Femme ou homme, l'autisme n'est absolument pas pris au sérieux dans le monde, ou en tout cas en France... Je sors de chez un psychiatre qui m'a affirmé que l'autisme ça n'existait pas et que c'est juste des gens HPI... Entendre ça ne m'étonne même plus venant de médecin qui pensaient que les femmes ne pouvaient même pas être autiste il y a moins de 10 ans... J'ai 25 ans, je suis persuadé d'être autiste type 1 (ceux qui n'ont pas de déficience intellectuelle et qu'on appelait Asperger), et ça fait 2 ans que je galère à trouver un psychiatre capable de poser un diagnostic avec une culture générale sur le sujet supérieure à la mienne (il n'y a presque pas de psychiatre spécialisé dans le TSA), je trouve ça aberrant de devoir expliquer aux psychiatres la différence entre HPI et Autiste, voir même les GROS détails qui devraient mettre la puce à l'oreille ou encore qu'on peut parfaitement être les deux en même temps. Bref, courage aux adultes comme moi qui sont passés sous les radars par manque de connaissance, ma mère m'a élevé seule et ne savait même pas ce que c'était que l'autisme, comment se faire dépister si vos proches sont incapables de voir les signes ? Si on fait passer vos "bizarreries" pour des traits de caractère ou des troubles obsessionnels ? C'est dingue, j'espère nuits et jours que le monde médical pourra se concentrer sérieusement sur le spectre de l'autisme car en plus d'être un sujet passionnant, ça pourrait sauver des millions de vies en proies à la dépression ou aux pensées suicidaires, des gens qui se croient devenir fou alors qu'en faite ils ont un handicap sous-jacent !
Je suggèrerais de commencer par un neuropsy, qui aura une approche forcément cognitive (on peut tomber sur un psychiatre d'obédience psychanalyste), si possible un qui a un site mentionnant les adultes (pas que les enfants) pour faire un bilan neuropsy (qui va déjà aiguiller un peu, mais ça a un coût) puis dans l'idéal rediriger vers d'autres professionnels compétents, comme le psychiatre, mais un bon.
Je vous comprends, pas de diagnostics, errance médical, c'est très douloureux de ne pas rentrer dans les cases d'un test WAIS conçu pour diag des hommes et fait passer bcp de femmes à côté du diagnostic.... C'est peu encourageant. Courage
Bonjour, il faut vous rapprocher du cra de votre region! Avec un courrier de votre medecin ou psychiatre. Les cra sont au fait des camouflages, compensations des personnes tsa en particuliers les femmes. Bonne continuation à vous :)
I was 51 years old when I found out about my Asperger (thank you Julie Dachez), but what at relieve! Now (5 years later) life is a lot better for me and the people who live with me, I live and enjoy my new life at 500%. Asperger is a gift, a difference that give you extra aptitudes, if I had the choice, I would not chose to be a "normal" person.
It exactly is what i think about Asperger since i heard about it. I told myself "why i'm not asperger, they are so extra like the X-men". I see this disease like a power.
@@parisienneETfiere Asperger is not a "disease" but a difference, people with blue eyes don't think it's a disease but a difference. You get born with Asperger, and you die with Asperger, it's just your brain that is build differently. It's like Apple computers versus PC computers ! ;o)
@@parisienneETfiere it's not a disease. It is a neurotype. And sure it is great to be an Aspie when you have high intelligence and deep interests, but I could do without the cognitive issues, associated comorbidities, social struggles and sensory stress every single day of my life.
J'ai été diagnostiquée vers 15 ans. J'avais eu du mal à m'intégrer à l'école. Durant les party de famille à Noël ou aux anniversaires Je m'enfuyais de tout le monde et je sortais dehors rejoindre les chats de dehors et les animaux de la grange (C'était ma paix...J'ai tout donné pour eux. Ils étaient ma famille) À l'école j'étais souvent seule ou incomprise (Mais non mal dans ma solitude. J'aimais la solitude et non l'isolation) Souvent intimidée sans comprendre pourquoi et pire...Je pouvais aller défendre mes intimidateurs car j'avais trop bon coeur. Je ne comprenais pas que des gens pouvaient me vouloir du mal. Pour moi tout le monde était gentil. Ils avaient beau me lancer des pierres ou me faire des menaces de mort...Ou déchirer tous mes cahiers....Je croyais encore qu'ils étaient juste en peine. Mon père était en syndrome post-traumatique car ancien ambulancier...(bien qu'un père formidable ) et ma mère...Elle n'était pas un bon parent. Je me suis longuement battue avec mon père contre le gouvernement...La société est parfois dure et froide. Rendue à l'âge adulte ne fût pas mieux. J'avais des compétences hors pairs en certains domaines mais des difficultés folles dans d'autres. Et mes supérieurs ne se gênaient pas pour abuser de moi quand ils en voyaient l'opportunité car j'étais naïve et craintive. La politesse avant tout : le respect en premier lieu. C'est dur d'évoluer dans une société où la pureté est punie aussi sévèrement. Ça fait parfois peur. Mais il faut tenir bon. Car nous ne sommes pas seuls. Et certaines personnes valent la peine d'être rencontrées.
Salut, je te comprend ^^ moi je sortais admirer la lune pour '' me reposer '' . Jusqu'à maintenant je sais pas ce que je suis et c'est dur, car même si j'essaie d'oublier mes différences, mon corps me le rappelle... je suis pas comme les autres... ce qui m'a un peu aidée c'est les forums asperger, j'ai pu prendre quelques conseils qui m'ont aidée... mais c'est pas suffisant... courage à nous !
Je pense l'être aussi car je m'exprime beaucoup et ça ne plaît pas à tout le monde c'est comme ça de plus je suis super empathique capable de contre manipuler un manipulateur. A l'école je n'arrivais pas à suivre j'ai du arrêter la fac aussi je n'arrive pas à être avec des amies c'est pas possible je suis plutôt incomprise en plus on ne me répond pas car je parle beaucoup et j'écris beaucoup et j'analyse beaucoup trop la situation
Comme toi, diagnostiquée à 25 ans suite à des années de galères à ne pas comprendre pourquoi je me sentais aussi à la ramasse. Je ne tenais pratiquement jamais un travail ou une formation plus d'un mois ou deux. Echecs sur échecs sur échecs. J'ai fini par faire un gros burn out au moment du diagnostic, quand j'ai compris que ça ne guérirait jamais. J'ai regardé le plafond pendant 18 mois, le temps d'encaisser le choc. J'ai dû lutter très fort contre moi-même pour ne pas me jeter par la fenêtre. Heureusement, j'ai fini par me relever et, chose impensable il y a encore quelques années, je travaille à temps plein, je vais très bien et je suis maman d'une petite merveille qui me comble tous les jours.
Moi aussi j'ai vécue échecs sur échecs,l'école ça n'a pas marché, le travail non plus, le permis également à 30 ans j'ai l'impression de n'avoir rien accompli, rien réussi dans ma vie malgré que j'ai eu le diagnostic à 17 ans ça ne m'a pas tellement aidée. A mieux me comprendre oui mais mes lacunes avec les autres demeurent présentes et le seront éternellement.
Je reconnais vraiment ma fille dans son témoignage. Elle a 27 ans et est actuellement en dépression suivie par un psychiatre et sous traitement. Elle somatise beaucoup et développe régulièrement des maladies infectieuses. Elle s isole mais a une passion c'est le chant.
Je me reconnais beaucoup dans ce que vous dites. Je me sens tellement différent des autres mais j'ai appris à vivre avec et j'essaie d'en faire une force tous les jours tant que je vie sur cette Terre 😊 !
Je suis peut-être autiste (j'ai les signes), j'avais aussi des problèmes dans ma famille et de harcèlement scolaire, j'ai fini sous antidépresseurs (surtout à cause des problèmes familiaux que je gérais plus). Le traitement était pas surveille, je suis tombée sur une personne qui poussait mes parents à me mentir sur les effets secondaires pour que je le prenne alors que j'étais mineure... Au final j'ai fini avec des effets secondaires de changements de l'humeur et de personnalité qui ont amené à des choix désastreux dans mon orientation scolaire (alors que je suis d'habitude qq de raisonnable). Les antidépresseurs me rendaient aussi hyper anxieuse après un certain temps de prise, je faisais bcp de cauchemars... ect. Courage pour votre fille, la dépression c'est dur. De mon expérience, c'est nécessaire d'être entouré, compris et aussi respecté dans ses limites (besoin de solitude, calme... ect). Il faut surveiller la prise de traitements et éviter de les prendre trop longtemps si possible... ça induit une accoutumance et symptômes de sevrage (avec possiblement des problèmes psychologiques comme anxiété, dépression lors du sevrage, que j'ai moi-même connus)... Il faut faire attention à ce genre de prescriptions, Savoir se renseigner et garder l'esprit critique...
@@Louve-w9w Bien mieux que tous ces médicaments : la pratique du Taï Chi Chuan (méthode Yang de préférence). Ça agit à moyen terme mais peut vraiment améliorer la situation. Il y a des vidéos de Taï Chi sur UA-cam.
Bonjour, merci beaucoup pour ce reportage, je me reconnais dans son témoignage. J’ai compris toute seule que je suis finalement autiste et je pense un jour faire un diagnostic. Avec le temps j’ai maîtrisé l’art de l’imitation mais l’énergie des autres m’épuisse et comme j’analyse toute seule sans parfois le vouloir je développe une anxiété sociale. Les enfants m’ont toujours fait ressentir que j’étais différente alors que moi je pensais rentrer dans les codes; au début j’étais aimé de tout le monde, je me fondait bien dans la masse et dès que j’arrivais plus et que j’en avais marre j’avais arrêté mais suite à ça je faisais beaucoup de crise d’angoisse sans raison et j’étais rejeté par les autres après ça alors ça me rendait malheureuse et avec mon côté analyste j’ai compris très vite sans regarder sur internet ou demander à un professionnel que je suis sûrement autiste sauf que c’est tabou chez moi. Mais j’ai des comportements très étranges et j’ai une grande sensibilité et une grande connexion avec mon cerveau par exemple je sais quand mon cerveau est affecté sur certaines zones mais l’intégralité de ma personne est basé sur mon cerveau donc c’est peut-être ça qui fait que je suis bizarre aux yeux des autres car j’ai toujours détesté les blagues, je suis très sérieuse et on doit souvent m’expliquer comment réagir à la société et cependant vu que j’analyse beaucoup je connais la société du bout des doigts presque mais lorsque j’essaie d’appliquer ce que je vois c’est un peu une catastrophe alors imiter m’aide beaucoup, ça nous sauve !! Merci pour votre témoignage madame et j’espère un jour pouvoir faire mon diagnostic un jour.
Moi c'est à 28 ans que j'ai été diagnostiquée avec un TDAH avec hypersensibilité (troubles sensoriels, et d'après certains bouquins c'est potentiellement lié au spectre de l'autisme aussi...), elle était étonnée que personne ne m'ait parlé de ça avant (je ne connaissais pas du tout le TDAH) et encore moins posé de diagnostic. En fait, je suis née avec un handicap alors tous les médecins qui m'ont vue ont toujours mis mes "bizarreries" sur le dos de mon handicap sans chercher plus loin. Les diags de troubles mentaux/neuropsy sont encore plus difficiles à avoir pour les personnes handicapées que pour les personnes valides...
J'ai du me battre pour ma fille car j'ai décelé très tôt sa différence. Cr n'était pas facile car incomprise par l'environnement, les professeurs etc ...maintenant le diagnostic est posé personne ne peut l'💩. Elle sait. Elle comprend. Elle fait de sa différence une force❤
Mais en fait elle est plutôt normal et la question est. Ne serait-ce plutôt pas les autres qui sont dégénérés en fait ? Est-ce que c'est normal de se moquer des autres sans cesses et parler de choses QQ la praline et d'idolatrer des gens ? C'est plutôt elle qui est saine et les autres bizarres...
