Poulenc - Quatre petites prières de Saint François d'Assise (1948)

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  • Опубліковано 25 гру 2017
  • FP142
    I. Salut, dame Sainte 0:02
    II. Tout puissant, très saint 2:10
    III. Seigneur, je vous en prie 3:25
    IV. O mes très chers frères 4:45
    Performers : Tenebrae Choir

КОМЕНТАРІ • 24

  • @pierrevidement3266
    @pierrevidement3266 4 роки тому +48

    Poulenc wrote these 4 Prières for his cousin, Jerome, a friar. Perhaps one of the most beautiful works ever written for male choir. Such equilibrium in voices, such originality in the melodic effects, such expressive harmonies... on a beautiful and meaningful text of St Francis. Each of these 4 motets is a gem with its own subtelties. Absolutely perfect.

  • @johnkrueger3287
    @johnkrueger3287 Рік тому +4

    Sang prieres 2, 3 in college men‘s choir. The French language, the lyrics, the music are just as splendid in 2022 as they were in 1980. Unforgettable! Just wish that I could still sing Tenor 1 !

  • @hc9078
    @hc9078 4 роки тому +17

    Absolutely beautiful. Videos like these need much, much more attention.

  • @wouteranthierens
    @wouteranthierens 2 роки тому +2

    Truly amazing ! I heard it on the Belgian radio, and came straight here !

  • @jhjbelt
    @jhjbelt 2 роки тому +1

    Beautiful, thank you Anthony Mondon for this recording and score!

  • @karineparadis1480
    @karineparadis1480 2 роки тому +1

    Elles sont toutes bonnes mais la troisième est la meilleure. Nous avons promis de grandes choses.

  • @Nooticus
    @Nooticus 3 роки тому +1

    So beautiful and exciting!

  • @orchidorio
    @orchidorio 4 роки тому +4

    Thank you for providing these four marvelous songs. I sang Seigneur, je vous en prie in a college men's college and it reoccurred to me recently. This will help me learn the rest. Love It ! (4/9/20)

  • @leliatenreyro60
    @leliatenreyro60 2 роки тому +1

    Superb!

  • @briandestefano3104
    @briandestefano3104 Рік тому +8

    4:30 this cadence is everywhere in his music. i don’t know if i’ve seen him progress to E major in another way in his choral music

