Elle l'a dit, le pire avec la boulimie c'est qu'on est obligé de manger, au moins un peu ... Souvent après une crise, je déteste tellement la nourriture que je rêve d'un monde où je pourrais juste arrêter de manger, complètement, ne jamais aller faire les courses, ne jamais avoir à cuisiner, ne plus jamais culpabiliser parce que j'ai trop mangé, ou me sentir nulle parce que j'ai une fois de plus vidé mes placards ...
J’espère que tu vas mieux j’ai été boulimique durant toute mon enfance maintenant j’ai 16 ans je suis anorexique je viens de sortir d’hospitalisation et d’aller mieux mais j’ai peur de remanger et de refaire des crises c’est horrible mais on va s’en sortir 💋💋
La nourriture est la pire addiction dans le sens qu'on ne peut lui tourner le dos totalement comme l'alcool , la cigarette ou les substances dites drogues, ou le sport ou le sexe ou les jeux ou le travail...Bref D'où cette terrible dualité car indispensable à la vie, on doit apprendre la limite , la modération, à s'aimer plutôt que de céder à la culpabilité et dégoût de soi ! L' Amour de Soi , aimer son corps tel qu'il est , tel qu'on l'a rendu par nos excès et non respect de ses limites. Il est gentil, il a stocké les toxines qu'il a entouré de graisse, pour nous protéger. S'intéresser au travail extraordinaire que fait notre foie, (voir les vidéos du Dr Allouche) nous rend conscient de l'intelligence et bonté de notre organisme, et que la Santé est bien plus importante que l'image idéale qui va nous pousser dans l'excès inverse de privations kamikazes qui finiront par nous faire reprendre en double, les kilos perdus. J'en ai rencontré des thérapeutes dans ma vie mais jamais ils n'ont su traiter mes compensations et compulsions incontrôlables envers la nourriture, de par une anxiété innommable... ça passe avec le temps, l'âge, ça se calme quand on a une vie qui génère moins de frustrations, d'angoisses, ou souffrances émotionnelles. La nourriture reste un réconfort, avec une hyperphagie acceptable, car il y a longtemps que c'est fini la malbouffe et les shoots au sucreries ! Je crois que seul l'Amour de Soi peut nous sortir de là, d'ailleurs ça me fait penser qu'il est temps de se redonner de l'Amour à Soi avec par exemple l'énergétique chinoise et le sourire aux organes de Maître Mantakchia. Encore un truc qu'ils ont oublié de nous apprendre à l'école... Sachez en tout cas que selon le Dr Allouche il faut neuf mois pour stabiliser un poids et plus on l'a perdu vite et plus on risque de reprendre vite fait les kilos perdus, plus encore car le métabolisme en mode famine le dépense plus de calories comme avant le régime ou la détox ou le jeune.... La clef c'est en douceur...et plus on s'aime comme on est et moins on se sentira coupable et moins on auras de compulsions incontrôlables... Aussi pensez plutôt à respirer, à se muscler avec un sport gym agréable et pas juste de la muscu qui va nous rendre obsédée de l'image encore et encore... Mais bon si ça peut éviter les maladies de l'obésité...il vaut mieux déplacer son obsession et addiction dans ce sens, en étant conscient que c'est pas la vraie guérison.
Si vous lisez l'anglais je vous conseille de lire brain over binge, vous verrez que tout ce que vous venez de dire n'est que le fruit de votre ignorance du fonctionnement du cerveau
Très bien expliqué Veronica, merci. Je suis passée par là, anorexie puis hyperphagie...ça va mieux mais je sais que je n'en guérirai vraiment jamais et que mes 20 kg en trop resteront...
Malheureusement on ne tombe pas forcément sur des professionnels suffisamment formés, j'ai perdu énormément de temps avec des psychiatre, nutritionnistes ou diététicienne qui m imposaient des régimes alimentaires au lieu de soigner mon mal-être !
J’ai compris il y a pas longtemps que je fais des crises de boulimie… c’est vrai qu’une fois identifié on peux gérer même si parfois c’est incontrôlable…
Ariane Séguillon , une actrice de demain nous appartient. J’adore cette émission et cette actrice . La boulimique et l’anorexie c’est presque pareil . Courage à toutes les personnes souffrant de boulimie ou d’anorexie 💪🏼👏🏻♥️
Bonjour la semaine où j ai perdu mon père à mes 18 ans, j ai eu cette envie soudaine de manger. Tous les soirs rituel, j achetais en sortant du lycée 1 tablette de chocolat et un paquet de gâteaux. Puis plus tard, des steaks, etc. J avalais en un soir les 10 mars ou autres que j avais achetés pour la semaine d internat. Ça a duré environ 3 ans et puis j ai réussi à arrêter de manger autant. Puis j ai replongé en 2012 suite à une dispute. Dur dur.
Je trouve cette femme magnifique en plus d'être une excellente actrice!!! C'est un de mes personnage préférée dans Demain nous appartient! D'abord c'est une femme superbe et elle dégage une humanité, quelque chose qui vient nous chercher...
Une addiction c'est l'arbre qui cache la forêt, derrière la boulimie et l'anorexie il y a un très grand gouffre affectif, un trouble de l'estime de soi profond. C'est au-delà du trouble alimentaire. Le trouble alimentaire est le symptôme, ce n'est donc pas le symptôme que l'on soigne, il est nécessaire de soigner les causes pour guérir et retrouver une relation saine à soi et aux autres. Le symptôme disparaît ensuite de lui-même, sans effort.
