Incroyable ! De vraies photos de Mercure - Qu'avons-nous trouvé ?

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  • Опубліковано 16 лют 2024
  • C'est vraiment incroyable : la sonde MESSENGER sur Mercure nous a surpris avec de nouvelles découvertes révolutionnaires. Les premières images réelles révèlent un monde rude et chaud caractérisé par des fluctuations de température extrêmes et un paysage fascinant, parsemé de cratères. Ces images nous offrent un aperçu sans précédent des mystères de Mercure, l'une des planètes les moins explorées de notre système solaire. Il y a une bonne raison à cela : sa proximité avec le soleil et les conditions extrêmes qui y sont associées en font une cible extrêmement difficile et l'un des plus grands défis pour les voyages spatiaux.

КОМЕНТАРІ • 30

  • @lordgrundy858
    @lordgrundy858 4 місяці тому +6

    J'ai pas compris.
    59 jours terrestre pour faire un tour complet sur son axe. Et 88 jours terrestre pour faire le tour de son orbite... vous dites qu'une année sur mercure est plus petit qu'un jours.
    Avec ces informations pour moi c'est faux.
    En revanche si elle met plus de 88 jours pour tourner sur elle même là je comprendrais.

  • @ra.geneve.9181
    @ra.geneve.9181 4 місяці тому

    Excellent document 🎉

  • @yvesqueva462
    @yvesqueva462 4 місяці тому +1

    Merci

  • @thierrygisbert5616
    @thierrygisbert5616 4 місяці тому

    Bonjour à vous continuez comme ça très très intéressant 👏

  • @user-yd1es8ud6f
    @user-yd1es8ud6f 4 місяці тому

    Une vidéo déconcertante et très intéressante

  • @franckmt4602
    @franckmt4602 4 місяці тому

    bonne continuation Simply Space..

  • @ioanbota9397
    @ioanbota9397 4 місяці тому

    Realy I like this video so so much

  • @alectravis7622
    @alectravis7622 4 місяці тому +5

    Ce ne sont pas de vrai photo tristement encore la un montage avec du faux et très peu de vrai

  • @philippeponsot8546
    @philippeponsot8546 4 місяці тому

    merci

  • @lioneldevine8019
    @lioneldevine8019 4 місяці тому +7

    Une rotation complète de Mercure - un jour et une nuit - prend 176 jours terrestres, soit deux années mercuriennes complètes.

  • @nutier
    @nutier 4 місяці тому

    Très belle vidé que j'aime ! merci beaucoup de la nous partager avec plaisir . Est ce qu'il y a aussi des volcans dans cette planète ? combien d'années qu'elle tourne autour du soleil ?

  • @batelstar
    @batelstar 4 місяці тому

    T as inversé les données mon potes entre l annees et le jours!

  • @jeanmarclouis1739
    @jeanmarclouis1739 4 місяці тому

    Salut ! Se peut il que les spécificités de Mercure soient la conséquence d'une réaction a la chaleur d'une part du coté du Soleil et d'autre part du coté de la chaleur de Vénus qui tourne en plus en sens inverse ?

  • @maximemalecki3153
    @maximemalecki3153 4 місяці тому +1

    Merci. Mais non, un année de Mercure (88 jours terrestre) n'est pas plus courte qu'un jour (59 jours terrestre) ?!

    • @roccoscibilia1818
      @roccoscibilia1818 4 місяці тому

      Il ne répond même pas... je le ban direct....

  • @Oliveir51
    @Oliveir51 4 місяці тому

    Un cratère d'atterissage pour UFO ?

  • @Ironthug
    @Ironthug 4 місяці тому +2

    on veut voir des images de mercure et sa nous parle 1h de venus et du soleil ! c simplement merdique.

