Merci Vincent pour ce merveilleux podcast. J’aurais tout de même une question vis-à-vis de ce que Ysé indique autour de la professionnalisation de la pratique. Qu’en sera-t-il des personnes comme moi qui à l’âge de 18 ans ait reçu un enseignement avec un gourou qui lui même a vécu en Inde et appris auprès d’un Maître et enseigné en Europe ; par la suite pour me remettre à jour j’ai suivi une formation avec une professeure canadienne, donc aucune formation universitaire dans la pratique du yoga mais j’enseigne qu’en même. J’ai donc une expérience de pratique et d’enseignement de + de 30 ans. Du coup, pour toutes ces personnes comme moi avec ce type de parcours, pourrons-nous encore exercer? Merci infiniment🙏🏻❤️
Bonjour Christine, merci pour votre message. Au vu de votre longue expérience et de votre parcours, nul doute que cela ne posera aucun souci. Je pense qu'elle visait davantage les formations très courtes, sur quelques jours, qui se développent beaucoup aujourd'hui et qui ne donnent pas suffisamment d'outils aux futurs enseignants, oubliant par ailleurs souvent le cadre philosophique de la pratique. Les formations universitaires ne seront pas les seules à permettre l'accès à la profession. De nombreuses écoles, rattachées à des fédérations ou indépendantes, proposent aujourd'hui un tronc commun pratique et théorique de qualité. Merci beaucoup Christine pour votre écoute fidèle !
Pas d'accord avec Yse TM, les 1ers yogis ne pratiquaient pas en groupe, et de toute façon,le yoga étant une voie spirituelle, il est essentiel pour pleins de raisons de pratiquer seul et non en " presentiel" d'un groupe
Bonjour, je ne me rappelle pas qu'elle ait présenté les choses ainsi si ce n'est au moment de l'arrivée du yoga en Occident, une étape qui a amené la pratique collective à se développer. Pendant longtemps c'est vrai, le yoga était uniquement pratiqué de maître à disciple. Bien sûr je vous rejoins également sur le sens d'une pratique personnelle et individuelle vers laquelle chacune et chacun peut tendre. Si cela se fait après un "passage" par une pratique collective, parfois plus simple d'accès, pourquoi pas mais oui, il est naturel de tendre vers une autonomie dans sa recherche.
Une vieille dame bourgeoise de Paris qui croit connaître le Yoga, typique de sa classe et de sa génération. Ce type est loin d'égaler le niveau des yogis, des sadhus, des ascètes qui vivent dans l'Himalaya depuis des temps immémoriaux. Ce type qui semble ne pas supporter de vivre dans une grotte de l'Himalaya, de s'exposer aux éléments, à l'hiver himalayen, à une austérité extrême, à un régime alimentaire très limité. Il vous faudrait un masque à oxygène et un animal de transport pour peut-être vous approcher du Mont Kailash, centre de la spiritualité originelle du Yoga. Elle se contente de spéculer sur le Yoga pour les bobos new age parisiens, dans les salles chaleureuses et bien aménagées. Une vision intellectualisée, bourgeoise et européenne du Yoga. Certainement pas du vrai Yoga !
Merci bcp pour la richesse de tous vos interviews 😊😊
Excellent ! Merci beaucoup !🙏🪷✨️
Merci Vincent...😊🙏🐢🦉🖖💙
Merci encore Pascal pour votre écoute 🙏
Magnifique 💗 merci infiniment 🙏 🕉
Un grand merci pour votre écoute Chrystelle 🙏
Merci Vincent pour ce merveilleux podcast. J’aurais tout de même une question vis-à-vis de ce que Ysé indique autour de la professionnalisation de la pratique. Qu’en sera-t-il des personnes comme moi qui à l’âge de 18 ans ait reçu un enseignement avec un gourou qui lui même a vécu en Inde et appris auprès d’un Maître et enseigné en Europe ; par la suite pour me remettre à jour j’ai suivi une formation avec une professeure canadienne, donc aucune formation universitaire dans la pratique du yoga mais j’enseigne qu’en même.
J’ai donc une expérience de pratique et d’enseignement de + de 30 ans. Du coup, pour toutes ces personnes comme moi avec ce type de parcours, pourrons-nous encore exercer?
Merci infiniment🙏🏻❤️
Bonjour Christine, merci pour votre message. Au vu de votre longue expérience et de votre parcours, nul doute que cela ne posera aucun souci. Je pense qu'elle visait davantage les formations très courtes, sur quelques jours, qui se développent beaucoup aujourd'hui et qui ne donnent pas suffisamment d'outils aux futurs enseignants, oubliant par ailleurs souvent le cadre philosophique de la pratique. Les formations universitaires ne seront pas les seules à permettre l'accès à la profession. De nombreuses écoles, rattachées à des fédérations ou indépendantes, proposent aujourd'hui un tronc commun pratique et théorique de qualité. Merci beaucoup Christine pour votre écoute fidèle !
@@vincentberlandis6490 Merci infiniment de votre retour et au plaisir des nouveaux podcast avec ces merveilleux intervenants Merci
Pas d'accord avec Yse TM, les 1ers yogis ne pratiquaient pas en groupe, et de toute façon,le yoga étant une voie spirituelle, il est essentiel pour pleins de raisons de pratiquer seul et non en " presentiel" d'un groupe
Bonjour, je ne me rappelle pas qu'elle ait présenté les choses ainsi si ce n'est au moment de l'arrivée du yoga en Occident, une étape qui a amené la pratique collective à se développer. Pendant longtemps c'est vrai, le yoga était uniquement pratiqué de maître à disciple. Bien sûr je vous rejoins également sur le sens d'une pratique personnelle et individuelle vers laquelle chacune et chacun peut tendre. Si cela se fait après un "passage" par une pratique collective, parfois plus simple d'accès, pourquoi pas mais oui, il est naturel de tendre vers une autonomie dans sa recherche.
Une vieille dame bourgeoise de Paris qui croit connaître le Yoga, typique de sa classe et de sa génération. Ce type est loin d'égaler le niveau des yogis, des sadhus, des ascètes qui vivent dans l'Himalaya depuis des temps immémoriaux. Ce type qui semble ne pas supporter de vivre dans une grotte de l'Himalaya, de s'exposer aux éléments, à l'hiver himalayen, à une austérité extrême, à un régime alimentaire très limité. Il vous faudrait un masque à oxygène et un animal de transport pour peut-être vous approcher du Mont Kailash, centre de la spiritualité originelle du Yoga. Elle se contente de spéculer sur le Yoga pour les bobos new age parisiens, dans les salles chaleureuses et bien aménagées. Une vision intellectualisée, bourgeoise et européenne du Yoga. Certainement pas du vrai Yoga !