Peut-être mais la normalité c'est synonyme de la majorité La norme représente ce que la majorité des gens sont, ça ne représente en aucun cas un type de personnalité optimal. Quoi que, être trop gentil n'est peut-être pas un atout dans une vie en société, je penses que la norme représente le type de personnalité le plus adapté à l'instant T, puisque la sélection naturelle les à sélectionné
@@gaetmon7439 La sélection naturelle il y a longtemps qu'elle n'existe plus, de part le confort et l'accés aux soins, la technologie etc etc, Vous avez beau être fort si vous avez 10 hommes maigre issu de la "norme" vos fameux sélectionnés, ils vont gagner mais ils sont tous faible , si ils avaient du combattre l'homme fort seul ils n'existeraient plus....
C'est vrai que, sur base de son récit, j'ai eu la même impression. L'impression d'une femme tout à fait normale et saine, qui a une nature introvertie, sans doute par manque de confiance en elle. Confiance qu'elle n'a pas su développer, étant entourée de personnes "méchantes et anormales" auxquelles elle ne s'identifiait pas. Elle continue donc de s'effacer, n'ayant pas l'impression d'être à sa place, avec une incompréhension totale, car sa norme ne reflète pas ce qu'elle constate. Ne comprenant pas pourquoi ni comment les autres pouvaient être si mauvais et différents d'elle. Cela a créé un profond mal-être, menant à une dépression et une anxiété. D'où sa fatigue intense. Plus elle est fatiguée, plus ses émotions sont décuplées. Ravie de savoir que son petit copain lui a permis de prendre confiance en elle et de s'affirmer un peu plus. Le manque de confiance en elle semble la clé de tout. Une personne qui a parfaitement confiance en elle n'aura pas peur d'avoir une mentalité différente des autres, ni d'affirmer haut et fort ses opinions, même si elle est la seule à les penser, car elle sait que ce n'est pas elle le problème mais les autres. Elle n'aura aucune gêne à le faire savoir grâce à sa confiance en elle. Une personne qui a confiance en elle n'a pas peur de se retrouver seule si nécessaire, surtout si elle est entourée de mauvaises personnes. Comme on dit, mieux vaut être seul que mal accompagné. Se respecter soi-même, c'est parfois ne pas se mêler à des personnes qui n'ont pas du tout les mêmes valeurs morales que nous. Elle se sentait en dessous des autres alors qu'elle avait bien plus de valeur qu'eux. Ce n'est pas pour autant impossible de s'entendre avec des personnes à l'opposé de nous : tout passe par la communication et selon le niveau de toxicité de l'autre. Elle ne sait visiblement pas exprimer ses émotions et opinions lorsqu'elles diffèrent des autres et préfère se fondre dans la masse. Pourtant, cette femme pourrait être une bénédiction pour ces personnes toxiques : par ses réflexions, elle peut les aider à grandir et à devenir meilleures. Si toutes les personnes toxiques restent entre elles, il est difficile d'évoluer. Pour se mélanger, il faut savoir communiquer. Elle a mentionné l'humour, qui est un excellent moyen de faire passer des messages "pas plaisants" de manière subtile et dans la bonne humeur. Face à des groupes de personnes qui passent leur temps à critiquer les autres, elle pourrait parfaitement les clasher avec humour, marquant sa désapprobation de façon subtile. Par exemple, face à une personne qui dénigre constamment les autres, on peut contre-argumenter en défendant la personne critiquée ou dire sur un ton léger : "Oh non, elle recommence ! Pourquoi tant de haine ?" en riant, ce qui permet de montrer que la personne ridicule, c'est elle, et non celle qu'elle critique. Sinon, on peut simplement sourire ou rire des comportements tellement ridicules qu'ils en deviennent drôles. Tout cela est possible si on n'a pas peur de se retrouver seul si la personne se vexe ou n'accepte pas un avis différent. Tout dépend de la manière de communiquer : pour des boutades, autant le prendre avec humour, mais lorsque cela devient grave, il ne faut pas hésiter à employer un ton beaucoup plus sérieux, voire agressif dans les mots, si nécessaire. Et il ne faut pas craindre de s'éloigner des personnes toxiques si la situation est vraiment intenable, même après avoir tenté de les raisonner. En plus de son manque de confiance en elle, elle semble dépourvue de colère et d'agressivité. Toute frustration passe donc par un repli sur elle-même, alors qu'exprimer sa colère est parfois essentiel pour s'affirmer, se faire respecter, et éviter de se détruire intérieurement. Cela pourrait lui faire du bien de s'inscrire à un sport de combat pour renforcer sa confiance, extérioriser ses émotions, et apprendre à transformer sa frustration en une colère saine qu'elle pourrait évacuer à travers l'activité physique. Elle semble également éprouver une l'anxiété car ne sait pas comment s'y prendre pour communiquer avec les autre alors qu'il n'y a pas 36000 questions à se poser mais juste se lancer chose lié étroitement à son manque de confiance en elle également.
Je suis autiste asperger et j'ai eu la même chose, les médecins ne me comprenaient pas, ils disaient que j'avais des trouble schizoïde. Il a fallu que le CICO de l'école me fasse passer des tests pour comprendre que c'était n'importe quoi, que j'étais bien autiste asperger. Et vous savez pourquoi ils ont dit que j'avais des troubles schizoïdes parce que je n'aime pas me retrouver avec du monde autour de moi, je ne supporte pas le bruit et les interactions sociales sont compliquées. Bref courage aux personnes autistes!
Trop mignon la fin ! 🥰 Je suis pas fan de ce type d'émission mais franchement celui la était intéressant ACCEPTONS LES GENS COMME ILS SONT SURTOUT SI ILS FONT RIEN DE MAL MERDE
Non seulement ils font rien de mal mais rayonnent avec de belles valeurs, pas de commérages, car empathiques! Si Dieu les a mis sur terre. C'est pour apprendre d'eux!! Que la sagesse soit❤
@@amelsabri469 les aspergers ne sont pas du tout empathiques...apres vous confondez avec autre chose...Puis il y a plusieurs formes d'autisme..elle n'est pas du tout asperger....
Et je vais te dire quelque chose, certain(e)s prônent la tolérance mais sont les pires intolérants (j'ai eut la reflexion : "ba ca se voit pas alors tu es normale" par deux idiotes qui votent à gauche à les entendre car pour la diversité et tous le bla bla bla... ca me fait rire...
Merci infiniment. Je ne connaissais pas ces centres. Je m'étais rapproché d'un CRA et avais rempli le dossier. Mais il me manquait l'imprimatur d'un psychiatre pour renvoyer mon dossier. Je me suis rendu compte au fil de mes démarches que j'en connais plus sur cette question que bien des professionnels. Alors, j'ai laissé tomber mais ça ne me convient. Je voudrais qu'un diagnostic officiel soit posé. Merci.👍
Très tôt, j'ai compris que j'étais en décalage. Naturellement optimiste donc pas trop de soucis. Et j'ai lu ses ouvrages sur l'adaptation des espèces pour leur survie. Et je me suis dit : ben je vais faire comme ça et c'est devenu mon motto : l'adaptation c'est la survie. Et vive la vie
SELON MOI : plutôt que de forcer à s'adapter à un monde qui nous convient pas et qui nous tue à petit feu, mieux vaut trouver un chemin qui permet de survivre à long terme... Ne pas se laisser faire et lutter vers ce quoi on aspire et qui nous apaisera... On en sortira plutôt que grand que d'être intégré dans une société malade qui n'est pas un signe de bonne santé mentale...
En écho, j'ai un parcours similaire, un autiste discret car une volonté de l'adapter aussi bien par peur de l'abandon par le groupe société que par intérêt sincère pour les liens sociaux (j'en comprends le caractère régulièrement joyeux, positif, soutenant, bienveillant, et la possibilité de donner tout cela autant que le recevoir). Pour ma part, ma famille d'intellectuels ne comprend pas du tout que je suis différente et laisse le mal-être s'installer, je vois les mauvais professionnels, des psychiatres d'inspiration psychanalyste à l'adolescence au moment des premiers épuisements (quand l'anxiété tout comme cette jeune femme liée aux notations, aux codes sociaux, devient paroxystique le tout dans un environnement sensoriellement, le lycée, épuisant, des vêtements de même inconfortables pour suivre la mode et espérer ne pas être trop rejetée voire crainte ultime abandonnée). Sans trop de surprise mes parents ont eux aussi (de toute évidence) de la neurodivergence et également dans ma famille élargie, il y a de l'anxiété, du traumatisme relationnel, tous plus ou moins liés à la non prise en charge et à l'exposition à des environnements trop inadaptés, trop souvent et sans pause. Mon diagnostic vers 30 ans est un véritable soulagement, qui me permet enfin de pouvoir me renseigner sur comment adapter mon environnement à mon fonctionnement (50-50 et non plus 90-10) et puis de réparer aussi les blessures reçues dans des environnements, des échanges trop inadaptés sur des décennies. Cela me permet aussi d'instaurer un dialogue plus profond avec ma famille et notamment aussi j'encourage les membres de la famille qui ont des TND à si ce n'est passer par un diagnostic officiel, s'autoriser également plus de bien-être (moins de mal-être). Ce ne sont pas des situations de vie faciles pour la majorité des personnes porteuses de TND non diagnostiquées. Parler de ces situations publiquement à un public large dans cette émission encourage à mieux comprendre (souvent on ne détecte pas car on ne comprend pas), et aussi à mettre en place tout ce qu'il faut ensuite pour pouvoir mieux vivre avec son fonctionnement. C'est top (y)
ahahah moi aussi ... j'ai été diagnostiquée HPS (haut potentiel de stupidité) ça a changé ma vie ! je me sens tellement mieux maintenant, je peux enfin rencontrer des gens stupides comme moi, qui me comprennent VRAIMENT !
J’ai été diagnostiqué « débile profond » à l’âge de 4 ans …. Cela m as plongé dans une dépression profonde et non salutaire, jusqu’au jour où un médecin très réputé m as diagnostiqué « HPcrotte » ce qui m as boulversé jusqu’à mes 37 ans …. Mais heureusement en 2019 je me suis marié avec ce dit médecin et cela a tout changé for me :-) Croyez en vous et tout ira bien❤.
J'ai mis plus de 50 ans à être diagnostiqué forme légère de Latourette (deux neuropsychiatres dont le spécialistede cette maladie en Belgique). Personne ne s'en était jamais aperçu je gardais tout en moi, je n'avais jamais consulté. C'est incurable mais ça m'aide un peu de comprendre quelque chose à ma vie. Allez consulter si vous ne vous sentez pas bien.
Auto-diagnostiquée à 43 ans et officiellement diagnostiquée à…. 63 ans. Erreur de mon médecin traitant qui n’y croyait pas et me traitait pour dépression. Une vie gâchée…
@@lunelie7724 Après mon diagnostique, j’ai écrit à ce médecin, sans lui laisser mes coordonnées actuelles, juste pour qu’il rumine son erreur et peut-être aussi pour éviter une erreur de plus car il lui reste quelques petites années de pratique.
Moi, mon dentiste, je lui ai dit 'je suis autiste, et donc je vais fermer les yeux sous vos trop violentes lumières', réponse : 'mais non vous n'êtes pas autiste', âpre m'avoir vu 5 minutes. Mon dentiste quoi.
J'ai pu mettre un nom sur mes troubles par le biais de ma fille qui avait les même problèmes au Japon. En France il y a trop de retard , j'étais passée de psy en psy, en école spéciale, bourré d'anti dépresseur et je me ramassais l'intolérance. Il a fallut que je change de pays pour mettre un nom à mon mal être. Il faut que la France rattrape son retard et fasse évoluer les mentalité.
@@warwicktarot7668 non car il n'ay avait rien de bien en France. Il n'y a rien qui bon si tu es de la classe moyenne ou plus bas. donc je vais te dire, bon débarras. Là je suis retournée en france cet été pour ma mère , ca faisait 5 ans que j'étais pas venue et ba, c'est devenu pire que tous, surtout sur Paris...
