Merci pour cs tour d'horizon sur la salsa. C'est un monde magique. Je suis plus rockeur comme "petit" danseur, mais le monde de la salsa me transporte toujours comme "petit" danseur. C'est magique et la danse c'est une autre vie dans la vie. Bravo Mr ISNARDI.
Analyse tellement pertinente et éclairée par le prisme historique. Merci pour cette immersion à 360 degré, dans les nuances entre les salsa, ça ouvre l'esprit, élargi la conscience.
Salut Esteban. Bravo pour tes vidéos et pour tes recherches. On a eu quasi toutes les mêmes informations sur les sujets que tu as abordé! Pour info, on appelle la Salsa en Ligne en France :"Porto" car fin 90, début 2000 (je ne sais plus quelle année), il y a eu un grand festival de Salsa à Porto Rico sur lequel un groupe de danseurs francophone, principalement de Paris est allé. C'était un festival L.A et N.Y Style et du coup, ils ont cru, ou tout du moins rapporté que c'était la Salsa Portoricaine. Et ça s'est propagé comme ça (Ce groupe à l'époque ne dansait que la cubaine et ils découvraient ce style plus ou moins pour la première fois) Voilà les infos que j'ai à ce sujet ;-) Excellente continuation et au plaisir de te retrouver sur un événement.
Merci pour cette initiative et cette tentative d'explication des différences entre "portoricaine" et "cubaine". Je pense que personne ne doit oublier le lien commun, l'élément essentiel qu'est le son cubain. En partant du son cubain, on voit qu'il y a surtout des ressemblances entre les 2 styles comme si le son cubain était le pont qui permet de passer de l'un à l'autre sans conflit ni animosité. Ce n'est pas facile d'expliquer tout ça et tu as le mérites en tout cas d'en parler sur ta chaîne. Je me souviens d'un stage de danse avec Cliford et Valérie (Salsabor) et Ivan Martinez qui expliquaient que les 2 styles n'étaient pas si éloignés que ça et que la richesse venaient plutôt de l'interprétation que l'on donne lorsque l'on danse sur telle ou telle musique, et aussi bien sûr de la qualité de danseur ou danseuse, de la musicalité des partenaires, sans prêter attention à la performance technique. Pour ma part, je pense que danser les 2 styles est très enrichissant et demande une ouverture d'esprit et surtout un amour de la musique qui nous rend fou :-) ! Que penses-tu de cela ?
Je pense que tu as totalement raison en parlant du lien qu’est le Son. Cela dit plus que de lien, je parlerai de paternité ou de maternité. Étant parolier de certains parmi les plus grands de la musique cubaine actuelle, voici une chanson que j’ai écrite et qui est interprétée par Roberton de Los Van Van ... je te l’envoie avec les paroles, si tu comprends l’espagnol tu verras que c’est de ça dont je parle. Amitiés EMPIEZA MI SON Tu salsa termina donde empieza mi Son. Eso que tú llamas salsa es lo que yo llamo Son. Aquí hace falta mi hermano disipar la confusión. Y es que tú le dices salsa, quizás eso a ti te alcanza pero pon en la balanza lo que trae mi canción. Es que entre el Son y la salsa no existe comparación. El mismo Blades lo afirma, Johnny Pacheco también. Si ellos le ponen la firma no inventes que no está bien. No olvides que Tito Puente enfatizó que la salsa era lo que habitualmente él le ponía a la pasta. Si te lo dice la Fania no hay nada más que agregar. Lo que es verdad no te daña si lo sabes aceptar. Cuba es la cuna Cuba es la cuna Cuba es la cuna Letra : E. Isnardi Copyright EMPIEZA MI SON Cantante : Robertón de Los Van Van Música : Pablo Timba y su Timbacalle Letra y baile : Esteban Isnardi Arreglos e imágenes : Massimo Scalici Bajo : Pavel Molina (ex Los Van Van) #robertonvanvan #losvanvan #pablotimba #timbacalle #pavelmolina #estebanisnardi ua-cam.com/video/DCupLd1C8G8/v-deo.html
merci beaucoup. Je viens de passer à la colombienne et la porto, après des années de cours en cubaines. En effet, la cubaine c'est le st graal, mais pour les danseurs modestes, c'est plus simple la porto !
Un comparatif assez intéressant même si c’est un sujet sur lequel on peut discuter pendant de longues heures. Un seul bémol: la musique pour danser la Porto n’est pas si «linéaire» que ce que tu laisses entendre. La variété des musiques pour danser en ligne est plus varié et riche que celle pour danser le casino. T’as fait référence à des groupes «commerciaux» mais le spectre musical «portoricain» va du commercial à de l’underground, du Mambo au Cha Cha Cha, en passant par le «Guaguancó», le Latin Jazz, le Son Montuno, le Boogaloo, etc. En tout cas, je te félicite pour cette excellente video 👏👏👏
Merci Alfonso, en effet comme tu le dis, c’était très court... la longueur impartie par les besoins de la vidéo, je devais dire le plus possible en peu de temps... et je suis également d’accord sur ce que tu dis à propos de la musique « Porto ». La comparaison entre la danse en ligne et le côté linéaire de la musique était trop tentante, dommage, et c’est le point faible que je trouve à ma vidéo aussi. Mes salutations !
Je danse la cubaine et adore la musique porto. Tellement musicale!J essaye de faire ma petite sauce en cubaine et des fois portos ,si le danseur est assez ouvert d esprit .
thanks for that historical explanation! when I discovered these 2 styles some years ago, my impression was "casino" dancers are like in festivity, "liners" are like in competition
Le Lourd De Fou Malade, qui s’écrit plus communément Lourdefoumalade, est un mammifère que l’on trouve principalement dans l’est de l’Uruguay. Il a la caractéristique d’être plutôt lourdaud, d’avoir des comportements imprévisibles et de sévères carences dans son système immunitaire. D’où les trois composantes qui servent à le nommer. Merci de l’avoir si opportunément rappelé à nos lecteurs. Je tiens à ajouter que ma petite friture me manque.
Je suis tombée sur cette vidéo après qu'on m'a demandé plusieurs fois "tu danses la porto ou la cubaine?" lors d'une danse sociale (à quoi j'ai répondu"Euh, je danse sur la musique et je suis ton guidage donc je danse ce que tu danses"😅) . Merci pour les explications, maintenant je visualise mieux la différence! C'est pas si important ce qu'on danse en fait, et à quel niveau, tant que la connexion avec le ou la partenaire est bonne et qu'on prend tous les 2 du plaisir ensemble ❤ Tout ça pour dire merci pour la vidéo 😊
Je fais 10 ans de cubains, et je viens cette année en porto. Mon premier ressenti, Je ne dirais pas que le monde de la salsa portoricaine est plus technique. L’afrocubain, les orishas, la rumba est autrement plus difficile. Les différences pour moi dans la posture, les cubains dansent dans le sol, la Porto, c’est plus aérien et bien droit. Les cavalières font un travail beaucoup plus important en porto qu’en cubaine. Et inversement pour les cavaliers, la porto c’est plus facile, il y a moins de surprise dans l’espace de danse, on est sur la ligne. Concernant la guéguerre c’est un peu dommage, les deux styles sont superbe. Je pense qu’il y a une méconnaissance des mondes. J’étais comme tous avant de faire mon inscription en porto… Merci pour la vidéo et les explications 😀🇨🇺
Wow. Ça est juste excellent. Beaucoup plus de clareté sur ces 2 danses merveilleuses ! 😍 J’ai appris la cubaine mais j’avoue préférer parfois la porto... enfin... je suis contente de réussir à faire les deux à vrai dire. Ça varie sur la piste de danse !
Avez vous prévu de faire des vidéos qui présentent chaque genre de danse cubaine avec des petites demo des bases comme vous avez fait pour le mambo ? Ça m'intéresse bcp ! C'est tellement riche et varié ! On s'y perd.. 🇨🇺💕
Bonjour et merci pour votre message. Je mettrai de temps en temps quelques pas, en effet, mais vous trouverez tout ce matériel de manière plus complète dans mes formations qui seront mises en vente online prochainement. Très bon dimanche !
C'est juste passionnant ! merci Par contre attention avec les vidéos marquées Shutterstock. Si la plateforme trouve que vous utilisez leurs extraits dans des publications youtube, vous pouvez avoir des soucis
@lemondedisnardi2736 bonjour😊 merci pour votre message... Je me souviens que quand j'ai commencé à apprendre la salsa portoricaine mon professeur me faisait souvent la remarque en me disant qu'il ne fallait pas que je bouge les hanches c'était un peu compliqué pour moi ayant beaucoup vécu dans les iles😊. Il disait qu'en portoricaine le rôle du cavalier était de mettre en valeur sa cavalière et non pas de se mettre lui-même en valeur. Qu'il fallait conserver une attitude macho. Il expliquait également quand cubaine les mouvements étaient beaucoup plus libre que l'on pouvait bouger les épaules la tête les hanches sans aucun problème mais que cela était interdit en portoricaine. concernant le dress code, j'espère ne pas vous avoir vexé. je ne voulais pas dire qu'en cubaine on s'habillait moins bien qu'on portoricaine mais une vidéo que j'avais vu à propos de la portoricaine donnait cette explication : à savoir que les gens souhaitaient apprendre rapidement sans se prendre la tête et que du coup la Cubaine leur semblait plus facile. mais qu'il y avait également une rigueur vestimentaire plus forte en portoricaine. ces éléments expliqueraient que les gens se sont de plus en plus détournés de la portoricaine. ce n'est pas là ma propre explication, c'est ce que j'ai pu entendre sur une vidéo UA-cam il y a déjà quelques années. j'ai dernièrement testé un cours de salsa cubaine, j'ai été très surpris des appellations données par le professeur à certaines passes, mais également l'exécution de certains mouvements qui allaient tout à fait à l'encontre de ce que j'avais appris jusqu'à maintenant. j'ai stoppé au bout de 30 minutes tellement cela m'a découragé car j'avais l'impression qu'il fallait que j'oublie tout ce que j'avais appris. Par exemple j'ai découvert que le di li que si peut aussi s'appeler coca cola... Même les professeurs n'utilisent pas les mêmes termes pour des figures identiques. Cette personne appelait le dili que no une traversée... Ce soir-là on m'a expliqué que pour faire une enchufala , L'homme devait sur le 1 avancer son pied gauche alors que l'on m'avait toujours appris qu'il fallait le reculer... Désolé si j'ai fait des fautes d'orthographe sur les appellations des passes. je vous souhaite une bonne soirée
Hello, merci pour ces précisions! Complètement nouveau dans le monde de la danse, ça fait 6 mois que je fait de la salsa portoricaine. Mais voilà cette danse ne me parle pas du tout, je trouve que tout est trop mécanique du coup je n'ai pas d'émotions ni de sensations quand je la danse. J'ai bien envie de tester la cubaine qui me semble donner plus de spontanéitée
Salut! merci pour tes éclaircissements, j'ai appris la salsa portoricaine en allemagne, et comme tu dis dans cette ville il y a une guerre entre deux écoles porto/cubaines : du coup le bar latino où le prof de salsa cubaine a réussi a prendre la place de la prof de salsa portoricaine, on y voit jouer plus de musiques propices au danses cubaines... Une danseuse des années 2000 me disait: ces deux clubs, quand je tombe sur un partenaire de l'autre club, ça coince au niveau des genoux: ils se cognent l'un l'autre...J'avais commencé par la porto, car on m'avait dit que c'est dans ce sens là qu'il fallait commencer: salsa porto, puis apprendre la salsa cubaine... je vais regarder ta vidéo sur la musicalité...pourrai tu faire une vidéo sur la danse salsa on 1 et la salsa on 2? car c'est un peu obscur pour moi! merci
Hola, Ayant commencé par la cubaine il y a plus de 10 ans , la porto pourrait me tenter , mais j'ai comme un doute, peut-on prendre plaisir à pratiquer les deux , sachant que les soirées avec les deux n'existent pas ... ? Votre avis merci
Bonsoir et merci pour votre commentaire C’est étonnant que vous disiez que les soirées avec les deux styles de musique n’existent pas, puisque c’est souvent le cas que les DJ mettent des Timbas et, en alternance, des musiques plus adaptées au style porto. Toujours est-il que prendre des cours de cubaine et porto n’a rien de contre productif. De toutes manières vous allez forcément préférer l’une des deux manières. Pour ma part, je ne fais que de la cubaine, comme je le dis dans la vidéo. Mais vous allez pouvoir peut-être élargir votre spectre en pratiquant les deux, du coup tant mieux. Amitiés
Hola ! Votre chaîne est super intéressante, je suis super content de l'avoir trouvé. J'ai appris et continue d'apprendre la porto, et je voudrais en parallèle apprendre la cubaine. L'objectif étant de m'éclater encore plus et de ne pas décliner une danse à une senorita qui danserai la cubaine 😆
Merci Isnardi très bien résumé. C'est qui le couple qui danse de la 9ème mm à 10mn ? Perso pour enseigner la Cubaine aux débutants et en tant que musicien; déjà je choisi des musiques dites plutôt "porto" pour la simplicité et la régularité des "Montunos" au piano par exemple c'est pédagogiquement plus facile pour les élèves. J'ai un ami qui joue derrière Yuri Buenaventura qui me disait que la différence musicale lui ne la voyait et ne l'entendait pas, tout ça c'est de la musique....
