franchement Pau, c'est cadeau. c'est facile de sauter, c'est même un plaisir, c'est une reconnaissance que t'es là. le dur, c'est la vie de para, le manque de sommeil, les souffrances continuelles, l'inconnu permanent, le challenge, le conflit, les coups, les charges à porter, les pieds qui saignent les premières années, les attentes dans le froid, sous la pluie, dans la neige, enterré.. et d'un coup... c'est parti, faut être prêt et faire ce qui faut, instantanément. c'est une vie que tu ne retrouve nulle part ailleurs dans le civil.
Pas pour autant que le reste est facile, la vie militaire c'est aussi l'humilité. Chacun ses épreuves, l'ouvrier de 60 balais qui bosse toujours pour son compte malgré les fêlures vertébrales, sa vie est difficile à lui aussi...
Tout dépend de la personne... Quand j'ai passé mon brevet, il y avait des gens du 1er RTP, ils avaient terminé leurs classes, mais 2 n'ont pas sauté... Pour certains, ça peut être LA chose la plus dure, et même insurmontable, de la formation du para... Là où toi tu es à l'aise, d'autre ne le sont pas, et là où ils le seront, toi tu ne le seras pas... Si vraiment tu as été militaire un certain temps, tu dois le savoir......
Merci pour ce beau reportage qui m'a permis de revivre mes souvenirs au 8ÈME RPIMA classe 67 2C et pr lequel je resterais toujours marsouin et fier de l'avoir été avec le 8ÈME RPIMA .les nouveaux n'ont pas fait le saut à la banane ( hélicoptère ) comme j'ai fait et bcp ont vomi sur eux-mêmes parce que quand on sort de la porte on tombe direct avec tout le poids effrayant mais qu'on garde un super souvenir et vive le 8ÈME RPIMA
Bravo... vive vous !!!! Merci pour votre exemple car vous les paras vous êtes de vrais hommes.... DEBOUT.... authentiques et c'est ce qui manque cruellement à notre société de lâches
Le stage à Pau a été des vacances, comparé à l'entraînement au GI du 9 RCP en 79, la 11e cie, à l'inverse de la 12 ème, était formée de brevetés PMP, donc l'instruction nous était déjà connue, sur le terrain, les entraînements ont été plus rudes au fil du temps, pour finir à la section mortier 81, avec 40 kgs sur le dos et des marches souvent de 50 kms. Vomir sous l'effort n'était pas rare. Mais nous faisions bloc, 45 ans sont passés et nous sommes toujours frères.
A l'époque ça s'appelait l'ETAP (École des Troupes Aéroportées) et y'avait pas que des bérets rouges. Légion (vert), Commandos Marine (vert foncé badge à gauche), Commandos de l'air autrefois appelés fusiliers de l'air (bleu) et d'autres corps et régiments de l'armée de terre.
Vive les paras vive ste Michel, et sur tout vive la France, que de souvenirs j étais au 6 eme rpima contingent 90/12 ,sa a été un des moments les plus forts de ma vie, para un jour para pour toujours.