    • @RainerRilke3
      @RainerRilke3 9 місяців тому +1

      It's awesome, definitely jazzy

    • @Nooticus
      @Nooticus 7 місяців тому

      I love it. It never gets old. What other composer has that sound? No one

  • @pascalmayer9421
    @pascalmayer9421 Рік тому +1

    Le père de Francis Poulenc, Émile Poulenc (1855-1917), est l’un des fondateurs des établissements Poulenc frères qui deviendront plus tard le groupe Rhône-Poulenc2. Sa mère, Jenny-Zoé Royer (1864-1915), fille d’artisans parisiens2, lui apprend le piano dès l'âge de cinq ans2. À partir de 1915, il se perfectionne auprès de Ricardo Viñes, qui lui fait rencontrer notamment Erik Satie, Claude Debussy et Maurice Ravel3.
    Pendant son enfance, il est fréquemment à Nogent-sur-Marne où habite son grand père, Louis François Royer, au 4 rue de la Muette, et où par ailleurs sa sœur Jeanne est née le 26 mai 1886.
    Après une scolarité au lycée Condorcet, il connaît à dix-huit ans une première réussite lors d’un concert de musique « d’avant-garde » donné au théâtre du Vieux-Colombier, dirigé alors par la cantatrice Jane Bathori4. Sa Rapsodie nègre (1917) lui ferme la porte du Conservatoire de Paris4, mais attire l’attention du compositeur Igor Stravinsky, dont l'appui lui permet de faire publier ses premières œuvres aux éditions britanniques Chester5,6,7.
    Grâce à son amie d’enfance Raymonde Linossier (1897-1930)8, il fréquente en compagnie de son ami Georges Auric (son « frère jumeau »9) la Maison des amis des livres, tenue par Adrienne Monnier8. Il y fait la connaissance des poètes d’avant-garde, tels que Jean Cocteau, Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Paul Éluard10, dont il mettra de nombreux textes en musique.
    Il compose Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée (1918), un cycle de mélodies reprenant des poèmes de l'œuvre éponyme de Guillaume Apollinaire, et en confie la première exécution à Suzanne Peignot (1919)11. C'est à cette époque que se crée, sous l'impulsion de Jean Cocteau et d'Erik Satie, un collectif de jeunes compositeurs que le critique Henri Collet surnomme en 1920 le « groupe des Six », en référence au « groupe des Cinq » russes. Constitué, outre Francis Poulenc, de Georges Auric, Louis Durey, Arthur Honegger, Darius Milhaud et Germaine Tailleferre, il se veut une réaction contre le romantisme et le wagnérisme, mais aussi, dans une certaine mesure, contre le courant impressionniste, incarné notamment par Claude Debussy. Le groupe des Six ne créera pourtant que deux œuvres collectives : un recueil pour le piano, Album des Six, et un ballet, Les Mariés de la tour Eiffel (sur un texte de Cocteau).
    De 1921 à 1925, Poulenc étudie la composition avec Charles Koechlin12. Il reste néanmoins une sorte d’autodidacte : « Mon canon, c’est l’instinct », dit-il un jour[réf. nécessaire]. La première de son ballet Les Biches, donné par les Ballets russes de Serge de Diaghilev, dans des décors et des costumes de Marie Laurencin, a lieu en janvier 1924.
    En 1926, il rencontre le baryton Pierre Bernac, à qui il demande d'interpréter les Chansons gaillardes composées la même année13. Pierre Bernac deviendra son interprète-fétiche (Franck Ferraty parle de « partenaire affectif privilégié »14, bien que selon Wilfrid Mellers « malgré les inclinations homosexuelles de Francis, lui et Bernac ne furent pas amants »15) et pour lequel il composera 90 de ses 145 mélodies 16. Il l’accompagne au piano à partir de 1935 (et jusqu'en 1959) dans des récitals de musique française à travers le monde entier.
    En 1927, il achète le Grand Coteau, une maison à Noizay, en Touraine, où il se réfugie dès lors pour composer. Le Grand Coteau est aujourd'hui ouvert à la visite chaque été. En 1928, il écrit pour la célèbre claveciniste Wanda Landowska le Concert champêtre pour clavecin et orchestre. L’œuvre est dédiée à son amant, le peintre Richard Chanlaire. Il crée son Concerto pour deux pianos en 1932 avec Jacques Février, fidèle interprète de ses œuvres.
    La mort de plusieurs amis et celle du compositeur et critique Pierre-Octave Ferroud, puis un pèlerinage à Rocamadour en 1935, le ramènent vers la foi catholique dont il s’était détourné depuis la mort de son père, en 1917. Même s'il continue à composer des mélodies légères, comme les Quatre chansons pour enfants (1934) sur des textes de Jean Nohain, certaines de ses œuvres se font plus sombres et austères. En 1936, il compose les Litanies à la Vierge noire de Rocamadour, pour chœur de femmes et orgue (qu’il orchestrera ultérieurement), suivies de la Messe en sol majeur pour chœur mixte a cappella17 (1937) et des Quatre motets pour un temps de pénitence (1938-39).
    Pendant la Seconde Guerre mondiale, Poulenc écrit texte et musique des Animaux modèles, ballet plein d’humour créé à l'Opéra de Paris en 1942 sur une chorégraphie de Serge Lifar, avec les costumes de son ami, le peintre et décorateur de théâtre Maurice Brianchon. L’œuvre peut être vue comme un acte de résistance en ce qu’elle fait entendre un passage de Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine - que les officiers allemands ne reconnurent pas à l'époque. La même année, il compose la musique du film La Duchesse de Langeais de Jacques de Baroncelli.