Alors c’est un des couples phares du circuit mondial, ce sont mes bons amis Yanet Fuentes (danseuse de Shakira, de Rihanna et d’Alicia Keys) et Yoandy Villarrutia. Je comprends ce que vous dites pour la musique et pour les débutants... en effet il faut leur faciliter la tâche mais moi assez tôt je leur mets des Timbas pour qu’ils « se fassent l’ouïe » comme on dirait pour l’équivalent de « se faire les dents » Amicalement
Merci pour cet historique, j’ai appris beaucoup. Ayant commencé l’apprentissage de la salsa par la porto, j’ai vite basculé vers la cubaine pour le jeu entre les danseurs. J’apprends grâce à cette vidéo d’où vient le nom « nudos », du coup « despelote » ça vient d’où ? Encore merci pour cette vidéo explicative 👍🏾👍🏾
C’est moi qui vous remercie pour votre commentaire. En fait dans la plupart des pays latino-américains, comme le mieln l’Uruguay, ce mot veut dire désordre, confusion. Mais cela s’applique également à une démonstration de joie exagérée. C’est sans doute ce sens qu’il prend dans les Caraïbes pour l’expression dansée. Avec mon amitié
Je danse la cubaine depuis 20 ans et la porto depuis 18 ans et j'adore les 2 ; d'autant que j'ai pu développer un style personnel aussi bien en cubaine qu'en porto ! C'est vrai que danser l'un ou l'autre dépend de la musique mais je dirais que ça dépend surtout de la danseuse. Pourquoi je fais essentiellement des festivals "Porto" depuis plus d'une douzaine d'années ? Je dirais essentiellement pour la musique. En effet, autant je n'ai pas vraiment de préférence pour la danse, autant pour la musique c'est tout le contraire. J'adore la Salsa Clasica/Dura et je n'aime pas trop la Timba essentiellement à cause des chanteurs avec des voix trop nasillardes qui me cassent les oreilles.
Merci pour votre témoignage. Comme je l’ai dit dans ma vidéo la Timba n’est pas facile et l’argument que vous donnez est encore plus pointu, car vous parlez carrément des voix des chanteurs. Pour ma part je ne peux que le regretter car je suis aussi parolier de certains parmi les plus grands chanteurs ou groupes de la musique cubaine, essentiellement de Timba. Moi ce sont davantage les paroles que, dans ce secteur, je trouve parfois un peu... comment dire... disons qu’elles laissent à désirer. Un de mes défis est donc d’écrire des textes plus travaillés sur des sujets parfois plus sérieux ou polémique, comme mon dernier travail à propos de la violence de genre dans la chanson de Mixael Cabrera, « ahora le toca a ella ». Amitiés
@@lemondedisnardi2736 Pour les textes, il existe ce qu'on a appelé un moment la Salsa Conciencia, un sous-genre de la Salsa Clasica/Dura ; Ruben Blades avait des paroles très intéressantes dans ses chansons.
@@Fred678 Absolument ! Je ne prétends pas avoir inventé les chansons à texte en salsa 😉 Celles de Ruben Blades sont une source d’inspiration constante, vous avez raison. Lui et moi devions nous rencontrer quand je suis allé enseigner les danses cubaines au Panama. Malheureusement il devait aller aux États-Unis tourner un film sur sa vie mais on a dit que ce n’était que partie remise
Trés intéressante ta vidéo merci! Je m'interroge justement en ce moment, j'ai commencé la salsa cubaine cette année, de base je suis danseur solo de hiphop et de house et je cherchais dans la salsa à ramener ce coté latino dans mon style. J'hésitais à laisser tomber la salsa cubaine l'an prochain pour faire de la porto de peur que la danse solo ne fasse pas partie de la danse, mais tu me rassures. Je vais commencer la portoricaine l'an prochain très probablement. Donc les deux danses ont une partie qui peut être dansé seul c'est bien ça?
Merci ton commentaire. Absolument le côté solo est très présent avec une nette augmentation c’est dernières années dans ce qu’on appelle la Salsa cubaine
Le vrai nom étant Casino. On le danse de plus en plus avec de la Timba qui permet des interprétations en solo. D’ailleurs dans la portoricaine les danseurs et les danseuses se mettent de plus en plus à inclure des pas de Rumba ou d’afrocubain (parfois trop stylisés) dans leur danse. Il serait faux de croire que la portoricaine est plus évoluée que la cubaine. Continue avec celle-ci et tu découvriras un monde d’une grande richesse. Salutations
J'aurais juste ajouté un mot sur l'instrumentation un peu différente entre les deux styles, notamment en ce qui concerne les percussions : clave et timbales pour le casino, plutôt congas pour la salsa en ligne.
Merci pour cette vidéo ! Perso j ai essayé là porto je préfère l agrément la cubaine que je danse depuis 10 ans. C est mon avis perso mais je trouve qu on se lâche plus Dj cubaine .. La femme peut autant s exprimer en cubaine .. suffit d apprendre les shines😎
On peut se lâcher tout autant, c’est vrai. Mais la cubaine d’origine, le casino, créée en 1956, ne permettait pas trop de pas solo, cette manière de faire à continué pendant longtemps où les danseurs se lâchaient très peu, alors qu’en Porto ils le faisaient déjà davantage. Avec l’émergence de la Timba et de l’interprétation cela a changé. En revanche même si c’est très bien d’apprendre des séquences solo, il faut ensuite les casser et ne pas les reproduire de manière robotique sur la piste. Mes salutations
Hola Teby. No comprendo mucho todo lo que explicas, pero quiero aportarte algo, que no se publica mucho, pero yo lo sé de primera mano: “salsa en línea” es el nombre del proyecto de división que prepararon en contra de BAILARINES Y MÚSICOS CUBANOS en el año 2001. Lo dirigieron 4 puertorriqueños y lo vendieron a Ron BACARDÍ. Los vecinos de Cuba, siempre han tenido cierto ego sobre los ritmos cubanos que más han vendido. Con sus actos de oportunismo, se apropiaron del mercado mundial que Cuba ha tenido entre los años 1920s y 1961, que fue cuando se produjeron los conflictos políticos de los que nuestros vecinos se aprovecharon. ---- En 1991 cae el campo socialista europeo, provoca una gran crisis económica en Cuba, tiene lugar una oleada migratoria en Cuba. En 1996 nuestras autoridades venden el ron Havana Club a una firma francesa que coloca el ron en la cima del mercado, al punto de que los empresarios estadounidenses buscan vías para introducir Havana Club en ese mercado, eso no le gusto ni a los vecinos de Cuba y mucho menos a Bacardí. Como había una comunidad de bailarines tan numerosa en Italia, Bacardi se une a ron Martini, para fortalecer su guerra contra Havana Club, pero siempre trabajando con músicos y bailarines asentados en Europa, porque desde 1996 crece mucho nuestra comunidad en este continente, en paralelo crece turismo italiano, español, alemán, inglés y francés, en Cuba, por lo que se hace notable la demanda de nuestra música y nuestros bailes en las celebraciones tradicionales de estos países. Al notarse la crecida de este mercado entre Europa, Asia y América, los músicos y otros personajes puertorriqueños, vieron en peligro su dominio sobre la cultura popular cubana, y plantearon a ron Bacardí que dejara de trabajar con cubanos para que frenara la crecida de ventas millonarias que había conseguido el ron Havana Club en manos de Pernold Ricard francesa, que ya logrado introducir esta marca de ron en 100 países. ••••••• Siglo XX Los señores de Puerto Rico, usaron los proyectos Fania, para ampliar su apropiación sobre la música cubana, sacando los vinilos que se producían con agrupaciones de Cuba de miles de emisoras y otros medios en Mexico y Sudamérica, ofreciendo al país que más hábil tantea tiene, convertirlo en la capital de nuestra música a cambio de reducir la demanda de los cubanos, eso, además de otras operaciones desleales. Es así como surge el movimiento colombiano, con el que desplazaron a México y a Venezuela (las dos mecas del disco y el audiovisual en aquellos años). ------ Siglo XXI Turno para la nueva generación de portorros. El proyecto se llamó “salsa en línea” y está basado en estilos del CABARET CUBANO de los años 1930s - 40s). Como no era muy notable las producciones musicales, que en Cuba nunca se frenaban, quienes se encargaron del boicot mundial fueron los bailadores. Cuatro señores (EI, ET, SL y del otro no me acuerdo), ellos empezaron a fichar a los más destacados casineros de México, Sudamérica e Italia, que eran muy cercanos a los cubanos, y a partir de ellos empezaron a fichar, ofreciendo jugosas oportunidades, que yo misma llegué a recibir. Entonces, llegados a ese punto, los colombianos no aceptaron quedar rezagados, así que optaron por otra deformación al baile del Casino, imponiéndose como “salsa caleña”, basada en técnicas de salto del CABARET CUBANO, con algo algo de MAMBO. Alguien me dijo, que habían copiado o se habían inspirado en las improvisaciones del bailarín santiaguero Yanek Revilla. Traigo enlace donde se puede apreciar una de las técnicas que refiero sobre la salsa en línea... bailarsonycasino.com/imagenes-demostrativas/ •••••• Para informarte sobre los enfrentamientos Barcardí va Havana Club (desde 1999), puedes buscar en Google, podrás encontrar todo. Lo que no podrás encontrar fácilmente es todo lo que nos han hecho a los cubanos, para mantenernos fuera del mercado mundial, entre 3 de nuestros países vecinos. ----- Muchas gracias por todo el apoyo que nos brindas hermano. Te mando abrazo grande.
Muy buen aporte querida hermana. En 1996 se lanzan los congresos con el primero en Miami y obviamente ahí ya bailaban la salsa en línea. Pero tu acotación es extremadamente valiosa y la he de compartir Un gran abrazo
Le Monde D'Isnardi, mi Teby, de todas la vida los portorros han marcado en estilo lineal. Mira, esa marcación de “Son” tradicional (alante y atrás), quienes la usan muchísimo son nuestros bailarines de cabaret, entre coreografías, en la diversidad de marcaciones, sus cambios son avisados por esa marcación hacia alante y hacia atrás. Te cuento: A principio de los años 1980s, en una de las giras de nuestro universal Tropicana, hubo una pareja de bailarines que se quedaron contratados en Puerto Rico (Miguel y Aymée). Ellos salían por la TV de allí, tengo información desde aquellos años, porque los marineros traían grabaciones, además de que a Cuba siempre viajaban los portorros por terceros países, Mía amigos y yo les veíamos bailar. También veía bailar a algunos colombianos que tenéis amistad con marinos cubanos, desde siempre he visto bailar a todos los latinos, recuerdo muy bien que los colombianos marcaban como haciendo una L en el suelo, me contaban que, cuando dejaron de bailar el “SON”, pusieron de moda algo que era un PLAGIO al “Son” Montuno de Arsenio, que se lo vendieron como Boogaloo [bugalú]. Todos marcaban respetando tiempo, sólo que no dominaban mucha variedad de figuras, ejecutaban las 2 básicas, como todavía hacen los dominicanos que aún no dominan el Casino. Tengo entendido que el proyecto que se preparó para vender a Ron Bacardí y traerlo a Europa con la alianza Bacardí-Martini es de 1998, pero no llego aquí hasta el 2000. En España lo introdujeron en 2001, yo presente. Ese estilo lo estuvieron perfeccionando copiando filmes de los que les grababan a los cubanos en los espectáculos de los cabarets de Broadway, y de lo que coreografiaban para películas mexicanas los profesionales cubanos. En la colección que tenemos publicada, con más de 100 películas podrían verse algunos de esos detalles; puedo asegurarte que, tanto puertorriqueños como colombianos han copiado del Mambo y técnicas del cabaret cubano de los 1940s.