Pour ensuite se faire cracher dessus par le gouvernement oin oin les racistes partout Regarde sur tweeter Suite au décès d un des nôtres en Irak lors d une opération anti terroriste en collaboration avec l armée irakienne Ces espèces de merdes continue à l insulter de raciste Le concept de la race a été instauré par Hitler pour faire du séparatisme comme le séparatisme islamiste Ça s appel le point Goldwing ou rethorique fallacieuse visant à créer un amalgame
@@chedlielgharbi8499 😉 j'étais souvent le "premier en position" ou le dernier lorsque je m'arrangerais avec le chef largeur pour faire une sortie "face moteur" en automatique. Lorsque j'étais le dernier je laissais 3-4 mètres entre moi et le précédent de façon à bien me jeter avec un demi-tour au niveau de la porte. Jusqu'au jour où le para devant moi a fait un refus de saut, je me souviens encore de son nom mais chut. Bras et jambes écartées il ne voulait pas sortir. Le largeur lui a mit un coup de pied dans le parachute dorsal et il a dégagé. Seulement mon élan a été coupé et la porte d'un Transall est large. J'essaie quand même de sortir "face moteur" mais me voilà projeté en avant tête la première comme un sac de patates. Pas très académique pour une sortie "face moteur" ou même pour une sortie classique. Sacré choc à l'ouverture, suspentes emmêlées, pédalage jusqu'à 10 mètres du sol et bien sûr je suis largué hors-zone. Et cerise sur le gâteau à chaque tour de rotation je voyais la piste de la DZ et les camions en déplacement qui venaient nous récupérer. Les chauffeurs ne pouvaient pas me voir et pendant un long moment j'ai cru que j'allais être écrasé. Je me suis posé à 10 mètres d'un camion en mouvement... Putaingggg de saut je m'en souviens comme si c'était hier. Après j'ai fait de la chute dans le civil et il n'y avait pas encore de GPS. Largage au-dessus des nuages à Valenciennes. Erreur, grosse erreur. Encore un putaingggg de saut, j'ai faillit atterrir dans un énorme transformateur électrique et finir grillé. Ces sauts sont inoubliables. Amitiés Para 👍👍👍🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Salut à tous, en particulier à ceux de la 72/06, N° brevet 329928. Bon reportage, en 72 ce n'était pas si sophistiqué au niveau équipement d'entrainement, on avait une carlingue de Junker 52 et la tour d'arrivée. La cantine aussi a changé, la notre a explosé (fuite de gaz) nous mangions dans le hangar aux agrès. Reste des souvenirs impérissables de sauts en nord et Transall sur Wright et les pyrénées. Que St Michel protège toujours les paras.
Pour mon premier saut (il y a 55 ans quand même), je n’ai pas ressenti d’angoisse mais un merveilleux plaisir quand je me suis senti flotter en l’air. La seule source d’inquiétude était l’arrivée au sol, l’atterrissage avec un TAP 660 de l’époque se montrant assez raide. Avec d’autres risques : obstacles au sol, vent’, parachutiste qui passe sous vous et vous ”pompé’ l’air, etc. Les militaires de l’époque (et encore plus maintenant) ayant un souci pointilleux et permanent de la sécurité, je ne suis jamais inquiète dans une activité d’entraînement.
Bravo à tous ces jeunes… le saut en parachute c’est la sensation la plus incroyable que j’ai connue. Je n’ai jamais éprouvé autant de liberté que lorsque je sautais en parachute… à la seule différence que pour moi c’était un loisir alors que ces jeunes seront largués en zone de guerre… bizarrement toutes les fois où j’ai sauté, je n’ai jamais eu aucune appréhension, aucune peur du vide, aucune appréhension que mon parachute ne s’ouvre pas, je craignais plus l’atterrissage car mes chevilles ont toujours été fragiles à cause de vieilles blessures mal soignées. Je m’en suis toujours bien sortie, sauf lors de mon dernier saut ou mes chevilles n’ont pas tenu et je me suis aplatie comme une crêpe, sans me blesser par chance…. Les paras ça doit être une sacrée expérience. Le temps où je pouvais sauter en parachute me manque mais c’est clair qu’il faut être en mega bonne condition physique, la force du vent c’est quelque chose, faut avoir de bons bras et un bon dos, et c’est clair qu’il faut avoir de bonnes articulations pour gérer la réception. Force à vous les paras et respect aux jeunes femmes qui s’engagent !
OUi, j'ai fait 116 sauts dont 4 militaires (PMP) il ne faut pas se poser de question... c'est bien la seule activité avec quand je faisais un peu de footing au lycée... où je ne me posais pas de questions... bravo les jeunes!
Perso , c'était il y a 41 ans , 81/12 , 13ème RDP et j'ai les mêmes sensations que vous ! On ne se fait pas breveter , avec tout ce que cela implique , sans garder des émotions et des souvenirs intenses !
Beau reportage je me retrouve 40 ans en arrière ,moi même ancien du 35 RAP brevet 401425 de la 77/06 . Pour eux le plus dur est a venir . Ça me réchauffe le cœur de voir des jeunes qui on quelques chose dans le treillis. Vive la FRANCE
Vive les parachutisme tous mes frères d'armes Pau 1ère r. C.p février 1982 au camp du hameau 4ème compagnie gris deux plus Gabon que de bon souvenir 😊❤
Autre anecdote . Saut depuis un Puma . Largage par la trappe . 90 kms /h . Ouverture très confortable sauf que le pilote a donné le signal un peu trop tard . Résultat , une fois en descente , j'avais le choix entre atterrir sur le bitume de la piste et taper dur au sol , ou alors faire une grosse traction et me diriger vers le champ voisin . J'ai choisi la traction et me suis retrouvé dans les buissons de genêts avec les mollets plantés de pleins d'épines ! De retour au Camp , l'infirmier a eu du boulot !