Malheureusement les médecins avaient beaucoup de mal à diagnostiquer certains troubles... J'imagine que c'est encore le cas aujourd'hui. J'ai été diagnostiquée avec un TOC à l'âge de 26 ans... Pourtant j'en avais déjà parlé à ma médecin qui m'avait dit que ça passerait le jour où j'aurais des enfants... pour vous dire comme c'est mal compris ! J'ai dû pousser une autre médecin à me faire voir un psychiatre pour enfin diagnostiquer mon trouble. Quand j'ai dit à ma médecin que c'était bien un toc, elle était super surprise... non mais vraiment c'est vous dire... Je n'avais aucun doute sur ma pathologie car heureusement quand on pense l'avoir identifié, plein de bouquins peuvent vous aider puis il faut le faire officiellement via un psychiatre. Des années d'errance pour moi...
Il y a encore une majorité des gens qui pensent que l'auto-diagnostic pour l'autisme n'est pas valable alors qu'on parle de + de 90% des auto-diagnostiques qui sont justes !!! Juste parce qu'être autiste donne droit à des aides financières et sociales alors là c'est la panique générale et on vous refuse tout !
L'autisme ne ce dit plus d'Asperger depuis 2013 (dsm), je précise je suis moi même autiste, donc a ne pas prendre mal ^^ Par contre allez check (toute personne qui lis ce messages, ) les raisons du pourquoi sur google. Mais pour résumer, ce n'est pas différent de l'autisme dans les critères de diagnostique, c'est le fait de ne pas être en défficience intellectuelle qui permet de masquer ces différences, a savoir que le masking (fait de masquer ces traits autistiques) a de graves conséquence dans le temps, dépression, envie suicidaire, burnout autistique entre autre. (je précise que ca invisibilise en plus l'autisme chez les femmes, une autiste sans déficience intelectuelle masquera bien mieux son handicap, pour des raisons tel que son éducations, et le comportement socialement admis des personnes assignés femmes a la naissances par exemple), il est important de vulgarisé l'autisme, mais également d'être scientifiquement exact sur les recherches, les définitions actuelle et pour cela, ce référé au derniers DSM est une BASE. Donc Asperger a bannir, Trouble du spectre de l'Autisme, avec ou sans déficience intellectuelle, et avec besoins (modéré ou élever) d'assistance, ou non, est préférables. Il peut être aussi utile de préciser non verbale etc... Vous feriez plaisir a abandonner le mot Asperger, un nazi de moins ça fera pas de mal, en plus permet de faire comprendre aux allistes (non autiste) que les personnes qu'elles appellent Asperger ca porte préjudice a la fois aux autistes en général, mais également a ceux que vous appelez Asperger car ca "invisibilise" les difficultés sensitives et émotionelle de la personne concerné car vous ne la voyez que dans son masking, que dans ce qu'elle veux vous laisser voir, quand a la fin de la journée nous somme en PLS dans le lit sans rien faire car trop de tout, odeur, bruit, gens et remarque, trop de codes sociaux parfois débile ou incompris et j'en passe des pas mures comme les "t'a pas l'air autiste", "j'ai un cousin autiste il mange ces légos, tu fait pas ca toi" Non je fait pas ca au travail (quand j'en ai) mais par contre chez moi j'ai certains truc que j'adore mâcher que je ne fait pas en publique car très mal vu. Éduquez vous sur l'autisme, regarder par exemple la chaîne youtube de "H Paradoxae" personne Autiste Militante qui a deux playliste sur l'autisme une sur "C'est quoi l'autisme" l'autre sur le comment faire avec. En plus d'avoir un exellent contenue sur l'handicap entre autre ;) Je conseil aussi le livre du Dr. Devon Price, Docteur en psychologie et sociologie, lui même militant autiste parlant de NeuroDiversité, le nom du livre en question c'est "Unmasking Autism"
Je suis autiste asperger et le DMS n’est pas une base pour moi car il est établi par l’association américaine de psychiatrie. Je rejete fermement le fait de classer l’autisme dans les troubles psychiatriques. Tant que les neurosciences n’auront pas déterminé avec précision les causes de l’autisme ( on sait que c’est dû à une hyperconnection neuronale mais le reste est encore flou), je persisterai à me dire “autiste asperger”.
Beaucoup sont, à tort, catalogués comme souffrant d'un trouble bipolaire lui aussi requalifié par le DMS. Les conséquences sont catastrophiques. Croyez-moi.
@@anneeivissac'est pas une médaille hein Et comme la TDA ce sont des termes définis par les non concernés, comme ils nous voit, limite ce qui les gènes eux et pas ce qui nous handicape nous
Je ne me reconnais dans absolument aucun point abordé dans cette vidéo. Enfance heureuse, j'ai toujours eu des amis avec qui rigoler et passer du bon temps. Ce qui n'empêche pas ma mère de me dire - et de répéter à ses proches - que je suis autiste-asperger 🙂 Sans diagnostic, sans rien, juste parce que je suis introverti et qu'elle remarque que j'ai moins d'amis en études sup (ou parce que je me dispute parfois avec elle ?) 🙂 Et portant elle est psychologue non-praticante ayant commencé (et arrêté) une thèse sur l'autisme. Ça montre bien que même les "spécialistes" comprennent pas grand chose à cette maladie.
C'est mon double cette Amandine. elle a les mêmes symptômes que moi sauf que je n'ai pas pu continuer en bac général et elle a fait une phobie scolaire chose que j'aurai pu faire en 6ème ou 5ème car tout le collège se moquaient de mois. J'ai aussi été diagnostiqué à 30 ans.
@@anarkiamusicmovie7036 un "raté" - "é" - vous voulez dire? C'est amusant par ce que vous vous moquez mais vous ne savez même pas écrire correctement....
autisme ou pas, elle touche du doigt des sujets qui nous concernent tous en tant que société: la différence, l'acceptation de la différence, la tolérance, le système scolaire avec ses avantages et inconvénients
Juste préciser que Asperger ça n'existe plus depuis 2013 et le livre DSM5. ça a été fondu dans TSA en général. "Le syndrome d'Asperger n'est plus classé en tant que trouble à part, et, à la place, est classé dans la section des troubles du spectre de l'autisme (TSA)."
Merci de mettre cette information car j'ai l'impression que encore les gens essaye de quantifier le tsa. En disant autisme léger, lourd, asperger (pour moi le mot va sur asperge 😂) et autres alors qu'on parle de troubles du spectre autistique avec ou sans déficience intellectuelle. Pour ma part quand j'explique mes diag j'ai l'impression d'être un ovnis qui a plusieurs troubles associés en comorbiditer à cause de mes diag tardif. (J'ai 28 ans ). Donc il faudrait dans notre pays une réelle actualisation des diagnostic pour les femmes adultes et enfants. Et que les spécialistes arrête de dire que comme on arrive à regarder dansa les yeux ou autre on a pas de tsa. ^^
On en a rien à faire des querelles de phrasologie des psychiatres. On a qu'à tous les mettre dans la case attardé mental pour une meilleure lisibilité.
Je trouve ça blessant de dire que l'autisme (sous toutes ses formes) est une fierté, ou quelque chose de cool.. Bien évidement, si c'est la personne qui en est atteinte qui le dit, ça va, mais une personne extérieur qui ne le vis pas n'a pas le droit de dire ce genre de choses, car c'est une souffrance quotidienne et non pas un super pouvoir.
@@petitbato2789je pense que c'est pas dans le sens comment tu penses. Mais beaucoup de personnes regarde les autistes comme si c'était des personnes bizarres... etc Donc oui elle à droit de dire que c'est une fierté .. en tant que maman j'aurais dis la même choses pour mon fils quand il sera pointé du doigt contre les gens qui ne comprennent pas ce que cest l'autiste 😒
@@petitbato2789il vaut mieux voir ça comme un atout majeur avec son lot de challenges que de le voir comme une difficulté ou pire une anomalie. Peut être que l’âme a choisi d’expérimenter cette particularité dans cette dimension et incarnation, on ne sait pas. En toute situation on peut choisir de penser que tout ce qui arrive arrive pour notre bien ou tout ce qui arrive arrive pour notre mal.. sachant que dans l’absolu l’un et l’autre sont les revers d’une même médaille ☯️ appelé conscient et inconscient à notre époque, mais je pense que vous m’avez comprise… Bien à vous.
Toute faculté, capacité, appétence pour être pleinement humain(e) est un atout et un atout majeur. Donc célébrer et honorer car tout arrive toujours pour le meilleur, même quand on est dans le trou noir, garder les yeux rivés sur l’étincelle de lumière aussi faible soit-elle. Toutes les particularités méritent d’être nommés et reconnues, cela est essentiel mais c’est une étape, pas une fin. C’est important de le dire et de le savoir. Personnellement, je suis toujours très distante et “prudente” avec toute sorte de qualificatif en ne niant pas qu’il fait référence à une réalité par contre. La nommer est important, ne pas s’enfermer dans ce nominatif me semble encore plus important. Ce qui engendre de la douleur et/ou de la souffrance c’est l’impression que cette particularité nous sépare ou nous isole des autres car on est alors un cas. Mais la réalité c’est que cette illusion de séparation ne peux être car pour se croire déconnecté, il faut être connecté pour créer l’illusion de la déconnection 😅 si les plus éveillés m’ont suivis. En tout cas je trouve que tout en voyant nos particularités et notre unicité, on peut simultanément remarqué que tout est lié et que une chose et toute chose et toute chose est une chose donc les nominatif c’est bien pour communiquer savoir de quoi on parle, mais faut aussi accepter que le nom n’est jamais la chose et que cette réalité non saisissable elle mérite plus que un nom, un qualificatif ou de simples mots… Joie, amour et paix sur nous. ❤️🔥 Puisque nous sommes, notre êtreté à toujours raison d’être puisqu ’elle est, justement.
On le voit tout de suite quand un enfant n’évolue pas comme les autres il s’isole ne joue pas avec les autres n’a aucune émotion et réaction naturelle face a une blague .. ils ont une attitude de robot qui apprend par cœur se tiens droit assidu bon élève aucune amie .. les parents ne veulent pas le voir souvent j’ai des amis à qui je l’ai signalé il l’ont mal pris pour leur fille de 4 ans tous le monde l’avait remarquer sauf eux c flippant
Simple observateur et confronté dans mon entourage propre à ce trouble, je pense qu'il y a une hérédité dont on ne parle pratiquement jamais. Le diagnostic est très important, le plus tôt possible, mais faut-il encore qu'il soit admis par la personne atteinte et sa famille. Les troubles mentaux étant encore très stigmatisés, difficile de faire sauter les tabous.
Je me reconnais pour beaucoup de choses mais comme je n'ai pas d'intérêt spécifique pour un domaine (un des critères diagnostiques) j'imagine que c'est de l'anxiété sociale. J'ai un diagnostic de drepression mais comme je n'arrive pas à exprimer ce que je ressens à moi même alors un inconnu...
Pour rappel le type "asperger" n'existe pas. Aujourd'hui on parle de TSA avec ou sans déficience intellectuelle. On a longtemps pensé que la déficience intellectuelle faisait partie de l'autisme, d'où la catégorie "asperger" pour designer les "autistes de haut niveau", sauf qu'il n'y a pas de lien entre entre autisme et intelligence. (Je vulgarise pour ne pas ecrire un pavé hein) Ce qu'il y a à retenir c'esr que les "aspergers" sont des autistes généralement HPI (comme moi), tout simplement. Si votre psy vous parle d'autisme asperger il est bien en retard sur les connaissances et il faut en changer.
Dans tout ça je comprend pas ce que ça change de le savoir ou non . j'ai eu a quelque détail le même parcours , mais aujourd'hui j'en ai plus rien a faire d'aller voir un spécialiste , et de toute manière ça changerais quoi ? Pas envie de me trouver un prétexte pour mes difficulté personnel . J'ai jamais trouver les autiste si différent que ça , d’ailleurs je les préfère car il sont bien plus honnête.