Toda la razón del mundo ! esa línea viene además del Son y el gran Santiago Alfonso, cuando fue invitado por Alfredo Torres a Bulgaria, y que Alfredo a pesar de ser cubano manejaba más la línea, le dijo “tú bailas como en Cuba en los años 40” Un beso enorme hermana
il n'ya pas que de malentendus, mais aussi une grande difference d'access au pouvoir et au capital symbolique qui a largement favorise les varietes qui emergent au sein de et sappuient sur le capital material des Etats Unis. Bien sur, il n'y auraient pas de raisons purement esthetiques pour preferer les danses cubaines, mais ce n'est pour autant pas qu'une question de preference subjective, a ce que je vois. No tengo teclado frances
C’est un point très important que vous soulevez. Comme je le dis dans d’autres commentaires, le temps qui m’était imparti pour cette vidéo m’a amené à dire des choses de manière succincte, aussi bien pour les avancés que pour les non-initiés. Mais la question économique était primordiale dès le départ dans l’émergence de la salsa aux États-Unis. À Cuba il y en a beaucoup qui parle carrément de vol. De vol artistique et de vol d’un patrimoine. Les musiciens de la Fania eux-mêmes n’ont eu de cesse, il faut leur laisser ça, de reconnaître qu’ils ne faisaient que de la musique cubaine. C’est ce que je fais dire à Robertón, de Los Van Van, dans une chanson que je lui ai écrite (les paroles) et que je vous recommande d’écouter : EMPIEZA MI SON. Yo si tengo teclado francés, pero entiendo perfectamente, con esta cuestión de los acentos, si el teclado no es bueno, es un infierno. Avec mes amitiés
Sympa la video et bonne initiative mais voici quelques points à corriger:- La salsa en ligne plus facile à enseigner? j'aimerais bien que tu développes lol - Eddie Torres n'est pas le Puerto Rico en 1997 organisé par Eli Irizarry. - Premier congress à (surtout que le flyer qui apparait dans la video indique New York Salsa congress :D) - Tu dis de la musique en ligne est plus (déjà faudrait savoir ce que c'est de la musique "en ligne"...) Tu bases ton jugement sur quoi exactement? Car justement le son montuno s'est enrichi et à évolué/devenue plus complex à son arrivé à New York, non seulement grace à l'influence et l'inspiration des musiciens venant de partout mais aussi dans leur nouvelle manière de composition grace à des styles de musique different et sans oublier les gens et la culture a qui régnait à NY a cette époque. Musique devenue tellement riches et tellement
Alors j'ai rien compris... Il manque 3/4 de mon message et des mots on disparu et ca a changé mes phrases hahaha. par ex cette phrase mdr : Eddie Torres n'est pas le Puerto Rico en 1997 organisé par Eli Irizarry. :D :D Désolé pour les lecteurs, J'espère que t'as pu recevoir le message entier via email.
Bonjour. Merci pour ton commentaire. 1) si tu regardes la vidéo je n’ai jamais dit qu’Eddie, avec qui j’ai enseigné dans plusieurs festivals de par le monde, est le créateur dudit congrès. Ni des congrès en général. Dans une phrase où, je l’avoue, mes mots se marchent un peu dessus, je dis qu’avec son homonyme feu Albert, il a été le grand diffuseur des congrès dans le monde. 2) Mon équipe de travail a trouvé ce flyer qui n’a rien à voir avec le congrès que je nomme, c’est une illustration casuelle et rien de plus 3) c’est le vrai point faible de ma vidéo et tu as raison. Il est évident que j’étais soumis à des contraintes temporelles pour expliquer aussi bien à des néophytes qu’à des initiés, certaines choses. La musique pour Salsa en ligne n’existe pas en soi, ce sont surtout des orchestres portoricains et colombiens, mais en effet elle est bien plus fine et développée que ce que je dis et je regrette ce moment de ma vidéo, j’en ferai bientôt une autre pour corriger cela. Je voulais surtout mettre l’accent sur la polirythmie hallucinante de la Timba, et en cela je suis persuadé, avec mon autre casquette de parolier de certains parmi les plus grands chanteurs cubains d’aujourd’hui, où je dois adapter mes textes à cette richesse musicale (ce qui me demande un travail de forçat), qu’elle est plus complexe que les salsas que l’on joue et sur lesquelles on danse la ligne Je te remercie d’avoir pris la peine de la regarder avec tant d’attention
@@lemondedisnardi2736 Comme je disais après avoir envoyé mon message, Il n'est pas du tout publié comme je l'avais écris. J'espérais que tu recevrais la version correcte est complete du message via email meme is il était mal publié ici. par rapport à ta réponse: ton premier point: Je ne te contre dis pas la dessus (mal publié) le 2e: Ca prête à confusions car tu parles d'un congres en montrant une image d'un autre. 3) tu parles pas seulement de Timba tu dis dans la Cubaine...ce n'est pas seulement de la Timba. Car comme tu sais dans les année 50, Il y avait pas encore de Timba. Et meme, + de Polyrythmie dans la Timba.. qu'il y en a plus comparé a une salsa romantica.. d'accord.. comparé à de la salsa dura... Je pratique moi meme le Bongo depuis plusieurs années car je suis fan et je joue sur un peu de tout et aussi de la Timba. Le plus important c'est dire que la polyrythmie c'est la base de toute la musique "salsa"
Oh oui je sais pour les années 50. Je suis amis avec certains des fondateurs du Casino (première fondation 56, deuxième 64), j J’enseigne dans le monde le cha-cha-cha, le Mambo, le Son, bien entendu. Il y avait une quantité de rythmes hallucinantes à ce moment-là. Si on prend le Pilon ou le Mozambique, on n’a que le 10%. Je parle de timba car c’est le phénomène actuel. Je suis ami avec Jose Luis Cortés, à qui l’on donne à tort la paternité de la Timba, il s’en défend lui-même. La légende de la batterie dans la Timba, Calixto Oviedo, a joué dans l’un de mes morceaux. En tant que caricaturiste officiel de Los Van Van, et parolier de certains de ses chanteurs, je suis en constante immersion dans ce rythme. Je veux te dire par-là que je ne pense pas que tu parles à quelqu’un qui a juste entendu parler de ces choses. Je ferai des vidéos plus pointues là-dessus. Je te laisse le dernier single de Roberton, le chanteur emblématique de Los Van Van, dont j’ai écrit les paroles pour que tu me dises si tu aimes cette Timba. Ainsi que le dernier morceau de Mixael Cabrera, avec mes paroles aussi, dans les deux commentaires qui suivent. Mes salutations
EMPIEZA MI SON Tu salsa termina donde empieza mi Son. Eso que tú llamas salsa es lo que yo llamo Son. Aquí hace falta mi hermano disipar la confusión. Y es que tú le dices salsa, quizás eso a ti te alcanza pero pon en la balanza lo que trae mi canción. Es que entre el Son y la salsa no existe comparación. El mismo Blades lo afirma, Johnny Pacheco también. Si ellos le ponen la firma no inventes que no está bien. No olvides que Tito Puente enfatizó que la salsa era lo que habitualmente él le ponía a la pasta. Si te lo dice la Fania no hay nada más que agregar. Lo que es verdad no te daña si lo sabes aceptar. Cuba es la cuna Cuba es la cuna Cuba es la cuna Letra : E. Isnardi Copyright EMPIEZA MI SON Cantante : Robertón de Los Van Van Música : Pablo Timba y su Timbacalle Letra y baile : Esteban Isnardi Arreglos e imágenes : Massimo Scalici Bajo : Pavel Molina (ex Los Van Van) #robertonvanvan #losvanvan #pablotimba #timbacalle #pavelmolina #estebanisnardi ua-cam.com/video/DCupLd1C8G8/v-deo.html
Mon article dans le prestigieux journal suisse LE TEMPS, paru aujourd’hui (demain dans la version papier dans tous les kiosques), où je rends hommage à JOHNNY PACHECO, disparu hier, tout en parlant très clairement du débat autour du mot Salsa. www.letemps.ch/culture/disparition-johnny-pacheco-salsa-perd-un-pionniers
merci pour cette vidéo très complète. J'ai une explication plausible pour la fin de la tendance des "nudos": c'est peut-être tout simplement parce que ça n'est pas très agréable pour la fille, la plupart des garçons nous retourne le coude ou l'épaule avec ce genre de passes. Et j'ai l'impression qu'il y a de plus en plus d'intégration de l'afrocubain dans le casino, et je m'en réjouis !
C’est moi qui vous remercie pour votre commentaire. En effet maintenant la danseuse a la possibilité de s’exprimer davantage. C’est une très bonne chose. En revanche, en tant que dirigeants de la fédération mondiale de Casino, moi et mes pairs sommes partagés, pour ne pas dire circonspects, sur l’utilisation exagéré de l’afro-Cubain dans le Casino. La rumba est profane mais les danses des Orishas, cela a trait au religieux et la manière inconsidérée dont on met, sans concept, des pas de Shango, Obatala etc, un peu partout et comme une démonstration d’excellence, cela me plaît encore moins que les « noeuds » à outrance. On tombe dans la caricature et l’irrespect, les Cubains eux-mêmes n’aiment pas cela. Est-ce que vous lisez l’espagnol ? Si oui je vous envoie un texte un peu ironique que j’ai écrit à ce propos dans mon dernier livre. Amicalement
@@lemondedisnardi2736 oui je parle espagnol, mon mari étant cubain, santero et professeur de Salsa 😉 Quand il introduit des pas d'afro dans la salsa, il en explique l'origine et la signification. Et je suis d'accord avec vous sur son utilisation à outrance, c'est intéressant de distiller un peu d'afro dans le casino, mais pas trop et surtout quand la chanson s'y prête !
@@salsairoise7983 magnifique ! Alors voici carrément deux textes 😉 saluer votre mari de ma part et dites lui ça lui fera plaisir que je suis le parolier des chansons de Roberton de Los Van Van, d’Emilio Frías El Niño, de Mixael Cabrera, de Pedrito Calvo Jr. et de Mercadonegro entre autres. Je pourrais vous envoyer le lien de certaines chansons si vous me demandez sur Facebook, sur mon deuxième profil : Esteban Isnardi II Voici mes textes
@SalsaIroise IRUKES FANTASMAS Ayer, tras mis clases, una chica francesa radicada aquí me mató a verdades. De un modo límpido y preciso, hablando de París pero yo extiendo su análisis al mundo entero, me dijo lo siguiente : "Hace más de 10 años, la escena de la salsa se separaba en portorriqueña (línea) y cubana. Los bailadores de la primera eran considerados más técnicos y los de la segunda más guaracheros. La actitud de los linieros era muy seguido detestable, se los veía arrogantes, se creían superiores. Si no tenías un nivel técnico elevado no te sacaban a la pista. Pues desde hace unos años yo veo lo mismo, llevado los bailes cubanos, con respecto a la rumba y a los pasos de orishas. Los mil giros de la salsa en línea y los ademanes exagerados de manos y brazos, se convirtieron, en el baile cubano que sufría por ser tildado de rudimentario, en una repulsiva exageración rumbera y "santera". La cubanía se rebajó al nivel que criticaba. Show y más show, ego, mala caricatura. Los culpables, a mi entender, son muy seguido los profesores cubanos que venden espectacularidad y seudo autenticidad al por mayor, llenándose la boca de la palabra "concepto" que utilizan a troche y moche sin aplicarla. Los muchachos o muchachas formados por ellos y que son tan europeos como yo, no salen sin sus pañuelos rumberos o sin sus amplias sayas imaginarias. Y lo peor es que agitan irukes fantasmas en cualquier momento de la música. Yo, y conmigo muchos más, me acerqué al mundo danzario cubano por lo genuino que era, y ahora ese mercantilismo de bailes tan hermosos como la rumba o de los orishas llevados al casino me está alejando irremediablemente." La miré. Le di la mano. Le dije : "Eres un martillo". Me miró con cara de... poco piropo. Proseguí : "Eres hermosa, corazón, no te lo tomes a mal. Lo que pasa es que diste en el clavo !" Escrito en la Isla de Malta E. Isnardi copyright
@Salsa Iroise UNA FÁBULA Shangó, frunciendo el ceño, apretó su hacha bicéfala. Elegguá se sentó, posó su garabato en sus rodillas y miró fijo a Oggún, su hermano, que ya le estaba preguntando a Obatalá. Más lejos las deidades femeninas, Yemaya, Oshún y Oya movían desoladas sus cabezas. El río no reía. El mar no las mareaba. El viento no venía a darles fuerza. Todos dirigían su mirada hacia abajo. Hacia el mundo de los hombres, que bailaban. Con ellos muchos otros Orishas del Panteón Yoruba. Todos, se les notaba, estaban procurando entender el porqué. Por qué, por todos los santos del sincretismo, por qué los bailadores los invocaban, mezclaban pasos de sus danzas a troche y moche en el casino, reproducían grotescamente las mímicas que en sus debidos toques los representaban ? Ninguno de ellos comprendía. Se dieron cuenta de lo que acontecía porque a medida que los humanos tiraban sin concepto los pasos de uno de ellos, éste sentía un escozor desagradable, incluso hasta un calambre. Es más, algo en él lo llevaba a sentirse injuriado. Obatalá, dueño de las cabezas, asoció en su poderoso cerebro las palabras bailador y burlador. Yemaya agitó su saya como buscando lavar la ofensa con un reparador oleaje. Oya movía su iruke para que el viento se sumase a la limpieza. Oggun desenfundó el machete. Fue cuando Olofi apareció. Como pesando sus palabras, dijo : "En nombre de Olodumare, dejen que sigan el camino equivocado. Eso generará conflictos con los que sí saben, pues la luz que les hará ver el buen rumbo ha de venir del mundo de ellos. Vean, y piensen: por diez o veinte o cien o mil que donde no saben se meten, hay uno, respetuoso, que avanza bendecido por nosotros. Eso ya es mucho. Lo que ahí abajo está acaeciendo, abajo debe ser resuelto." Fue así que los Orishas regresaron a la calma. Shangó dejó de contemplar tener recurso al trueno y al relámpago. Oshún volvió a reír a carcajadas, a jugar con sus joyas. Y el travieso Elegguá cerró sin más ese camino. E. Isnardi copyright
Excellent exposé. Mais Grupo Niche, Fruko y sus Tesos, La Sonora Carruseles (exellents groupes par ailleurs) sont colombiens, et ont une sonorité très différente de groupes comme El Gran Combo de Puerto Rico, La Sonora Ponceña, Ray Barretto, Eddy Palmieri, Oscar D’León pour n’en citer que quelques uns, et tous les artistes ayant fait partie des Fania All Stars, qui sont beaucoup plus représentatifs de la salsa « porto », que je préfère appeler salsa new-yorkaise, et leur musique est ô combien subtile contrairement à ce qui est dit. La danse en ligne n’est pas propre à la Salsa, c’est valable aussi en Rock&Roll. Instaurée dans les clubs new-yorkais souvent bondés, pour se créer un espace et éviter de rentrer en collision avec les autres couples.