Elle est extra, je ne connais pas DNA, je n'ai pas la télé. Je ne connaissais pas cette actrice, mais je la trouve géniale de parler d'une chose aussi dure, avec des petites incursions d'humour! trop marrante! j'adore, et elle est très belle
Je vis depuis 10 ans ce qu'Ariane explique. Je souhaiterai vivement lui écrire. Pourriez-vous me communiquer une adresse où je peux la contacter svp ? Votre émission est juste géniale et d'utilité publique, merci à Faustine et à l'équipe :)
Une fois que l'on a identifié notre addiction on peu travailler plus facilement dessus mais ca reste compliqué. Je fais des crises d'hyperphagie que j'arrive à contrôler grace a mes chiens que je sort a chaque debut de crise
Je suis /étais boulimique et le jeûne intermittent alterné avec un régime keto m ont sauvé la vie ...Je ne sais pas si je suis guéri ou pas mais je vais mieux depuis ce changement...
Je me permets de vous donner mon avis ayant été atteinte d’anorexie mentale puis d’hyperphagie. Les régimes et jeûnes intermittents restent des formes de contrôle et de restriction qui au long cours, peuvent avoir des répercussions et créer une certaine frustration amenant à faire des crises compulsives. Si cela marche pour vous, tant mieux et je vous souhaite que ça dure mais ne vous privez pas, écoutez votre corps il vous le remerciera!
intéressante la vidéo. juste.. le jeun intermittent n'est pas un régime donc ce n'est pas vraiment mauvais, c'est un rythme de vie et de repas autre. ^^
Moi c'est le contraire (anorexie) mais j'ai eu certaines remarques citées ici notamment "tu manque de volonté, si tu y mettais du tiens, tout irait bien..." Dans ces moments là tu prends que toi...
Avec du respect, bien sûr : l'anorexie dite mentale (qui n'est donc pas une perte d'appétit mais une privation de nourriture pour soi-même) n'est-elle pas justement une manifestation, par la volonté, du mal-être ?
@@JM-fu9qi si peut être, mais je n'arrive pas à manger malgré les efforts... Ça fait 5 ans que je suis dedans et malgré les différentes aides au quotidien rien y fait (je sais qu'il faut avant tout que ça vienne de moi, mais dans certains cas l'aide extérieure est très utile...)
@@supernaturelle2576 Pour le moment, je suis quand même suivie par quelqu'un, un psychologue. Mais pour le moment, je refuse toute autre aide, je sais qu'il faudrait aller chez un médecin, mais je n'en ai pas envie. Oui effectivement j'ai été dans le déni durant les 3 premières années, mais plus maintenant
Pour qui se lance posément, consciemment et volontairement dans un "régime" sur le long terme (perte mensuelle modérée mais sur le long terme) Il ne faut pas confondre régime et choix alimentaire de qualité... Les frites, la bière, le chocolat ne sont pas quotidiennement nécessaires à la vie... Ceci dit, ce n'est pas à proscire à 100%, sinon on craque Les fruits, les légumes et les protéines : à (ré)intégrer dans sa vie...
J'ai regardé l'interview, elle dit aussi qu'il a été très difficile de retrouver la sensation de satiété puisqu'avant elle mangeait énormément sans faim.
Je fais de l'hyperphagie. Ça a démarré en 2014, suite à une dépression, pendant une relation abusive. Je suis passée en moins de 2 ans de 52kg (je suis très petite) à 96kg - Et probablement plus, j'ai simplement arrêté de me peser à 96kg. Pour moi, c'était le fromage et la charcuterie, quand j'étais au plus bas, je pouvais passer 3 semaines/1 mois sans manger le moindre légume/fruit, mais j'avalais des kilos de fromages tous les jours, c'était devenu tellement obsessionnel que je faisais des insomnies si je n'avais pas "ma dose". J'habitais à Londres à l'époque, où certains magasins sont ouverts 24/24h, il m'est arrivé de sortir de mon lit à 2h du matin pour aller, en pyjama, acheter du fromage. Je n'ai pas ressenti la sensation de faim pendant 5 ans. Au départ je ne me suis pas vue grossir, jusqu'à ce que je commence à voir des photos que l'on prenait de moi. J'ai tout essayé, le sport, les régimes... Rien ne fonctionnait puisque dès que je me privais un minimum, cela me déclenchait des crises plus grosses derrière. Lorsque je suis sortie de ma relation abusive, j'ai été suivie par une psy extraordinaire, qui n'a jamais évoqué mon poids ou mon trouble alimentaire, nous avons simplement travaillé à me guérir de ma dépression et me sortir de l'emprise de cette personne. Environ un an plus tard, je me suis sentie suffisamment forte pour reprendre contact avec des amis dont mon bourreau m'avait isolée, ils m'ont accueillis à bras ouverts, malgré le fait que je les avais jetés de ma vie sans explications 5 ans plus tôt. Ça a été le déclic pour moi. Pour la première fois en presque 6 ans, je n'ai pas fait une seule crise pendant 2 semaines. J'ai perdu 10kg en moins d'un mois. Je n'étais pas complètement guérie, parce que je continuais à faire des crises, mais elles étaient de plus en plus espacées, j'ai redécouvert la sensation de faim et les kilos disparaissaient incroyablement rapidement. Je ne dirais pas que j'ai "réappris" à manger, parce que je savais ce qu'était une alimentation saine, simplement, puisque psychologiquement je me sentais bien, je n'avais plus ce besoin constant de manger, donc c'est tout naturellement que j'ai repris des repas normaux, en quantités normales. Aujourd'hui je pèse 65kg, je me sens bien dans mon corps et bien dans ma tête, tellement bien que je suis actuellement en train de me préparer pour courir un marathon, alors que je n'avais jamais été sportive avant ! Il m'arrive encore parfois de faire des crises, mais ça arrive peut-être une fois tous les 6 mois et j'ai appris à vivre avec, je n'essaie pas de les empêcher ou de les camoufler, au contraire, dès que je fais une crise, j'ai une amie de confiance à qui je sais que je peux en parler, on en discute de manière très libre et légère, ce qui me permet de rester solide mentalement, de ne pas me culpabiliser et ainsi mieux les contrôler pour que cela reste des crises courtes et exceptionnelles. Bref, tout ce roman pour dire que c'est dans la tête que cela se passe, beaucoup plus que dans l'assiette. Le seul moyen d'arriver à reprendre une alimentation saine, sans avoir l'impression de se priver, c'est de mettre le doigt sur la cause et se concentrer sur guérir la cause, et non la conséquence. À tous ceux et toutes celles qui sont atteint de troubles alimentaires quels qu'ils soient, croyez-moi, il y a une lumière au bout du tunnel, la route est longue, mais la destination en vaut la peine, ne désespérez pas, ne vous culpabilisez pas et surtout, ne restez pas seul(e)s, n'hésitez pas à demander de l'aide, que ce soit à des proches ou des professionnels.