Pareil la 4 eme, on avait un groupe atypique dans la même classe mais rien n' y fait decrochage scolaire depuis cette periode, hqi diag mais pas le tsa
Diagnostiquée à 50 ans, sentiment d'être d'une autre planète 😂 Je vous conseille les vidéos et le livre de Tony Attwood (vivre avec le syndrome d'Asperger)
C’est assez léger, pour ma part je suis Asperger et ne serais ce que de parler à la journaliste ça serait impossible. Une interaction est très compliqué et garder un travail je ne peux pas… Je change d’emploi chaque mois.
Tous les asperger sont exactement pareil? Vous n'avez pas de personnalité propres? Des caractéristiques propres à chaque individu? Il faut nécessairement que tous les asperger se comportent comme toi pour que le monde les accepte en tant que tel?
Moi je suis persuadée d'être autiste je ne m'intéresse pas aux autres, j'ai aucune conversation avec les gens j'arrive pas à créer de liens je suis toujours dans ma bulle ! 😓
oui, enfin faut arreter de se croire autiste pour ça.. ça peut etre tellement d'autres choses, et crois moi que l'autisme ce n'est pas juste etre dans sa bulle et ne pas s'intéresser aux autres-
@@Laurie_ginale C'est probable vu l'errance diagnostique, qui est d'autant plus importante si tu es une femme (ce que je suppose) L'INSEE nous dit qu'au moins 1% de la population est autiste mais des études récentes menées aux USA et Royaume Uni semblent indiquer un taux compris entre 1,7 et 2.5% ce qui est énorme. J'ai passé 6 ans à m'autodiagnostiquer, j'ai croisé énormément de gens qui ont nié mon introspection et mes ressentis, jusqu'à mon diagnostique. je ne sais pas pourquoi quand on se suppose un trouble ou une condition la plupart des gens réagissent comme si on les avait attaqués. Faut pas les écouter. Si la question se pose il faut faire ce qui est nécessaire. Il n'y a aucune honte ni aucun mal à se croire autiste, et si après avoir passé les tests il s'avère que tu n'es pas autiste, PERSONNE ne t'en voudra. Dans tous les cas il vaut mieux être introspectif et se tromper plutôt que de rester dans le déni de son fonctionnement.
Mais c'est pas grave, on survit et on devient des caméléons. Observation du milieux hostile, analyse des comportements, intelligence situationnelle (la culture générale hors norme permet de s'adapter avec des comptables, des ingènieurs, des bikers). C'est dingue, un puit de savoir et écouter, comme j'écoute, je comprends tout très vite et en plus je trouve des solutions rapidement ça permet de s'adapter. C'est juste rire, je peux être très drole avec un humour hyper particulier mais ça peut bien marcher, par contre j'ai énormément de mal avec l'humour débile, je cherche à comprendre pourquoi il faut rire alors qu'il ne faut pas chercher donc il y a un décalage et je ne sais pas faire semblant, c'est pas possible. Je ne sais pas être paresseux ou pas conscienceux, je dois toujours respecter mes engagements, je suis ultra ponctuel, en avance. Je ne comprends le mensonge pure, ça me fou en l'air, (le subtile, le manipulateur dans un cadre avec une finalité et habilité, ok, je suis pas dupe mais ok c'est un jeu, ça va) en fait c'est la mauvaise foie c'est impossible qd je dis impossible c'est vraiment alors que les autes fonctionnent sur des faux semblants, des mensonges pures, des trucs infantiles, Je ne supporte pas. Je ne sais pas me mettre en l'avant, j'ai fait une grande Ecole, je suis pluridisciplinaire et je travaille à un niveau très inférieur car je suis dans ma bulle et serein, comme je ne suis pas matérialiste (je ne comprends pas) que je n'ai pas de besoin de reconnaissance, de statut, que j'en ai rien à battre des conventions totales même si comme je l'ai dit, je m'adapte partout mais intrasèquement c'est tellement hors de moi mais ça passe, bon d'accord Electron libre, l'ovni, etc ça me colle à la peau mais voilà c'est moi ET. J'ai tjrs été l'extraterrestre, là je suis seul, je veux personne, mes amis ne peuvent être que des extra terrestres.
Je suis exactement pareil, sauf pour une seule chose, moi je suis plutôt paresseux et oisif, je tire beaucoup de plaisir contemplatif. Mais je sais travailler car j’ai 2 master et un petit boulot planqué (histoire de reprendre mon souffle car je suis épuisé spirituellement)
Y a vraiment une énorme méconnaissance de l'autisme, et encore plus au féminin, parmi les 'professionnels', psychiatres par exemple. Et chez la population générale. Mais pour connaître l'autisme, il faudrait encore le vouloir.
Est-ce de l’autisme, ou de l’oblomovisme qui traumatise ? Selon moi, ce qu’elle décrit, c’est pas une enfant spéciale, juste une enfant normale au milieu des gobelins modernes qui hurlent, gesticulent et agressent, oui, être au milieu de ce chaos permament lorsqu’on est juste un peu plus normale et délicate que les autres, ça doit traumatiser. Regardez les vidéos sur la chaîne de l’INA des enfants en France dans les années 50 ou 60 ans, ils sont sages comme des images, polis et tout, des rires délicats, et pas la moindre once d’agressivité, pas la moindre. Étaient-ils tous autistes ? Non non, cette femme est traumatisée par la brutalité de son époque, c’est sûrement autre chose que l’autisme. Le livre Oblomov parle d’un bourgeois russe qui finit sa vie dans son canapé de peur de sortir et voir ce monde (la fin du 19ème siècle, et les horreurs du 20ème déjà prévisibles) horrible qui change, ce qui donne l’oblomovisme, ou les hokikomori du Japon, des oblomov tardifs, traumatisés de leurs époques. Je pense qu’on néglige un tout petit trop ce que cette époque que l’on est entrain de vivre est capable de faire à une psyché humaine.
@@leconteurdhistoirespourenf2091 on l'avait diagnostiqué HPI étant enfant mais il sentait bien que ce n'était pas ça. Et puis on a vu une série dans laquelle le personnage principal était autiste, je l'ai pas mal reconnu dedans, c'est ce qui nous a mis sur la piste.
Sur internet, tu dois pouvoir trouver le numéro d'un CRA (centre ressources autisme) les délais sont très longs, donc si tu as les moyens, tu peux demander aux gens du CRA des numéros de psychologues spécialisés dans le privé.
ce sont des problèmes qui se perpétuent tout simplement parce que l'éducation nationale ne fait pas son boulot et ne l'a jamais fait par rapport aux neuretypiques
On ne dit plus “Asperger” pour des formes d’autisme sans retard de language ou déficience intellectuelle. Ce terme est abandonné depuis plus de 10 ans. Les psy doubent se mettre a la page et les programme télé aussi! Hans Asperger n’etait pas un mec bien ( il a envoyé un bon nombre d’autistes aux chambres à gaz). Les gens pensent qu’en se disociant les “ aspegers” des “ autistes classique” on leurs fait une fleur mais pas du tout! Arretez donc d’utiliser ce terme ! 😢
Femme ou homme, l'autisme n'est absolument pas pris au sérieux dans le monde, ou en tout cas en France... Je sors de chez un psychiatre qui m'a affirmé que l'autisme ça n'existait pas et que c'est juste des gens HPI... Entendre ça ne m'étonne même plus venant de médecin qui pensaient que les femmes ne pouvaient même pas être autiste il y a moins de 10 ans... J'ai 25 ans, je suis persuadé d'être autiste type 1 (ceux qui n'ont pas de déficience intellectuelle et qu'on appelait Asperger), et ça fait 2 ans que je galère à trouver un psychiatre capable de poser un diagnostic avec une culture générale sur le sujet supérieure à la mienne (il n'y a presque pas de psychiatre spécialisé dans le TSA), je trouve ça aberrant de devoir expliquer aux psychiatres la différence entre HPI et Autiste, voir même les GROS détails qui devraient mettre la puce à l'oreille ou encore qu'on peut parfaitement être les deux en même temps. Bref, courage aux adultes comme moi qui sont passés sous les radars par manque de connaissance, ma mère m'a élevé seule et ne savait même pas ce que c'était que l'autisme, comment se faire dépister si vos proches sont incapables de voir les signes ? Si on fait passer vos "bizarreries" pour des traits de caractère ou des troubles obsessionnels ? C'est dingue, j'espère nuits et jours que le monde médical pourra se concentrer sérieusement sur le spectre de l'autisme car en plus d'être un sujet passionnant, ça pourrait sauver des millions de vies en proies à la dépression ou aux pensées suicidaires, des gens qui se croient devenir fou alors qu'en faite ils ont un handicap sous-jacent !
La psychiatrie est dangereuse.
👏
Je suggèrerais de commencer par un neuropsy, qui aura une approche forcément cognitive (on peut tomber sur un psychiatre d'obédience psychanalyste), si possible un qui a un site mentionnant les adultes (pas que les enfants) pour faire un bilan neuropsy (qui va déjà aiguiller un peu, mais ça a un coût) puis dans l'idéal rediriger vers d'autres professionnels compétents, comme le psychiatre, mais un bon.
Je vous comprends, pas de diagnostics, errance médical, c'est très douloureux de ne pas rentrer dans les cases d'un test WAIS conçu pour diag des hommes et fait passer bcp de femmes à côté du diagnostic.... C'est peu encourageant. Courage
Bonjour, il faut vous rapprocher du cra de votre region! Avec un courrier de votre medecin ou psychiatre. Les cra sont au fait des camouflages, compensations des personnes tsa en particuliers les femmes. Bonne continuation à vous :)
I was 51 years old when I found out about my Asperger (thank you Julie Dachez), but what at relieve!
Now (5 years later) life is a lot better for me and the people who live with me, I live and enjoy my new life at 500%.
Asperger is a gift, a difference that give you extra aptitudes, if I had the choice, I would not chose to be a "normal" person.
It exactly is what i think about Asperger since i heard about it. I told myself "why i'm not asperger, they are so extra like the X-men". I see this disease like a power.
@@parisienneETfiere Asperger is not a "disease" but a difference, people with blue eyes don't think it's a disease but a difference.
You get born with Asperger, and you die with Asperger, it's just your brain that is build differently.
It's like Apple computers versus PC computers !
;o)
Yes, Asperger is a gift, and you are lucky to have people around you who recognize it 🫶
@@parisienneETfiere it's not a disease. It is a neurotype. And sure it is great to be an Aspie when you have high intelligence and deep interests, but I could do without the cognitive issues, associated comorbidities, social struggles and sensory stress every single day of my life.
J'ai été diagnostiquée vers 15 ans.
J'avais eu du mal à m'intégrer à l'école.
Durant les party de famille à Noël ou aux anniversaires
Je m'enfuyais de tout le monde et je sortais dehors rejoindre les chats de dehors et les animaux de la grange (C'était ma paix...J'ai tout donné pour eux. Ils étaient ma famille)
À l'école j'étais souvent seule ou incomprise (Mais non mal dans ma solitude. J'aimais la solitude et non l'isolation)
Souvent intimidée sans comprendre pourquoi et pire...Je pouvais aller défendre mes intimidateurs car j'avais trop bon coeur.
Je ne comprenais pas que des gens pouvaient me vouloir du mal. Pour moi tout le monde était gentil.
Ils avaient beau me lancer des pierres ou me faire des menaces de mort...Ou déchirer tous mes cahiers....Je croyais encore qu'ils étaient juste en peine.
Mon père était en syndrome post-traumatique car ancien ambulancier...(bien qu'un père formidable ) et ma mère...Elle n'était pas un bon parent.
Je me suis longuement battue avec mon père contre le gouvernement...La société est parfois dure et froide.