J 'ai lu beaucoup de commentaires ci dessous . ça sent le vécu !! Pour ma part , voici 2 ou 3 anecdotes . 81/12 . 13ème RDP . 462862 ETAP janvier 82 . 1er saut , dernier embarqué , 1er à sortir du Transal . Resté en position à la porte plus de 6 mns ! Le pilote a du refaire un tour . Pendant ce temps , j'admirais les Pyrénées et la mer très au loin . En attendant de relever le siège et d'accrocher mon mousqueton , il y avait en face de moi un Gradé , très calme . Je m'adresse respectueusement à lui en lui disant : Mes respects , c'est mon 1er saut ! Et vous , vous êtes rendu à combien ? Réponse inoubliable !!:: J'ai arrêté de compter à partir de 2000 !!!
Brevet prémilitaire en 1964 (Fréjus) 17° RGAP (Castelsarrasin classe 662A) brevet militaire à l’ETAP fin 66 brevet n° 252 mille et quelques brevet chute libre en octobre 67 (dernier des 16 mois d’armée) que de bons souvenirs 😊
C'est ce que j'aime bien dans le milieu para... même si loin de la zone de saut on fait peur avec des histoires du passé... quand on saute, on se soutient mutuellement... ce qui est à l'opposé de ce qui se passe dans le milieu civil, quasiment pas d'entraide, des bâtons dans les roues... particulièrement dans un domaine où cela ne devrait pas exister le milieu de la réinsertion! Heureusement depuis peu il y a une entreprise qui remet cela en question : Café Joyeux, monté par un skipper amateur et ancien patron!
Bonjour d un ancien 392720 je garde que de bons souvenirs de l étap premier saut ; baptème de l air et premier à sortir Mais la pèche et la fierté !! quel bonheur après 👍🏻👍🏻👍🏻
Concernant l'ETAP , le 1ère semaine est captivante ! Entrainement au sol et simulations ( OK freineur ! ) . Voir depuis le sol les collègues de la semaine précédente sauter des Transall , tu te dis avec un pincement et un bon stress : la semaine prochaine , c'est pour moi !!! Entre les 2 semaines , il se passe un truc dans la tête ...
Bon souvenir avec les paras du 35 au camp de Warehouse en Afgha, quand on rentrait de mission en coopération avec eux c'était barbecue avec ambiance musique à la guitare au top. Ancien du 93ème RAM.
En plus en 1976 brevet préparation para une semaine a Marseille et une semaine a Calvis avec le 2rcp quel honneur, je me souvient encore de leur accueil, on avait eux droit déjà a un saut de nuit ,et UNE selection sportive tres sévère avec beaucoup de recaler. Donc deja pret pour LETAPE ,par contre on a sauté derrière le crasch d'un para,je garderai cette images et beaucoup d'autres que l'ont peut voir malheureusement , dans cette vie de para. ,et la pour le coups sais vraiment très dur. Hommage a tous les frères car les paras et une grande FAMILLE.
C'est vrai que l'évolution est flagrante autant au niveau matériels que logistic,un grand salut a tous de la 84/03 num brevet 490558.quel bonne époque.🤘
Dans le commentaire il est dit que pour certains c'est la première fois qu'ils vont sauter. À mon époque, années 80, avant de s'engager dans les paras, il fallait faire la préparation militaire parachutiste. Une semaine de théorique à Marseille et une semaine à Borgo en Corse pour faire les 4 sauts. Pour notre groupe, nous avions eu la chance et le privilège de les faire sur la DZ du 2e REP à Calvi! Ce premier saut je m'en souviendrai jusqu'au bout!
La seule fois où j'ai sauté à Wright, je me suis foulé une cheville....en arrivant sur la coupole d'un lieutenant du 13, mais c'était avant que j'arrive dans une vigne en ayant lâchement abandonné mon avion .
