1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue. 2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective. Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D. Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs. Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique. Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs. C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique. Il manque à l'évidence aux thèses physicalistes réductrices et obsolètes des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, un minimum de culture mathématique et surtout géométrique. Quand l'esprit scientifique fait défaut, il se voit contraint à s'appuyer sur la béquille de la technologie. Nul besoin, dès le départ, de cet artifice pour que la science puisse deviner, depuis des siècles, que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc. ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans un monde physique objectif (3D ou autre).
Bonjour, je tiens à vous féliciter pour le travail que vous faites. Je suis Auteur autodidacte, et je travaille sur un roman qui a pour toile de fond l'addiction, et j'aurais voulu savoir quel est le rôle de l'inconscient ou du subconscient dans le processus addictive, bon j'ai bien vu que vos travaux ne sont pas orienté de ce côté, mais je voudrais quand même savoir votre avis la-dessus tout en sachant bien évidement que ce ne serait que des conjonctures et qu'il s'agirait d'un avis personnel sans que celui-ci n'est été prouvé scientifiquement, à moins que vous aviez déjà travaillé la question...
Intéressant, peut-on prendre CONSCIENCE d'un flux d'énergies qui se baladerait dans notre cerveau suite a un mouvement de pensée, par exemple. Et le percevoir ?
Bonjour, Corollaire (voir questions 1, 2, 3 …). Rappel du contexte. Lors d’un mouvement rotatif dans un plan frontal, il est même possible d’observer au niveau de la conscience lequel des deux sens de rotation a été choisi (tout en néantisant l’autre) pour la face résiduelle présente comme percept visuel subjectif. Est-ce celui de la face de la rétine choisie à partir d’un "point-de-vue" situé côté pupille ou plutôt celle côté cerveau ? Réponse : il s’agit de l’image "côté cerveau". Celle "côté pupille" tourne dans l’autre sens. L’aiguille de l’image rétinienne "côté pupille" d’une horloge tourne en sens anti-horaire. Cette question et sa réponse n’ont aucun sens dans le cadre strict du "monde physique objectif", celui du cerveau. Ce cadre objectif 3D n’inclut aucun objet 2D (en relief) à face unique, recto sans verso. Le sens de cette question et la validation de sa réponse ne naissent que dans le cadre de la géométrie subjective de la conscience. Le traitement subjectif premier de cette problématique peut ensuite s’exprimer "physiquement" par transmission du cadre subjectif conscient au cadre neural physique. La réponse à la question (face choisie) est alors traitée par les structures neurales du langage, puis finalement exprimée (par voie orale ou écrite) à un interlocuteur physique.
La recherche en cognition peut alors se poser quelques questions basiques concernant cette problématique. 1. Le fait que cette problématique (question et réponse concernant le sens de rotation d’une image subjective consciente, etc.) fasse sens également pour l’interlocuteur physique constitue-t-il une preuve, adressée au sujet initial, que cet interlocuteur physique soit, lui aussi, doté d’une conscience subjective ? 2. Un cyborg (ou quelque forme d’I.A.) dépourvu "a priori" de conscience subjective pourrait-il aborder cette problématique avec pertinence (au moins en apparence) ? (Si oui, réitération de la question 1) 3. La conscience subjective et sa géométrie "2D recto" constituent-elles des atouts compétitifs dans le cadre de la sélection naturelle ? 4. Etc. Reportée au cadre spatiotemporel 4D (euclidien ou pseudo euclidien) de l’Univers bloc (dit de Minkowski), cette problématique présente, sous certains aspects, des similitudes avec celle du sens subjectif de la "flèche du temps".
Ces problématiques s'inscrivent dans la suite des études de David Chalmers concernant le "problème difficile de la conscience", dans le cadre de la "philosophie de l'esprit".
Très bel ouvrage. Par contre (page 13) il est risible qu'un grand penseur comme Dehaene est pu croire que pour Aristote 1- L'esprit est dans le cœur 2- Le cerveau n’est qu’un système de refroidissement 3- Le cœur pense et raisonne (vérifications effectuées) Jamais aucun penseur d'une quelconque époque n'a soutenu l'idée que le cœur raisonne. Même Pascal, avec son magnifique aphorisme "Le cœur a ses raisons que la raison ignore" ne le soutient pas
Fatras, fatras... Françoise Dolto voit ses intuitions et observations confirmées par les neurosciences à propos du bain de langage. Pour le reste, merci Professeur pour vos interventions passionnantes.
