En 1995, Soldats, nous étions de plan Vigipirate à l'aéroport Roland Garros de la Réunion. Dans la nuit un avion était arrivé des Comores avec à son bord Bob Denard. A peine sur le tarmac il fut embarqué à bord d'une P4 sous un drap pour échapper à la presse, puis les gendarmes l'emmenèrent à "la redoute" (gendarmerie de l'autre côté de St Denis). En fait ça ne c'est pas exactement passé ainsi. Au petit matin un gendarme vient nous dire que Bob Denard avait passé la nuit dans les locaux accolés aux notres, que sous le drap c'était un leurre et que pour échapper au seul journaliste qui était resté la nuit devant la gendarmerie de l'aéroport, ils allaient traverser nos locaux. La porte s'ouvrit, un premier gendarme, puis Bob Denard suivi d'un second gendarme. Moustache blanche, pantalon de treillis noir, brodequins de type américain, veste et casquette cam, il nous salua d'une voix sûre et franche et je doit dire aussi avec beaucoup d'élégance avec un "Bonjour Messieurs". Et c'est là l'intérêt de mes propos : Un conscrit, affalé sur un lit picot, séduit par l'indéniable charisme du personnage, se leva avec une énergie jusqu'à lors inconnue, puis dans un garde à vous approximatif lui rendit le salut par un "mes respects mon Colonel". Dès fois il ait des petites histoires futiles mais néanmoins cocasses qu'on a envie de raconter avant qu'elles ne se perdent à jamais.
En 1995, Soldats, nous étions de plan Vigipirate à l'aéroport Roland Garros de la Réunion. Dans la nuit un avion était arrivé des Comores avec à son bord Bob Denard. A peine sur le tarmac il fut embarqué à bord d'une P4 sous un drap pour échapper à la presse, puis les gendarmes l'emmenèrent à "la redoute" (gendarmerie de l'autre côté de St Denis). En fait ça ne c'est pas exactement passé ainsi. Au petit matin un gendarme vient nous dire que Bob Denard avait passé la nuit dans les locaux accolés aux notres, que sous le drap c'était un leurre et que pour échapper au seul journaliste qui était resté la nuit devant la gendarmerie de l'aéroport, ils allaient traverser nos locaux. La porte s'ouvrit, un premier gendarme, puis Bob Denard suivi d'un second gendarme. Moustache blanche, pantalon de treillis noir, brodequins de type américain, veste et casquette cam, il nous salua d'une voix sûre et franche et je doit dire aussi avec beaucoup d'élégance avec un "Bonjour Messieurs". Et c'est là l'intérêt de mes propos : Un conscrit, affalé sur un lit picot, séduit par l'indéniable charisme du personnage, se leva avec une énergie jusqu'à lors inconnue, puis dans un garde à vous approximatif lui rendit le salut par un "mes respects mon Colonel". Dès fois il ait des petites histoires futiles mais néanmoins cocasses qu'on a envie de raconter avant qu'elles ne se perdent à jamais.
Here after bronze age mindset
You should check Mike Hoare. Check out ep.25 of his podcast Caribbean Rhythms.
BOB DENARD = UN EXEMPLE !!!
Pour toi
Soldiers never die.
Madjo . You will always be remembered Sir.
Denard, the corporal as Mike referred to him.
Mike hoare?
reviens nous colonel ton paye vas mal vive Comores vive bob denard
Di pa vive Comores alors que t'acclame soubn'allah comme le messie bab'nar (porte de l'enfer) qui a commis des fai immondes avec ses complices
Vas plus loin avec ta mercenariat et laisses nos îles tranquille ok...
York ruuui