" les régimes , le jeûne intermittent c'est du vent " , mouais à nuancer . Déjà le jeûne intermittent c'est pour soulager le systeme digestif de certains , c'est pas pour maigrir et pas pour les personnes souffrant de troubles du comportement alimentaire. Et les régimes a la mode c'est de la gnognote mais un vrai rééquilibrage alimentaire peut s'avérer nécessaire pour la santé . Et mes crises d'hyperphagie ont été vachement calmées par un rééquilibrage alimentaire car il y a le comportement mais aussi l'habitude aux sucres et aux additifs . Force aux addicts 💪😉
@@clara698 bonjour pourriez vous développer sur la différence entre un rééquilibrage alimentaire et un régime svp j'ai du mal à faire la différence , pour moi rééquilibrer = nécessairement se priver
@@Marie-cm1yy Je dirais que le régime est conçu pour perdre du poids rapidement et sur une courte durée (quelques semaines) via une privation extrême de certains aliments (ex : ne manger que des légumes, ou ne plus manger aucun glucide) le résultat est une reprise de poids presque immédiate dès qu'on arrête le régime. Tandis que le rééquilibrage alimentaire a pour vocation de prendre des bonnes habitudes pour toute la vie. Normalement on n'est censé se priver d'AUCUN aliment (oui oui même sucreries/fast food), juste ajuster la quantité, avoir quelques notions des calories qu'ils contiennent, et surtout de garder un sentiment de satiété (totalement absent des régimes) en composant mieux son assiette avec des groupes d'aliment équilibrés : glucides/protéines/lipides + les fibres/vitamines/minéraux.
A propos de la dépression, j'ai souvent entendu dire qu''elle s'expliquait par la VOLONTE de rester dans sa zone de confort même si néfaste pour soi, la personne n'étant pas prête à donner plus ni à braver les difficultés qui pourraient se présenter sur sa route si elle décidait d'en sortir. A propos de toute maladie en général et surtout les plus graves, j'ai toujours entendu dire que la VOLONTE de s'en sortir était importante dans le processus de guérison. Alors, pourquoi, quand il s'agit d'addiction (peu importe laquelle), subitement tout à coup, la volonté de s'en sortir ne compterait pas ? Je n'ai jamais compris et j'y vois quand même pas mal d'hypocrisie, pour être honnête. De la volonté, il en faut il me semble, de la détermination aussi. Sinon quoi, le facteur chance ? la prière ? C'est bien de dire qu'il n'en faut pas mais souvent ceux qui le disent oublient toujours de dire ce qu'il faut alors pour se sortir de l'addiction ? des médicaments ? qui agiraient sur le cerveau ? on ne peut pas obtenir le même genre de résultat par la force mentale ? Bien sûr que si, à mon avis. Non tout le monde n'en est peut-être pas capable ou pas complètement, de là à dire que ça ne compte pas du tout... C'est vraiment mensonger je pense.
Il y a des gens addict qui n'ont pas la volonté de s'en sortir, ils ne cherchent simplement pas à le faire. Mais quand quelqu'un cherche à s'en sortir, essaie, échoue, réessaie, échoue encore et encore, là le problème ce n'est pas que la personne manque de volonté, vous voyez la différence ? Or pour beaucoup, quelqu'un qui ne REUSSIT pas à se sortir d'une addiction, c'est forcément qu'il manque de volonté, comme si la volonté suffisait pour y arriver.
@@Lwena bonsoir Lwena, Le souci étant que vous m'avez mal lu, vous faites comme si j'avais dit que la volonté faisait tout. Relisez car ce n'est pas ce que j'ai écrit :-) J'ai simplement réagit aux propos du médecin qui s'empresse d'affirmer que la volonté bah ça sert a rien. A mon sens ce n'est pas vrai du tout. Bien sûr qu'elle ne fait pas tout, la méthode compte aussi, entre autre chose d'ailleurs. S'arrêter radicalement du jr au lendemain convient à certains, pas a d'autres. On échoue si on le prend comme un échec. On affine notre compréhension de nous-même (en apprenant qu'une approche radicale ne nous convient pas) si on le prend comme un essai qui n'a pas porté ses fruits. Et du coup on s'y prend autrement la fois suivante, au lieu de s'écrouler ou s'entêter dans une méthode inadaptée. La volonté va aussi se situer la, dans la capacité a garder le cap, quoi qu'il arrive. A comprendre que les échecs existent que si on les voit comme tel. Dans notre capacité a nous adapter face a la difficulté parce que oui, sortir d'une addiction ça n'est pas la traversée d'un champs de roses.