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue. 2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective. Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D. Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs. Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique. Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs. C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique. Il manque à l'évidence aux thèses physicalistes réductrices et obsolètes des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, un minimum de culture mathématique et surtout géométrique. Quand l'esprit scientifique fait défaut, il se voit contraint à s'appuyer sur la béquille de la technologie. Nul besoin, dès le départ, de cet artifice pour que la science puisse deviner, depuis des siècles, que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc. ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans un monde physique objectif (3D ou autre).
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue 2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective. Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D. Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs. Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique. Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs. C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique. Les thèses physicalistes réductrices des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, négligent généralement ces bases de mathématique et géométrique. Elles partent du postulat erroné de l’exhaustivité de la géométrie euclidienne et plus largement des géométries strictement objectives. Ce biais conceptuel est aussi fréquent dans les démarches plus technicistes et "scientistes" que réellement scientifiques. La science, quant à elle, laisse deviner depuis des siècles que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Ces deux registres ontologiques ne partagent pas le même cadre géométrique. Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc., "en direct" ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans tout monde physique objectif (3D ou autre).
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue 2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective. Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D. Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs. Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique. Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs. C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique. Les thèses physicalistes réductrices des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, négligent généralement ces bases de mathématique et géométrique. Elles partent du postulat erroné de l’exhaustivité de la géométrie euclidienne et plus largement des géométries strictement objectives. Ce biais conceptuel est aussi fréquent dans les démarches plus technicistes et "scientistes" que réellement scientifiques. La science, quant à elle, laisse deviner depuis des siècles que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Ces deux registres ontologiques ne partagent pas le même cadre géométrique. Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc., "en direct" ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans tout monde physique objectif (3D ou autre).
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue 2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement ou arbitrairement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective. Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D. Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs. Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement perceptif, intellectuel et épistémologique. Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs. C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique. Les thèses physicalistes réductrices des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, négligent généralement ces bases de mathématique et géométrique. Elles partent du postulat erroné de l’exhaustivité de la géométrie euclidienne et plus largement des géométries strictement objectives. Ce biais conceptuel est également fréquent dans les démarches plus technicistes et "scientistes" que réellement scientifiques. La science, quant à elle, laisse deviner depuis des siècles que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Ces deux registres ontologiques ne partagent pas le même cadre géométrique. Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc., "en direct" ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans tout monde physique objectif (3D ou autre).
merci professeur Dehaene pour cet explication pertinent sur le cerveau.
Absolument passionnant. Merci !
Très intéressant et instructif..à écouter et à réécouter..Merci beaucoup..🌸🌿
Merci Merci
Exceptionnel , accessible merci pour cette vidéo
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue.
2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective.
Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D.
Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs.
Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique.
Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs.
C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique.
Il manque à l'évidence aux thèses physicalistes réductrices et obsolètes des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, un minimum de culture mathématique et surtout géométrique.
Quand l'esprit scientifique fait défaut, il se voit contraint à s'appuyer sur la béquille de la technologie.
Nul besoin, dès le départ, de cet artifice pour que la science puisse deviner, depuis des siècles, que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif.
Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc. ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans un monde physique objectif (3D ou autre).
Bonjour, je tiens à vous féliciter pour le travail que vous faites. Je suis Auteur autodidacte, et je travaille sur un roman qui a pour toile de fond l'addiction, et j'aurais voulu savoir quel est le rôle de l'inconscient ou du subconscient dans le processus addictive, bon j'ai bien vu que vos travaux ne sont pas orienté de ce côté, mais je voudrais quand même savoir votre avis la-dessus tout en sachant bien évidement que ce ne serait que des conjonctures et qu'il s'agirait d'un avis personnel sans que celui-ci n'est été prouvé scientifiquement, à moins que vous aviez déjà travaillé la question...
Intéressant, peut-on prendre CONSCIENCE d'un flux d'énergies qui se baladerait dans notre cerveau suite a un mouvement de pensée, par exemple. Et le percevoir ?