Rendue à l'âge adulte ne fût pas mieux. J'avais des compétences hors pairs en certains domaines mais des difficultés folles dans d'autres.
Et mes supérieurs ne se gênaient pas pour abuser de moi quand ils en voyaient l'opportunité car j'étais naïve et craintive. La politesse avant tout : le respect en premier lieu.
C'est dur d'évoluer dans une société où la pureté est punie aussi sévèrement. Ça fait parfois peur. Mais il faut tenir bon.
Car nous ne sommes pas seuls. Et certaines personnes valent la peine d'être rencontrées.
Salut, je te comprend ^^ moi je sortais admirer la lune pour '' me reposer '' .
Jusqu'à maintenant je sais pas ce que je suis et c'est dur, car même si j'essaie d'oublier mes différences, mon corps me le rappelle... je suis pas comme les autres... ce qui m'a un peu aidée c'est les forums asperger, j'ai pu prendre quelques conseils qui m'ont aidée... mais c'est pas suffisant... courage à nous !
@@jacklili9036 Moi bizarrement je dirai que je préfère "la solitude " à l'isolation !
La société à mes yeux n’est qu’une énorme bête sursexualisée, méchante et stupide, et qui pense TROP LENTEMENT
Je pense l'être aussi car je m'exprime beaucoup et ça ne plaît pas à tout le monde c'est comme ça de plus je suis super empathique capable de contre manipuler un manipulateur. A l'école je n'arrivais pas à suivre j'ai du arrêter la fac aussi je n'arrive pas à être avec des amies c'est pas possible je suis plutôt incomprise en plus on ne me répond pas car je parle beaucoup et j'écris beaucoup et j'analyse beaucoup trop la situation
Je me demande qui sont "normaux" au final, ce qui se moquent des autres pour leurs différences? Je pense que c'est plutôt eux qui ont des troubles
Comme toi, diagnostiquée à 25 ans suite à des années de galères à ne pas comprendre pourquoi je me sentais aussi à la ramasse. Je ne tenais pratiquement jamais un travail ou une formation plus d'un mois ou deux. Echecs sur échecs sur échecs. J'ai fini par faire un gros burn out au moment du diagnostic, quand j'ai compris que ça ne guérirait jamais. J'ai regardé le plafond pendant 18 mois, le temps d'encaisser le choc. J'ai dû lutter très fort contre moi-même pour ne pas me jeter par la fenêtre.
Heureusement, j'ai fini par me relever et, chose impensable il y a encore quelques années, je travaille à temps plein, je vais très bien et je suis maman d'une petite merveille qui me comble tous les jours.
Bravo à vous
👏
Bravo ❤
Moi aussi j'ai vécue échecs sur échecs,l'école ça n'a pas marché, le travail non plus, le permis également à 30 ans j'ai l'impression de n'avoir rien accompli, rien réussi dans ma vie malgré que j'ai eu le diagnostic à 17 ans ça ne m'a pas tellement aidée.
A mieux me comprendre oui mais mes lacunes avec les autres demeurent présentes et le seront éternellement.
@@KarasuCosplay
Je te comprends mais sache que le plus important est qu’on aille de l’avant !
Je reconnais vraiment ma fille dans son témoignage. Elle a 27 ans et est actuellement en dépression suivie par un psychiatre et sous traitement. Elle somatise beaucoup et développe régulièrement des maladies infectieuses. Elle s isole mais a une passion c'est le chant.
Moi aussi jetait diagnostique a 23 ans et tt le temps isolée je nai pas de vie sociale non plus c compliqué
elle n'est pas asperger; il y a plusieurs formes d'autismes..
Je me reconnais beaucoup dans ce que vous dites. Je me sens tellement différent des autres mais j'ai appris à vivre avec et j'essaie d'en faire une force tous les jours tant que je vie sur cette Terre 😊 !
Je suis peut-être autiste (j'ai les signes), j'avais aussi des problèmes dans ma famille et de harcèlement scolaire, j'ai fini sous antidépresseurs (surtout à cause des problèmes familiaux que je gérais plus).
Le traitement était pas surveille, je suis tombée sur une personne qui poussait mes parents à me mentir sur les effets secondaires pour que je le prenne alors que j'étais mineure... Au final j'ai fini avec des effets secondaires de changements de l'humeur et de personnalité qui ont amené à des choix désastreux dans mon orientation scolaire (alors que je suis d'habitude qq de raisonnable).
Les antidépresseurs me rendaient aussi hyper anxieuse après un certain temps de prise, je faisais bcp de cauchemars... ect.
Courage pour votre fille, la dépression c'est dur.
De mon expérience, c'est nécessaire d'être entouré, compris et aussi respecté dans ses limites (besoin de solitude, calme... ect). Il faut surveiller la prise de traitements et éviter de les prendre trop longtemps si possible... ça induit une accoutumance et symptômes de sevrage (avec possiblement des problèmes psychologiques comme anxiété, dépression lors du sevrage, que j'ai moi-même connus)...
Il faut faire attention à ce genre de prescriptions, Savoir se renseigner et garder l'esprit critique...
@@Louve-w9w Bien mieux que tous ces médicaments : la pratique du Taï Chi Chuan (méthode Yang de préférence). Ça agit à moyen terme mais peut vraiment améliorer la situation. Il y a des vidéos de Taï Chi sur UA-cam.
Bonjour, merci beaucoup pour ce reportage, je me reconnais dans son témoignage. J’ai compris toute seule que je suis finalement autiste et je pense un jour faire un diagnostic. Avec le temps j’ai maîtrisé l’art de l’imitation mais l’énergie des autres m’épuisse et comme j’analyse toute seule sans parfois le vouloir je développe une anxiété sociale. Les enfants m’ont toujours fait ressentir que j’étais différente alors que moi je pensais rentrer dans les codes; au début j’étais aimé de tout le monde, je me fondait bien dans la masse et dès que j’arrivais plus et que j’en avais marre j’avais arrêté mais suite à ça je faisais beaucoup de crise d’angoisse sans raison et j’étais rejeté par les autres après ça alors ça me rendait malheureuse et avec mon côté analyste j’ai compris très vite sans regarder sur internet ou demander à un professionnel que je suis sûrement autiste sauf que c’est tabou chez moi. Mais j’ai des comportements très étranges et j’ai une grande sensibilité et une grande connexion avec mon cerveau par exemple je sais quand mon cerveau est affecté sur certaines zones mais l’intégralité de ma personne est basé sur mon cerveau donc c’est peut-être ça qui fait que je suis bizarre aux yeux des autres car j’ai toujours détesté les blagues, je suis très sérieuse et on doit souvent m’expliquer comment réagir à la société et cependant vu que j’analyse beaucoup je connais la société du bout des doigts presque mais lorsque j’essaie d’appliquer ce que je vois c’est un peu une catastrophe alors imiter m’aide beaucoup, ça nous sauve !! Merci pour votre témoignage madame et j’espère un jour pouvoir faire mon diagnostic un jour.
Moi c'est à 28 ans que j'ai été diagnostiquée avec un TDAH avec hypersensibilité (troubles sensoriels, et d'après certains bouquins c'est potentiellement lié au spectre de l'autisme aussi...), elle était étonnée que personne ne m'ait parlé de ça avant (je ne connaissais pas du tout le TDAH) et encore moins posé de diagnostic.
En fait, je suis née avec un handicap alors tous les médecins qui m'ont vue ont toujours mis mes "bizarreries" sur le dos de mon handicap sans chercher plus loin. Les diags de troubles mentaux/neuropsy sont encore plus difficiles à avoir pour les personnes handicapées que pour les personnes valides...
J'ai du me battre pour ma fille car j'ai décelé très tôt sa différence. Cr n'était pas facile car incomprise par l'environnement, les professeurs etc ...maintenant le diagnostic est posé personne ne peut l'💩. Elle sait. Elle comprend. Elle fait de sa différence une force❤
@@tadjweedelquran4274 Depuis mon enfance, j'ai toujours utilisé cette " faiblesse " comme une force 😊 !
TDA + autisme , le combo des champions qui aiment le challenge on va dire ça comme ça 😂
Bonne continuation camarade
@@tadjweedelquran4274 Bonne chance pour votre fille 🙏🏾!
Mais en fait elle est plutôt normal et la question est. Ne serait-ce plutôt pas les autres qui sont dégénérés en fait ? Est-ce que c'est normal de se moquer des autres sans cesses et parler de choses QQ la praline et d'idolatrer des gens ? C'est plutôt elle qui est saine et les autres bizarres...
Peut-être mais la normalité c'est synonyme de la majorité
La norme représente ce que la majorité des gens sont, ça ne représente en aucun cas un type de personnalité optimal.
Quoi que, être trop gentil n'est peut-être pas un atout dans une vie en société, je penses que la norme représente le type de personnalité le plus adapté à l'instant T, puisque la sélection naturelle les à sélectionné
@@gaetmon7439 La sélection naturelle il y a longtemps qu'elle n'existe plus, de part le confort et l'accés aux soins, la technologie etc etc, Vous avez beau être fort si vous avez 10 hommes maigre issu de la "norme" vos fameux sélectionnés, ils vont gagner mais ils sont tous faible , si ils avaient du combattre l'homme fort seul ils n'existeraient plus....
@@marsoudu87 les femmes sont plus attirées par des hommes "normaux"
C'est une forme de sélection naturelle. Pas besoin qu'il y ait de combat.
C'est vrai que, sur base de son récit, j'ai eu la même impression. L'impression d'une femme tout à fait normale et saine, qui a une nature introvertie, sans doute par manque de confiance en elle. Confiance qu'elle n'a pas su développer, étant entourée de personnes "méchantes et anormales" auxquelles elle ne s'identifiait pas. Elle continue donc de s'effacer, n'ayant pas l'impression d'être à sa place, avec une incompréhension totale, car sa norme ne reflète pas ce qu'elle constate. Ne comprenant pas pourquoi ni comment les autres pouvaient être si mauvais et différents d'elle. Cela a créé un profond mal-être, menant à une dépression et une anxiété. D'où sa fatigue intense. Plus elle est fatiguée, plus ses émotions sont décuplées. Ravie de savoir que son petit copain lui a permis de prendre confiance en elle et de s'affirmer un peu plus.
Le manque de confiance en elle semble la clé de tout. Une personne qui a parfaitement confiance en elle n'aura pas peur d'avoir une mentalité différente des autres, ni d'affirmer haut et fort ses opinions, même si elle est la seule à les penser, car elle sait que ce n'est pas elle le problème mais les autres. Elle n'aura aucune gêne à le faire savoir grâce à sa confiance en elle. Une personne qui a confiance en elle n'a pas peur de se retrouver seule si nécessaire, surtout si elle est entourée de mauvaises personnes. Comme on dit, mieux vaut être seul que mal accompagné. Se respecter soi-même, c'est parfois ne pas se mêler à des personnes qui n'ont pas du tout les mêmes valeurs morales que nous.
Elle se sentait en dessous des autres alors qu'elle avait bien plus de valeur qu'eux. Ce n'est pas pour autant impossible de s'entendre avec des personnes à l'opposé de nous : tout passe par la communication et selon le niveau de toxicité de l'autre. Elle ne sait visiblement pas exprimer ses émotions et opinions lorsqu'elles diffèrent des autres et préfère se fondre dans la masse. Pourtant, cette femme pourrait être une bénédiction pour ces personnes toxiques : par ses réflexions, elle peut les aider à grandir et à devenir meilleures. Si toutes les personnes toxiques restent entre elles, il est difficile d'évoluer. Pour se mélanger, il faut savoir communiquer. Elle a mentionné l'humour, qui est un excellent moyen de faire passer des messages "pas plaisants" de manière subtile et dans la bonne humeur.