Bonjour, (Avis basé sur expériences non professionnelles) Le terme de volonté (dans le domaine des addictions) me dérange un peu parce qu'il implique une vision du futur assez lointaine, des objectifs à long terme qui de ce fait peuvent sembler insurmontables à une personne dans le mal du sevrage. Y a des gens qui restent dans cette boucle pendant des années, avec un raisonnement du type : je suis addict et j'ai honte de moi => je vais arrêter car je veux être fort, pas faible => c'est trop dur pourquoi c'est si dur pourquoi je suis si faible => je suis faible et j'en ai honte donc je mange/picole etc. C'est un cercle vicieux qui rend la possibilité de bonheur plus difficile à chaque échec tellement l'image de soi est abîmée. C'est dangereux pour un addict de se mettre dans des concept de force et de faiblesse mentale parce qu'il va se comparer à des personnes qui n'ont pas cette maladie et se sentira donc tjs perdant. Je préfère énormément le concept de discipline qui est beaucoup plus libéré des affects et de la culpabilisation. Évidemment ce n'est pas si simple sinon ça réussirait à tous les coups, mais c'est quand même plus abordable de se dire "Je me fixe une règle arbitraire (même pour juste une semaine) et je la tiens juste pour la tenir" comme un jeu.
@@rmathilde5601 Bonjour Mathilde, Quelqu'un de volontaire et déterminé sait qu'il ne doit pas se comparer à autrui si c'est pour en tirer un sentiment de honte qui le conduira vers l'échec ou s'il s'agit de s'en servir (inconsciemment, ou pas) comme d'une bonne raison pour retomber dans ses travers, parce que oui, ca aussi...ca existe quand justement, la volonté de s'en sortir n'est pas encore tout à fait là ou pas du tout là. Pour d'autre, la honte sera un moteur afin d'amorcer un changement, justement. Chacun sa personnalité. Si la comparaison te tire vers le bas, ce n'est clairement pas la bonne façon d'aborder le problème donc c'est un point essentiel à revoir plutôt que de rester dans ce schéma de pensées parasite et destructeur. Ceci ne s'oppose en rien à l'idée d'aborder le changement sous forme de jeu, si ca nous convient. Encore une fois, ca n'empêche qu'il faudra de la volonté et détermination à un moment ou à un autre du processus, c'est certain. Plusieurs vérités peuvent coexister, elles ne s'annulent pas forcément les unes les autres. Une fois addict à qlqch, on le restera tjrs. Il faudra tjrs faire attention. Le cerveau est foutu comme ça, a réclamer ce qu'il aime quand bien même ca nous détruit. Sans volonté, bon courage. Vraiment. Encore une fois, je n'ai pas dit que ça faisait tout, mais faire croire qu'elle ne joue aucun rôle, c'est vraiment mensonger selon moi. Un addict à diverses drogues dures en verra de toutes les couleurs s'il essaie de s'en sortir uniquement à la volonté. Je ne sais même pas si c'est possible, passé un certain stade d'addiction à des doses vraiment très élevées... pour les cas vraiment extrêmes par exemple. Je ne dis aucunement qu'il s'agit de tout baser sur la volonté. Ce n'est pas pour autant que je vais nier son importance. J'espère que c'est plus clair car j'ai le sentiment que pour bcp, quand on dit que la volonté est importante pour se sortir d'une addiction, ca voudrait dire qu'on fait tout reposer sur elle alors que ce n'est - PAS - ce qui est dit.
"C'est dangereux pour un addict de se mettre dans des concept de force et de faiblesse mentale parce qu'il va se comparer à des personnes qui n'ont pas cette maladie et se sentira donc tjs perdant." " Ici vous faites COMME SI qlqun avait dit que TOUT devait reposer sur des concepts de force mentale et vous faites aussi COMME SI vous aviez prouvé que c''était faux, alors ce serait automatiquement l'inverse qui serait vrai, à savoir, qu'on ne se sort pas d'addiction à l'aide de concepts de force mentale. C'est votre façon de penser qui est biaisée et ce sont justement les biais cognitifs qui sont dangereux, et non pas mon propos qui est dans la juste mesure 'un peu de méthode, un peu de volonté, un peu de détermination, un peu d'aide médicale si besoin, tout compte pour s'en sortir" et non pas faire croire à la personne qu'elle n'a aucun rôle psychique et mental à jouer...
Elle l'a dit, le pire avec la boulimie c'est qu'on est obligé de manger, au moins un peu ... Souvent après une crise, je déteste tellement la nourriture que je rêve d'un monde où je pourrais juste arrêter de manger, complètement, ne jamais aller faire les courses, ne jamais avoir à cuisiner, ne plus jamais culpabiliser parce que j'ai trop mangé, ou me sentir nulle parce que j'ai une fois de plus vidé mes placards ...
J’espère que tu vas mieux j’ai été boulimique durant toute mon enfance maintenant j’ai 16 ans je suis anorexique je viens de sortir d’hospitalisation et d’aller mieux mais j’ai peur de remanger et de refaire des crises c’est horrible mais on va s’en sortir 💋💋
La nourriture est la pire addiction dans le sens qu'on ne peut lui tourner le dos totalement comme l'alcool , la cigarette ou les substances dites drogues, ou le sport ou le sexe ou les jeux ou le travail...Bref D'où cette terrible dualité car indispensable à la vie, on doit apprendre la limite , la modération, à s'aimer plutôt que de céder à la culpabilité et dégoût de soi ! L' Amour de Soi , aimer son corps tel qu'il est , tel qu'on l'a rendu par nos excès et non respect de ses limites. Il est gentil, il a stocké les toxines qu'il a entouré de graisse, pour nous protéger. S'intéresser au travail extraordinaire que fait notre foie, (voir les vidéos du Dr Allouche) nous rend conscient de l'intelligence et bonté de notre organisme, et que la Santé est bien plus importante que l'image idéale qui va nous pousser dans l'excès inverse de privations kamikazes qui finiront par nous faire reprendre en double, les kilos perdus. J'en ai rencontré des thérapeutes dans ma vie mais jamais ils n'ont su traiter mes compensations et compulsions incontrôlables envers la nourriture, de par une anxiété innommable... ça passe avec le temps, l'âge, ça se calme quand on a une vie qui génère moins de frustrations, d'angoisses, ou souffrances émotionnelles. La nourriture reste un réconfort, avec une hyperphagie acceptable, car il y a longtemps que c'est fini la malbouffe et les shoots au sucreries ! Je crois que seul l'Amour de Soi peut nous sortir de là, d'ailleurs ça me fait penser qu'il est temps de se redonner de l'Amour à Soi avec par exemple l'énergétique chinoise et le sourire aux organes de Maître Mantakchia. Encore un truc qu'ils ont oublié de nous apprendre à l'école... Sachez en tout cas que selon le Dr Allouche il faut neuf mois pour stabiliser un poids et plus on l'a perdu vite et plus on risque de reprendre vite fait les kilos perdus, plus encore car le métabolisme en mode famine le dépense plus de calories comme avant le régime ou la détox ou le jeune.... La clef c'est en douceur...et plus on s'aime comme on est et moins on se sentira coupable et moins on auras de compulsions incontrôlables... Aussi pensez plutôt à respirer, à se muscler avec un sport gym agréable et pas juste de la muscu qui va nous rendre obsédée de l'image encore et encore... Mais bon si ça peut éviter les maladies de l'obésité...il vaut mieux déplacer son obsession et addiction dans ce sens, en étant conscient que c'est pas la vraie guérison.
