Comme il est belle cette simplicité de fondé vos idées madame .je suis depuis longtemps passionné par la littérature française ,surtout quand je me trouve devant une telle analyse .que de précieuses perles nous présente cette remarquable dame.je voudrais bien étudier la littérature en France .merci mille fois madame.si un jour je serais dans cet amphithéâtre !!!
Nous sommes tous condamnés à mort, soumis tout au long de la vie aux souffrances de cet état de mortels, Les pensées et angoisses de ce condamné à mort sont humaines, les nôtres depuis toujours ! Mis à part que les sentiments et émotions ressentis à l'annonce de notre mort toute proche, précipitent toutes les peurs et les angoisses habituellement amortis sur des décennies et qui là, s'abattent d'un coup sur notre fragile existence qui ne nous appartient pas, jamais.
Pour René Girard, le roi est potentiellement une possible victime émissaire rejoignant la position du condamné à mort. " La violence et le sacré ". Un vibrant exposé . Merci.
La toilette a eu lieu a la Conciergerie. Mais il nous la racontée lorsqu,il est transféré a la place de grève. D'ailleurs l'hôtel de ville n'était pas au programme. C'est parce qu il a demandé a ecrire ses dernières volontés qu on l a monté dans une chambre de l hotel de ville.
Madame, votre exposé est parfaitement parfait. Une petite remarque. Le chapitre 48 est composé de deux parties :celle d'un commentaire fait par le narrateur à son arrivée à l'hôtel de ville. La seconde est celle du récit où il raconte son transfert de la conciergerie à l'hôtel de ville. En effet à 3h on vient le chercher pour le conduire au rez-de-chaussée de la conciergerie histoire de lui faire sa toilette avant de l'embarquer dans une charrette pour le ramener à la place de Grève. Le dernier lieu carcéral n'est que pour lui fournir l'occasion de faire sa dernière déclaration.
La toilette du condamné s'est effectuée à la Conciergerie. Le récit de la toilette du condamné à mort n'est que retrospection dans le chapitre 48.Ainsi le condamné avait trois pas à faire : Bicêtre, la Conciergerie , la Place de Grève (chap. 15). La scène de l'Hôtel de ville ne serait présente si le narrateur n'avait pas demandé d'écrire ses dernières volontés. D'ailleurs l'Hotêl de ville et la Grève représentent un même endroit, la place de l'Hôtel de ville est l'ancienne place de Grève. Enfin, on ne peut le préparer physiquement, le faire sortir de l'Hôtel de ville et le refaire entrer dans le même Hôtel de ville pour écrire.
Madame,s'il vous plait on lui avait fait sa toilette dans une chambre à la Conciergerie mais pas à l'Hôtel de ville Et cela se voit à travers le retour en arrière effectué à l'Hotel de ville .Ai-je raison ? Chapitre 48
Comme il est belle cette simplicité de fondé vos idées madame .je suis depuis longtemps passionné par la littérature française ,surtout quand je me trouve devant une telle analyse .que de précieuses perles nous présente cette remarquable dame.je voudrais bien étudier la littérature en France .merci mille fois madame.si un jour je serais dans cet amphithéâtre !!!
Merci professeure pour cet exposé Juste pour la redingote c est bien le friauche qui li lui a prise et non le gendarme . Autre chose j ai toujours pensé que l exécution a eu lieu à quatre heures du matin et non à 16 heures. Iindication temporelle séparée du texte par un blanc ,en lettres majuscules à l image d un couperet oubdu dernier cri du condamné.Mzrci encore professeure .
représenter l irreprésentable, c est de décrire une chose qui semble banale est claire mais qui pourtant intrigue par ses mystères , on commence alors à décortiquer tous les éléments qui la représentent ....
Serait-il possible de pouvoir contacter Mme Spiquel? J'aurais deux ou trois petites questions à lui poser au sujet de dernier jour d'un condamné. merci
Salam d abord , et merci pour tes explications du roman ,mais est ce que vous ne voyez pas qu il y a des questions fondamentales que l ecrivain n a pas répondu avant de penser a abolir la peinne de mort . Il a penser et décrit la soufrance de la famille du condamné qui n ont rien fait.et qui vont être mal heureux aprés sa mort .mais il a négligé la famille du véctime qui ont perdu leur proche innocent. ne seront t ils pas malheureux aprés avoir perdu un membre de la famille .et ils voyeront le coupable se proméne librement sans être puni??. C est une vie compléte que le coupable a détruit ,celle du vectime qui a tué d une part et celle de sa popre famille qui vont souffert d avoir perdu un chére membre de famille d autre part?! .