Que de bons souvenirs à l'ETAP (601563), mais pour certains nous avions fait une PMP auparavant, j'avais comme instructeur un adj du CRAP... Et à mon époque, si tu faisais un refus de saut, le chef largueur te foutait (poussait) un coup de pied au cul pour te faire sortir de l'avion 😂 J'ai eu la chance de sauter depuis un Casa CN-235, Transall C160, Hercule, C-130, super Puma,... Et par Saint Michel, vive les Paras !
bjr a tous ainsi qu aux chefs je suis le para patrick fretin 4350..
Рік тому+6
Beau reportage, belle école que l'ETAP. Mais de mon temps (on dirait un vieux qui parle.) on ne portait pas le béret rouge avant d'avoir été breveté. Casquette TAP (Bigeard) pendant les classes et le temps de la formation à l'ETAP Brevet N° 553 250 du 12 septembre 1990.
St Michel 1982 . Cercottes . Lever 6h00 , largage d'un Nord Atlas , très beau temps . 1ère fois ! Portes ouvertes , cercueil volant , tremblements et brouhaha ahurissants ! Inoubliables sensations à 20 ans ! Atterrissage en douceur sur un champ labouré et pliage sommaire un peu dans la gadoue !
@chedlielgharbi8499 J'étais souvent le "premier en position" ou le dernier lorsque je m'arrangerais avec le chef largeur pour faire une sortie "face moteur" en automatique. Lorsque j'étais le dernier je laissais 3-4 mètres entre moi et le précédent de façon à bien me jeter avec un demi-tour au niveau de la porte. Jusqu'au jour où le para devant moi a fait un refus de saut, je me souviens encore de son nom mais chut. Bras et jambes écartées il ne voulait pas sortir. Le largeur lui a mit un coup de pied dans le parachute dorsal et il a dégagé. Seulement mon élan a été coupé et la porte d'un Transall est large. J'essaie quand même de sortir "face moteur" mais me voilà projeté en avant tête la première comme un sac de patates. Pas très académique pour une sortie "face moteur" ou même pour une sortie classique. Sacré choc à l'ouverture, suspentes emmêlées, pédalage jusqu'à 10 mètres du sol et bien sûr je suis largué hors-zone. Et cerise sur le gâteau à chaque tour de rotation je voyais la piste de la DZ et les camions en déplacement qui venaient nous récupérer. Les chauffeurs ne pouvaient pas me voir et pendant un long moment j'ai cru que j'allais être écrasé. Je me suis posé à 10 mètres d'un camion en mouvement... Putaingggg de saut je m'en souviens comme si c'était hier. Après j'ai fait de la chute dans le civil et il n'y avait pas encore de GPS. Largage au-dessus des nuages à Valenciennes. Erreur, grosse erreur. Encore un putaingggg de saut, j'ai faillit atterrir dans un énorme transformateur électrique et finir grillé. Ces sauts sont inoubliables. Amitiés Para à tous, aux anciens et aux nouveaux 👍👍👍🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Quelle bonne atmosphère n'ai je pas retrouve ,j'avais vingt ans en l'an1982eton était fringant.Alors ,on a vécu un plus en comparant avec le biffin moyen.un saut avec PB ou j'ai cognée lecoxis mais on a su porte et par St Michel vive les paras .A nos anciens miséricorde 81/12
avec une el4, formation en 10 mn, largage a millau 3/4 heure de nord atlas, depart mont de marsant, penetration tactique, saut avec la ser, capitaine Dupuis, colonel Dantin premier a la portiere maneuvre cormoran, qui a pris la suite du colonel Beal, pshicote pas pepair, crache du nord atlas dans le sud en 1977
superbe vidéo ! juste une question j'ai toujours entendu dire qu'il était dangereux de faire ventral si la corolle principale était ouverte ? pouvez-vous m 'expliquer ? merci
Bonne question ! Mes souvenirs d'appelé sont anciens , 81/12 13ème RDP , mais l'instruction au sol à l 'ETAP 01/82 était très dense et " musclée " , alors ça reste longtemps dans la mémoire . Pour le ventral , la principale raison de l'utiliser , c'est quand tu es en torche avec le dorsal à la sortie de l'avion , donc tu piques et tu t'écrases au sol! La technique d'ouverture du ventral est très élaborée et technique , consistant à tirer la poignée , ouvrir le sac et dérouler les suspentes en les secouant vers l' avant le long des jambes relevées et serrées . Tout ça en faisant gaffe au vent . Pourquoi ? Si ton ventral passe en s'engouffrant entre tes deux jambes , s'ouvre par l'arrière , c'est mort , tu es à l 'envers et retourné à 500 m d'altitude ! Lors des sauts à Pau , on a tous fait ventral avec la coque dorsale bien ouverte (entrainement ) , et le respect de la technique précise d'ouverture fait que le ventral s'ouvre et se place en renfort du dorsal formant une sorte de double champignon ! En résumé , les techniques et le bons sens , qu'ils soient paysan ou militaire , ça reste !!
