c'est sur mais un peu de vulgarisation serait apprécier , Michel Serres de l'ancienne école et bien plus lisibles (pour un niveau moyen), le sujet en vaut la compréhension ! Mais oui Bernard Stiegler patine une conclusion d'une lucidité rare !
Le savoir ne doit pas être considéré comme un objet statique qui faut ce devoir d'accumulé mais comme d'une masse dynamique qui gagne en ce densifiant par les expériences. En ce sens là question n'est pas de savoir si l'ère du numérique fait défaut au savoir mais dans quelle proposition celle ci le stimule.
Bernard Stiegler nous ouvre des portes mental assez intéressantes. J'aime beaucoup la clarté de ses discours. Ceci dit : "je viens tout juste de le découvrir et je n'en suis qu'à ma 2ième vidéo ". Merci donc à toi de ce partage Mr jesus garate. Au moment ou j'écrit il y a une bonne vidéo avec lui dont voici le lien : ua-cam.com/video/qYCfx2xFMjE/v-deo.html *_Le titre est_* : Bernard Stiegler : Etat d'urgence, géopolitique, Médias, Gilets Jaunes [EN DIRECT]
C'est quoi cette fin de document ???? C'est pas complet !!!! Vous avez coupé Bernard Stiegler au milieu d'une explication !!!! Ce document était trés interressant et enrichissant, notamment monsieur Stiegler, mais pas l'autre âne de serres, merci pour le partage !!!
Complet ? Alors que Stiegler commence à parler de la privatisation de l'enseignement universitaire par les intérêts financiers et sa parole est brutalement coupée... ?
L'analogie entre l'écriture et le numérique pour éclairer la révolution à l’œuvre n'est pas aborder sous le bon angle. La perte de mémoire dont parle Socrate dans le Phèdre n'est pas le point ce qui pousse Platon à souligner le danger de l'écriture. Ce qui fait peur à Platon, c'est que jusque là, celui qui sait, le sophos, sait parce qu'il est contact avec des muses, dont mnémosyné, ie la mémoire. C'est un privilège à partir duquel la société s'organise, se hiérarchise. L'apport de l'écriture n'est pas seulement une externalisation du savoir, c'est aussi et surtout une révolution dans la distribution du pouvoir. Jusqu'à ce qu'on se serve de l'écriture, il faut être en contact avec des puissances surhumaines/divines pour être considéré comme savant. C'est ce renversement d'autorité, cette possibilité donnée à n'importe quel homme d'apprendre d'un simple bout de papier, plutôt que d'une inspiration divine, qui effraye Platon. Aujourd'hui, la révolution numérique donne aux citoyens du monde entier la possibilité, en passant par les réseaux W.E.B, de partager gratuitement entre eux sans ne plus avoir à passer par des institutions. La découverte de la transmission par "pear to pear" révolutionne les concepts de propriété et, appliquée à la production d'énergie (smart greed), elle pourrait bien renverser totalement nos rapports au travail... mais voilà, les lois établies visent à conserver les privilèges acquis ces derniers siècles et à révolutionner le monde.
"Les nouvelles technologies libèrent ?" Je trouve plutôt qu'elles emprisonnent. Du moins c'est mon cas ! Plus de véritables lectures, sorties réduites au minimum, discutions en face en face réduites aussi, etc....
Parmi les mot-clés : Jacquart, écriture, transformation, facebook, le numérique vu comme analogique + informatique, l'inadaptation de l'université, Platon, Luther, Leibnitz, mémoire, autonomie, Simondon, logiques industrielles, Wkipedia en ce qui donne l'intelligence de l'imprimerie, réinvention des institutions, lien, perte, gain, savants, cerveau libre plutôt que cerveau vide, algorythmes et géométrie, outil comme automate ou non, poison et remède. comment les intellectuels abandonnent (comme les hommes politiques), notre difficulté à socialiser la technique, espaces de l'enseignement à redéfinir, compétence et épistémologie, effondrement de l'école et légitimisation des savoirs, Kurt Lewin recherche action, motricité et prothèses, position conducteur plutôt que passager.
Selon moi, il n'y a que quelques mots clés : 1) responsabilité devant les savoirs et les techniques, 2) l'engagement pour assumer ces responsabilités, - mis en avant par Bernard Stiegler, et illustrer par Michel Serres, lorsqu'il parle de la position passager et conducteur. - 3) mise en œuvre de politiques adéquates pour ne pas laisser au capital le pouvoir sur ces techniques et ces savoirs.
regarde ce que j'ai trouvé l'autre jour (prononce le comme expliqué) Avec la phonétique suivante : YHAVEE = ZEUS Si alpha, beta, gama = a, b, c donc si gama symbolyse Y alors Y peut se prononcer C Si HA se prononce A aspiré (ea) cela donne E (avec souffle de l'air inspiré, donc étouffé) alors C bref (ni inspiré ni expiré) + E aspiré se prononce ZE (ce) si V = U Si EE se prononce E expiré (ee) (avec le son du souffle S de l'air expiré, donc exprimé) alors yhavee se prononce trés éxactement zeus Z+E+U+S ah ces scribes... Ils ont faits la même à hamer et lois bilogiques... Yhavée et zeus ont mêm natiure, ce mot doit avoir un sens précis, je ne dis que ce sont les même mais que tout correspond entre grecs et hebreux localisation / mer mediterranée (mer nee du mileu de terres) & date deluge atlante/zeus et biblique, gros nez et raflouquettes, pédophilie etc.... N'oubliez pas que christ ne parlait pas un mot d"hébreux...