Merci et moi c’est ton exposé que je trouve brillant. Tu as raison pour les différences quant à la musique sur laquelle on danse préférentiellement la ligne, c’est le côté carentiel de ma vidéo. Quant au Rock il a également influencé le Casino lors de son éclosion en 1956, c’etait d’ailleurs la grande nouveauté à l’époque
la salsa Colombienne ne doit pas être oubliée, d'ailleurs les exemples que vous proposez pour la danse en ligne ne figure que de la "colombienne" vous oubliez la "Vieja" avec en tête les groupes mythiques comme Ismaël Riviera et tant d'autres !!!
Je ne les ai « oubliés » que parce que le format de la vidéo m’imposait peu de mots. Le temps pressait. Avec mon travail de caricaturiste j’ai dessiné nombre d’entre eux, j’entends les chanteurs de « vieja ». Malheureusement je ne peux pas joindre des photos dans ces commentaires sinon je vous les montrerais. Ils ont fait partie d’une exposition itinérante sur trois continents. Tout ça pour vous dire que je ne les laisse pas de côté et que, en leur rendant hommage comme je l’ai fait de par mon travail de plasticien, je joins mon grain de sel dans la célébration de leur envergure. Ce n’est un secret pour personne que ma préférence va à la musique cubaine. Mais j’entretiens avec certains grands musiciens portoricains, comme Gilberto Santa Rosa ou Andy Montañez, des relations personnelles d’amitié et d’admiration. Salutations. PS : Ismael Rivera je ne l’ai pas encore dessiné. Votre commentaire me rappelle à l’ordre à ce sujet.
Je n’irai pas jusque-là même si ma vidéo peut le laisser penser, j’ai été victime du fait que j’avais peu de temps pour parler. Les influences de la Porto sont multiples et elles viennent aussi bien évidemment de Latinos, mais je pense en effet que c’est une danse plus codifiée et avec moins d’improvisation, l’improvisation étant ce qu’il y a de plus difficile
Honnêtement la différence de musiques … bof. Par exemple "Echalo pa ca" ua-cam.com/video/yzV4rITFS5s/v-deo.html T'as des breaks, de la polyrythmie, une accélération progressive de la musique (à chaque couplet en fait). Je suis d'accord par contre que le montuno est plus lisse. En fait j'ai plus l'impression que la ligne de basse sur une mesure remplace la clave sur deux.
Perso j'aime pas un style plus que l'autre, mais je préfère certaines musiques à d'autres. Je ne sais pas si la 33 font de la musique porto ou cubaine , pareil pour la excelencia, mais j'adore certaines de leurs musiques.
Personnellement j'ai un souci. Je préfère la portoricaine à la Cubaine pour son côté un peu plus discipliné. Mets en Vaucluse impossible de trouver un professeur de salsa portoricaine. 2 + selon les professeurs de salsa cubaine on n'est pas d'accord sur le nom des figures et sur la façon de les exécuter. Dans mon dernier cours au bout d'une demi-heure j'ai abandonné car le professeur faisait exécuter des figures d'une manière totalement opposée a ce que j'avais appris jusque-là... Ce que je regrette c'est que il me semble que n'importe qui peut s'improviser professeur de salsa sans aucun diplôme. La salsa cubaine est à mon avis beaucoup plus libre dans la gestuelle du cavalier tandis que la portoricaine est plus exigeante en matière de maintien. Il semblerait dans les recherches que j'ai fait que les gens sont plus intéressés par la salsa cubaine qui justement demande moins de discipline et n'a pas de dress code
Bonjour. Je comprends vos mots. Mais si vous regardez mes vidéos ici, dont la suite viendra bientôt, et sachant que je suis d’obédience « cubaine », vous constaterez que je ne manque pas de rigueur et que je me fais fort d’argumenter avec de l’ordre et de la méthode. Je suis donc la preuve vivante que votre postulat n’est pas juste. La cubaine peut être très rigoureuse. Mais elle n’oublie jamais l’ingrédient IMPRO. Toute la différence est là. Quant au dress code (!?!) vous m’avez fait sourire et je vous remercie pour cela. Bonne journée
J’ai fait un cubamucho à Toulouse. Je n’ai pas du tout aimé. Trop grand, trop impersonnel, trop commercial. J’ai préféré des festivals moins dimensionnés avec plus de convivialité entre danseurs et professeurs.
Je te comprends. Moi-même j’ai été invité d’honneur de celui de 2008 à Munich et j’ai eu des problèmes pour le moins musclés avec l’organisateur. Il s’en est fallu de peu que ça tourne mal. Et c’est vrai que les festivals plus petits sont plus profitables pour tout le monde. Amicalement
las escuela de salsa no muestran la salsa de la calle, lsa salsa que se baila con sentimiento, se enseña como unos zombis, robots , sin sentimiento y como si se estuvieran bailando musica se ballroom
l exposé est cool mais assez subjectif, avec votre préférence vers la cubaine... concernant la musique, je trouve que c est incomplet. perso quand j entends certaines musiques je vais ressentir de danser en "porto" , ou en cubaine.. par exemple sur des musiques plus jazz ou mambo c est clair que j ai pas envie de danser en cubaine, mais je m adapte à ma partenaire, c est le plus important. et des musiques avec des percu plus ancrées dans le sol me donneront plus envie de danser en cubaine. si je devais donner une image par rapport à la musique, je dirais que celle de la porto est plus aérienne et la cubaine plus ancrée dans le sol. ca na rien à voir avec ce que vous appelez la "linéarité de la musique". je ne comprends pas ce concept pour moi il n'a aucun sens. pour le reste de la video je n ai pas bien compris l objectif , car si c était de comparer les deux salsas, je dirais que c est un peu incomplet, car il manque par exemple je pense l influence des divers profs.mais bon po grave. je rajouterais aussi que la salsa "cubaine" met en valeur le garçon, alors que la salsa "porto" met en valeur la femme. c est une différence importante, en plus de la circularité vs linearité
Merci pour votre commentaire. Pour ce qui est du rapport au sol, c’est très pertinent. D’autres points que vous soulevez le sont aussi, en particulier à propos de la musique, où, je l’ai déjà dit dans d’autres commentaires ici, ma vidéo est carentielle et montre un point faible. Je ne vais pas me cacher derrière le temps qui est imparti pour une telle vidéo et toutes les choses que je n’ai pas pu dire ou détailler, je m’en voudrais d’être cet homme qui se justifie. Sachez cependant que j’ai dû respecter un format pour des raisons de marketing. Et que je pourrais continuer à parler de cela pendant des semaines. C’est intéressant que le but de ma vidéo ne vous ait pas sauté aux yeux. C’était de faire un parallèle et un historique en tenant compte des gens qui n’avaient jamais entendu parler de certaines choses. De ces personnes. nombreuses, qui n’ont pas votre culture à ce niveau. Trouver un langage commun pour les non-initiés et les avancés n’est pas chose aisée. Mais je tiens très volontiers compte du fait que le but de ma vidéo n’était pas clair pour vous, et je ferai en sorte que cela le soit davantage dans mes prochaines vidéos. Amitiés
@@lemondedisnardi2736 c est tres sympathique de prendre le temps de me répondre . je suis d accord que ce n'est pas évident d etre synthétique (au vu de l exigence de temps de la video) . . peut etre qu en modifiant le titre, pour s adresser aux debutants/non initié. ce n est pas non plus evident d être didactique, c est tout le travail du prof de danse. En effet on pourrait parler de cele pendant des semaines, et j imagine dejà des commentaires de gens, ah moi c est la cubaine, ah moi c la porto etc...alors qu au final ce n est pas une question de preference. Personnellement je prends du plaisir dans les deux, ca dépend de la musique qui est jouée et de ma partenaire. d'ailleurs on danse mieux certaines musiques avec certaines partenaires, et c est interessant aussi. la danse c est avant tout les danseurs; notamment justement les danseurs qui apportent des nouveautés, mais pas que. cela aurait pu ere une conclusion à votre video ( car les gens ne se rendent pas assez compte de cela...) . . bien à vous et bravo pour vos videos.
@@fandrall2 vous répondre est un devoir mais, vu vos connaissances, un réel plaisir. Pour la fin que vous proposez, encore une fois bien vu ! Mes amitiés.
Merci pour cs tour d'horizon sur la salsa. C'est un monde magique. Je suis plus rockeur comme "petit" danseur, mais le monde de la salsa me transporte toujours comme "petit" danseur. C'est magique et la danse c'est une autre vie dans la vie. Bravo Mr ISNARDI.
Merci à vous cher Michel, content que cela vous plaise. Amitiés
Muchas gracias por esas explicaciones muy interesante 👌👍
Gracias a ti, un saludo !
Analyse tellement pertinente et éclairée par le prisme historique.
Merci pour cette immersion à 360 degré, dans les nuances entre les salsa, ça ouvre l'esprit, élargi la conscience.
Merci à vous
Merci pour ce comparatif détaillé et passionant! Ca va bien au delà du classique ligne/cercle qui se suffit généralement à les distinguer...
Merci à toi pour ce commentaire ... je suis content que cela t’ait apporté quelque chose !
Salut Esteban. Bravo pour tes vidéos et pour tes recherches. On a eu quasi toutes les mêmes informations sur les sujets que tu as abordé!
Pour info, on appelle la Salsa en Ligne en France :"Porto" car fin 90, début 2000 (je ne sais plus quelle année), il y a eu un grand festival de Salsa à Porto Rico sur lequel un groupe de danseurs francophone, principalement de Paris est allé. C'était un festival L.A et N.Y Style et du coup, ils ont cru, ou tout du moins rapporté que c'était la Salsa Portoricaine. Et ça s'est propagé comme ça (Ce groupe à l'époque ne dansait que la cubaine et ils découvraient ce style plus ou moins pour la première fois)
Voilà les infos que j'ai à ce sujet ;-)
Excellente continuation et au plaisir de te retrouver sur un événement.