pas du tout on devais même faire ventral pour un ou deux panneaux déchirés sur la coupole . le seul problème c'est que avec deux coupoles ça se met à tourner
Bien d'accord sur les panneaux déchirés . Mes camarades et moi n'en ont jamais eu , merci St Michel ! J'indiquais que la raison principale , suivant mon expérience à l'époque était la torche @@jojofigaro9
Je pensais que les jeunes recrues ne méritaient le célèbre béret rouge seulement après avoir sauté en parachute et réussi leur brevet. A la manière du képi blanc pour la légion. Etes-vous de mon avis ou suis-je trop con ?
La France doit se préparer en conséquence car si il y arriver un conflit de haute intensité la France résistera seulement en 1 semaine parceque la France n 'a pas de munitions en grande quantité et manque d'effectif militaire il est primordial de se préparer
J'ai envie de rejoindre l'armée et plus précisément les parachutiste mais j'ai des très très légère acouphènes, mais aucune baisse d’audition, vous pensez que ça va ?
franchement Pau, c'est cadeau. c'est facile de sauter, c'est même un plaisir, c'est une reconnaissance que t'es là.
le dur, c'est la vie de para, le manque de sommeil, les souffrances continuelles, l'inconnu permanent, le challenge, le conflit, les coups, les charges à porter, les pieds qui saignent les premières années, les attentes dans le froid, sous la pluie, dans la neige, enterré.. et d'un coup... c'est parti, faut être prêt et faire ce qui faut, instantanément.
c'est une vie que tu ne retrouve nulle part ailleurs dans le civil.
Pas pour autant que le reste est facile, la vie militaire c'est aussi l'humilité. Chacun ses épreuves, l'ouvrier de 60 balais qui bosse toujours pour son compte malgré les fêlures vertébrales, sa vie est difficile à lui aussi...
@@Silentior Bien sur, je t'aime -)
Tout dépend de la personne... Quand j'ai passé mon brevet, il y avait des gens du 1er RTP, ils avaient terminé leurs classes, mais 2 n'ont pas sauté... Pour certains, ça peut être LA chose la plus dure, et même insurmontable, de la formation du para... Là où toi tu es à l'aise, d'autre ne le sont pas, et là où ils le seront, toi tu ne le seras pas... Si vraiment tu as été militaire un certain temps, tu dois le savoir......
Utilise donc déjà ton vrai nom pour t'exprimer, un para (ou ancien) il a ce qu'il faut ou il faut.
@@Somewhereintheworld5 Merci pour ce récit empreint de vécu , d'émotion et de philosophie ... On pourrait en discuter des heures ! Bonne continuation
MAGNIFIQUE, JE SUIS A FOND DANS LE TRUC 40 an apres, pour les jeunes et j etais appellé
Merci pour ce beau reportage qui m'a permis de revivre mes souvenirs au 8ÈME RPIMA classe 67 2C et pr lequel je resterais toujours marsouin et fier de l'avoir été avec le 8ÈME RPIMA .les nouveaux n'ont pas fait le saut à la banane ( hélicoptère ) comme j'ai fait et bcp ont vomi sur eux-mêmes parce que quand on sort de la porte on tombe direct avec tout le poids effrayant mais qu'on garde un super souvenir et vive le 8ÈME RPIMA
Bravo... vive vous !!!! Merci pour votre exemple car vous les paras vous êtes de vrais hommes.... DEBOUT.... authentiques et c'est ce qui manque cruellement à notre société de lâches
Le stage à Pau a été des vacances, comparé à l'entraînement au GI du 9 RCP en 79, la 11e cie, à l'inverse de la 12 ème, était formée de brevetés PMP, donc l'instruction nous était déjà connue, sur le terrain, les entraînements ont été plus rudes au fil du temps, pour finir à la section mortier 81, avec 40 kgs sur le dos et des marches souvent de 50 kms. Vomir sous l'effort n'était pas rare. Mais nous faisions bloc, 45 ans sont passés et nous sommes toujours frères.