Si vous lisez l'anglais je vous conseille de lire brain over binge, vous verrez que tout ce que vous venez de dire n'est que le fruit de votre ignorance du fonctionnement du cerveau
Très bien expliqué Veronica, merci.
Je suis passée par là, anorexie puis hyperphagie...ça va mieux mais je sais que je n'en guérirai vraiment jamais et que mes 20 kg en trop resteront...
Malheureusement on ne tombe pas forcément sur des professionnels suffisamment formés, j'ai perdu énormément de temps avec des psychiatre, nutritionnistes ou diététicienne qui m imposaient des régimes alimentaires au lieu de soigner mon mal-être !
Ce TCA est très bien décrit, vous l'expliquez avec intelligenge et lucidité merci pour votre témoignage
En5n😊utilise😂utilise 2i
Bo
J’ai compris il y a pas longtemps que je fais des crises de boulimie… c’est vrai qu’une fois identifié on peux gérer même si parfois c’est incontrôlable…
Ariane Séguillon , une actrice de demain nous appartient. J’adore cette émission et cette actrice .
La boulimique et l’anorexie c’est presque pareil .
Courage à toutes les personnes souffrant de boulimie ou d’anorexie 💪🏼👏🏻♥️
C'est aussi la mère d'un des membres du duo français Ofenbach (ils sont DJ, pour ceux qui ne sauraient pas) !
@@aly.e5975 merci car je ne savais pas
@@desponeydansmavie je sais car j’ai un trouble alimentaire, c’est très difficile à arrêter . Surtout quand le trauma est encore présent
J adore cette actrice elle est magnifique
Bonjour la semaine où j ai perdu mon père à mes 18 ans, j ai eu cette envie soudaine de manger. Tous les soirs rituel, j achetais en sortant du lycée 1 tablette de chocolat et un paquet de gâteaux. Puis plus tard, des steaks, etc. J avalais en un soir les 10 mars ou autres que j avais achetés pour la semaine d internat. Ça a duré environ 3 ans et puis j ai réussi à arrêter de manger autant. Puis j ai replongé en 2012 suite à une dispute. Dur dur.
Je trouve cette femme magnifique en plus d'être une excellente actrice!!! C'est un de mes personnage préférée dans Demain nous appartient! D'abord c'est une femme superbe et elle dégage une humanité, quelque chose qui vient nous chercher...
Une addiction c'est l'arbre qui cache la forêt, derrière la boulimie et l'anorexie il y a un très grand gouffre affectif, un trouble de l'estime de soi profond. C'est au-delà du trouble alimentaire. Le trouble alimentaire est le symptôme, ce n'est donc pas le symptôme que l'on soigne, il est nécessaire de soigner les causes pour guérir et retrouver une relation saine à soi et aux autres. Le symptôme disparaît ensuite de lui-même, sans effort.
TOUT À FAIT !
Par contre pas d’accord sur le « sans effort »…
Témoignage très intéressant, merci !
Elle est extra, je ne connais pas DNA, je n'ai pas la télé. Je ne connaissais pas cette actrice, mais je la trouve géniale de parler d'une chose aussi dure, avec des petites incursions d'humour! trop marrante! j'adore, et elle est très belle
Vous ne ratez rien.
Je l'aime énormément également. Et je suis heureuse de l'entendre parler de ce sujet aussi bien ❤️
@@kzrk099 quelle tristesse on peut lire dans votre commentaire...
@@harleyquinn727 Je parle du feuilleton pas de l'actrice
Très intéressant oui on ne s en rends pas compte j adore cette actrice et l émission
J adore cette femme elle dégage une chaleur humaine incroyable
Une belle personne, dans tous les sens du terme
Une salarié du système
Je vis depuis 10 ans ce qu'Ariane explique. Je souhaiterai vivement lui écrire. Pourriez-vous me communiquer une adresse où je peux la contacter svp ? Votre émission est juste géniale et d'utilité publique, merci à Faustine et à l'équipe :)
Une fois que l'on a identifié notre addiction on peu travailler plus facilement dessus mais ca reste compliqué. Je fais des crises d'hyperphagie que j'arrive à contrôler grace a mes chiens que je sort a chaque debut de crise
Je suis /étais boulimique et le jeûne intermittent alterné avec un régime keto m ont sauvé la vie ...Je ne sais pas si je suis guéri ou pas mais je vais mieux depuis ce changement...