Merci pour ces précisions et bravo à toi aussi du coup 😉 content que mes vidéos te plaisent. Amitiés
Merci pour cette initiative et cette tentative d'explication des différences entre "portoricaine" et "cubaine". Je pense que personne ne doit oublier le lien commun, l'élément essentiel qu'est le son cubain. En partant du son cubain, on voit qu'il y a surtout des ressemblances entre les 2 styles comme si le son cubain était le pont qui permet de passer de l'un à l'autre sans conflit ni animosité. Ce n'est pas facile d'expliquer tout ça et tu as le mérites en tout cas d'en parler sur ta chaîne. Je me souviens d'un stage de danse avec Cliford et Valérie (Salsabor) et Ivan Martinez qui expliquaient que les 2 styles n'étaient pas si éloignés que ça et que la richesse venaient plutôt de l'interprétation que l'on donne lorsque l'on danse sur telle ou telle musique, et aussi bien sûr de la qualité de danseur ou danseuse, de la musicalité des partenaires, sans prêter attention à la performance technique. Pour ma part, je pense que danser les 2 styles est très enrichissant et demande une ouverture d'esprit et surtout un amour de la musique qui nous rend fou :-) ! Que penses-tu de cela ?
Je pense que tu as totalement raison en parlant du lien qu’est le Son. Cela dit plus que de lien, je parlerai de paternité ou de maternité. Étant parolier de certains parmi les plus grands de la musique cubaine actuelle, voici une chanson que j’ai écrite et qui est interprétée par Roberton de Los Van Van ... je te l’envoie avec les paroles, si tu comprends l’espagnol tu verras que c’est de ça dont je parle. Amitiés
EMPIEZA MI SON
Tu salsa termina
donde empieza mi Son.
Eso que tú llamas salsa
es lo que yo llamo Son.
Aquí hace falta mi hermano
disipar la confusión.
Y es que tú le dices salsa,
quizás eso a ti te alcanza
pero pon en la balanza
lo que trae mi canción.
Es que entre el Son y la salsa
no existe comparación.
El mismo Blades lo afirma,
Johnny Pacheco también.
Si ellos le ponen la firma
no inventes que no está bien.
No olvides que Tito Puente
enfatizó que la salsa
era lo que habitualmente
él le ponía a la pasta.
Si te lo dice la Fania
no hay nada más que agregar.
Lo que es verdad no te daña
si lo sabes aceptar.
Cuba es la cuna
Cuba es la cuna
Cuba es la cuna
Letra : E. Isnardi
Copyright
EMPIEZA MI SON
Cantante : Robertón de Los Van Van
Música : Pablo Timba y su Timbacalle
Letra y baile : Esteban Isnardi
Arreglos e imágenes : Massimo Scalici
Bajo : Pavel Molina (ex Los Van Van)
#robertonvanvan
#losvanvan
#pablotimba
#timbacalle
#pavelmolina
#estebanisnardi
ua-cam.com/video/DCupLd1C8G8/v-deo.html
Bravo, toujours avec ce débit de paroles intarissable, mais néanmoins très compréhensible et captivant !
Merci !!
Très intéressant quant au contenu et captivant par son talentueux présentateur et les excellents montages ! J'ai appris des choses. Alex Travagant
Merci de tout cœur
Très intéressant, merci !
Merci à vous
merci beaucoup. Je viens de passer à la colombienne et la porto, après des années de cours en cubaines. En effet, la cubaine c'est le st graal, mais pour les danseurs modestes, c'est plus simple la porto !
Un comparatif assez intéressant même si c’est un sujet sur lequel on peut discuter pendant de longues heures. Un seul bémol: la musique pour danser la Porto n’est pas si «linéaire» que ce que tu laisses entendre. La variété des musiques pour danser en ligne est plus varié et riche que celle pour danser le casino. T’as fait référence à des groupes «commerciaux» mais le spectre musical «portoricain» va du commercial à de l’underground, du Mambo au Cha Cha Cha, en passant par le «Guaguancó», le Latin Jazz, le Son Montuno, le Boogaloo, etc. En tout cas, je te félicite pour cette excellente video 👏👏👏
Merci Alfonso, en effet comme tu le dis, c’était très court... la longueur impartie par les besoins de la vidéo, je devais dire le plus possible en peu de temps... et je suis également d’accord sur ce que tu dis à propos de la musique « Porto ».
La comparaison entre la danse en ligne et le côté linéaire de la musique était trop tentante, dommage, et c’est le point faible que je trouve à ma vidéo aussi.
Mes salutations !
Je danse la cubaine et adore la musique porto. Tellement musicale!J essaye de faire ma petite sauce en cubaine et des fois portos ,si le danseur est assez ouvert d esprit .
La mejor para mi la puerto riqueña... Y yo orgulloso que el nombre venga de mi país VENEZUELA.
thanks for that historical explanation!
when I discovered these 2 styles some years ago, my impression was "casino" dancers are like in festivity, "liners" are like in competition
My pleasure. I’m glad that you appreciated. Cheers
A mi me gustas....!Sabes mucho de salsa .Es un placer ,escucharte.
Muchas gracias !!
Lourd de fou malade 🤩
Le Lourd De Fou Malade, qui s’écrit plus communément Lourdefoumalade, est un mammifère que l’on trouve principalement dans l’est de l’Uruguay. Il a la caractéristique d’être plutôt lourdaud, d’avoir des comportements imprévisibles et de sévères carences dans son système immunitaire. D’où les trois composantes qui servent à le nommer.
Merci de l’avoir si opportunément rappelé à nos lecteurs.
Je tiens à ajouter que ma petite friture me manque.
Je suis tombée sur cette vidéo après qu'on m'a demandé plusieurs fois "tu danses la porto ou la cubaine?" lors d'une danse sociale (à quoi j'ai répondu"Euh, je danse sur la musique et je suis ton guidage donc je danse ce que tu danses"😅) . Merci pour les explications, maintenant je visualise mieux la différence! C'est pas si important ce qu'on danse en fait, et à quel niveau, tant que la connexion avec le ou la partenaire est bonne et qu'on prend tous les 2 du plaisir ensemble ❤
Tout ça pour dire merci pour la vidéo 😊
@@Cathy-Intro Bonjour et c’est moi qui vous remercie pour votre commentaire
Très bonne vidéo. Je partage
Merci beaucoup.
Je fais 10 ans de cubains, et je viens cette année en porto.
Mon premier ressenti, Je ne dirais pas que le monde de la salsa portoricaine est plus technique.
L’afrocubain, les orishas, la rumba est autrement plus difficile.
Les différences pour moi dans la posture, les cubains dansent dans le sol, la Porto, c’est plus aérien et bien droit.
Les cavalières font un travail beaucoup plus important en porto qu’en cubaine.
Et inversement pour les cavaliers, la porto c’est plus facile, il y a moins de surprise dans l’espace de danse, on est sur la ligne.
Concernant la guéguerre c’est un peu dommage, les deux styles sont superbe.
Je pense qu’il y a une méconnaissance des mondes. J’étais comme tous avant de faire mon inscription en porto…
Merci pour la vidéo et les explications 😀🇨🇺
Merci beaucoup à vous pour ce beau et riche commentaire
Wow. Ça est juste excellent. Beaucoup plus de clareté sur ces 2 danses merveilleuses ! 😍 J’ai appris la cubaine mais j’avoue préférer parfois la porto... enfin... je suis contente de réussir à faire les deux à vrai dire. Ça varie sur la piste de danse !
Merci pour votre commentaire et bravo pour votre joli surnom ici
Avez vous prévu de faire des vidéos qui présentent chaque genre de danse cubaine avec des petites demo des bases comme vous avez fait pour le mambo ? Ça m'intéresse bcp ! C'est tellement riche et varié ! On s'y perd.. 🇨🇺💕
Bonjour et merci pour votre message.
Je mettrai de temps en temps quelques pas, en effet, mais vous trouverez tout ce matériel de manière plus complète dans mes formations qui seront mises en vente online prochainement.
Très bon dimanche !
Très bien teacher je suis comblé. Mais je vous reviendrai pour d'autres questions.Merci
Avec plaisir
Merci beaucoup
Je vous en prie
C'est juste passionnant ! merci
Par contre attention avec les vidéos marquées Shutterstock. Si la plateforme trouve que vous utilisez leurs extraits dans des publications youtube, vous pouvez avoir des soucis
Merci doublement, pour vos mots d’encouragement et pour votre mise en garde très utile
@@lemondedisnardi2736 C'est un plaisir. Vos vidéos sont juste fantastiques de pédagogie. Un vrai plaisir à regarder
@@philippelebot1531 Merci beaucoup pour vos mots si encourageants et enthousiastes, j’espère qu’on se verra un jour en personne
Sin clave y bongo no hay son.
Sí y no. Sabemos de dónde viene esa frase. Salvo que el Son adopta la clave en los primeros años del 1900. Pero ya existía.
@lemondedisnardi2736 bonjour😊
merci pour votre message...
Je me souviens que quand j'ai commencé à apprendre la salsa portoricaine mon professeur me faisait souvent la remarque en me disant qu'il ne fallait pas que je bouge les hanches c'était un peu compliqué pour moi ayant beaucoup vécu dans les iles😊.
Il disait qu'en portoricaine le rôle du cavalier était de mettre en valeur sa cavalière et non pas de se mettre lui-même en valeur.
Qu'il fallait conserver une attitude macho.
Il expliquait également quand cubaine les mouvements étaient beaucoup plus libre que l'on pouvait bouger les épaules la tête les hanches sans aucun problème mais que cela était interdit en portoricaine.
concernant le dress code, j'espère ne pas vous avoir vexé.
je ne voulais pas dire qu'en cubaine on s'habillait moins bien qu'on portoricaine mais une vidéo que j'avais vu à propos de la portoricaine donnait cette explication :
à savoir que les gens souhaitaient apprendre rapidement sans se prendre la tête et que du coup la Cubaine leur semblait plus facile.
mais qu'il y avait également une rigueur vestimentaire plus forte en portoricaine.
ces éléments expliqueraient que les gens se sont de plus en plus détournés de la portoricaine.
ce n'est pas là ma propre explication, c'est ce que j'ai pu entendre sur une vidéo UA-cam il y a déjà quelques années.
j'ai dernièrement testé un cours de salsa cubaine, j'ai été très surpris des appellations données par le professeur à certaines passes, mais également l'exécution de certains mouvements qui allaient tout à fait à l'encontre de ce que j'avais appris jusqu'à maintenant.
j'ai stoppé au bout de 30 minutes tellement cela m'a découragé car j'avais l'impression qu'il fallait que j'oublie tout ce que j'avais appris.
Par exemple j'ai découvert que le di li que si peut aussi s'appeler coca cola...
Même les professeurs n'utilisent pas les mêmes termes pour des figures identiques.
Cette personne appelait le dili que no une traversée...
Ce soir-là on m'a expliqué que pour faire une enchufala ,
L'homme devait sur le 1 avancer son pied gauche alors que l'on m'avait toujours appris qu'il fallait le reculer...
Désolé si j'ai fait des fautes d'orthographe sur les appellations des passes.
je vous souhaite une bonne soirée
Choisir entre la Cubaine et la Porto ? Je choisis le Son Muntuno !!
Cela va de soi et cela fera l’objet de nouvelles vidéos et de nouveaux posts.
Hello, merci pour ces précisions!
Complètement nouveau dans le monde de la danse, ça fait 6 mois que je fait de la salsa portoricaine. Mais voilà cette danse ne me parle pas du tout, je trouve que tout est trop mécanique du coup je n'ai pas d'émotions ni de sensations quand je la danse. J'ai bien envie de tester la cubaine qui me semble donner plus de spontanéitée
Merci pour votre commentaire.
Je ne saurais que trop vous la recommander.
Amitiés
Salut! merci pour tes éclaircissements, j'ai appris la salsa portoricaine en allemagne, et comme tu dis dans cette ville il y a une guerre entre deux écoles porto/cubaines : du coup le bar latino où le prof de salsa cubaine a réussi a prendre la place de la prof de salsa portoricaine, on y voit jouer plus de musiques propices au danses cubaines... Une danseuse des années 2000 me disait: ces deux clubs, quand je tombe sur un partenaire de l'autre club, ça coince au niveau des genoux: ils se cognent l'un l'autre...J'avais commencé par la porto, car on m'avait dit que c'est dans ce sens là qu'il fallait commencer: salsa porto, puis apprendre la salsa cubaine... je vais regarder ta vidéo sur la musicalité...pourrai tu faire une vidéo sur la danse salsa on 1 et la salsa on 2? car c'est un peu obscur pour moi! merci
Hola, Ayant commencé par la cubaine il y a plus de 10 ans , la porto pourrait me tenter , mais j'ai comme un doute, peut-on prendre plaisir à pratiquer les deux , sachant que les soirées avec les deux n'existent pas ... ? Votre avis merci
Bonsoir et merci pour votre commentaire
C’est étonnant que vous disiez que les soirées avec les deux styles de musique n’existent pas, puisque c’est souvent le cas que les DJ mettent des Timbas et, en alternance, des musiques plus adaptées au style porto.