  • @JeanpaulBaptiste-sb5qj
    @JeanpaulBaptiste-sb5qj 4 місяці тому

    Mercure Venus? Plusieurs. Centaines de milliers de kms ? Vous êtes tristes

  • @omarbelmir4295
    @omarbelmir4295 4 місяці тому +1

    Tout est faux baratinage

    • @shaddouida3447
      @shaddouida3447 4 місяці тому +2

      Un cristal temporel utilisé avec succès pour stabiliser les calculs d’un ordinateur quantique
      Pour la première fois, l’intégration d’un cristal temporel dans un ordinateur quantique a permis de stabiliser l’état quantique des qubits dans le cadre d’une récente expérience. Inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger, le système utilise des séquences de micro-ondes pour former un cristal temporel filtrant les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique.
      La stabilisation des états quantiques représente un défi majeur pour l’essor de l’informatique quantique, une technologie prometteuse qui pourrait révolutionner le traitement de l’information. Récemment, une équipe de chercheurs de l’Université de l’Académie des sciences de Chine a franchi une étape significative dans ce domaine.
      Le travail, publié sur la plateforme de pré-impression arXiv, démontre l’utilisation d’un cristal temporel en tant que « bouton de contrôle » pour stabiliser un état quantique fragile, inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger. En utilisant des séquences micro-ondes pour former le cristal temporel, le système protège ainsi l’état quantique des qubits contre les perturbations.
      La naissance des cristaux temporels
      L’idée des cristaux temporels a été introduite par Frank Wilczek en 2012. En proposant l’existence d’un état de la matière qui oscille de manière périodique sans consommation d’énergie externe, Wilczek a remis en question des principes fondamentaux. Cette oscillation, qui en réalité n’est pas perpétuelle (interdit par les lois de la physique), défie tout de même l’intuition première sur l’équilibre thermodynamique et la conservation de l’énergie. Initialement accueillie avec scepticisme, la théorie a gagné en crédibilité à mesure que des expériences ont confirmé la possibilité de créer de tels états, transformant une curiosité théorique en une réalité expérimentale. Contrairement à ce que suggérait Wilczek cependant, un cristal temporel nécessite bel et bien un apport d’énergie externe.
      Le récent exploit du physicien Biao Huang et de son équipe a permis de franchir une étape supplémentaire en matérialisant ce concept dans le domaine de l’informatique quantique. En intégrant un cristal temporel discret au cœur d’un ordinateur quantique, ils ont non seulement démontré la faisabilité de ces états dans un système strict, mais leur ont aussi trouvé une application pratique concrète. Le cristal temporel agit comme un régulateur, ou un « bouton de contrôle », qui maintient les qubits dans un état de fluctuation temporelle contrôlée. Cette stabilité des états quantiques est essentielle pour le calcul et la communication quantiques.
      Le défi de la stabilisation d’un état quantique fragile
      Les qubits, unités de base de l’information dans un ordinateur quantique (à l’instar des bits dans un ordinateur classique), peuvent exister dans des superpositions d’états, c’est-à-dire être dans les états 1 et 0 simultanément, contrairement aux bits classiques qui sont limités à un état fixe à tout moment (0 ou 1). Lorsque ces qubits sont arrangés dans un état GHZ (Greenberger-Horne-Zeilinger), ils manifestent un enchevêtrement quantique à un niveau profond, signifiant que l’état de chaque qubit est intrinsèquement lié à l’état des autres, peu importe la distance qui les sépare. Cependant, cet enchevêtrement, bien qu’offrant des possibilités extraordinaires pour le calcul quantique, rend l’état GHZ extrêmement sensible aux perturbations environnementales. Cette sensibilité augmente avec le nombre de qubits impliqués, posant un défi majeur pour la réalisation d’états GHZ stables et exploitables dans des applications pratiques.
      Face à cette vulnérabilité, l’innovation apportée par l’utilisation d’un cristal temporel représente une solution ingénieuse. En exposant les qubits à une séquence spécifiquement établie de pulsations micro-ondes, les chercheurs ont pu induire une oscillation temporelle régulière des états quantiques, caractéristique d’un cristal temporel. Cette méthode a permis de créer un environnement stable, agissant comme un « abri » pour l’état GHZ. Autrement dit, le cristal temporel filtre les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽

    • @shaddouida3447
      @shaddouida3447 4 місяці тому +1

      Le télescope spatial James Webb découvre par erreur une galaxie qui ne devrait pas exister
      La découverte d'une galaxie naine, nommée PEARLSDG, par une équipe d'astronomes dirigée par Tim Carleton de l'Université d'État de l'Arizona, remet en question nos connaissances sur l'évolution des galaxies. Observée grâce au Télescope Spatial James Webb (JWST), cette galaxie se distingue par son absence de formation stellaire et son isolement, défiant ainsi les théories actuelles.
      Les galaxies naines, souvent définies par leur petite taille et leur faible luminosité, sont parmi les objets les plus abondants de l'Univers. PEARLSDG, cependant, présente des caractéristiques inattendues pour une galaxie de ce type: elle ne forme pas de nouvelles étoiles et ne semble pas interagir avec d'autres galaxies voisines. Ce profil est atypique pour une galaxie naine, qui, lorsqu'elle est isolée, continue généralement de former de jeunes étoiles.
      PEARLSDG est identifiée en cyan, et les carrés verts montrent la zone couverte par l'imagerie NIRCam. Deux des galaxies massives les plus proches (en projection) sont identifiées par des cercles rouges.
      Crédit: The Astrophysical Journal Letters (2024).
      La découverte a été faite dans le cadre du projet JWST Prime Extragalactic Areas for Reionization and Lensing Science (PEARLS), bien que PEARLSDG ne fût pas l'objectif principal des observations. C'est l'analyse des images prises par la caméra Near-InfraRed (NIRCam) du JWST qui a permis de mettre en évidence cette galaxie naine éloignée. La résolution et la sensibilité élevées de NIRCam ont rendu possible l'identification des étoiles individuelles au sein de PEARLSDG, offrant ainsi une précieuse information sur la distance de la galaxie, estimée à 98 millions d'années-lumière.
      L'absence de signature de formation stellaire récente, typique des nouvelles étoiles, ainsi que l'analyse spectrométrique réalisée avec le spectrographe DeVeney sur le télescope Lowell Discovery à Flagstaff, en Arizona, confirment l'état de stase de PEARLSDG. Ces observations sont complétées par des données d'archives en ultraviolet, optique et infrarouge, provenant notamment des télescopes spatiaux Galex et Spitzer, ainsi que du Sloan Digital Sky Survey et du Dark Energy Camera Legacy Survey.
      Cette découverte remet en cause la compréhension actuelle de l'évolution des galaxies, suggérant l'existence d'autres galaxies naines isolées et quiescentes qui restent à découvrir. Le JWST, avec ses instruments avancés, joue un rôle clé dans cette quête, ouvrant de nouvelles perspectives sur la formation et l'évolution des galaxies dans l'Univers.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽

    • @shaddouida3447
      @shaddouida3447 4 місяці тому +1

      Une étude suggère que le cosmos fusionne avec des « bébés univers » parallèles
      Un article récent aborde une nouvelle théorie sur l’expansion de l’univers. Elle postule qu’elle pourrait non pas être le résultat de l’énergie noire, mais de la fusion constante de notre cosmos avec des « bébés » univers parallèles. Explications.
      Le problème de l’énergie noire
      Selon le modèle cosmologique standard, l’expansion accélérée de l’univers est attribuée à l’existence de l’énergie noire. Cette substance mystérieuse aurait une pression négative, ce qui provoquerait une force répulsive, s’opposant à la gravité et contribuant ainsi à l’expansion continue du cosmos.
      L’énergie noire n’a cependant jamais été directement observée ni mesurée en laboratoire. Son existence est postulée pour expliquer les observations cosmologiques, mais son invisibilité pose forcément un défi conceptuel.
      Au cours de ces dernières années, certains astrophysiciens et cosmologistes ont ainsi remis en question l’idée même de l’énergie noire en explorant des alternatives. Des théories modifiées de la gravité, telles que la modification de la relativité générale, ont notamment été proposées comme substituts potentiels, bien que tout cela reste théorique
      Une nouvelle théorie
      Une étude récente propose une autre approche théorique en suggérant que l’expansion accélérée pourrait être expliquée par la fusion constante avec d’autres univers parallèles, que les scientifiques qualifient de « bébés » univers.
      Cette théorie se base sur des calculs mathématiques. Dans leur article, les chercheurs affirment que la fusion avec d’autres univers augmenterait le volume de notre univers. Cette augmentation de volume pourrait être perçue comme une expansion du cosmos, ce qui correspondrait aux observations du fond diffus cosmologique, la rémanence du Big Bang.
      Par ailleurs, les calculs basés sur cette théorie semblent correspondre plus étroitement aux observations de l’univers que le modèle cosmologique standard. Cela suggère que la fusion avec d’autres univers pourrait fournir une explication plus plausible de l’expansion actuelle.
      Une possible explication à l’inflation cosmique
      La théorie aborde également l’inflation cosmique, un concept clé en cosmologie qui postule une expansion extrêmement rapide de l’univers dans les premiers instants après le Big Bang.
      Pendant la période d’inflation, le cosmos aurait en effet connu un taux d’expansion environ 10^26 à 10^30 fois plus rapide que l’expansion actuelle. Cette phase d’inflation cosmologique aurait également duré brièvement, probablement de 10^-36 à 10^-32 secondes après le Big Bang.
      Cette phase d’expansion intense, qui se serait finalement diluée pour donner lieu à l’expansion plus lente que nous observons aujourd’hui, résout certains problèmes et explique certaines observations, comme l’homogénéité et l’isotropie de l’univers observable.
      Dans le cadre de la nouvelle théorie, les chercheurs suggèrent une alternative à l’inflation en reliant l’inflation cosmologique à l’absorption de notre jeune univers par un univers plus grand. Selon cette idée, l’expansion ultra-rapide dans les premières millisecondes pourrait donc résulter de cette absorption plutôt que de l’action d’un champ d’inflation.
      Bien que la théorie résolve certains problèmes conceptuels, les chercheurs soulignent que seule la validation expérimentale à travers des observations pourra confirmer ou infirmer leur hypothèse. Les instruments comme le télescope Euclide et le télescope spatial James Webb sont mentionnés comme des moyens potentiels de tester ces idées.
      Une civilisation de type I est capable d'accéder à l'intégralité de l'énergie disponible sur sa planète et de la stocker en vue d'une consommation. Une civilisation de type II peut consommer directement l'énergie d'une étoile.
      Une civilisation de type II va un peu plus loin. Elle est capable de construire l'une de ces fameuses « sphères de Dyson » qui lui permettrait de consommer la totalité de l'énergie produite par son étoile. Une civilisation de type III, enfin, serait capable de faire de même avec toutes les étoiles de sa galaxie.
      Ces civilisations de types IV , V voire VI seraient capables de manipuler les structures cosmiques (galaxies, amas galactiques, superamas) et même d'échapper au Big Crunch par des trous dans l'espace.
      Après avoir acquis la maitrise de l'énergie disponible dans l'univers, une civilisation de type cinq correspond à une civilisation qui a découvert le moyen de voyager vers d'autres univers et de tirer parti de la puissance de multiples univers.
      Type VI : le niveau énergétique de plusieurs univers additionnés s'établit aux environs de 1066 W, dans le prolongement des niveaux inférieurs. cette civilisation pourrait abandonner un univers mourant et devenir éternelle ; des civilisations moins avancées en aurait également la possibilité.
      Type VII : déité capable de créer des univers à volonté, et de les utiliser comme sources énergétiques. Leur puissance énergétique est virtuellement infinie, seulement limitée par le nombre et la taille des univers créés et s'élèverait à la hauteur vertigineuse de 1076 ou même 10100 W. Ce type de civilisation serait vraisemblablement immortelle, car la création d'univers nécessite que la civilisation soit extérieure aux univers créés.🌏🌎🌍🌠🌠🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽👽👽👽