Bonjour,
Corollaire (voir questions 1, 2, 3 …).
Rappel du contexte.
Lors d’un mouvement rotatif dans un plan frontal, il est même possible d’observer au niveau de la conscience lequel des deux sens de rotation a été choisi (tout en néantisant l’autre) pour la face résiduelle présente comme percept visuel subjectif.
Est-ce celui de la face de la rétine choisie à partir d’un "point-de-vue" situé côté pupille ou plutôt celle côté cerveau ?
Réponse : il s’agit de l’image "côté cerveau". Celle "côté pupille" tourne dans l’autre sens. L’aiguille de l’image rétinienne "côté pupille" d’une horloge tourne en sens anti-horaire.
Cette question et sa réponse n’ont aucun sens dans le cadre strict du "monde physique objectif", celui du cerveau. Ce cadre objectif 3D n’inclut aucun objet 2D (en relief) à face unique, recto sans verso.
Le sens de cette question et la validation de sa réponse ne naissent que dans le cadre de la géométrie subjective de la conscience.
Le traitement subjectif premier de cette problématique peut ensuite s’exprimer "physiquement" par transmission du cadre subjectif conscient au cadre neural physique. La réponse à la question (face choisie) est alors traitée par les structures neurales du langage, puis finalement exprimée (par voie orale ou écrite) à un interlocuteur physique.
La recherche en cognition peut alors se poser quelques questions basiques concernant cette problématique.
1. Le fait que cette problématique (question et réponse concernant le sens de rotation d’une image subjective consciente, etc.) fasse sens également pour l’interlocuteur physique constitue-t-il une preuve, adressée au sujet initial, que cet interlocuteur physique soit, lui aussi, doté d’une conscience subjective ?
2. Un cyborg (ou quelque forme d’I.A.) dépourvu "a priori" de conscience subjective pourrait-il aborder cette problématique avec pertinence (au moins en apparence) ? (Si oui, réitération de la question 1)
3. La conscience subjective et sa géométrie "2D recto" constituent-elles des atouts compétitifs dans le cadre de la sélection naturelle ?
4. Etc.
Reportée au cadre spatiotemporel 4D (euclidien ou pseudo euclidien) de l’Univers bloc (dit de Minkowski), cette problématique présente, sous certains aspects, des similitudes avec celle du sens subjectif de la "flèche du temps".
Ces problématiques s'inscrivent dans la suite des études de David Chalmers concernant le "problème difficile de la conscience", dans le cadre de la "philosophie de l'esprit".
Merci pour votre commentaire!
Très bel ouvrage. Par contre (page 13) il est risible qu'un grand penseur comme Dehaene est pu croire que pour Aristote
1- L'esprit est dans le cœur
2- Le cerveau n’est qu’un système de refroidissement
3- Le cœur pense et raisonne
(vérifications effectuées)
Jamais aucun penseur d'une quelconque époque n'a soutenu l'idée que le cœur raisonne.
Même Pascal, avec son magnifique aphorisme "Le cœur a ses raisons que la raison ignore" ne le soutient pas
Fatras, fatras... Françoise Dolto voit ses intuitions et observations confirmées par les neurosciences à propos du bain de langage. Pour le reste, merci Professeur pour vos interventions passionnantes.
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue.
2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective.
Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D.
Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs.
Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique.
Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs.
C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique.
Il manque à l'évidence aux thèses physicalistes réductrices et obsolètes des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, un minimum de culture mathématique et surtout géométrique.
Quand l'esprit scientifique fait défaut, il se voit contraint à s'appuyer sur la béquille de la technologie.
Nul besoin, dès le départ, de cet artifice pour que la science puisse deviner, depuis des siècles, que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif.
Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc. ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans un monde physique objectif (3D ou autre).
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue
2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un.
Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective.
Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective.
Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D.
Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs.
Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique.
Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs.
C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique.
Les thèses physicalistes réductrices des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, négligent généralement ces bases de mathématique et géométrique. Elles partent du postulat erroné de l’exhaustivité de la géométrie euclidienne et plus largement des géométries strictement objectives.