Toujours est-il que prendre des cours de cubaine et porto n’a rien de contre productif.
De toutes manières vous allez forcément préférer l’une des deux manières.
Pour ma part, je ne fais que de la cubaine, comme je le dis dans la vidéo.
Mais vous allez pouvoir peut-être élargir votre spectre en pratiquant les deux, du coup tant mieux.
Amitiés
Hola ! Votre chaîne est super intéressante, je suis super content de l'avoir trouvé.
J'ai appris et continue d'apprendre la porto, et je voudrais en parallèle apprendre la cubaine.
L'objectif étant de m'éclater encore plus et de ne pas décliner une danse à une senorita qui danserai la cubaine 😆
Merci beaucoup Jéremy pour votre gentil commentaire et en effet vous allez être un danseur Multitalent et multifonction
@@lemondedisnardi2736 Que dieu vous entende 😆
Merci Isnardi très bien résumé. C'est qui le couple qui danse de la 9ème mm à 10mn ? Perso pour enseigner la Cubaine aux débutants et en tant que musicien; déjà je choisi des musiques dites plutôt "porto" pour la simplicité et la régularité des "Montunos" au piano par exemple c'est pédagogiquement plus facile pour les élèves. J'ai un ami qui joue derrière Yuri Buenaventura qui me disait que la différence musicale lui ne la voyait et ne l'entendait pas, tout ça c'est de la musique....
Alors c’est un des couples phares du circuit mondial, ce sont mes bons amis Yanet Fuentes (danseuse de Shakira, de Rihanna et d’Alicia Keys) et Yoandy Villarrutia.
Je comprends ce que vous dites pour la musique et pour les débutants... en effet il faut leur faciliter la tâche mais moi assez tôt je leur mets des Timbas pour qu’ils « se fassent l’ouïe » comme on dirait pour l’équivalent de « se faire les dents »
Amicalement
Yoannis Tamayo,plutôt?
Merci 😊
Dónde encontramos este contenido en Español???
Querido amigo, pronto estará disponible mi canal en español. Un abrazo
Merci pour cet historique, j’ai appris beaucoup. Ayant commencé l’apprentissage de la salsa par la porto, j’ai vite basculé vers la cubaine pour le jeu entre les danseurs. J’apprends grâce à cette vidéo d’où vient le nom « nudos », du coup « despelote » ça vient d’où ? Encore merci pour cette vidéo explicative 👍🏾👍🏾
C’est moi qui vous remercie pour votre commentaire. En fait dans la plupart des pays latino-américains, comme le mieln l’Uruguay, ce mot veut dire désordre, confusion.
Mais cela s’applique également à une démonstration de joie exagérée.
C’est sans doute ce sens qu’il prend dans les Caraïbes pour l’expression dansée.
Avec mon amitié
Je danse la cubaine depuis 20 ans et la porto depuis 18 ans et j'adore les 2 ; d'autant que j'ai pu développer un style personnel aussi bien en cubaine qu'en porto ! C'est vrai que danser l'un ou l'autre dépend de la musique mais je dirais que ça dépend surtout de la danseuse.
Pourquoi je fais essentiellement des festivals "Porto" depuis plus d'une douzaine d'années ? Je dirais essentiellement pour la musique. En effet, autant je n'ai pas vraiment de préférence pour la danse, autant pour la musique c'est tout le contraire. J'adore la Salsa Clasica/Dura et je n'aime pas trop la Timba essentiellement à cause des chanteurs avec des voix trop nasillardes qui me cassent les oreilles.
Merci pour votre témoignage. Comme je l’ai dit dans ma vidéo la Timba n’est pas facile et l’argument que vous donnez est encore plus pointu, car vous parlez carrément des voix des chanteurs. Pour ma part je ne peux que le regretter car je suis aussi parolier de certains parmi les plus grands chanteurs ou groupes de la musique cubaine, essentiellement de Timba. Moi ce sont davantage les paroles que, dans ce secteur, je trouve parfois un peu... comment dire... disons qu’elles laissent à désirer. Un de mes défis est donc d’écrire des textes plus travaillés sur des sujets parfois plus sérieux ou polémique, comme mon dernier travail à propos de la violence de genre dans la chanson de Mixael Cabrera, « ahora le toca a ella ». Amitiés
@@lemondedisnardi2736 Pour les textes, il existe ce qu'on a appelé un moment la Salsa Conciencia, un sous-genre de la Salsa Clasica/Dura ; Ruben Blades avait des paroles très intéressantes dans ses chansons.
@@Fred678 Absolument ! Je ne prétends pas avoir inventé les chansons à texte en salsa 😉 Celles de Ruben Blades sont une source d’inspiration constante, vous avez raison. Lui et moi devions nous rencontrer quand je suis allé enseigner les danses cubaines au Panama. Malheureusement il devait aller aux États-Unis tourner un film sur sa vie mais on a dit que ce n’était que partie remise
Trés intéressante ta vidéo merci! Je m'interroge justement en ce moment, j'ai commencé la salsa cubaine cette année, de base je suis danseur solo de hiphop et de house et je cherchais dans la salsa à ramener ce coté latino dans mon style. J'hésitais à laisser tomber la salsa cubaine l'an prochain pour faire de la porto de peur que la danse solo ne fasse pas partie de la danse, mais tu me rassures. Je vais commencer la portoricaine l'an prochain très probablement. Donc les deux danses ont une partie qui peut être dansé seul c'est bien ça?
Merci ton commentaire. Absolument le côté solo est très présent avec une nette augmentation c’est dernières années dans ce qu’on appelle la Salsa cubaine
Le vrai nom étant Casino. On le danse de plus en plus avec de la Timba qui permet des interprétations en solo. D’ailleurs dans la portoricaine les danseurs et les danseuses se mettent de plus en plus à inclure des pas de Rumba ou d’afrocubain (parfois trop stylisés) dans leur danse. Il serait faux de croire que la portoricaine est plus évoluée que la cubaine. Continue avec celle-ci et tu découvriras un monde d’une grande richesse. Salutations
J'aurais juste ajouté un mot sur l'instrumentation un peu différente entre les deux styles, notamment en ce qui concerne les percussions : clave et timbales pour le casino, plutôt congas pour la salsa en ligne.
Merci pour cette vidéo ! Perso j ai essayé là porto je préfère l agrément la cubaine que je danse depuis 10 ans. C est mon avis perso mais je trouve qu on se lâche plus Dj cubaine ..
La femme peut autant s exprimer en cubaine .. suffit d apprendre les shines😎
On peut se lâcher tout autant, c’est vrai.
Mais la cubaine d’origine, le casino, créée en 1956, ne permettait pas trop de pas solo, cette manière de faire à continué pendant longtemps où les danseurs se lâchaient très peu, alors qu’en Porto ils le faisaient déjà davantage. Avec l’émergence de la Timba et de l’interprétation cela a changé. En revanche même si c’est très bien d’apprendre des séquences solo, il faut ensuite les casser et ne pas les reproduire de manière robotique sur la piste. Mes salutations
La salsa caleña est ma préféré
Commentaire pour l'algo
Hola Teby.
No comprendo mucho todo lo que explicas, pero quiero aportarte algo, que no se publica mucho, pero yo lo sé de primera mano: “salsa en línea” es el nombre del proyecto de división que prepararon en contra de BAILARINES Y MÚSICOS CUBANOS en el año 2001. Lo dirigieron 4 puertorriqueños y lo vendieron a Ron BACARDÍ.
Los vecinos de Cuba, siempre han tenido cierto ego sobre los ritmos cubanos que más han vendido. Con sus actos de oportunismo, se apropiaron del mercado mundial que Cuba ha tenido entre los años 1920s y 1961, que fue cuando se produjeron los conflictos políticos de los que nuestros vecinos se aprovecharon.
----
En 1991 cae el campo socialista europeo, provoca una gran crisis económica en Cuba, tiene lugar una oleada migratoria en Cuba. En 1996 nuestras autoridades venden el ron Havana Club a una firma francesa que coloca el ron en la cima del mercado, al punto de que los empresarios estadounidenses buscan vías para introducir Havana Club en ese mercado, eso no le gusto ni a los vecinos de Cuba y mucho menos a Bacardí.
Como había una comunidad de bailarines tan numerosa en Italia, Bacardi se une a ron Martini, para fortalecer su guerra contra Havana Club, pero siempre trabajando con músicos y bailarines asentados en Europa, porque desde 1996 crece mucho nuestra comunidad en este continente, en paralelo crece turismo italiano, español, alemán, inglés y francés, en Cuba, por lo que se hace notable la demanda de nuestra música y nuestros bailes en las celebraciones tradicionales de estos países. Al notarse la crecida de este mercado entre Europa, Asia y América, los músicos y otros personajes puertorriqueños, vieron en peligro su dominio sobre la cultura popular cubana, y plantearon a ron Bacardí que dejara de trabajar con cubanos para que frenara la crecida de ventas millonarias que había conseguido el ron Havana Club en manos de Pernold Ricard francesa, que ya logrado introducir esta marca de ron en 100 países.
•••••••
Siglo XX
Los señores de Puerto Rico, usaron los proyectos Fania, para ampliar su apropiación sobre la música cubana, sacando los vinilos que se producían con agrupaciones de Cuba de miles de emisoras y otros medios en Mexico y Sudamérica, ofreciendo al país que más hábil tantea tiene, convertirlo en la capital de nuestra música a cambio de reducir la demanda de los cubanos, eso, además de otras operaciones desleales. Es así como surge el movimiento colombiano, con el que desplazaron a México y a Venezuela (las dos mecas del disco y el audiovisual en aquellos años).
------
Siglo XXI
Turno para la nueva generación de portorros. El proyecto se llamó “salsa en línea” y está basado en estilos del CABARET CUBANO de los años 1930s - 40s).
Como no era muy notable las producciones musicales, que en Cuba nunca se frenaban, quienes se encargaron del boicot mundial fueron los bailadores. Cuatro señores (EI, ET, SL y del otro no me acuerdo), ellos empezaron a fichar a los más destacados casineros de México, Sudamérica e Italia, que eran muy cercanos a los cubanos, y a partir de ellos empezaron a fichar, ofreciendo jugosas oportunidades, que yo misma llegué a recibir.
Entonces, llegados a ese punto, los colombianos no aceptaron quedar rezagados, así que optaron por otra deformación al baile del Casino, imponiéndose como “salsa caleña”, basada en técnicas de salto del CABARET CUBANO, con algo algo de MAMBO. Alguien me dijo, que habían copiado o se habían inspirado en las improvisaciones del bailarín santiaguero Yanek Revilla.
Traigo enlace donde se puede apreciar una de las técnicas que refiero sobre la salsa en línea...
bailarsonycasino.com/imagenes-demostrativas/
••••••
Para informarte sobre los enfrentamientos Barcardí va Havana Club (desde 1999), puedes buscar en Google, podrás encontrar todo. Lo que no podrás encontrar fácilmente es todo lo que nos han hecho a los cubanos, para mantenernos fuera del mercado mundial, entre 3 de nuestros países vecinos.
-----
Muchas gracias por todo el apoyo que nos brindas hermano.
Te mando abrazo grande.
Muy buen aporte querida hermana.
En 1996 se lanzan los congresos con el primero en Miami y obviamente ahí ya bailaban la salsa en línea.
Pero tu acotación es extremadamente valiosa y la he de compartir
Un gran abrazo
Le Monde D'Isnardi, mi Teby, de todas la vida los portorros han marcado en estilo lineal. Mira, esa marcación de “Son” tradicional (alante y atrás), quienes la usan muchísimo son nuestros bailarines de cabaret, entre coreografías, en la diversidad de marcaciones, sus cambios son avisados por esa marcación hacia alante y hacia atrás. Te cuento:
A principio de los años 1980s, en una de las giras de nuestro universal Tropicana, hubo una pareja de bailarines que se quedaron contratados en Puerto Rico (Miguel y Aymée). Ellos salían por la TV de allí, tengo información desde aquellos años, porque los marineros traían grabaciones, además de que a Cuba siempre viajaban los portorros por terceros países, Mía amigos y yo les veíamos bailar. También veía bailar a algunos colombianos que tenéis amistad con marinos cubanos, desde siempre he visto bailar a todos los latinos, recuerdo muy bien que los colombianos marcaban como haciendo una L en el suelo, me contaban que, cuando dejaron de bailar el “SON”, pusieron de moda algo que era un PLAGIO al “Son” Montuno de Arsenio, que se lo vendieron como Boogaloo [bugalú]. Todos marcaban respetando tiempo, sólo que no dominaban mucha variedad de figuras, ejecutaban las 2 básicas, como todavía hacen los dominicanos que aún no dominan el Casino.