Je me permets de vous donner mon avis ayant été atteinte d’anorexie mentale puis d’hyperphagie. Les régimes et jeûnes intermittents restent des formes de contrôle et de restriction qui au long cours, peuvent avoir des répercussions et créer une certaine frustration amenant à faire des crises compulsives. Si cela marche pour vous, tant mieux et je vous souhaite que ça dure mais ne vous privez pas, écoutez votre corps il vous le remerciera!
Je l'adore comme comédienne
intéressante la vidéo.
juste.. le jeun intermittent n'est pas un régime donc ce n'est pas vraiment mauvais, c'est un rythme de vie et de repas autre. ^^
C'est mauvais car on mange trop ou pas assez dans un laps de temps très court, ça ne respecte pas notre rythme biologique
Le jeune intermitant m'a donné des troubles du comportement alimentaire personnellement...
❤️👑
Moi c'est le contraire (anorexie) mais j'ai eu certaines remarques citées ici notamment "tu manque de volonté, si tu y mettais du tiens, tout irait bien..." Dans ces moments là tu prends que toi...
Avec du respect, bien sûr : l'anorexie dite mentale (qui n'est donc pas une perte d'appétit mais une privation de nourriture pour soi-même) n'est-elle pas justement une manifestation, par la volonté, du mal-être ?
@@JM-fu9qi si peut être, mais je n'arrive pas à manger malgré les efforts... Ça fait 5 ans que je suis dedans et malgré les différentes aides au quotidien rien y fait (je sais qu'il faut avant tout que ça vienne de moi, mais dans certains cas l'aide extérieure est très utile...)
@@l.6829 avez-vous commencé un suivi thérapeutique avec un spécialiste?
@@supernaturelle2576 non, je ne savais même pas que ça existait pour les TCA
@@supernaturelle2576 Pour le moment, je suis quand même suivie par quelqu'un, un psychologue. Mais pour le moment, je refuse toute autre aide, je sais qu'il faudrait aller chez un médecin, mais je n'en ai pas envie. Oui effectivement j'ai été dans le déni durant les 3 premières années, mais plus maintenant
Bonjour quel est le titre de l'émission svp merci
Pour qui se lance posément, consciemment et volontairement dans un "régime" sur le long terme (perte mensuelle modérée mais sur le long terme)
Il ne faut pas confondre régime et choix alimentaire de qualité...
Les frites, la bière, le chocolat ne sont pas quotidiennement nécessaires à la vie... Ceci dit, ce n'est pas à proscire à 100%, sinon on craque
Les fruits, les légumes et les protéines : à (ré)intégrer dans sa vie...
Ça aurait été intéressant pour les personnes hyperphages qu'elle dise comment elle a perdu son poids sans faire de régime du coup
Si Elle a réappris à manger des quantités plus adaptées, le poid est descendu de lui même.
J'ai regardé l'interview, elle dit aussi qu'il a été très difficile de retrouver la sensation de satiété puisqu'avant elle mangeait énormément sans faim.
@@MaylisBzh Oui mais des quantités adaptées quand on est habitués à beaucoup manger ça en revient à se priver a un moment donné donc faire le régime
@@clarinette46 je veux bien la croire ...
Je fais de l'hyperphagie. Ça a démarré en 2014, suite à une dépression, pendant une relation abusive. Je suis passée en moins de 2 ans de 52kg (je suis très petite) à 96kg - Et probablement plus, j'ai simplement arrêté de me peser à 96kg. Pour moi, c'était le fromage et la charcuterie, quand j'étais au plus bas, je pouvais passer 3 semaines/1 mois sans manger le moindre légume/fruit, mais j'avalais des kilos de fromages tous les jours, c'était devenu tellement obsessionnel que je faisais des insomnies si je n'avais pas "ma dose". J'habitais à Londres à l'époque, où certains magasins sont ouverts 24/24h, il m'est arrivé de sortir de mon lit à 2h du matin pour aller, en pyjama, acheter du fromage. Je n'ai pas ressenti la sensation de faim pendant 5 ans. Au départ je ne me suis pas vue grossir, jusqu'à ce que je commence à voir des photos que l'on prenait de moi. J'ai tout essayé, le sport, les régimes... Rien ne fonctionnait puisque dès que je me privais un minimum, cela me déclenchait des crises plus grosses derrière. Lorsque je suis sortie de ma relation abusive, j'ai été suivie par une psy extraordinaire, qui n'a jamais évoqué mon poids ou mon trouble alimentaire, nous avons simplement travaillé à me guérir de ma dépression et me sortir de l'emprise de cette personne. Environ un an plus tard, je me suis sentie suffisamment forte pour reprendre contact avec des amis dont mon bourreau m'avait isolée, ils m'ont accueillis à bras ouverts, malgré le fait que je les avais jetés de ma vie sans explications 5 ans plus tôt. Ça a été le déclic pour moi. Pour la première fois en presque 6 ans, je n'ai pas fait une seule crise pendant 2 semaines. J'ai perdu 10kg en moins d'un mois. Je n'étais pas complètement guérie, parce que je continuais à faire des crises, mais elles étaient de plus en plus espacées, j'ai redécouvert la sensation de faim et les kilos disparaissaient incroyablement rapidement. Je ne dirais pas que j'ai "réappris" à manger, parce que je savais ce qu'était une alimentation saine, simplement, puisque psychologiquement je me sentais bien, je n'avais plus ce besoin constant de manger, donc c'est tout naturellement que j'ai repris des repas normaux, en quantités normales. Aujourd'hui je pèse 65kg, je me sens bien dans mon corps et bien dans ma tête, tellement bien que je suis actuellement en train de me préparer pour courir un marathon, alors que je n'avais jamais été sportive avant ! Il m'arrive encore parfois de faire des crises, mais ça arrive peut-être une fois tous les 6 mois et j'ai appris à vivre avec, je n'essaie pas de les empêcher ou de les camoufler, au contraire, dès que je fais une crise, j'ai une amie de confiance à qui je sais que je peux en parler, on en discute de manière très libre et légère, ce qui me permet de rester solide mentalement, de ne pas me culpabiliser et ainsi mieux les contrôler pour que cela reste des crises courtes et exceptionnelles. Bref, tout ce roman pour dire que c'est dans la tête que cela se passe, beaucoup plus que dans l'assiette. Le seul moyen d'arriver à reprendre une alimentation saine, sans avoir l'impression de se priver, c'est de mettre le doigt sur la cause et se concentrer sur guérir la cause, et non la conséquence. À tous ceux et toutes celles qui sont atteint de troubles alimentaires quels qu'ils soient, croyez-moi, il y a une lumière au bout du tunnel, la route est longue, mais la destination en vaut la peine, ne désespérez pas, ne vous culpabilisez pas et surtout, ne restez pas seul(e)s, n'hésitez pas à demander de l'aide, que ce soit à des proches ou des professionnels.