Face à des groupes de personnes qui passent leur temps à critiquer les autres, elle pourrait parfaitement les clasher avec humour, marquant sa désapprobation de façon subtile. Par exemple, face à une personne qui dénigre constamment les autres, on peut contre-argumenter en défendant la personne critiquée ou dire sur un ton léger : "Oh non, elle recommence ! Pourquoi tant de haine ?" en riant, ce qui permet de montrer que la personne ridicule, c'est elle, et non celle qu'elle critique. Sinon, on peut simplement sourire ou rire des comportements tellement ridicules qu'ils en deviennent drôles. Tout cela est possible si on n'a pas peur de se retrouver seul si la personne se vexe ou n'accepte pas un avis différent.
Tout dépend de la manière de communiquer : pour des boutades, autant le prendre avec humour, mais lorsque cela devient grave, il ne faut pas hésiter à employer un ton beaucoup plus sérieux, voire agressif dans les mots, si nécessaire. Et il ne faut pas craindre de s'éloigner des personnes toxiques si la situation est vraiment intenable, même après avoir tenté de les raisonner.
En plus de son manque de confiance en elle, elle semble dépourvue de colère et d'agressivité. Toute frustration passe donc par un repli sur elle-même, alors qu'exprimer sa colère est parfois essentiel pour s'affirmer, se faire respecter, et éviter de se détruire intérieurement. Cela pourrait lui faire du bien de s'inscrire à un sport de combat pour renforcer sa confiance, extérioriser ses émotions, et apprendre à transformer sa frustration en une colère saine qu'elle pourrait évacuer à travers l'activité physique.
Elle semble également éprouver une l'anxiété car ne sait pas comment s'y prendre pour communiquer avec les autre alors qu'il n'y a pas 36000 questions à se poser mais juste se lancer chose lié étroitement à son manque de confiance en elle également.
Je suis autiste asperger et j'ai eu la même chose, les médecins ne me comprenaient pas, ils disaient que j'avais des trouble schizoïde. Il a fallu que le CICO de l'école me fasse passer des tests pour comprendre que c'était n'importe quoi, que j'étais bien autiste asperger. Et vous savez pourquoi ils ont dit que j'avais des troubles schizoïdes parce que je n'aime pas me retrouver avec du monde autour de moi, je ne supporte pas le bruit et les interactions sociales sont compliquées. Bref courage aux personnes autistes!
Trop mignon la fin ! 🥰 Je suis pas fan de ce type d'émission mais franchement celui la était intéressant ACCEPTONS LES GENS COMME ILS SONT SURTOUT SI ILS FONT RIEN DE MAL MERDE
Non seulement ils font rien de mal mais rayonnent avec de belles valeurs, pas de commérages, car empathiques! Si Dieu les a mis sur terre. C'est pour apprendre d'eux!! Que la sagesse soit❤
Si seulement. Mais certaines personnes ont du mal à accepter quoi que ce soit de différent🤷♀️
@@amelsabri469 les aspergers ne sont pas du tout empathiques...apres vous confondez avec autre chose...Puis il y a plusieurs formes d'autisme..elle n'est pas du tout asperger....
Et je vais te dire quelque chose, certain(e)s prônent la tolérance mais sont les pires intolérants (j'ai eut la reflexion : "ba ca se voit pas alors tu es normale" par deux idiotes qui votent à gauche à les entendre car pour la diversité et tous le bla bla bla... ca me fait rire...
@@hanmel5321on ne sait meme pas de quoi tu parles...
Adorable cette fille. Son histoire est hyper touchante....
Merci infiniment.
Je ne connaissais pas ces centres.
Je m'étais rapproché d'un CRA et avais rempli le dossier. Mais il me manquait l'imprimatur d'un psychiatre pour renvoyer mon dossier. Je me suis rendu compte au fil de mes démarches que j'en connais plus sur cette question que bien des professionnels. Alors, j'ai laissé tomber mais ça ne me convient. Je voudrais qu'un diagnostic officiel soit posé.
Merci.👍
Très tôt, j'ai compris que j'étais en décalage. Naturellement optimiste donc pas trop de soucis. Et j'ai lu ses ouvrages sur l'adaptation des espèces pour leur survie. Et je me suis dit : ben je vais faire comme ça et c'est devenu mon motto : l'adaptation c'est la survie. Et vive la vie
SELON MOI : plutôt que de forcer à s'adapter à un monde qui nous convient pas et qui nous tue à petit feu, mieux vaut trouver un chemin qui permet de survivre à long terme... Ne pas se laisser faire et lutter vers ce quoi on aspire et qui nous apaisera... On en sortira plutôt que grand que d'être intégré dans une société malade qui n'est pas un signe de bonne santé mentale...
En écho, j'ai un parcours similaire, un autiste discret car une volonté de l'adapter aussi bien par peur de l'abandon par le groupe société que par intérêt sincère pour les liens sociaux (j'en comprends le caractère régulièrement joyeux, positif, soutenant, bienveillant, et la possibilité de donner tout cela autant que le recevoir).
Pour ma part, ma famille d'intellectuels ne comprend pas du tout que je suis différente et laisse le mal-être s'installer, je vois les mauvais professionnels, des psychiatres d'inspiration psychanalyste à l'adolescence au moment des premiers épuisements (quand l'anxiété tout comme cette jeune femme liée aux notations, aux codes sociaux, devient paroxystique le tout dans un environnement sensoriellement, le lycée, épuisant, des vêtements de même inconfortables pour suivre la mode et espérer ne pas être trop rejetée voire crainte ultime abandonnée).
Sans trop de surprise mes parents ont eux aussi (de toute évidence) de la neurodivergence et également dans ma famille élargie, il y a de l'anxiété, du traumatisme relationnel, tous plus ou moins liés à la non prise en charge et à l'exposition à des environnements trop inadaptés, trop souvent et sans pause.
Mon diagnostic vers 30 ans est un véritable soulagement, qui me permet enfin de pouvoir me renseigner sur comment adapter mon environnement à mon fonctionnement (50-50 et non plus 90-10) et puis de réparer aussi les blessures reçues dans des environnements, des échanges trop inadaptés sur des décennies. Cela me permet aussi d'instaurer un dialogue plus profond avec ma famille et notamment aussi j'encourage les membres de la famille qui ont des TND à si ce n'est passer par un diagnostic officiel, s'autoriser également plus de bien-être (moins de mal-être).
Ce ne sont pas des situations de vie faciles pour la majorité des personnes porteuses de TND non diagnostiquées. Parler de ces situations publiquement à un public large dans cette émission encourage à mieux comprendre (souvent on ne détecte pas car on ne comprend pas), et aussi à mettre en place tout ce qu'il faut ensuite pour pouvoir mieux vivre avec son fonctionnement. C'est top (y)
Moi aussi j étais en décalage mais finalement quand j ai su que j étais tout simplement con ça m a beaucoup aidé
ahahah moi aussi ... j'ai été diagnostiquée HPS (haut potentiel de stupidité) ça a changé ma vie ! je me sens tellement mieux maintenant, je peux enfin rencontrer des gens stupides comme moi, qui me comprennent VRAIMENT !
J’ai été diagnostiqué « débile profond » à l’âge de 4 ans …. Cela m as plongé dans une dépression profonde et non salutaire, jusqu’au jour où un médecin très réputé m as diagnostiqué « HPcrotte » ce qui m as boulversé jusqu’à mes 37 ans …. Mais heureusement en 2019 je me suis marié avec ce dit médecin et cela a tout changé for me :-)
Croyez en vous et tout ira bien❤.
Vous vous croyez drôles... Pfff... Lamentable -_-
Quelqu’un a essayé de se suicider à cause d’un mal être et vous, vous trouvez ça drôle.
@@lej7100 pas du tout , c’est juste que le mot « con » est placé à la fin du coup c’est surprenant donc potentiellement drôle…. Etc
J'ai mis plus de 50 ans à être diagnostiqué forme légère de Latourette (deux neuropsychiatres dont le spécialistede cette maladie en Belgique). Personne ne s'en était jamais aperçu je gardais tout en moi, je n'avais jamais consulté. C'est incurable mais ça m'aide un peu de comprendre quelque chose à ma vie. Allez consulter si vous ne vous sentez pas bien.
Auto-diagnostiquée à 43 ans et officiellement diagnostiquée à…. 63 ans. Erreur de mon médecin traitant qui n’y croyait pas et me traitait pour dépression. Une vie gâchée…
Triste, d'autant plus triste que votre cas n'est pas unique.
Des milliers de vie gâchées parce que les médecins ne sont pas formés.
Bon courage
@@lunelie7724 Après mon diagnostique, j’ai écrit à ce médecin, sans lui laisser mes coordonnées actuelles, juste pour qu’il rumine son erreur et peut-être aussi pour éviter une erreur de plus car il lui reste quelques petites années de pratique.
Moi, mon dentiste, je lui ai dit 'je suis autiste, et donc je vais fermer les yeux sous vos trop violentes lumières', réponse : 'mais non vous n'êtes pas autiste', âpre m'avoir vu 5 minutes. Mon dentiste quoi.
Ce n'est pas le médecin traitant qui pose ce type de diagnostic, elle est bizarre votre histoire !
@@lucemaillet630 J'ai des traits autistiques, et les dentistes représentent aussi pour moi un sujet sensible 😡
J'ai pu mettre un nom sur mes troubles par le biais de ma fille qui avait les même problèmes au Japon. En France il y a trop de retard , j'étais passée de psy en psy, en école spéciale, bourré d'anti dépresseur et je me ramassais l'intolérance. Il a fallut que je change de pays pour mettre un nom à mon mal être. Il faut que la France rattrape son retard et fasse évoluer les mentalité.
Vous êtes partis au Japon ? C'etait difficile de quitter le pays?
@@warwicktarot7668 non car il n'ay avait rien de bien en France. Il n'y a rien qui bon si tu es de la classe moyenne ou plus bas. donc je vais te dire, bon débarras. Là je suis retournée en france cet été pour ma mère , ca faisait 5 ans que j'étais pas venue et ba, c'est devenu pire que tous, surtout sur Paris...
@@hanmel5321 oui mais organiser une expatriation avec peut de moyens sa vous paraît possible ?
@@warwicktarot7668 trouver un job et ne plus revenir ! je ne suis pas riche, j'appartient à la caste du bas. et avec macron c'est pire maintenant.
Je comprends ce que vous ressentez…
Vivant au Japon j’ai bien du mal à revenir en France.
Le bon sens nous a quitté
Trop beau ce témoignage ! Merci ❤️
Quel beau témoignage, je retrouve ma fille dans ce discours 😊
Malheureusement les médecins avaient beaucoup de mal à diagnostiquer certains troubles... J'imagine que c'est encore le cas aujourd'hui. J'ai été diagnostiquée avec un TOC à l'âge de 26 ans... Pourtant j'en avais déjà parlé à ma médecin qui m'avait dit que ça passerait le jour où j'aurais des enfants... pour vous dire comme c'est mal compris ! J'ai dû pousser une autre médecin à me faire voir un psychiatre pour enfin diagnostiquer mon trouble. Quand j'ai dit à ma médecin que c'était bien un toc, elle était super surprise... non mais vraiment c'est vous dire... Je n'avais aucun doute sur ma pathologie car heureusement quand on pense l'avoir identifié, plein de bouquins peuvent vous aider puis il faut le faire officiellement via un psychiatre. Des années d'errance pour moi...
Il y a encore une majorité des gens qui pensent que l'auto-diagnostic pour l'autisme n'est pas valable alors qu'on parle de + de 90% des auto-diagnostiques qui sont justes !!! Juste parce qu'être autiste donne droit à des aides financières et sociales alors là c'est la panique générale et on vous refuse tout !
La France a 25 à 50 ans de retard question diagnostic.
Une souffrance importante pour les gens.
L'autisme ne ce dit plus d'Asperger depuis 2013 (dsm), je précise je suis moi même autiste, donc a ne pas prendre mal ^^
Par contre allez check (toute personne qui lis ce messages, ) les raisons du pourquoi sur google.