Tengo entendido que el proyecto que se preparó para vender a Ron Bacardí y traerlo a Europa con la alianza Bacardí-Martini es de 1998, pero no llego aquí hasta el 2000. En España lo introdujeron en 2001, yo presente. Ese estilo lo estuvieron perfeccionando copiando filmes de los que les grababan a los cubanos en los espectáculos de los cabarets de Broadway, y de lo que coreografiaban para películas mexicanas los profesionales cubanos. En la colección que tenemos publicada, con más de 100 películas podrían verse algunos de esos detalles; puedo asegurarte que, tanto puertorriqueños como colombianos han copiado del Mambo y técnicas del cabaret cubano de los 1940s.
Toda la razón del mundo ! esa línea viene además del Son y el gran Santiago Alfonso, cuando fue invitado por Alfredo Torres a Bulgaria, y que Alfredo a pesar de ser cubano manejaba más la línea, le dijo “tú bailas como en Cuba en los años 40”
Un beso enorme hermana
Cubaine pour moi !
il n'ya pas que de malentendus, mais aussi une grande difference d'access au pouvoir et au capital symbolique qui a largement favorise les varietes qui emergent au sein de et sappuient sur le capital material des Etats Unis. Bien sur, il n'y auraient pas de raisons purement esthetiques pour preferer les danses cubaines, mais ce n'est pour autant pas qu'une question de preference subjective, a ce que je vois. No tengo teclado frances
C’est un point très important que vous soulevez. Comme je le dis dans d’autres commentaires, le temps qui m’était imparti pour cette vidéo m’a amené à dire des choses de manière succincte, aussi bien pour les avancés que pour les non-initiés.
Mais la question économique était primordiale dès le départ dans l’émergence de la salsa aux États-Unis.
À Cuba il y en a beaucoup qui parle carrément de vol. De vol artistique et de vol d’un patrimoine.
Les musiciens de la Fania eux-mêmes n’ont eu de cesse, il faut leur laisser ça, de reconnaître qu’ils ne faisaient que de la musique cubaine.
C’est ce que je fais dire à Robertón, de Los Van Van, dans une chanson que je lui ai écrite (les paroles) et que je vous recommande d’écouter : EMPIEZA MI SON.
Yo si tengo teclado francés, pero entiendo perfectamente, con esta cuestión de los acentos, si el teclado no es bueno, es un infierno.
Avec mes amitiés
Sympa la video et bonne initiative mais voici quelques points à corriger:- La salsa en ligne plus facile à enseigner? j'aimerais bien que tu développes lol - Eddie Torres n'est pas le Puerto Rico en 1997 organisé par Eli Irizarry.
- Premier congress à (surtout que le flyer qui apparait dans la video indique New York Salsa congress :D)
- Tu dis de la musique en ligne est plus (déjà faudrait savoir ce que c'est de la musique "en ligne"...) Tu bases ton jugement sur quoi exactement? Car justement le son montuno s'est enrichi et à évolué/devenue plus complex à son arrivé à New York, non seulement grace à l'influence et l'inspiration des musiciens venant de partout mais aussi dans leur nouvelle manière de composition grace à des styles de musique different et sans oublier les gens et la culture a qui régnait à NY a cette époque.
Musique devenue tellement riches et tellement
Alors j'ai rien compris... Il manque 3/4 de mon message et des mots on disparu et ca a changé mes phrases hahaha.
par ex cette phrase mdr : Eddie Torres n'est pas le Puerto Rico en 1997 organisé par Eli Irizarry. :D :D
Désolé pour les lecteurs, J'espère que t'as pu recevoir le message entier via email.
Bonjour.
Merci pour ton commentaire.
1) si tu regardes la vidéo je n’ai jamais dit qu’Eddie, avec qui j’ai enseigné dans plusieurs festivals de par le monde, est le créateur dudit congrès. Ni des congrès en général. Dans une phrase où, je l’avoue, mes mots se marchent un peu dessus, je dis qu’avec son homonyme feu Albert, il a été le grand diffuseur des congrès dans le monde.
2) Mon équipe de travail a trouvé ce flyer qui n’a rien à voir avec le congrès que je nomme, c’est une illustration casuelle et rien de plus
3) c’est le vrai point faible de ma vidéo et tu as raison. Il est évident que j’étais soumis à des contraintes temporelles pour expliquer aussi bien à des néophytes qu’à des initiés, certaines choses. La musique pour Salsa en ligne n’existe pas en soi, ce sont surtout des orchestres portoricains et colombiens, mais en effet elle est bien plus fine et développée que ce que je dis et je regrette ce moment de ma vidéo, j’en ferai bientôt une autre pour corriger cela.
Je voulais surtout mettre l’accent sur la polirythmie hallucinante de la Timba, et en cela je suis persuadé, avec mon autre casquette de parolier de certains parmi les plus grands chanteurs cubains d’aujourd’hui, où je dois adapter mes textes à cette richesse musicale (ce qui me demande un travail de forçat), qu’elle est plus complexe que les salsas que l’on joue et sur lesquelles on danse la ligne
Je te remercie d’avoir pris la peine de la regarder avec tant d’attention
@@lemondedisnardi2736
Comme je disais après avoir envoyé mon message, Il n'est pas du tout publié comme je l'avais écris.
J'espérais que tu recevrais la version correcte est complete du message via email meme is il était mal publié ici.
par rapport à ta réponse:
ton premier point: Je ne te contre dis pas la dessus (mal publié)
le 2e: Ca prête à confusions car tu parles d'un congres en montrant une image d'un autre.
3) tu parles pas seulement de Timba tu dis dans la Cubaine...ce n'est pas seulement de la Timba. Car comme tu sais dans les année 50, Il y avait pas encore de Timba.
Et meme, + de Polyrythmie dans la Timba.. qu'il y en a plus comparé a une salsa romantica.. d'accord.. comparé à de la salsa dura...
Je pratique moi meme le Bongo depuis plusieurs années car je suis fan et je joue sur un peu de tout et aussi de la Timba.
Le plus important c'est dire que la polyrythmie c'est la base de toute la musique "salsa"
Oh oui je sais pour les années 50. Je suis amis avec certains des fondateurs du Casino (première fondation 56, deuxième 64), j J’enseigne dans le monde le cha-cha-cha, le Mambo, le Son, bien entendu. Il y avait une quantité de rythmes hallucinantes à ce moment-là. Si on prend le Pilon ou le Mozambique, on n’a que le 10%.
Je parle de timba car c’est le phénomène actuel. Je suis ami avec Jose Luis Cortés, à qui l’on donne à tort la paternité de la Timba, il s’en défend lui-même.
La légende de la batterie dans la Timba, Calixto Oviedo, a joué dans l’un de mes morceaux. En tant que caricaturiste officiel de Los Van Van, et parolier de certains de ses chanteurs, je suis en constante immersion dans ce rythme.
Je veux te dire par-là que je ne pense pas que tu parles à quelqu’un qui a juste entendu parler de ces choses.
Je ferai des vidéos plus pointues là-dessus.
Je te laisse le dernier single de Roberton, le chanteur emblématique de Los Van Van, dont j’ai écrit les paroles pour que tu me dises si tu aimes cette Timba. Ainsi que le dernier morceau de Mixael Cabrera, avec mes paroles aussi, dans les deux commentaires qui suivent.
Mes salutations
EMPIEZA MI SON
Tu salsa termina
donde empieza mi Son.
Eso que tú llamas salsa
es lo que yo llamo Son.
Aquí hace falta mi hermano
disipar la confusión.
Y es que tú le dices salsa,
quizás eso a ti te alcanza
pero pon en la balanza
lo que trae mi canción.
Es que entre el Son y la salsa
no existe comparación.
El mismo Blades lo afirma,
Johnny Pacheco también.
Si ellos le ponen la firma
no inventes que no está bien.
No olvides que Tito Puente
enfatizó que la salsa
era lo que habitualmente
él le ponía a la pasta.
Si te lo dice la Fania
no hay nada más que agregar.
Lo que es verdad no te daña
si lo sabes aceptar.
Cuba es la cuna
Cuba es la cuna
Cuba es la cuna
Letra : E. Isnardi
Copyright
EMPIEZA MI SON
Cantante : Robertón de Los Van Van
Música : Pablo Timba y su Timbacalle
Letra y baile : Esteban Isnardi
Arreglos e imágenes : Massimo Scalici
Bajo : Pavel Molina (ex Los Van Van)
#robertonvanvan
#losvanvan
#pablotimba
#timbacalle
#pavelmolina
#estebanisnardi
ua-cam.com/video/DCupLd1C8G8/v-deo.html
Mon article dans le prestigieux journal suisse LE TEMPS, paru aujourd’hui (demain dans la version papier dans tous les kiosques), où je rends hommage à JOHNNY PACHECO, disparu hier, tout en parlant très clairement du débat autour du mot Salsa.
www.letemps.ch/culture/disparition-johnny-pacheco-salsa-perd-un-pionniers
merci pour cette vidéo très complète. J'ai une explication plausible pour la fin de la tendance des "nudos": c'est peut-être tout simplement parce que ça n'est pas très agréable pour la fille, la plupart des garçons nous retourne le coude ou l'épaule avec ce genre de passes. Et j'ai l'impression qu'il y a de plus en plus d'intégration de l'afrocubain dans le casino, et je m'en réjouis !
C’est moi qui vous remercie pour votre commentaire. En effet maintenant la danseuse a la possibilité de s’exprimer davantage. C’est une très bonne chose. En revanche, en tant que dirigeants de la fédération mondiale de Casino, moi et mes pairs sommes partagés, pour ne pas dire circonspects, sur l’utilisation exagéré de l’afro-Cubain dans le Casino.
La rumba est profane mais les danses des Orishas, cela a trait au religieux et la manière inconsidérée dont on met, sans concept, des pas de Shango, Obatala etc, un peu partout et comme une démonstration d’excellence, cela me plaît encore moins que les « noeuds » à outrance.
On tombe dans la caricature et l’irrespect, les Cubains eux-mêmes n’aiment pas cela.
Est-ce que vous lisez l’espagnol ? Si oui je vous envoie un texte un peu ironique que j’ai écrit à ce propos dans mon dernier livre. Amicalement
@@lemondedisnardi2736 oui je parle espagnol, mon mari étant cubain, santero et professeur de Salsa 😉 Quand il introduit des pas d'afro dans la salsa, il en explique l'origine et la signification. Et je suis d'accord avec vous sur son utilisation à outrance, c'est intéressant de distiller un peu d'afro dans le casino, mais pas trop et surtout quand la chanson s'y prête !
@@salsairoise7983 magnifique ! Alors voici carrément deux textes 😉 saluer votre mari de ma part et dites lui ça lui fera plaisir que je suis le parolier des chansons de Roberton de Los Van Van, d’Emilio Frías El Niño, de Mixael Cabrera, de Pedrito Calvo Jr. et de Mercadonegro entre autres. Je pourrais vous envoyer le lien de certaines chansons si vous me demandez sur Facebook, sur mon deuxième profil : Esteban Isnardi II
Voici mes textes
@SalsaIroise
IRUKES FANTASMAS
Ayer, tras mis clases, una chica francesa radicada aquí me mató a verdades.
De un modo límpido y preciso, hablando de París pero yo extiendo su análisis al mundo entero, me dijo lo siguiente :
"Hace más de 10 años, la escena de la salsa se separaba en portorriqueña (línea) y cubana.
Los bailadores de la primera eran considerados más técnicos y los de la segunda más guaracheros.
La actitud de los linieros era muy seguido detestable, se los veía arrogantes, se creían superiores.
Si no tenías un nivel técnico elevado no te sacaban a la pista.
Pues desde hace unos años yo veo lo mismo, llevado los bailes cubanos, con respecto a la rumba y a los pasos de orishas.
Los mil giros de la salsa en línea y los ademanes exagerados de manos y brazos, se convirtieron, en el baile cubano que sufría por ser tildado de rudimentario, en una repulsiva exageración rumbera y "santera".