D'abord on ne sait pas si la victime est innocente ou non ou encore le crime qu'il a commis d'ailleurs ce n'est pas du tout l'enjeu de l'œuvre en outre Victor Hugo ne demande pas la libération du condamné mais l'abolition de la peine de mort et la réforme des autres pénalités et je suis totalement d'accord avec lui ça sert à quoi l'exécution de quelqu'un ?! il ne faut pas punir pour se venger , il faut corriger pour améliorer .
Mais laisser quelqu'un dans une soupe de vermine de sueur et d'alcool mourir sur du bitume. La plupart des morts son inhumaines. Surtout dans la croyance dans le paradis.
D'un roman en faire une réalité . Il faut être un ou une bonne gaucho pour fantasmer devant une pauvre écriture . Bref ! Aucun intérêt sauf pour la vielle qui pense être omnisciente ...
Comme il est belle cette simplicité de fondé vos idées madame .je suis depuis longtemps passionné par la littérature française ,surtout quand je me trouve devant une telle analyse .que de précieuses perles nous présente cette remarquable dame.je voudrais bien étudier la littérature en France .merci mille fois madame.si un jour je serais dans cet amphithéâtre !!!
Nous sommes tous condamnés à mort, soumis tout au long de la vie aux souffrances de cet état de mortels,
Les pensées et angoisses de ce condamné à mort sont humaines, les nôtres depuis toujours !
Mis à part que les sentiments et émotions ressentis à l'annonce de notre mort toute proche, précipitent toutes les peurs et les angoisses habituellement amortis sur des décennies et qui là, s'abattent d'un coup sur notre fragile existence qui ne nous appartient pas, jamais.
merci beaucoup
C'est plus que parfait.
Tres bien construit et tres bien mené
Pour René Girard, le roi est potentiellement une possible victime émissaire rejoignant la position du condamné à mort. " La violence et le sacré ". Un vibrant exposé . Merci.
Vous etes remarquable merci infiniment professeur
Une analyse pertinente 🔝 merci infiniment professeur 💗🌟
Àaa
Brillante et passionnante . Merci beaucoup
La toilette a eu lieu a la Conciergerie. Mais il nous la racontée lorsqu,il est transféré a la place de grève. D'ailleurs l'hôtel de ville n'était pas au programme. C'est parce qu il a demandé a ecrire ses dernières volontés qu on l a monté dans une chambre de l hotel de ville.
Effectivement Monsieur
Braaaaaaaaaaaaaaaavoooooooooooo
Ah bon finalement il y en a qlqn conscient de cela.
Madame, votre exposé est parfaitement parfait.
Une petite remarque. Le chapitre 48 est composé de deux parties :celle d'un commentaire fait par le narrateur à son arrivée à l'hôtel de ville. La seconde est celle du récit où il raconte son transfert de la conciergerie à l'hôtel de ville. En effet à 3h on vient le chercher pour le conduire au rez-de-chaussée de la conciergerie histoire de lui faire sa toilette avant de l'embarquer dans une charrette pour le ramener à la place de Grève. Le dernier lieu carcéral n'est que pour lui fournir l'occasion de faire sa dernière déclaration.
C est toujours un vrai plaisir de vous écouter. Merci beaucoup.
La toilette du condamné s'est effectuée à la Conciergerie. Le récit de la toilette du condamné à mort n'est que retrospection dans le chapitre 48.Ainsi le condamné avait trois pas à faire : Bicêtre, la Conciergerie , la Place de Grève (chap. 15). La scène de l'Hôtel de ville ne serait présente si le narrateur n'avait pas demandé d'écrire ses dernières volontés. D'ailleurs l'Hotêl de ville et la Grève représentent un même endroit, la place de l'Hôtel de ville est l'ancienne place de Grève.