Mais pour résumer, ce n'est pas différent de l'autisme dans les critères de diagnostique, c'est le fait de ne pas être en défficience intellectuelle qui permet de masquer ces différences, a savoir que le masking (fait de masquer ces traits autistiques) a de graves conséquence dans le temps, dépression, envie suicidaire, burnout autistique entre autre. (je précise que ca invisibilise en plus l'autisme chez les femmes, une autiste sans déficience intelectuelle masquera bien mieux son handicap, pour des raisons tel que son éducations, et le comportement socialement admis des personnes assignés femmes a la naissances par exemple), il est important de vulgarisé l'autisme, mais également d'être scientifiquement exact sur les recherches, les définitions actuelle et pour cela, ce référé au derniers DSM est une BASE.
Donc Asperger a bannir, Trouble du spectre de l'Autisme, avec ou sans déficience intellectuelle, et avec besoins (modéré ou élever) d'assistance, ou non, est préférables. Il peut être aussi utile de préciser non verbale etc...
Vous feriez plaisir a abandonner le mot Asperger, un nazi de moins ça fera pas de mal, en plus permet de faire comprendre aux allistes (non autiste) que les personnes qu'elles appellent Asperger ca porte préjudice a la fois aux autistes en général, mais également a ceux que vous appelez Asperger car ca "invisibilise" les difficultés sensitives et émotionelle de la personne concerné car vous ne la voyez que dans son masking, que dans ce qu'elle veux vous laisser voir, quand a la fin de la journée nous somme en PLS dans le lit sans rien faire car trop de tout, odeur, bruit, gens et remarque, trop de codes sociaux parfois débile ou incompris et j'en passe des pas mures comme les "t'a pas l'air autiste", "j'ai un cousin autiste il mange ces légos, tu fait pas ca toi"
Non je fait pas ca au travail (quand j'en ai) mais par contre chez moi j'ai certains truc que j'adore mâcher que je ne fait pas en publique car très mal vu.
Éduquez vous sur l'autisme, regarder par exemple la chaîne youtube de "H Paradoxae" personne Autiste Militante qui a deux playliste sur l'autisme une sur "C'est quoi l'autisme" l'autre sur le comment faire avec.
En plus d'avoir un exellent contenue sur l'handicap entre autre ;)
Je conseil aussi le livre du Dr. Devon Price, Docteur en psychologie et sociologie, lui même militant autiste parlant de NeuroDiversité, le nom du livre en question c'est "Unmasking Autism"
Je suis autiste asperger et le DMS n’est pas une base pour moi car il est établi par l’association américaine de psychiatrie. Je rejete fermement le fait de classer l’autisme dans les troubles psychiatriques. Tant que les neurosciences n’auront pas déterminé avec précision les causes de l’autisme ( on sait que c’est dû à une hyperconnection neuronale mais le reste est encore flou), je persisterai à me dire “autiste asperger”.
Beaucoup sont, à tort, catalogués comme souffrant d'un trouble bipolaire lui aussi requalifié par le DMS.
Les conséquences sont catastrophiques.
Croyez-moi.
@@jacklili9036 Non, c'est également un changement de paradigme
@@jacklili9036 Je travail jusqu'à 18h30 mais à 19h+ je peux faire un commentaire détailler si tu veux
@@anneeivissac'est pas une médaille hein
Et comme la TDA ce sont des termes définis par les non concernés, comme ils nous voit, limite ce qui les gènes eux et pas ce qui nous handicape nous
Je ne me reconnais dans absolument aucun point abordé dans cette vidéo. Enfance heureuse, j'ai toujours eu des amis avec qui rigoler et passer du bon temps. Ce qui n'empêche pas ma mère de me dire - et de répéter à ses proches - que je suis autiste-asperger 🙂 Sans diagnostic, sans rien, juste parce que je suis introverti et qu'elle remarque que j'ai moins d'amis en études sup (ou parce que je me dispute parfois avec elle ?) 🙂 Et portant elle est psychologue non-praticante ayant commencé (et arrêté) une thèse sur l'autisme. Ça montre bien que même les "spécialistes" comprennent pas grand chose à cette maladie.
@@MartinV1 ce n est pas une maladie mais un tnd
C'est mon double cette Amandine. elle a les mêmes symptômes que moi sauf que je n'ai pas pu continuer en bac général et elle a fait une phobie scolaire chose que j'aurai pu faire en 6ème ou 5ème car tout le collège se moquaient de mois. J'ai aussi été diagnostiqué à 30 ans.
ca s'appelle être un rater on te comprend....
@@anarkiamusicmovie7036 un "raté" - "é" - vous voulez dire? C'est amusant par ce que vous vous moquez mais vous ne savez même pas écrire correctement....
Vous avez simplement une conscience et une réceptivité plus élevée que les autres...
Quel beau témoignage amen !!
autisme ou pas, elle touche du doigt des sujets qui nous concernent tous en tant que société: la différence, l'acceptation de la différence, la tolérance, le système scolaire avec ses avantages et inconvénients
J'ai 31 ans et j'ai été diagnostiqué autiste asperger... Et j'ai vécu la même chose....
Juste préciser que Asperger ça n'existe plus depuis 2013 et le livre DSM5. ça a été fondu dans TSA en général. "Le syndrome d'Asperger n'est plus classé en tant que trouble à part, et, à la place, est classé dans la section des troubles du spectre de l'autisme (TSA)."
Merci de mettre cette information car j'ai l'impression que encore les gens essaye de quantifier le tsa. En disant autisme léger, lourd, asperger (pour moi le mot va sur asperge 😂) et autres alors qu'on parle de troubles du spectre autistique avec ou sans déficience intellectuelle.
Pour ma part quand j'explique mes diag j'ai l'impression d'être un ovnis qui a plusieurs troubles associés en comorbiditer à cause de mes diag tardif. (J'ai 28 ans ). Donc il faudrait dans notre pays une réelle actualisation des diagnostic pour les femmes adultes et enfants. Et que les spécialistes arrête de dire que comme on arrive à regarder dansa les yeux ou autre on a pas de tsa. ^^
On en a rien à faire des querelles de phrasologie des psychiatres. On a qu'à tous les mettre dans la case attardé mental pour une meilleure lisibilité.
Pourquoi la vidéo coupe et ne laisse pas la fin ?
Mon fils de 13 ans est également autiste asperger, notre fierté ❤
Je trouve ça blessant de dire que l'autisme (sous toutes ses formes) est une fierté, ou quelque chose de cool..
Bien évidement, si c'est la personne qui en est atteinte qui le dit, ça va, mais une personne extérieur qui ne le vis pas n'a pas le droit de dire ce genre de choses, car c'est une souffrance quotidienne et non pas un super pouvoir.
@@petitbato2789je pense que c'est pas dans le sens comment tu penses. Mais beaucoup de personnes regarde les autistes comme si c'était des personnes bizarres... etc Donc oui elle à droit de dire que c'est une fierté .. en tant que maman j'aurais dis la même choses pour mon fils quand il sera pointé du doigt contre les gens qui ne comprennent pas ce que cest l'autiste 😒
C’est son fils dont elle est fière, pas de l’autisme 😉 Elle est fière de lui tel qu’il est.
@@petitbato2789il vaut mieux voir ça comme un atout majeur avec son lot de challenges que de le voir comme une difficulté ou pire une anomalie.
Peut être que l’âme a choisi d’expérimenter cette particularité dans cette dimension et incarnation, on ne sait pas.
En toute situation on peut choisir de penser que tout ce qui arrive arrive pour notre bien ou tout ce qui arrive arrive pour notre mal.. sachant que dans l’absolu l’un et l’autre sont les revers d’une même médaille ☯️ appelé conscient et inconscient à notre époque, mais je pense que vous m’avez comprise…
Bien à vous.
Toute faculté, capacité, appétence pour être pleinement humain(e) est un atout et un atout majeur. Donc célébrer et honorer car tout arrive toujours pour le meilleur, même quand on est dans le trou noir, garder les yeux rivés sur l’étincelle de lumière aussi faible soit-elle.
Toutes les particularités méritent d’être nommés et reconnues, cela est essentiel mais c’est une étape, pas une fin. C’est important de le dire et de le savoir.
Personnellement, je suis toujours très distante et “prudente” avec toute sorte de qualificatif en ne niant pas qu’il fait référence à une réalité par contre. La nommer est important, ne pas s’enfermer dans ce nominatif me semble encore plus important.
Ce qui engendre de la douleur et/ou de la souffrance c’est l’impression que cette particularité nous sépare ou nous isole des autres car on est alors un cas. Mais la réalité c’est que cette illusion de séparation ne peux être car pour se croire déconnecté, il faut être connecté pour créer l’illusion de la déconnection 😅 si les plus éveillés m’ont suivis.
En tout cas je trouve que tout en voyant nos particularités et notre unicité, on peut simultanément remarqué que tout est lié et que une chose et toute chose et toute chose est une chose donc les nominatif c’est bien pour communiquer savoir de quoi on parle, mais faut aussi accepter que le nom n’est jamais la chose et que cette réalité non saisissable elle mérite plus que un nom, un qualificatif ou de simples mots…
Joie, amour et paix sur nous. ❤️🔥 Puisque nous sommes, notre êtreté à toujours raison d’être puisqu ’elle est, justement.
Je souhaite bon courage et bonne chance pour la suite à cette jeune fille
Content d'apprendre que le syndrome asperger est accepte en France.
On le voit tout de suite quand un enfant n’évolue pas comme les autres il s’isole ne joue pas avec les autres n’a aucune émotion et réaction naturelle face a une blague .. ils ont une attitude de robot qui apprend par cœur se tiens droit assidu bon élève aucune amie .. les parents ne veulent pas le voir souvent j’ai des amis à qui je l’ai signalé il l’ont mal pris pour leur fille de 4 ans tous le monde l’avait remarquer sauf eux c flippant
Simple observateur et confronté dans mon entourage propre à ce trouble, je pense qu'il y a une hérédité dont on ne parle pratiquement jamais. Le diagnostic est très important, le plus tôt possible, mais faut-il encore qu'il soit admis par la personne atteinte et sa famille. Les troubles mentaux étant encore très stigmatisés, difficile de faire sauter les tabous.
Je me reconnais pour beaucoup de choses mais comme je n'ai pas d'intérêt spécifique pour un domaine (un des critères diagnostiques) j'imagine que c'est de l'anxiété sociale.
J'ai un diagnostic de drepression mais comme je n'arrive pas à exprimer ce que je ressens à moi même alors un inconnu...
Tout le monde à une super maladie qui dédoine de tout et inspire pitié de nos jours.
Pour rappel le type "asperger" n'existe pas. Aujourd'hui on parle de TSA avec ou sans déficience intellectuelle.
On a longtemps pensé que la déficience intellectuelle faisait partie de l'autisme, d'où la catégorie "asperger" pour designer les "autistes de haut niveau", sauf qu'il n'y a pas de lien entre entre autisme et intelligence. (Je vulgarise pour ne pas ecrire un pavé hein)
Ce qu'il y a à retenir c'esr que les "aspergers" sont des autistes généralement HPI (comme moi), tout simplement.
Si votre psy vous parle d'autisme asperger il est bien en retard sur les connaissances et il faut en changer.
Même histoire que ma fille. Vraiment, On est occupé à faire les tests, elle a 22 ans. ❤
Dans tout ça je comprend pas ce que ça change de le savoir ou non . j'ai eu a quelque détail le même parcours , mais aujourd'hui j'en ai plus rien a faire d'aller voir un spécialiste , et de toute manière ça changerais quoi ? Pas envie de me trouver un prétexte pour mes difficulté personnel . J'ai jamais trouver les autiste si différent que ça , d’ailleurs je les préfère car il sont bien plus honnête.
La pauvre, elle a 30 ans depuis sa tendre enfance
Pareil la 4 eme, on avait un groupe atypique dans la même classe mais rien n' y fait decrochage scolaire depuis cette periode, hqi diag mais pas le tsa
"Etre différent dans une société malade, est un signe de bonne santé"
non ça veut rien dire concernant le sujet
Ho que si ça veut tout dire.