La cubanía se rebajó al nivel que criticaba.
Show y más show, ego, mala caricatura.
Los culpables, a mi entender, son muy seguido los profesores cubanos que venden espectacularidad y seudo autenticidad al por mayor, llenándose la boca de la palabra "concepto" que utilizan a troche y moche sin aplicarla.
Los muchachos o muchachas formados por ellos y que son tan europeos como yo, no salen sin sus pañuelos rumberos o sin sus amplias sayas imaginarias.
Y lo peor es que agitan irukes fantasmas en cualquier momento de la música.
Yo, y conmigo muchos más, me acerqué al mundo danzario cubano por lo genuino que era, y ahora ese mercantilismo de bailes tan hermosos como la rumba o de los orishas llevados al casino me está alejando irremediablemente."
La miré.
Le di la mano.
Le dije : "Eres un martillo".
Me miró con cara de... poco piropo.
Proseguí : "Eres hermosa, corazón, no te lo tomes a mal. Lo que pasa es que diste en el clavo !"
Escrito en la Isla de Malta
E. Isnardi copyright
@Salsa Iroise
UNA FÁBULA
Shangó, frunciendo el ceño, apretó su hacha bicéfala.
Elegguá se sentó, posó su garabato en sus rodillas y miró fijo a Oggún, su hermano, que ya le estaba preguntando a Obatalá.
Más lejos las deidades femeninas, Yemaya, Oshún y Oya movían desoladas sus cabezas.
El río no reía.
El mar no las mareaba.
El viento no venía a darles fuerza.
Todos dirigían su mirada hacia abajo.
Hacia el mundo de los hombres, que bailaban.
Con ellos muchos otros Orishas del Panteón Yoruba.
Todos, se les notaba, estaban procurando entender el porqué.
Por qué, por todos los santos del sincretismo, por qué los bailadores los invocaban, mezclaban pasos de sus danzas a troche y moche en el casino, reproducían grotescamente las mímicas que en sus debidos toques los representaban ?
Ninguno de ellos comprendía.
Se dieron cuenta de lo que acontecía porque a medida que los humanos tiraban sin concepto los pasos de uno de ellos, éste sentía un escozor desagradable, incluso hasta un calambre.
Es más, algo en él lo llevaba a sentirse injuriado.
Obatalá, dueño de las cabezas, asoció en su poderoso cerebro las palabras bailador y burlador.
Yemaya agitó su saya como buscando lavar la ofensa con un reparador oleaje.
Oya movía su iruke para que el viento se sumase a la limpieza.
Oggun desenfundó el machete. Fue cuando Olofi apareció. Como pesando sus palabras, dijo : "En nombre de Olodumare, dejen que sigan el camino equivocado. Eso generará conflictos con los que sí saben, pues la luz que les hará ver el buen rumbo ha de venir del mundo de ellos. Vean, y piensen: por diez o veinte o cien o mil que donde no saben se meten, hay uno, respetuoso, que avanza bendecido por nosotros.
Eso ya es mucho.
Lo que ahí abajo está acaeciendo, abajo debe ser resuelto."
Fue así que los Orishas regresaron a la calma.
Shangó dejó de contemplar tener recurso al trueno y al relámpago.
Oshún volvió a reír a carcajadas, a jugar
con sus joyas.
Y el travieso Elegguá cerró sin más ese camino.
E. Isnardi copyright
Excellent exposé. Mais Grupo Niche, Fruko y sus Tesos, La Sonora Carruseles (exellents groupes par ailleurs) sont colombiens, et ont une sonorité très différente de groupes comme El Gran Combo de Puerto Rico, La Sonora Ponceña, Ray Barretto, Eddy Palmieri, Oscar D’León pour n’en citer que quelques uns, et tous les artistes ayant fait partie des Fania All Stars, qui sont beaucoup plus représentatifs de la salsa « porto », que je préfère appeler salsa new-yorkaise, et leur musique est ô combien subtile contrairement à ce qui est dit.
La danse en ligne n’est pas propre à la Salsa, c’est valable aussi en Rock&Roll. Instaurée dans les clubs new-yorkais souvent bondés, pour se créer un espace et éviter de rentrer en collision avec les autres couples.
Merci et moi c’est ton exposé que je trouve brillant. Tu as raison pour les différences quant à la musique sur laquelle on danse préférentiellement la ligne, c’est le côté carentiel de ma vidéo.
Quant au Rock il a également influencé le Casino lors de son éclosion en 1956, c’etait d’ailleurs la grande nouveauté à l’époque
Moi je danse sur le 42!
la salsa Colombienne ne doit pas être oubliée, d'ailleurs les exemples que vous proposez pour la danse en ligne ne figure que de la "colombienne" vous oubliez la "Vieja" avec en tête les groupes mythiques comme Ismaël Riviera et tant d'autres !!!
Je ne les ai « oubliés » que parce que le format de la vidéo m’imposait peu de mots. Le temps pressait. Avec mon travail de caricaturiste j’ai dessiné nombre d’entre eux, j’entends les chanteurs de « vieja ».
Malheureusement je ne peux pas joindre des photos dans ces commentaires sinon je vous les montrerais. Ils ont fait partie d’une exposition itinérante sur trois continents. Tout ça pour vous dire que je ne les laisse pas de côté et que, en leur rendant hommage comme je l’ai fait de par mon travail de plasticien, je joins mon grain de sel dans la célébration de leur envergure. Ce n’est un secret pour personne que ma préférence va à la musique cubaine. Mais j’entretiens avec certains grands musiciens portoricains, comme Gilberto Santa Rosa ou Andy Montañez, des relations personnelles d’amitié et d’admiration. Salutations. PS : Ismael Rivera je ne l’ai pas encore dessiné. Votre commentaire me rappelle à l’ordre à ce sujet.
En gros si je comprends bien là porto a été inventée pour aider les non cubains à apprendre à danser la salsa plus facilement ... Correct ?
Je n’irai pas jusque-là même si ma vidéo peut le laisser penser, j’ai été victime du fait que j’avais peu de temps pour parler. Les influences de la Porto sont multiples et elles viennent aussi bien évidemment de Latinos, mais je pense en effet que c’est une danse plus codifiée et avec moins d’improvisation, l’improvisation étant ce qu’il y a de plus difficile
Honnêtement la différence de musiques … bof.
Par exemple "Echalo pa ca" ua-cam.com/video/yzV4rITFS5s/v-deo.html
T'as des breaks, de la polyrythmie, une accélération progressive de la musique (à chaque couplet en fait).
Je suis d'accord par contre que le montuno est plus lisse.
En fait j'ai plus l'impression que la ligne de basse sur une mesure remplace la clave sur deux.
Perso j'aime pas un style plus que l'autre, mais je préfère certaines musiques à d'autres. Je ne sais pas si la 33 font de la musique porto ou cubaine , pareil pour la excelencia, mais j'adore certaines de leurs musiques.
Personnellement j'ai un souci.
Je préfère la portoricaine à la Cubaine pour son côté un peu plus discipliné.
Mets en Vaucluse impossible de trouver un professeur de salsa portoricaine.
2 + selon les professeurs de salsa cubaine on n'est pas d'accord sur le nom des figures et sur la façon de les exécuter.
Dans mon dernier cours au bout d'une demi-heure j'ai abandonné car le professeur faisait exécuter des figures d'une manière totalement opposée a ce que j'avais appris jusque-là...
Ce que je regrette c'est que il me semble que n'importe qui peut s'improviser professeur de salsa sans aucun diplôme.
La salsa cubaine est à mon avis beaucoup plus libre dans la gestuelle du cavalier tandis que la portoricaine est plus exigeante en matière de maintien.
Il semblerait dans les recherches que j'ai fait que les gens sont plus intéressés par la salsa cubaine qui justement demande moins de discipline et n'a pas de dress code
Bonjour. Je comprends vos mots. Mais si vous regardez mes vidéos ici, dont la suite viendra bientôt, et sachant que je suis d’obédience « cubaine », vous constaterez que je ne manque pas de rigueur et que je me fais fort d’argumenter avec de l’ordre et de la méthode. Je suis donc la preuve vivante que votre postulat n’est pas juste. La cubaine peut être très rigoureuse. Mais elle n’oublie jamais l’ingrédient IMPRO. Toute la différence est là. Quant au dress code (!?!) vous m’avez fait sourire et je vous remercie pour cela. Bonne journée
J’ai fait un cubamucho à Toulouse. Je n’ai pas du tout aimé. Trop grand, trop impersonnel, trop commercial. J’ai préféré des festivals moins dimensionnés avec plus de convivialité entre danseurs et professeurs.
Je te comprends. Moi-même j’ai été invité d’honneur de celui de 2008 à Munich et j’ai eu des problèmes pour le moins musclés avec l’organisateur.
Il s’en est fallu de peu que ça tourne mal.
Et c’est vrai que les festivals plus petits sont plus profitables pour tout le monde. Amicalement
las escuela de salsa no muestran la salsa de la calle, lsa salsa que se baila con sentimiento, se enseña como unos zombis, robots , sin sentimiento y como si se estuvieran bailando musica se ballroom
@@ornel1645 razonamiento reductor.
Je préfère la portoricaine, de loin.
l exposé est cool mais assez subjectif, avec votre préférence vers la cubaine... concernant la musique, je trouve que c est incomplet. perso quand j entends certaines musiques je vais ressentir de danser en "porto" , ou en cubaine.. par exemple sur des musiques plus jazz ou mambo c est clair que j ai pas envie de danser en cubaine, mais je m adapte à ma partenaire, c est le plus important. et des musiques avec des percu plus ancrées dans le sol me donneront plus envie de danser en cubaine. si je devais donner une image par rapport à la musique, je dirais que celle de la porto est plus aérienne et la cubaine plus ancrée dans le sol. ca na rien à voir avec ce que vous appelez la "linéarité de la musique". je ne comprends pas ce concept pour moi il n'a aucun sens. pour le reste de la video je n ai pas bien compris l objectif , car si c était de comparer les deux salsas, je dirais que c est un peu incomplet, car il manque par exemple je pense l influence des divers profs.mais bon po grave. je rajouterais aussi que la salsa "cubaine" met en valeur le garçon, alors que la salsa "porto" met en valeur la femme. c est une différence importante, en plus de la circularité vs linearité
Merci pour votre commentaire. Pour ce qui est du rapport au sol, c’est très pertinent. D’autres points que vous soulevez le sont aussi, en particulier à propos de la musique, où, je l’ai déjà dit dans d’autres commentaires ici, ma vidéo est carentielle et montre un point faible.
Je ne vais pas me cacher derrière le temps qui est imparti pour une telle vidéo et toutes les choses que je n’ai pas pu dire ou détailler, je m’en voudrais d’être cet homme qui se justifie.
Sachez cependant que j’ai dû respecter un format pour des raisons de marketing. Et que je pourrais continuer à parler de cela pendant des semaines.
C’est intéressant que le but de ma vidéo ne vous ait pas sauté aux yeux. C’était de faire un parallèle et un historique en tenant compte des gens qui n’avaient jamais entendu parler de certaines choses. De ces personnes. nombreuses, qui n’ont pas votre culture à ce niveau.
Trouver un langage commun pour les non-initiés et les avancés n’est pas chose aisée.
Mais je tiens très volontiers compte du fait que le but de ma vidéo n’était pas clair pour vous, et je ferai en sorte que cela le soit davantage dans mes prochaines vidéos.
Amitiés
@@lemondedisnardi2736 c est tres sympathique de prendre le temps de me répondre . je suis d accord que ce n'est pas évident d etre synthétique (au vu de l exigence de temps de la video) . . peut etre qu en modifiant le titre, pour s adresser aux debutants/non initié. ce n est pas non plus evident d être didactique, c est tout le travail du prof de danse. En effet on pourrait parler de cele pendant des semaines, et j imagine dejà des commentaires de gens, ah moi c est la cubaine, ah moi c la porto etc...alors qu au final ce n est pas une question de preference. Personnellement je prends du plaisir dans les deux, ca dépend de la musique qui est jouée et de ma partenaire. d'ailleurs on danse mieux certaines musiques avec certaines partenaires, et c est interessant aussi. la danse c est avant tout les danseurs; notamment justement les danseurs qui apportent des nouveautés, mais pas que. cela aurait pu ere une conclusion à votre video ( car les gens ne se rendent pas assez compte de cela...) .
. bien à vous et bravo pour vos videos.
@@fandrall2 vous répondre est un devoir mais, vu vos connaissances, un réel plaisir. Pour la fin que vous proposez, encore une fois bien vu ! Mes amitiés.