2:33 "Deux fois deux quatre, et fois deux, huit", sauf qu'on était au-dessus de deux et que l'on n'en est pas encore à huit, c'est plutôt de triplement qu'il faudrait parler.
Pour aller un peu à contre sens de Mr Stiegler à 36:23 lorsqu'il répond à Michel Serres qu'il pense que les outils ne sont pas des automatiques car eux n'effectuent pas le travail d'eux même. Je pense que si, lorsqu'on regarde bien, un individu capable de créer un marteau ou une hache efficace que ses congénères ne possèdent pas, se libère du groupe et s'affranchi des plus forts, l'outil a remplacé l'individu
A 35. 50 Stiegler dit exactement le contraire, que l'automate dépossède le sujet (l'ouvrier) qui subit une désindividuation. L'outil ne remplace pas l'individu, il le prolonge, le complète éventuellement, lui donne accès à des actes nouveaux ; mais l'outil (le marteau cité par Michel Serres) réclame la maitrise de l'ouvrier, sans lequel il n'est rien. Alors que l'automate se passe de lui. L'ouvrier n'est plus que le serviteur de la machine. C'est bien montré dans de nombreux récits de science fiction qui avaient annoncé et anticipé la robotique, comme dans 2001 l'odyssée de l'espace où les astronautes ne sont plus là que pour entretenir la machine, qui d’ailleurs prend le contrôle du vaisseau.
Stiegler est de haut niveau ... Pertinent comme le furent Guattari et Foucault. Rare et precieux.
c'est sur mais un peu de vulgarisation serait apprécier , Michel Serres de l'ancienne école et bien plus lisibles (pour un niveau moyen), le sujet en vaut la compréhension ! Mais oui Bernard Stiegler patine une conclusion d'une lucidité rare !
Un débat très fertile.
Le savoir ne doit pas être considéré comme un objet statique qui faut ce devoir d'accumulé mais comme d'une masse dynamique qui gagne en ce densifiant par les expériences. En ce sens là question n'est pas de savoir si l'ère du numérique fait défaut au savoir mais dans quelle proposition celle ci le stimule.
Bernard Stiegler nous ouvre des portes mental assez intéressantes. J'aime beaucoup la clarté de ses discours. Ceci dit : "je viens tout juste de le découvrir et je n'en suis qu'à ma 2ième vidéo ". Merci donc à toi de ce partage Mr jesus garate.
Au moment ou j'écrit il y a une bonne vidéo avec lui dont voici le lien :
ua-cam.com/video/qYCfx2xFMjE/v-deo.html
*_Le titre est_* : Bernard Stiegler : Etat d'urgence, géopolitique, Médias, Gilets Jaunes [EN DIRECT]
Merci ma gueule et rip Bernard Stiegler
Kids! Pay attention in French class or you will end up like me!
C'est quoi cette fin de document ???? C'est pas complet !!!! Vous avez coupé Bernard Stiegler au milieu d'une explication !!!!
Ce document était trés interressant et enrichissant, notamment monsieur Stiegler, mais pas l'autre âne de serres, merci pour le partage !!!
Complet ? Alors que Stiegler commence à parler de la privatisation de l'enseignement universitaire par les intérêts financiers et sa parole est brutalement coupée... ?
les phylos ne sont pas là pour faire de la politique ;)
L'analogie entre l'écriture et le numérique pour éclairer la révolution à l’œuvre n'est pas aborder sous le bon angle. La perte de mémoire dont parle Socrate dans le Phèdre n'est pas le point ce qui pousse Platon à souligner le danger de l'écriture. Ce qui fait peur à Platon, c'est que jusque là, celui qui sait, le sophos, sait parce qu'il est contact avec des muses, dont mnémosyné, ie la mémoire. C'est un privilège à partir duquel la société s'organise, se hiérarchise.
L'apport de l'écriture n'est pas seulement une externalisation du savoir, c'est aussi et surtout une révolution dans la distribution du pouvoir. Jusqu'à ce qu'on se serve de l'écriture, il faut être en contact avec des puissances surhumaines/divines pour être considéré comme savant. C'est ce renversement d'autorité, cette possibilité donnée à n'importe quel homme d'apprendre d'un simple bout de papier, plutôt que d'une inspiration divine, qui effraye Platon.
Aujourd'hui, la révolution numérique donne aux citoyens du monde entier la possibilité, en passant par les réseaux W.E.B, de partager gratuitement entre eux sans ne plus avoir à passer par des institutions. La découverte de la transmission par "pear to pear" révolutionne les concepts de propriété et, appliquée à la production d'énergie (smart greed), elle pourrait bien renverser totalement nos rapports au travail... mais voilà, les lois établies visent à conserver les privilèges acquis ces derniers siècles et à révolutionner le monde.
