Le Dessous des Cordes #18 - Antoine Morinière, guitariste français
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- Опубліковано 6 лип 2023
- Avec Antoine Morinière nous parlons aujourd'hui de son parcours d'excellence, de la construction des guitares, de la formation au Certificat d'Aptitude du CNSM de Paris (pédagogique), des qualités pour gagner des concours, de musique de chambre... et Antoine termine sur sa guitare pour nous expliquer comment il fait travailler les barrés !
Chaîne d'Antoine 👉 @AntoineMoriniere
Céphéide de Alice Bord 👉 • Antoine Morinière : Cé...
#classicalguitar #guitareclassique
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Merci à la Guitarreria (boutique Paris 8ème) de nous avoir ouvert ses portes.
Merci à Maxime Roman pour l'aide à la captation.
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Contacts :
➢FACEBOOK: / benjaminvaletteguitar
➢INSTAGRAM: / bvalette_guitar
➢WEBSITE: www.benjaminvalette.com/c
Encore une fois, une super vidéo, probablement, le fait que l'interviewer qui est aussi un excellent guitariste n'est pas pour rien dans cette réussite. Merci infiniment.
Sincère, sage et clairvoyant. Magnifique !
Très belle entrevue!
Merci pour cet entretien, personnalité très sympathique. Hâte de le voir en concert :)
Toujours une bonne surprise de voir une nouvelle interview sur ta chaîne ! Ce serait bien sympa d'avoir des interviews de luthiers de temps à autres !
Merci pour cette interview.
Très intéressante partie sur le fait de lâcher prise et que ce qui prévaut sont l'intention musicale et l'engagement dans la pièce, au-delà de la maîtrise et de la perfection technique qui peuvent parfois donner un récital parfaitement insipide ( c'est du vécu en tant qu'auditeur !).
Hugo Cuvilliez réalise de très bonnes guitares, j'ai eu la chance d'avoir une épicéa pendant 7 ans et elle était réactive, avec une possibilité très grande de varier les timbres. La contrepartie de cette puissance est une table très tendue et j'étais obligé de jouer avec un tirant faible...mais ça ne m'a pas empêché la tendinite.
Merci pour cet interview c'est toujours un plaisir à écouter et très inspirant !
Excellente émission avec un invité très clair et enthousiasmant ! Merci beaucoup pour ces entretiens et pour votre travail sur cette chaîne ! 👏👏👏
Avec plaisir :)
Bien sympa cette interview. Merci!
À quand une interview de toi Benjamin? J'espère que nous organisera ça un de c'est jour
La guitareria... ou comment choisir un panel de guitares à 4000e en en enjambant à 30 000... petit café de Maria, un régal ! une ambiance familiale et tamisée... un bijou de la rue de Rome! Superbe interview pour ne pas changer... GENIAL!!!
Bravo, comme toujours pour l'initiative et ton travail Benjamin, mais à mon sens deux points parmi tant d'autres dans cette interview sont imbitables et étonnants.
Premièrement, sur le barré. On ne voit pas trop où il veut en venir. Il aurait été plus judicieux après son explication (ce qu'il évoque sur l'utilisation du poids du bras gauche) de donner des exemples concrets de pièces où il y a une succession de barrés et où la main gauche a besoin de beaucoup de détente pour l'endurance : Scherzo-Vals de Llobet, Etude 1 de VL, pour ne citer que ça (et les exemples ne manquent pas). Ceci aurait mis en exergue ses explications. Hors, il n'y a rien et il s'y perd, ce n'est pas très pertinent.
Deuxièmement lorsqu'il parle de la "manie" des guitaristes de prendre des libertés sur la partition. Soit, je peux être d'accord, on l'a tous fait : si l'on écoute les enregistrements de Ponce par Gérard Abiton, aussi géniaux soient-ils, il y a des inflexions ou plus largement une interprétation qui ne se conforment pas au signe près à ce qui est écrit sur la partition. De même : le super disque de Jérémy Jouve sur Rodrigo cité en exemple à un moment (il faut écouter sa version de Un Tiempo fue Italica famosa en lisant la partition pour s'en rendre compte). C'est d'ailleurs ce que dit Sviatoslav Richter dans son livre par Monsaingeon (mais aussi dans le film) : il ne joue plus qu'avec les partitions pour justement éviter d'interpréter, afin de rester fidèle à la pensée du compositeur (ce qui, pour de la musique écrite, reste tout de même un des impératifs). Mais là, ce que dit Antoine Morinière à propos de ses amis qui lui jouent du Beethoven au piano, me semble absurde (je cite) : "ah mais pourquoi tu ne jouerais pas ça forte?" - l'autre répond - "ah mais il y a écrit piano" et lui répond : "oui, mais ça serait mieux avec un forte!". Et après, il s'y perd, et on ne comprend rien à son argumentaire.
Puisqu'il est question de Beethoven, j'imagine mal un chef d'orchestre changer toutes les nuances de l'orage de la Symphonie pastorale et les transformer en piano ou pianissimo sans que ça ne soit un absolu non sens musical, car en général, un orage c'est bruyant. Donc les nuances forte sont du domaine de la logique.
Sinon, merci encore pour ton travail et j'aimerais, si c'était possible (mais j'imagine que tu y as pensé) voir ici Thomas Viloteau et/ou Jérémy Jouve.
Amitiés de Nancy et bel été.
Trop bien 👍
01:07 "heureux de te recevoir" serait tellement plus classe !
La magie du direct mon cher