Ce biais conceptuel est aussi fréquent dans les démarches plus technicistes et "scientistes" que réellement scientifiques.
La science, quant à elle, laisse deviner depuis des siècles que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Ces deux registres ontologiques ne partagent pas le même cadre géométrique.
Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc., "en direct" ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans tout monde physique objectif (3D ou autre).
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue
2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective.
Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D.
Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs.
Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement intellectuel et épistémologique.
Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs.
C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique.
Les thèses physicalistes réductrices des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, négligent généralement ces bases de mathématique et géométrique. Elles partent du postulat erroné de l’exhaustivité de la géométrie euclidienne et plus largement des géométries strictement objectives.
Ce biais conceptuel est aussi fréquent dans les démarches plus technicistes et "scientistes" que réellement scientifiques.
La science, quant à elle, laisse deviner depuis des siècles que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Ces deux registres ontologiques ne partagent pas le même cadre géométrique.
Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc., "en direct" ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans tout monde physique objectif (3D ou autre).
1. La "conscience" du "sujet" présente des images recto sans verso, en "2D en relief" avec point-de-vue
2. A contrario, toute part de structure cérébrale, comme son ensemble, relève d'une géométrie objective (euclidienne, pseudo-euclidienne, fractale, holographique, etc.), sans point-de-vue (d'où son critère "d'objectivité"). Chaque objet y possède en outre, indistinctement ou arbitrairement, recto et verso, lesquels ne font qu'un. Même le phénomène physique rétinien constitue une structure avec recto et verso, faces inséparables car relevant d'une géométrie 3D objective. Si ce phénomène rétinien présente un mouvement rotatif, cette rotation possède un sens de rotation au recto et le sens opposé au recto. Cette propriété est inhérente à la rotation d'un objet 3D évoluant en géométrie 3D objective.
Par contre, un objet rotatif présent à la conscience, sous forme de percept visuel (recto sans verso), ne présente qu'un seul de ces deux sens de rotation. Cette propriété singulière des percepts visuels subjectifs est impossible pour un objet 3D objectif se mouvant en géométrie 3D.
Les géométries objectives (dont la liste s'allonge avec l'histoire de la géométrie et de la physique), en 3D ou plus complexes, utilisées dans le cadre des "sciences du monde physique", dont les neurosciences ne constituent qu'un volet particulier, sont nettement distinctes de la géométrie subjective des percepts visuels subjectifs.
Notons au passage que, sans ces images subjectives "2D en relief sans verso", se manifestant à la conscience dans le cadre des observations scientifiques, de l'imagerie cérébrale à l'exploration du cosmos, les sciences de la "nature" et du "monde physique" n'existeraient tout simplement pas. Elles en constituent le fondement perceptif, intellectuel et épistémologique.
Il n'y a nul "centre cérébral" de la conscience pour la simple et bonne raison que la conscience ne se positionne pas dans le monde physique ... ni dans le cerveau, ni ailleurs.
C'est géométriquement impossible ... avant même de s'amuser à confirmer cette évidence scientifique première par l'usage de techniques rudimentaires comme l'imagerie électronique.
Les thèses physicalistes réductrices des auteurs chers aux éditions Odile Jacob, de Jean-Pierre Changeux à Stanislas Dehaene, négligent généralement ces bases de mathématique et géométrique. Elles partent du postulat erroné de l’exhaustivité de la géométrie euclidienne et plus largement des géométries strictement objectives.
Ce biais conceptuel est également fréquent dans les démarches plus technicistes et "scientistes" que réellement scientifiques.
La science, quant à elle, laisse deviner depuis des siècles que ni la "conscience", ni le "sujet", ne peuvent se positionner dans un monde physique objectif. Ces deux registres ontologiques ne partagent pas le même cadre géométrique.
Le fait que les technologies d'investigation du monde physique échouent à observer la conscience, le sujet, etc., "en direct" ne constitue en rien une preuve scientifique de leur inexistence mais simplement une confirmation "par voie technique" de la thèse philosophique évidente de leur absence de positionnement dans tout monde physique objectif (3D ou autre).
Désolés pour les doublons ("triplons" ...), les premiers envois ne passaient pas le filtre. Merci pour votre indulgence.