    En revanche sa cantate Figure humaine (1943) sur des textes de Paul Éluard doit attendre 1945 pour être créée (à Londres), sans doute en raison du poème qui la conclut : Liberté18. Poulenc la dédie à son compagnon d’alors, Raymond Destouches (un chauffeur rencontré au début des années 1930). Toujours en 1945, il crée un conte musical, Histoire de Babar, le petit éléphant d'après le personnage créé par Jean de Brunhoff. Grâce à Max de Rieux19, il se lie d'amitié avec la jeune soprano Denise Duval, à laquelle il confie le rôle principal de son opéra bouffe Les Mamelles de Tirésias (d’après la comédie éponyme de Guillaume Apollinaire), qui est créé à l'Opéra-Comique en 194720. Poulenc continue à alterner mélodies, chœurs profanes (Huit chansons françaises, 1945) ou religieux (Stabat Mater, 1950), pièces orchestrales (Sinfonietta, 1947), de chambre ou pour le piano.
    Le 7 novembre 1948, il donne son premier récital avec Pierre Bernac aux États-Unis. Il y rencontre notamment la soprano Leontyne Price, qui le met au programme de ses récitals, et le compositeur Samuel Barber, dont les Mélodies passagères seront créées à Paris par Bernac et Poulenc en février 1952.
    Plaque commémorative au 5, rue de Médicis (6e arrondissement de Paris).
    En 1953, le directeur des éditions Ricordi commande à Poulenc un ballet sur sainte Marguerite de Cortone pour la Scala de Milan. Poulenc décline l'offre mais s'intéresse au livret en italien que Flavio Testi a tiré d'une pièce représentée à Paris l'année précédente au théâtre des Arts par Jacques Hébertot, Dialogues des carmélites, d'après un texte inédit de Georges Bernanos. Malgré des problèmes de droits et de santé, Poulenc se lance à corps perdu dans un sujet qui ne tarde pas à l'obséder, les angoisses de Blanche de la Force face à la mort faisant écho aux siennes, confronté à la longue agonie de son compagnon de l'époque, Lucien Roubert, un voyageur de commerce21. Il adapte lui-même le texte de Bernanos pour une version française et achève sa partition en août 1955, au moment même de la mort de Lucien. Dialogues des carmélites est créé en italien à Milan le 26 janvier 1957 avec Leyla Gencer (Mme Lidoine) et Virginia Zeani (Blanche), puis, dans la version française originale, à l'Opéra de Paris le 21 juin suivant sous la direction de Pierre Dervaux, avec Régine Crespin et Denise Duval dans les mêmes rôles. La première aux États-Unis a lieu en septembre de la même année au San Francisco Opera avec Leontyne Price, qui fait sa première apparition sur une grande scène d’opéra dans le rôle de Mme Lidoine.
    Tombe de Francis Poulenc et de Brigitte Manceaux au cimetière du Père-Lachaise.
    Il est suivi en 1958 par La Voix humaine, tragédie lyrique d’après Cocteau, dédiée à son dernier amour, Louis Gautier, un travailleur manuel rencontré en 195722. En 1960-61, il est aux États-Unis pour les créations des Mamelles de Tirésias et de La Voix humaine. Son Gloria pour soprano solo, chœur mixte et orchestre est créé simultanément à Boston par Charles Munch et à Paris par Georges Prêtre (janvier-février 1961). La même année, il publie un livre sur Emmanuel Chabrier.
    Il meurt le 30 janvier 1963 d'une crise cardiaque à son domicile du 5, rue de Médicis, face au jardin du Luxembourg. Il est enterré à Paris, au cimetière du Père-Lachaise (division 5) avec sa nièce, Brigitte Manceaux (05/12/1914 - 21/04/1963), fille de Jeanne Poulenc, qui fut sa secrétaire et confidente.
    Ses deux dernières compositions sont créées de façon posthume en avril et juin 1963 : la Sonate pour hautbois et piano par Pierre Pierlot et Jacques Février, et la Sonate pour clarinette et piano par Benny Goodman et Leonard Bernstein.
    Le critique Claude Rostand, pour souligner la coexistence chez Poulenc d’une grande gravité due à sa foi catholique avec l’insouciance et la fantaisie, a forgé la formule célèbre « moine ou voyou ». Ainsi, à propos de son Gloria, qui provoqua quelques remous à sa création, le compositeur lui-même déclara : « J’ai pensé, simplement, en l’écrivant à ces fresques de Benozzo Gozzoli où les anges tirent la langue, et aussi à ces graves bénédictins que j’ai vu un jour jouer au football. »
    À Paris, le square Francis-Poulenc (6e arrondissement) et la place Francis-Poulenc (19e arrondissement) lui rendent hommage. À Nogent-sur-Marne, l'hôtel des Coignard abrite le Conservatoire de musique et d’art dramatique Francis Poulenc.

  • @joshuam.1240
    @joshuam.1240 Рік тому +1

    4:03 is the best!

  • @dominicinferrera2477
    @dominicinferrera2477 5 років тому +6

    Who is this ensemble? Please give credit and post details

    • @meyernicolas5887
      @meyernicolas5887 5 років тому +4

      It's the Tenebrae choir

    • @Kaktuskastl
      @Kaktuskastl 2 роки тому

      You're so right. This is the most flawless version I've ever heard!

  • @LionRigel
    @LionRigel 2 роки тому +1

    4 - 4:47

  • @d1fficult654
    @d1fficult654 Рік тому

    3:29

  • @jesuscondom1858
    @jesuscondom1858 3 роки тому +4

    Its a pain in the ass to learn it tho

    • @Kaktuskastl
      @Kaktuskastl 2 роки тому +1

      An experience I will never forget for my whole life. 🤩

    • @Nooticus
      @Nooticus 7 місяців тому

      The same with all Poulenc's music. Sounds easy on first listen, but is insanely hard to learn.

  • @user-qd9pl8zv5l
    @user-qd9pl8zv5l 6 років тому +4

    3以外の難易度の高さよ