Elle parle d'HYPERPHAGIE, pas de BOULIMIE. La boulimie s'accompagne de comportements compensatoires (vomissements, jeune, sport excessif)
Je souffre de binge eating disorder... C'est horrible. On peut manger sans pause une journée entière. E sans même avoir faim.
J'ai lu qu'elle a perdu du poids en faisant de la boxe et qu'elle est devenue boulimique après le décès de son frère.
Exactement
" les régimes , le jeûne intermittent c'est du vent " , mouais à nuancer . Déjà le jeûne intermittent c'est pour soulager le systeme digestif de certains , c'est pas pour maigrir et pas pour les personnes souffrant de troubles du comportement alimentaire. Et les régimes a la mode c'est de la gnognote mais un vrai rééquilibrage alimentaire peut s'avérer nécessaire pour la santé . Et mes crises d'hyperphagie ont été vachement calmées par un rééquilibrage alimentaire car il y a le comportement mais aussi l'habitude aux sucres et aux additifs . Force aux addicts 💪😉
Régime ≠ rééquilibrage alimentaire
Et il parlait du jeune intermittent pour maigrir, donc dans ce cas c'est du vent
@@clara698 bonjour pourriez vous développer sur la différence entre un rééquilibrage alimentaire et un régime svp j'ai du mal à faire la différence , pour moi rééquilibrer = nécessairement se priver
@@Marie-cm1yy Je dirais que le régime est conçu pour perdre du poids rapidement et sur une courte durée (quelques semaines) via une privation extrême de certains aliments (ex : ne manger que des légumes, ou ne plus manger aucun glucide) le résultat est une reprise de poids presque immédiate dès qu'on arrête le régime.
Tandis que le rééquilibrage alimentaire a pour vocation de prendre des bonnes habitudes pour toute la vie. Normalement on n'est censé se priver d'AUCUN aliment (oui oui même sucreries/fast food), juste ajuster la quantité, avoir quelques notions des calories qu'ils contiennent, et surtout de garder un sentiment de satiété (totalement absent des régimes) en composant mieux son assiette avec des groupes d'aliment équilibrés : glucides/protéines/lipides + les fibres/vitamines/minéraux.
@@ED-ps4cy merci beaucoup en effet on voit bien la différence là. C'est intéressant
En un sens, elle a raison : si on mange à sa faim et équilibré, on n'a pas besoin de jeûne intermittent.
Je suis addict au sucre... Ps un jour sans manger du sucré atroce ! Aucun remède pr m'en sortir hélas. Et je suis diabétique !
Courage ❤️
Tant qu'il ya la vie il y'a de l'espoir. N'arretes pas de chercher les solutions un jour tu trouveras celle qui te convient.
Regime ou jeune inter mi-temps vent aux boîtes
cf/ vidéo :
OMAD : 1 REPAS PAR JOUR/JEÛNE INTERMITTENT : QUE DIT LA SCIENCE ?
fastlyfood
L anorexie c est le même problème
Yup, c'est le cas pour de nombreux troubles psychiques et pour les personnes à tendance addictives
Moi je suis gros et je sais que je bouffe trop. "La grosse" n'est pas la pire insulte.
Si j’ai les 5sens cela veux dire que j’ai une addiction à quelque chose
Je compatis, mais Jamais je ne me remettrai entre les mains d'une ignare, si sympathique soit elle.
A propos de la dépression, j'ai souvent entendu dire qu''elle s'expliquait par la VOLONTE de rester dans sa zone de confort même si néfaste pour soi, la personne n'étant pas prête à donner plus ni à braver les difficultés qui pourraient se présenter sur sa route si elle décidait d'en sortir.
A propos de toute maladie en général et surtout les plus graves, j'ai toujours entendu dire que la VOLONTE de s'en sortir était importante dans le processus de guérison.
Alors, pourquoi, quand il s'agit d'addiction (peu importe laquelle), subitement tout à coup, la volonté de s'en sortir ne compterait pas ?
Je n'ai jamais compris et j'y vois quand même pas mal d'hypocrisie, pour être honnête.
De la volonté, il en faut il me semble, de la détermination aussi.
Sinon quoi, le facteur chance ? la prière ?
C'est bien de dire qu'il n'en faut pas mais souvent ceux qui le disent oublient toujours de dire ce qu'il faut alors pour se sortir de l'addiction ? des médicaments ? qui agiraient sur le cerveau ? on ne peut pas obtenir le même genre de résultat par la force mentale ?
Bien sûr que si, à mon avis.
Non tout le monde n'en est peut-être pas capable ou pas complètement, de là à dire que ça ne compte pas du tout... C'est vraiment mensonger je pense.
Il y a des gens addict qui n'ont pas la volonté de s'en sortir, ils ne cherchent simplement pas à le faire. Mais quand quelqu'un cherche à s'en sortir, essaie, échoue, réessaie, échoue encore et encore, là le problème ce n'est pas que la personne manque de volonté, vous voyez la différence ? Or pour beaucoup, quelqu'un qui ne REUSSIT pas à se sortir d'une addiction, c'est forcément qu'il manque de volonté, comme si la volonté suffisait pour y arriver.
