Une bonne maîtrise de la compta est indispensable, tout comme la fiscalité l’est à la pratique du droit des sociétés, ces trois disciplines sont inextricablement liées. Quant au sujet des mathématiques, je dirais simplement qu’il faut savoir compter et être à l’aise avec les chiffres. On ne vous demandera pas de résoudre des triples intégrales ou je ne sais quoi de ce genre.
En tant qu'ancienne assistante comptable et maintenant étudiante en droit fiscal je dirais que : Tu dois être à l'aise en mathématiques, savoir faire des calculs de base mais tu n'auras pas besoin de connaissance en études de fonctions ou de dérivées par exemple. Pour avoir fait de la comptabilité avant, je suis vraiment très à l'aise en fiscalité des entreprises surtout. Ça permet vraiment d'avoir une vision de l'impact de chaque opération sur le résultat comptable puis sur les retraitements extra comptables à effectuer. Donc pas besoin d'être un génie en comptabilité. Je me sers très rarement de mes connaissances en comptes consolidés mais le fait de savoir quels sont les comptes de bilan et de résultat et quels sont les sens normaux de mouvements des comptes aide énormément. Donc oui une bonne base en maths et compta est nécessaire si tu veux être à l'aise.
Voix soporifique.. 😴 Très bonne vidéo pour dormir. Sur le fond, dommage que le passage par de grandes écoles fausse une nouvelle fois l'égalité des chances 👍
Tout dépend de le structure que l’on souhaite intégrer, comme en droit des affaires. Si l’on souhaite rejoindre un grand cabinet international (Big four comme Ernst & Young, cabinets anglo-saxons type Baker & Mc Kenzie, Latham & Watkins, Clifford Chance, ou les principaux cabinets français comme Francis Lefebvre ou Gide...), ce type de cursus sera généralement exigé. En revanche, les cabinets provinciaux de taille plus modeste, mais où le travail est tout aussi captivant, ne l’exigeront pas nécessairement. Un bon Master type DJCE convient tout à fait à la discipline.
@@lisamona4574 Savez-vous au moins de quoi vous parlez ? De nombreux cabinets en provinces conseillent de très belles PME, des groupes familiaux, des start-up, des ETI et groupes déjà très structurés. Ils ont une très belle clientèle, le travail y est généralement plus varié qu’au sein des grosses boites de la profession, où l’on « hyerspécialise » très vite les collaborateurs. Les perspectives d’évolution y sont très réelles. De plus, ça permet de vivre assez confortablement, loin de la pollution, de la grisaille parisienne, de la morosité du métro et du stress inhérent à cette ville, et surtout, sans avoir à claquer la moitié de sa rétrocession d’hono dans un malheureux 30 m2... Mais bon, chacun son truc... Ça ne fait peut-être pas rêver, mais en ce qui me concerne, je ne vis pas dans un rêve...
Faut-il être bon en math ou avoir une grande maîtrise de la comptabilité ? Merci!
Une bonne maîtrise de la compta est indispensable, tout comme la fiscalité l’est à la pratique du droit des sociétés, ces trois disciplines sont inextricablement liées. Quant au sujet des mathématiques, je dirais simplement qu’il faut savoir compter et être à l’aise avec les chiffres. On ne vous demandera pas de résoudre des triples intégrales ou je ne sais quoi de ce genre.
En tant qu'ancienne assistante comptable et maintenant étudiante en droit fiscal je dirais que :
Tu dois être à l'aise en mathématiques, savoir faire des calculs de base mais tu n'auras pas besoin de connaissance en études de fonctions ou de dérivées par exemple.
Pour avoir fait de la comptabilité avant, je suis vraiment très à l'aise en fiscalité des entreprises surtout. Ça permet vraiment d'avoir une vision de l'impact de chaque opération sur le résultat comptable puis sur les retraitements extra comptables à effectuer.
Donc pas besoin d'être un génie en comptabilité. Je me sers très rarement de mes connaissances en comptes consolidés mais le fait de savoir quels sont les comptes de bilan et de résultat et quels sont les sens normaux de mouvements des comptes aide énormément.
Donc oui une bonne base en maths et compta est nécessaire si tu veux être à l'aise.
Voix soporifique.. 😴 Très bonne vidéo pour dormir. Sur le fond, dommage que le passage par de grandes écoles fausse une nouvelle fois l'égalité des chances 👍
Tout dépend de le structure que l’on souhaite intégrer, comme en droit des affaires.
Si l’on souhaite rejoindre un grand cabinet international (Big four comme Ernst & Young, cabinets anglo-saxons type Baker & Mc Kenzie, Latham & Watkins, Clifford Chance, ou les principaux cabinets français comme Francis Lefebvre ou Gide...), ce type de cursus sera généralement exigé.
En revanche, les cabinets provinciaux de taille plus modeste, mais où le travail est tout aussi captivant, ne l’exigeront pas nécessairement. Un bon Master type DJCE convient tout à fait à la discipline.
@@laurent1985ful cabinets provinciaux... Ça ne fait pas rêver, surtout en droit des affaires mais bon, chacun son destin 😎
@@lisamona4574
Savez-vous au moins de quoi vous parlez ?
De nombreux cabinets en provinces conseillent de très belles PME, des groupes familiaux, des start-up, des ETI et groupes déjà très structurés. Ils ont une très belle clientèle, le travail y est généralement plus varié qu’au sein des grosses boites de la profession, où l’on « hyerspécialise » très vite les collaborateurs. Les perspectives d’évolution y sont très réelles.
De plus, ça permet de vivre assez confortablement, loin de la pollution, de la grisaille parisienne, de la morosité du métro et du stress inhérent à cette ville, et surtout, sans avoir à claquer la moitié de sa rétrocession d’hono dans un malheureux 30 m2... Mais bon, chacun son truc...
Ça ne fait peut-être pas rêver, mais en ce qui me concerne, je ne vis pas dans un rêve...
@@laurent1985ful selon vous, c'est quoi la meilleur formation pour devenir fiscaliste ?????
Elle pourrait ouvrir une chaîne d'ASMR en parallèle de son activité d'avocat, perso je kiffe sa voix !