+MrPapalagui Ben tu vois qu'elle est abordée sous le bon angle du coup haha
"Les nouvelles technologies libèrent ?" Je trouve plutôt qu'elles emprisonnent. Du moins c'est mon cas ! Plus de véritables lectures, sorties réduites au minimum, discutions en face en face réduites aussi, etc....
Who can subtitle this in English please! :-)
Parmi les mot-clés : Jacquart, écriture, transformation, facebook, le numérique vu comme analogique + informatique, l'inadaptation de l'université, Platon, Luther, Leibnitz, mémoire, autonomie, Simondon, logiques industrielles, Wkipedia en ce qui donne l'intelligence de l'imprimerie, réinvention des institutions, lien, perte, gain, savants, cerveau libre plutôt que cerveau vide, algorythmes et géométrie, outil comme automate ou non, poison et remède. comment les intellectuels abandonnent (comme les hommes politiques), notre difficulté à socialiser la technique, espaces de l'enseignement à redéfinir, compétence et épistémologie, effondrement de l'école et légitimisation des savoirs, Kurt Lewin recherche action, motricité et prothèses, position conducteur plutôt que passager.
Selon moi, il n'y a que quelques mots clés : 1) responsabilité devant les savoirs et les techniques, 2) l'engagement pour assumer ces responsabilités, - mis en avant par Bernard Stiegler, et illustrer par Michel Serres, lorsqu'il parle de la position passager et conducteur. - 3) mise en œuvre de politiques adéquates pour ne pas laisser au capital le pouvoir sur ces techniques et ces savoirs.
regarde ce que j'ai trouvé l'autre jour (prononce le comme expliqué)
Avec la phonétique suivante :
YHAVEE = ZEUS
Si alpha, beta, gama = a, b, c
donc si gama symbolyse Y
alors Y peut se prononcer C
Si HA se prononce A aspiré (ea) cela donne E
(avec souffle de l'air inspiré, donc étouffé)
alors
C bref (ni inspiré ni expiré) + E aspiré
se prononce ZE (ce)
si V = U
Si EE se prononce E expiré (ee)
(avec le son du souffle S de l'air expiré, donc exprimé)
alors yhavee se prononce trés éxactement zeus
Z+E+U+S
ah ces scribes... Ils ont faits la même à hamer et lois bilogiques...
Yhavée et zeus ont mêm natiure, ce mot doit avoir un sens précis,
je ne dis que ce sont les même mais que tout correspond entre grecs et hebreux localisation / mer mediterranée (mer nee du mileu de terres) & date deluge atlante/zeus et biblique, gros nez et raflouquettes, pédophilie etc....
N'oubliez pas que christ ne parlait pas un mot d"hébreux...
Le seul philosophe ici, c'est Stiegler.
2:33 "Deux fois deux quatre, et fois deux, huit", sauf qu'on était au-dessus de deux et que l'on n'en est pas encore à huit, c'est plutôt de triplement qu'il faudrait parler.
7,76/2.07 environ 3,75, donc plus proche de 4
Pour aller un peu à contre sens de Mr Stiegler à 36:23 lorsqu'il répond à Michel Serres qu'il pense que les outils ne sont pas des automatiques car eux n'effectuent pas le travail d'eux même. Je pense que si, lorsqu'on regarde bien, un individu capable de créer un marteau ou une hache efficace que ses congénères ne possèdent pas, se libère du groupe et s'affranchi des plus forts, l'outil a remplacé l'individu
A 35. 50 Stiegler dit exactement le contraire, que l'automate dépossède le sujet (l'ouvrier) qui subit une désindividuation. L'outil ne remplace pas l'individu, il le prolonge, le complète éventuellement, lui donne accès à des actes nouveaux ; mais l'outil (le marteau cité par Michel Serres) réclame la maitrise de l'ouvrier, sans lequel il n'est rien. Alors que l'automate se passe de lui. L'ouvrier n'est plus que le serviteur de la machine. C'est bien montré dans de nombreux récits de science fiction qui avaient annoncé et anticipé la robotique, comme dans 2001 l'odyssée de l'espace où les astronautes ne sont plus là que pour entretenir la machine, qui d’ailleurs prend le contrôle du vaisseau.
Stiegler n'a visiblement pas besoin de technologie pour être en mode "automatique"... à sa décharge, il n'est pas le seul parmi les philosophes
Je crois courtoisement que tout cela est du vent : c'est diluer un problème plutôt que de le structurer ...
Stiegler > Serres (et de loin)
Baragan Dovaceli Merminian , en philosophie on ne s'insulte pas on confronte des idées, au foot on s'insulte !!!!
Stiegler>>>>>>>>>>>serres
compte compte !
Serres brasse beaucoup de vents. Stiegler parle pour penser.
drôle de fin...dommage.
Il détaille sa position ici:
/watch?v=1r0SZA_LOuU&list=WL9884BA5ADB774323
Cordialement.
Stiegler avait une dent en moins. Avec le pognon subvention il a pu la remettre