Enfin, on ne peut le préparer physiquement, le faire sortir de l'Hôtel de ville et le refaire entrer dans le même Hôtel de ville pour écrire.
Effectivement
Merci pour le partage c'est intéressant
Merci madame.
Madame,s'il vous plait on lui avait fait sa toilette dans une chambre à la Conciergerie mais pas à l'Hôtel de ville Et cela se voit à travers le retour en arrière effectué à l'Hotel de ville .Ai-je raison ? Chapitre 48
Braaaaaaaaavoooooooo
J'aurais aimé être votre élève.
J'aurais bien l'immense honneur d'être une de vos étudiante, chapeau madame!
Essayez de lui écrire directement ça fait plaisir de voir des jeunes attirés par la culture bravo
Comme il est belle cette simplicité de fondé vos idées madame .je suis depuis longtemps passionné par la littérature française ,surtout quand je me trouve devant une telle analyse .que de précieuses perles nous présente cette remarquable dame.je voudrais bien étudier la littérature en France .merci mille fois madame.si un jour je serais dans cet amphithéâtre !!!
Merci professeure pour cet exposé
Juste pour la redingote c est bien le friauche qui li lui a prise et non le gendarme .
Autre chose j ai toujours pensé que l exécution a eu lieu à quatre heures du matin et non à 16 heures.
Iindication temporelle séparée du texte par un blanc ,en lettres majuscules à l image d un couperet oubdu dernier cri du condamné.Mzrci encore professeure .
j kiff mercii madame
Si intéressant
Merci
Je vous veux comme professeure
👏👏👏
ua-cam.com/channels/7rk96tSdGO-umz_kLdrXCg.html
représenter l irreprésentable, c est de décrire une chose qui semble banale est claire mais qui pourtant intrigue par ses mystères , on commence alors à décortiquer tous les éléments qui la représentent ....
Serait-il possible de pouvoir contacter Mme Spiquel? J'aurais deux ou trois petites questions à lui poser au sujet de dernier jour d'un condamné. merci
3afakom li3endo le figure de style de dernier jour chapitre 26
ua-cam.com/channels/7rk96tSdGO-umz_kLdrXCg.html
23:11 professeur c'est une erreur la toilette du condamné a été faite à la Conciergerie non pas à l'Hôtel de Ville .
Pour moi ce livre a été une claque intellectuelle. J'avais jamais lu un livre auparavant .
Salam d abord , et merci pour tes explications du roman ,mais est ce que vous ne voyez pas qu il y a des questions fondamentales que l ecrivain n a pas répondu avant de penser a abolir la peinne de mort .
Il a penser et décrit la soufrance de la famille du condamné qui n ont rien fait.et qui vont être mal heureux aprés sa mort .mais il a négligé la famille du véctime qui ont perdu leur proche innocent. ne seront t ils pas malheureux aprés avoir perdu un membre de la famille .et ils voyeront le coupable se proméne librement sans être puni??.
C est une vie compléte que le coupable a détruit ,celle du vectime qui a tué d une part et celle de sa popre famille qui vont souffert d avoir perdu un chére membre de famille d autre part?! .
D'abord on ne sait pas si la victime est innocente ou non ou encore le crime qu'il a commis d'ailleurs ce n'est pas du tout l'enjeu de l'œuvre en outre Victor Hugo ne demande pas la libération du condamné mais l'abolition de la peine de mort et la réforme des autres pénalités et je suis totalement d'accord avec lui ça sert à quoi l'exécution de quelqu'un ?! il ne faut pas punir pour se venger , il faut corriger pour améliorer .
@@selinelinda4494 exact
Tout le monde n'est pas Henri Guillemin, la preuve...
Mais laisser quelqu'un dans une soupe de vermine de sueur et d'alcool mourir sur du bitume. La plupart des morts son inhumaines. Surtout dans la croyance dans le paradis.
En taule rend le fric
A mon avis la peine de mort . C'est pas une solution
D'un roman en faire une réalité .
Il faut être un ou une bonne gaucho pour fantasmer devant une pauvre écriture .
Bref ! Aucun intérêt sauf pour la vielle qui pense être omnisciente ...
🤦♀️🤦♀️🤦♀️
Vous etes remarquable merci infiniment professeur