@@Lwena bonsoir Lwena,
Le souci étant que vous m'avez mal lu, vous faites comme si j'avais dit que la volonté faisait tout. Relisez car ce n'est pas ce que j'ai écrit :-)
J'ai simplement réagit aux propos du médecin qui s'empresse d'affirmer que la volonté bah ça sert a rien.
A mon sens ce n'est pas vrai du tout.
Bien sûr qu'elle ne fait pas tout, la méthode compte aussi, entre autre chose d'ailleurs.
S'arrêter radicalement du jr au lendemain convient à certains, pas a d'autres. On échoue si on le prend comme un échec. On affine notre compréhension de nous-même (en apprenant qu'une approche radicale ne nous convient pas) si on le prend comme un essai qui n'a pas porté ses fruits. Et du coup on s'y prend autrement la fois suivante, au lieu de s'écrouler ou s'entêter dans une méthode inadaptée.
La volonté va aussi se situer la, dans la capacité a garder le cap, quoi qu'il arrive. A comprendre que les échecs existent que si on les voit comme tel. Dans notre capacité a nous adapter face a la difficulté parce que oui, sortir d'une addiction ça n'est pas la traversée d'un champs de roses.
Bonjour,
(Avis basé sur expériences non professionnelles)
Le terme de volonté (dans le domaine des addictions) me dérange un peu parce qu'il implique une vision du futur assez lointaine, des objectifs à long terme qui de ce fait peuvent sembler insurmontables à une personne dans le mal du sevrage. Y a des gens qui restent dans cette boucle pendant des années, avec un raisonnement du type : je suis addict et j'ai honte de moi => je vais arrêter car je veux être fort, pas faible => c'est trop dur pourquoi c'est si dur pourquoi je suis si faible => je suis faible et j'en ai honte donc je mange/picole etc. C'est un cercle vicieux qui rend la possibilité de bonheur plus difficile à chaque échec tellement l'image de soi est abîmée. C'est dangereux pour un addict de se mettre dans des concept de force et de faiblesse mentale parce qu'il va se comparer à des personnes qui n'ont pas cette maladie et se sentira donc tjs perdant.
Je préfère énormément le concept de discipline qui est beaucoup plus libéré des affects et de la culpabilisation. Évidemment ce n'est pas si simple sinon ça réussirait à tous les coups, mais c'est quand même plus abordable de se dire "Je me fixe une règle arbitraire (même pour juste une semaine) et je la tiens juste pour la tenir" comme un jeu.
@@rmathilde5601 Bonjour Mathilde,
Quelqu'un de volontaire et déterminé sait qu'il ne doit pas se comparer à autrui si c'est pour en tirer un sentiment de honte qui le conduira vers l'échec ou s'il s'agit de s'en servir (inconsciemment, ou pas) comme d'une bonne raison pour retomber dans ses travers, parce que oui, ca aussi...ca existe quand justement, la volonté de s'en sortir n'est pas encore tout à fait là ou pas du tout là.
Pour d'autre, la honte sera un moteur afin d'amorcer un changement, justement.
Chacun sa personnalité.
Si la comparaison te tire vers le bas, ce n'est clairement pas la bonne façon d'aborder le problème donc c'est un point essentiel à revoir plutôt que de rester dans ce schéma de pensées parasite et destructeur.
Ceci ne s'oppose en rien à l'idée d'aborder le changement sous forme de jeu, si ca nous convient.
Encore une fois, ca n'empêche qu'il faudra de la volonté et détermination à un moment ou à un autre du processus, c'est certain. Plusieurs vérités peuvent coexister, elles ne s'annulent pas forcément les unes les autres.
Une fois addict à qlqch, on le restera tjrs. Il faudra tjrs faire attention. Le cerveau est foutu comme ça, a réclamer ce qu'il aime quand bien même ca nous détruit.
Sans volonté, bon courage. Vraiment.
Encore une fois, je n'ai pas dit que ça faisait tout, mais faire croire qu'elle ne joue aucun rôle, c'est vraiment mensonger selon moi.
Un addict à diverses drogues dures en verra de toutes les couleurs s'il essaie de s'en sortir uniquement à la volonté. Je ne sais même pas si c'est possible, passé un certain stade d'addiction à des doses vraiment très élevées... pour les cas vraiment extrêmes par exemple.
Je ne dis aucunement qu'il s'agit de tout baser sur la volonté. Ce n'est pas pour autant que je vais nier son importance.
J'espère que c'est plus clair car j'ai le sentiment que pour bcp, quand on dit que la volonté est importante pour se sortir d'une addiction, ca voudrait dire qu'on fait tout reposer sur elle alors que ce n'est - PAS - ce qui est dit.
"C'est dangereux pour un addict de se mettre dans des concept de force et de faiblesse mentale parce qu'il va se comparer à des personnes qui n'ont pas cette maladie et se sentira donc tjs perdant." "
Ici vous faites COMME SI qlqun avait dit que TOUT devait reposer sur des concepts de force mentale et vous faites aussi COMME SI vous aviez prouvé que c''était faux, alors ce serait automatiquement l'inverse qui serait vrai, à savoir, qu'on ne se sort pas d'addiction à l'aide de concepts de force mentale.
C'est votre façon de penser qui est biaisée et ce sont justement les biais cognitifs qui sont dangereux, et non pas mon propos qui est dans la juste mesure 'un peu de méthode, un peu de volonté, un peu de détermination, un peu d'aide médicale si besoin, tout compte pour s'en sortir" et non pas faire croire à la personne qu'elle n'a aucun rôle psychique et mental à jouer...
Madame Bollaert n'a aucune compétence pour parler de ces sujets qui sont très complexes.