    • @shaddouida3447
      @shaddouida3447 4 місяці тому +1

      Comme un voyage dans le temps : le télescope spatial James Webb retrace l'histoire d'une galaxie née juste après le Big Bang
      Le télescope spatial James Webb a permis d’identifier et de retracer l’histoire d’une galaxie née juste après le Big Bang.
      Atlantico : Le télescope spatial James Webb a permis d’identifier et de retracer l’histoire d’une galaxie née juste après le Big Bang. Elle a été désignée comme la galaxie “WLM”, et se trouve relativement proche de la nôtre. Que sait-on, exactement, de cette voisine de la Voie Lactée ?

    • @shaddouida3447
      @shaddouida3447 4 місяці тому +1

      Le James-Webb a observé une galaxie ancienne que n’explique pas la matière noire
      Les articles et les découvertes se multiplient concernant des galaxies anciennes que peut maintenant bien observer le James-Webb en succédant à Hubble et qui ne semblent pas vraiment compatibles avec les prédictions du modèle cosmologique standard, bien que le débat soit encore loin d’être clos. La dernière découverte en date porte sur une galaxie déjà quatre fois plus massive que la Voie lactée seulement un peu plus de 2 milliards d’années après le Big Bang.
      On sait que le modèle cosmologique standard repose sur l’existence de particules encore jamais vues et qui ne doivent pas pouvoir émettre de la lumière, ou alors très peu, mais capables d’agir sur les particules connues, comme les baryons que sont les protons et les neutrons, par interaction gravitationnelle. Les détecteurs du LHC au Cern tentent de les voir dans les produits des collisions entre les faisceaux de protons de ce grand accélérateur de particules, mais les particules de matière noire que postule donc la cosmologie sont peut-être tellement massives que pour les créer il faudra, en accord avec la fameuse relation d’Einstein E=mc2, monter à des énergies qui nécessiteront un collisionneur de presque 100 kilomètres de circonférence.
      En attendant, on cherche toujours des indications nouvelles de l’existence et des…

  • @johnattanahmed6147
    @johnattanahmed6147 4 місяці тому

    Titre putaclic ! Bavardage pour ne rien dire ! Nombreuses approximations !
    Bref ! Très peu pour moi...

  • @christianmeziere7917
    @christianmeziere7917 Місяць тому

    que du bla bla