Merci Valentire de VOTRE partage,
💥
Courage à vous mademoiselle et beaucoup de bonheur ❤
Elle est belle, intelligente
Peut-être, mais ce n'est pas pour ça qu'elle est venue témoigner !
@@ED-tr2jhjuste une remarque, pq t’es heurté
Si elle, tu la trouves belle et intelligente, je n'ose pas imaginer le profil de tes amis et de ta famille 😂
Diagnostiquée à 50 ans, sentiment d'être d'une autre planète 😂 Je vous conseille les vidéos et le livre de Tony Attwood (vivre avec le syndrome d'Asperger)
J'ai 37 ans et j'ai passé 34 années de ma vie sans savoir que je suis autiste. J'ai été diagnostiqué autiste Asperger il y a 3 ans.
Incroyable
C’est assez léger, pour ma part je suis Asperger et ne serais ce que de parler à la journaliste ça serait impossible. Une interaction est très compliqué et garder un travail je ne peux pas… Je change d’emploi chaque mois.
Tous les asperger sont exactement pareil? Vous n'avez pas de personnalité propres? Des caractéristiques propres à chaque individu? Il faut nécessairement que tous les asperger se comportent comme toi pour que le monde les accepte en tant que tel?
@@parisienneETfiereⁿ
Moi je suis persuadée d'être autiste je ne m'intéresse pas aux autres, j'ai aucune conversation avec les gens j'arrive pas à créer de liens je suis toujours dans ma bulle ! 😓
C'est du cinoche pour chopper des allocs
@@RisitasPolonais7335 bon sang mais c'est bien sûr ! Trouduc
oui, enfin faut arreter de se croire autiste pour ça.. ça peut etre tellement d'autres choses, et crois moi que l'autisme ce n'est pas juste etre dans sa bulle et ne pas s'intéresser aux autres-
@@petitbato2789
Oui elle n'a probablement pas dit tous ses signes
@@Laurie_ginale C'est probable vu l'errance diagnostique, qui est d'autant plus importante si tu es une femme (ce que je suppose) L'INSEE nous dit qu'au moins 1% de la population est autiste mais des études récentes menées aux USA et Royaume Uni semblent indiquer un taux compris entre 1,7 et 2.5% ce qui est énorme.
J'ai passé 6 ans à m'autodiagnostiquer, j'ai croisé énormément de gens qui ont nié mon introspection et mes ressentis, jusqu'à mon diagnostique. je ne sais pas pourquoi quand on se suppose un trouble ou une condition la plupart des gens réagissent comme si on les avait attaqués. Faut pas les écouter. Si la question se pose il faut faire ce qui est nécessaire. Il n'y a aucune honte ni aucun mal à se croire autiste, et si après avoir passé les tests il s'avère que tu n'es pas autiste, PERSONNE ne t'en voudra. Dans tous les cas il vaut mieux être introspectif et se tromper plutôt que de rester dans le déni de son fonctionnement.
Line,
Gloire à Dieu ! Merci Jésus pour ton amour.🙏🤗
C'est beau 😍😊, gloire au Seigneur !
Félicitations
J'aimerai être autiste asperger comment on peut faire?
J'ai 33 ans et je commence a découvrir que je le suis également
29 ans idem.
Comme des caméléons 😮 ça doit être encore plus difficile pour le diagnostic.
Bonne chance !. 🙏✌️ !.
La roue tourne sachez le
Il faut se tourner vers le CRAIF pour obtenir des conseils pour avoir un diagnostic et un accompagnement adapté !
La suite svp
Mais c'est pas grave, on survit et on devient des caméléons.
Observation du milieux hostile, analyse des comportements, intelligence situationnelle (la culture générale hors norme permet de s'adapter avec des comptables, des ingènieurs, des bikers). C'est dingue, un puit de savoir et écouter, comme j'écoute, je comprends tout très vite et en plus je trouve des solutions rapidement ça permet de s'adapter.
C'est juste rire, je peux être très drole avec un humour hyper particulier mais ça peut bien marcher, par contre j'ai énormément de mal avec l'humour débile, je cherche à comprendre pourquoi il faut rire alors qu'il ne faut pas chercher donc il y a un décalage et je ne sais pas faire semblant, c'est pas possible.
Je ne sais pas être paresseux ou pas conscienceux, je dois toujours respecter mes engagements, je suis ultra ponctuel, en avance. Je ne comprends le mensonge pure, ça me fou en l'air, (le subtile, le manipulateur dans un cadre avec une finalité et habilité, ok, je suis pas dupe mais ok c'est un jeu, ça va) en fait c'est la mauvaise foie c'est impossible qd je dis impossible c'est vraiment alors que les autes fonctionnent sur des faux semblants, des mensonges pures, des trucs infantiles, Je ne supporte pas.
Je ne sais pas me mettre en l'avant, j'ai fait une grande Ecole, je suis pluridisciplinaire et je travaille à un niveau très inférieur car je suis dans ma bulle et serein, comme je ne suis pas matérialiste (je ne comprends pas) que je n'ai pas de besoin de reconnaissance, de statut, que j'en ai rien à battre des conventions totales même si comme je l'ai dit, je m'adapte partout mais intrasèquement c'est tellement hors de moi mais ça passe, bon d'accord Electron libre, l'ovni, etc ça me colle à la peau mais voilà c'est moi ET.
J'ai tjrs été l'extraterrestre, là je suis seul, je veux personne, mes amis ne peuvent être que des extra terrestres.
Je suis exactement pareil, sauf pour une seule chose, moi je suis plutôt paresseux et oisif, je tire beaucoup de plaisir contemplatif. Mais je sais travailler car j’ai 2 master et un petit boulot planqué (histoire de reprendre mon souffle car je suis épuisé spirituellement)
Ton témoignage est très intéressant, merci de nous l'avoir partagé. Puis-je te demander ton diplôme et ton poste actuel ?
J'ai decouvert a 15 ans que je suis autiste mais on dirait que personne ne le voit a part moi
Y a vraiment une énorme méconnaissance de l'autisme, et encore plus au féminin, parmi les 'professionnels', psychiatres par exemple. Et chez la population générale. Mais pour connaître l'autisme, il faudrait encore le vouloir.
Masquer c'est tellement épuisant
Difficile de pas faire burn out sur burn out à force de masquer tout le temps
On aimerait bien savoir quand et comment elle a été diagnostiquée...
Pourquoi faire ? tu veux voir ses papiers d'identité aussi ?
Recherche de ton côté
En allant chez un psy...comme tous les autistes.
Moi aussi je suis autiste et sa a pas été facile dutou d'être a
Trop drôle votre accent haha!! asperGEUR !! La bonne façon de prononcer est aspergAIR ;)
Accent alsacien, y a quoi de drôle??
Qu'est-ce qu'on s'en fout
J'ai le syndrome d'asperger moi meme. J'adore le basket mais vu que j'ai le syndrome. Je le pratiquais de ma propre maniere.
C'est à dire ?
Je suis dépassée.
Un vrai empathe ne laisse pas passer du harcèlement sans réagir.
Ahah il a déjà sortie le démon bien avant 🙃
pour lui ou pour les autres ?
Pareille que moi 🎉
Chouette qu'elle s'en soit sortie. Il n'y a que l'amour d'un partenaire (et rien d'autre) qui peut sauver la mise!
Dommage qu'elle soit prise, je crush sur elle. Je suis aussi aspie.
Oui, elle est toute mimi :-)
Bordel respectez vous 😂
Est-ce de l’autisme, ou de l’oblomovisme qui traumatise ? Selon moi, ce qu’elle décrit, c’est pas une enfant spéciale, juste une enfant normale au milieu des gobelins modernes qui hurlent, gesticulent et agressent, oui, être au milieu de ce chaos permament lorsqu’on est juste un peu plus normale et délicate que les autres, ça doit traumatiser.
Regardez les vidéos sur la chaîne de l’INA des enfants en France dans les années 50 ou 60 ans, ils sont sages comme des images, polis et tout, des rires délicats, et pas la moindre once d’agressivité, pas la moindre. Étaient-ils tous autistes ?
Non non, cette femme est traumatisée par la brutalité de son époque, c’est sûrement autre chose que l’autisme.
Le livre Oblomov parle d’un bourgeois russe qui finit sa vie dans son canapé de peur de sortir et voir ce monde (la fin du 19ème siècle, et les horreurs du 20ème déjà prévisibles) horrible qui change, ce qui donne l’oblomovisme, ou les hokikomori du Japon, des oblomov tardifs, traumatisés de leurs époques.
Je pense qu’on néglige un tout petit trop ce que cette époque que l’on est entrain de vivre est capable de faire à une psyché humaine.
Mon mari vient d'être diagnostiqué à 24 ans
24 ans et déjà marier il est chou le bogoss
@@Pierrensjfjgdnxivjd je me suis dis la même chose , du bonheur les tourtereaux
Et du coup , quel est sa singularité. Je demande car à 35 ans , je suis en plein questionnement .
@@leconteurdhistoirespourenf2091 on l'avait diagnostiqué HPI étant enfant mais il sentait bien que ce n'était pas ça. Et puis on a vu une série dans laquelle le personnage principal était autiste, je l'ai pas mal reconnu dedans, c'est ce qui nous a mis sur la piste.
On peut être autiste et HPI.
Pareil ma scolarité
moi aussi j'ai découvert que j'étais hautement aspergée ...
Je suis marié depuis vingt ans avec une autiste asperger.
Courage
C'est juste une starseed, l'empathie est le révélateur, sa partie animique non-humaine est venue s'incarner ici.
J'ai pas l'impression qu'elle soit autiste, ca m'a plutôt l'air d'être une gentille fille dans une société corrompue
Moi aussi je pense la même chose.
Connaissez-vous un organisme qui effectue les diagnostics sur Paris ?
Sur internet, tu dois pouvoir trouver le numéro d'un CRA (centre ressources autisme) les délais sont très longs, donc si tu as les moyens, tu peux demander aux gens du CRA des numéros de psychologues spécialisés dans le privé.
Heureusement quz tout ceux qui sont dans la difficulté ne se cherche pas absolument une raison medicale.😂
La pauvre elle pas de chance j'aimerais pas être sa place mon dieu
Moi je suis sur qu’elle ne préférai pas être différente
On ne changerai pour rien au monde meme si cela peut être affectant d’éprouver autant de sensibilité et d’empathie avec ce qui nous entoure 🤗
Le genre de remarque qui doit absolument pas plaire aux concernés 😂
un peu rentre dedans la journaliste comme si l'invitée lui devait quelque chose
A 45 ans pour moi...
ce sont des problèmes qui se perpétuent tout simplement parce que l'éducation nationale ne fait pas son boulot et ne l'a jamais fait par rapport aux neuretypiques
Stop aux asperger allez voir dans les centres ! Il y a des enfants et des jeunes en souffrance
Mon frère est autiste
❤
Des asperges !!!
Moi à 24 ans...
C pareil bordel 😂😭😭😭
Bon courage pour se faire diagnostiquer.... Comme par hasard ils n'en parlent jamais sur les plateau....
J'ai 46 ans et je viens de découvrir que je suis aussi autiste ...
❤💚
On ne dit plus “Asperger” pour des formes d’autisme sans retard de language ou déficience intellectuelle. Ce terme est abandonné depuis plus de 10 ans. Les psy doubent se mettre a la page et les programme télé aussi! Hans Asperger n’etait pas un mec bien ( il a envoyé un bon nombre d’autistes aux chambres à gaz). Les gens pensent qu’en se disociant les “ aspegers” des “ autistes classique” on leurs fait une fleur mais pas du tout! Arretez donc d’utiliser ce terme ! 😢
Ben je comprends pas, ils sont malheureux et servent à rien à la société, leur place n'est pas dans les chambres ? 🤔
Idem
Les questions et remarques de la dame sont d une nullité