☎️🟡BURKINA FASO ET MALI : INTERDIT DE PARLER DU CAPITAINE IBRAHIM TRAORÉ ET ASSIMI GOÏTA #01
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- Опубліковано 12 вер 2024
- BURKINA FASO / MALI / NIGER / LIBERTÉ D'EXPRESSION / IBRAHIM TRAORÉ / TIKEN JAH FAKOLY
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Mali et Burkina Faso : La liberté d'expression est-elle vraiment garantie ?
La liberté d'expression, considérée comme un pilier fondamental de la démocratie, est au cœur des débats dans de nombreux pays africains, y compris le Mali et le Burkina Faso. Ces deux nations, qui ont récemment traversé des périodes de troubles politiques et sécuritaires, se retrouvent aujourd'hui confrontées à des défis majeurs en matière de droits humains et de liberté d'expression. Mais la question reste : cette liberté est-elle vraiment garantie ?
Une Liberté sous Surveillance
Au Mali, depuis le coup d'État de 2020 qui a renversé le gouvernement de l'ancien président Ibrahim Boubacar Keïta, la situation politique est restée instable. Le gouvernement de transition, sous la direction du Colonel Assimi Goïta, a promis des réformes démocratiques, mais de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer des restrictions croissantes sur la liberté de la presse et l'expression publique.
Les médias, en particulier, se trouvent sous pression. Des journalistes ont été arrêtés pour avoir critiqué le gouvernement ou pour avoir couvert des sujets sensibles tels que la présence militaire étrangère ou les accords de paix avec les groupes armés. Bien que le gouvernement affirme respecter les libertés fondamentales, les organisations de défense des droits humains pointent du doigt une répression subtile mais persistante contre ceux qui osent défier l'autorité.
Le Burkina Faso, Entre Espoir et Répression
Au Burkina Faso, la situation n'est pas très différente. Le pays, dirigé par le Président Ibrahim Traoré, est confronté à une insurrection djihadiste qui a déstabilisé de larges pans du territoire. Dans ce contexte, le gouvernement a renforcé les mesures de sécurité, et la liberté d'expression en a souvent pâti.
Le climat de peur créé par la menace terroriste a conduit à une autocensure parmi les journalistes et les activistes. Plusieurs incidents de harcèlement et d'intimidation ont été rapportés, et certains médias ont été temporairement fermés sous prétexte de "sécurité nationale". Cependant, les critiques du gouvernement estiment que ces actions visent plus à contrôler le discours public qu'à protéger les citoyens.
La Liberté d'Expression : Un Idéal en Danger ?
La liberté d'expression au Mali et au Burkina Faso semble donc être un idéal fragile. Dans un contexte de crise sécuritaire et de transition politique, les gouvernements de ces deux pays ont souvent recours à des mesures qui, bien qu'elles puissent être justifiées par le besoin de stabilité, limitent effectivement les voix dissidentes.
Il est important de rappeler que la liberté d'expression ne se limite pas à la simple possibilité de parler librement. Elle inclut également le droit d'informer et d'être informé, d'exprimer des opinions sans crainte de répercussions, et de participer activement au débat public. Pour que cette liberté soit véritablement garantie, il est essentiel que les autorités de ces pays respectent non seulement la lettre, mais aussi l'esprit des lois internationales et régionales relatives aux droits de l'homme.
Conclusion
Le Mali et le Burkina Faso traversent des moments décisifs dans leur histoire contemporaine. Si la lutte contre l'insécurité et l'instabilité politique est prioritaire, il est tout aussi crucial de préserver et de renforcer la liberté d'expression. Une démocratie ne peut prospérer sans un espace public où les idées, même les plus controversées, peuvent être débattues librement. Il appartient donc aux dirigeants de ces nations de trouver un équilibre entre sécurité et liberté, pour le bien de leurs citoyens et de la démocratie elle-même.
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POSEZ PLUTÔT LA QUESTION À ALASSANE OUATTARA ; QUE L'ARBRE NE CACHE LA FORÊT
Le peuple veille, vous n'êtes pas qualifié pour juger ce qui est bon ou pas pour le peuple
VIVE L' AES
Justement c'est parce que l'intervention de Chicken met en cause la construction en cours dans l'Aes, il y a pas un seul régime engagé dans la conquête de la souveraineté des pays comme l'AES, ce n'est pas une tâche facile, c'est ce que vous et Tchikrn ne comprennent pas
Merci. Ravi de vous lire
On critique pas pour critiquer, on critique dans l´intérêt et au bon vouloir des peuples.
A quoi ça sert de critiquer une situation apprécié pas la majorité des populations ?
La Parole de dieu doit se consancrer a la souverainete de ses pays la liberte na jamais existe
Super.
Ses ancêtres ont vendu nos ancêtres
Ces deux là sont de vrais comédiens ... Ils ne sont pas à la hauteur du sujet.
Quand tu n'a pas d'arguments c'est mieux de te taire dans les commentaires. Si tu te crois vraiment intelligent, on t'invite à un débat contradictoire. Si tu sûr de toi, écris nous par E-mail : jurisproud@gmail.com . Merci
BRAVO POUR LA PERTINENCE DU DÉBAT
Merci beaucoup
Vous parlé de liberté d'expression et nous parle de liberté d'exister. Ce n'est pas le même niveau
Super. On respecte votre AVIS !
Merci de soutenir TIKEN qui ne chante pas pour critiquer le régime de la chine populaire. La liberté d'expression ne critique pas la régime chinois. C'est du bluff.
On respecte Vos Avis ! Merci à vous aussi !
Faut pas que buzz que vous cherchez sur nom des gens, faut ça vous laisse hein....
Developpez si vous avez des arguments...
Honte à vous. Votre analyse est ridicule , vous etes légers.....
On t'invite à débat contradictoire sauf si tu fuis ou tu as peur. Vu que tu t'estime intelligent
Encore un vendu
Vous Faites Vraiment Rire
Vous êtes rudicules
Des arguments ?