échange avec Mgr Luc Terlinden, archevêque de Malines-Bruxelles et avec plusieurs invités autour des attentes que suscitent cette visite du pape en Belgique. A une semaine de l'arrivée de François dans le pays, c'est l'occasion de saisir les réalités pastorales en Belgique marquées par une forte déchristianisation et des sensibilités anticléricales. Le Saint-Père visite le pays à l'occasion des 600 ans des universités catholiques, la KU Leuven et l'UCLouvain. Comment articuler le dialogue entre la foi et la raison dans une société post-moderne ? Jeunes et évangélisation, solidarité, présence dans la société, lutte contre les abus : quels sont les défis de l'Eglise en Belgique ? Pour en parler KTO reçoit Mgr Luc Terlinden, l'archevêque du diocèse de Malines-Bruxelles, ainsi que Simon Orellana, étudiant en relations internationales à l'Université Catholique de Louvain, Sébastien Dechamps, coordinateur humanitaire à Caritas International Belgique, Bernard Feltz, philosophe et professeur émérite à l'Université Catholique de Louvain, et Aude Brochier, responsable de l'aumônerie catholique à l'hôpital de Jolimont. Une émission présentée par Etienne Loraillère.

[@christianesamfat4195]

Je vous souhaite de vivre cette rencontre tant attendue avec le Pape comme un grand cadeau tombé du ciel..une lumineuse grâce au sein de votre paroisse. Que les coeurs soient touchés par la grâce…Ile Maurice 🙏✨🕯✨🫶

[@fleurdelys-c2m]

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[@christinepugliese5437]

Bienvenu au Pape François et les causes les plus essentielles sont la maladie surtout,l'aide, la compassion , le respect de l'autre, la pauvreté surtout , les discriminations la dignité humaine 🙏🙏🙏🙏

[@JJLD-se5zn]

On ne comprend absolument pas le professeur de l'UCL qui dit tout et son contraire. Il dit que les étudiants, professeurs et équipe dirigeante ne sont plus catholiques (qu'en sait-il d'ailleurs, s'il est universitaire il devrait être scientifique dans sa démarche et donner des chiffres!) puis il dit que l'université reste "hypermoderne" (qu'est-ce que ça veut vraiment dire) et catholique (une nouvelle contradiction), puis il dit que l'Université est catholique et pluraliste et enfin il dit parle d'une philosophie d'inspiration chrétienne... bref, on n'y comprend plus rien ! L'étudiant le contredit totalement et le Chancelier est évidemment plus constructif et précis dans son analyse !