A l'époque ça s'appelait l'ETAP (École des Troupes Aéroportées) et y'avait pas que des bérets rouges. Légion (vert), Commandos Marine (vert foncé badge à gauche), Commandos de l'air autrefois appelés fusiliers de l'air (bleu) et d'autres corps et régiments de l'armée de terre.
c'était bien ce nom "étap" car à double sens une "étape" que tout para doit accomplir
Bonjour, c’est toujours le cas !
@@thenotoriouskatlol5474 Non, t'es pro LGBT
C'est toujours le cas
c est toujours l etap a coter du 5eme rhc
Vive les paras vive ste Michel, et sur tout vive la France, que de souvenirs j étais au 6 eme rpima contingent 90/12 ,sa a été un des moments les plus forts de ma vie, para un jour para pour toujours.
Souvenirs, souvenirs, debout, rabattez les sièges, accrochez, le premier en position... klaxon, lumière verte, GO...
Pour ensuite se faire cracher dessus par le gouvernement oin oin les racistes partout
Regarde sur tweeter
Suite au décès d un des nôtres en Irak lors d une opération anti terroriste en collaboration avec l armée irakienne
Ces espèces de merdes continue à l insulter de raciste
Le concept de la race a été instauré par Hitler pour faire du séparatisme comme le séparatisme islamiste
Ça s appel le point Goldwing ou rethorique fallacieuse visant à créer un amalgame
Pamiers 👉💪👉🔪🔪🔪😠
@@gallaouedermaez8336´
Ce ni bu
Tu as oublié serrez contre la paroi serrée vers l’avant.. lol
@@chedlielgharbi8499 😉 j'étais souvent le "premier en position" ou le dernier lorsque je m'arrangerais avec le chef largeur pour faire une sortie "face moteur" en automatique. Lorsque j'étais le dernier je laissais 3-4 mètres entre moi et le précédent de façon à bien me jeter avec un demi-tour au niveau de la porte. Jusqu'au jour où le para devant moi a fait un refus de saut, je me souviens encore de son nom mais chut. Bras et jambes écartées il ne voulait pas sortir. Le largeur lui a mit un coup de pied dans le parachute dorsal et il a dégagé. Seulement mon élan a été coupé et la porte d'un Transall est large. J'essaie quand même de sortir "face moteur" mais me voilà projeté en avant tête la première comme un sac de patates. Pas très académique pour une sortie "face moteur" ou même pour une sortie classique. Sacré choc à l'ouverture, suspentes emmêlées, pédalage jusqu'à 10 mètres du sol et bien sûr je suis largué hors-zone. Et cerise sur le gâteau à chaque tour de rotation je voyais la piste de la DZ et les camions en déplacement qui venaient nous récupérer. Les chauffeurs ne pouvaient pas me voir et pendant un long moment j'ai cru que j'allais être écrasé. Je me suis posé à 10 mètres d'un camion en mouvement... Putaingggg de saut je m'en souviens comme si c'était hier. Après j'ai fait de la chute dans le civil et il n'y avait pas encore de GPS. Largage au-dessus des nuages à Valenciennes. Erreur, grosse erreur. Encore un putaingggg de saut, j'ai faillit atterrir dans un énorme transformateur électrique et finir grillé. Ces sauts sont inoubliables. Amitiés Para 👍👍👍🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Merci de ce voyage, j'ai retrouvé mes vingt ans et la BETAP., par demeure!
Salut à tous, en particulier à ceux de la 72/06, N° brevet 329928. Bon reportage, en 72 ce n'était pas si sophistiqué
au niveau équipement d'entrainement, on avait une carlingue de Junker 52 et la tour d'arrivée. La cantine aussi a changé, la notre a explosé (fuite de gaz) nous mangions dans le hangar aux agrès. Reste des souvenirs impérissables de sauts en nord et Transall sur Wright et les pyrénées.
Que St Michel protège toujours les paras.
Que dire de l'époque des paras d'Indo, là il n'y avait pas beaucoup de sophistication, fallait sauter après une formation orale❤
Salut l'ami .... 72/04 pour moi, N° de brevet 328944 .... très juste ce que tu dis .... Amitiés Para !!
🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Pour mon premier saut (il y a 55 ans quand même), je n’ai pas ressenti d’angoisse mais un merveilleux plaisir quand je me suis senti flotter en l’air. La seule source d’inquiétude était l’arrivée au sol, l’atterrissage avec un TAP 660 de l’époque se montrant assez raide. Avec d’autres risques : obstacles au sol, vent’, parachutiste qui passe sous vous et vous ”pompé’ l’air, etc. Les militaires de l’époque (et encore plus maintenant) ayant un souci pointilleux et permanent de la sécurité, je ne suis jamais inquiète dans une activité d’entraînement.
Bravo à tous ces jeunes… le saut en parachute c’est la sensation la plus incroyable que j’ai connue. Je n’ai jamais éprouvé autant de liberté que lorsque je sautais en parachute… à la seule différence que pour moi c’était un loisir alors que ces jeunes seront largués en zone de guerre… bizarrement toutes les fois où j’ai sauté, je n’ai jamais eu aucune appréhension, aucune peur du vide, aucune appréhension que mon parachute ne s’ouvre pas, je craignais plus l’atterrissage car mes chevilles ont toujours été fragiles à cause de vieilles blessures mal soignées. Je m’en suis toujours bien sortie, sauf lors de mon dernier saut ou mes chevilles n’ont pas tenu et je me suis aplatie comme une crêpe, sans me blesser par chance…. Les paras ça doit être une sacrée expérience. Le temps où je pouvais sauter en parachute me manque mais c’est clair qu’il faut être en mega bonne condition physique, la force du vent c’est quelque chose, faut avoir de bons bras et un bon dos, et c’est clair qu’il faut avoir de bonnes articulations pour gérer la réception. Force à vous les paras et respect aux jeunes femmes qui s’engagent !
BRAVO à tous pour votre courage, je vous admire ! ♥
Merci pour cette superbe vidéo!Chapeau bas à tous ces jeunes! Bye!
OUi, j'ai fait 116 sauts dont 4 militaires (PMP) il ne faut pas se poser de question... c'est bien la seule activité avec quand je faisais un peu de footing au lycée... où je ne me posais pas de questions... bravo les jeunes!
En tant qu'ancien bèret rouge je me suis retrouvé 55 ans en arrière et j'aie pleuré c'était moi a 18ans!
Perso , c'était il y a 41 ans , 81/12 , 13ème RDP et j'ai les mêmes sensations que vous ! On ne se fait pas breveter , avec tout ce que cela implique , sans garder des émotions et des souvenirs intenses !
Je trouve l’encadrement au top 👌
Souvenir ! Ancien du 11 choc !
Beau reportage je me retrouve 40 ans en arrière ,moi même ancien du 35 RAP brevet 401425 de la 77/06 .
Pour eux le plus dur est a venir .
Ça me réchauffe le cœur de voir des jeunes qui on quelques chose dans le treillis.
Vive la FRANCE
Que de souvenirs.
PMP en Corse et brevet à Pau.
Ancien du 9ème RCP à Pamiers.
1ère compagnie de combat.
Blanc 2.
88/10 aux quartiers Beaumont.
La même chemin première saut en pmp à borgaux la pucelle et l'ETAP après/95/06 fin de service fin 2008
Super, merci pour ce reportage un ancien du 6 Rpima 79/12 une superbe école de vie 🙏🙏🙏
Ancien du 14RPCS 82/02
6iéme RPIMA d'albi pMP saut en Nord atlas a Fonsorbes Toulouse 7 sauts que du bonheur en67/68 ! @@alaincharlesleroy87
Vive les parachutisme tous mes frères d'armes Pau 1ère r. C.p février 1982 au camp du hameau 4ème compagnie gris deux plus Gabon que de bon souvenir 😊❤
Autre anecdote .
Saut depuis un Puma . Largage par la trappe . 90 kms /h . Ouverture très confortable sauf que le pilote a donné le signal un peu trop tard . Résultat , une fois en descente , j'avais le choix entre atterrir sur le bitume de la piste et taper dur au sol , ou alors faire une grosse traction et me diriger vers le champ voisin . J'ai choisi la traction et me suis retrouvé dans les buissons de genêts avec les mollets plantés de pleins d'épines ! De retour au Camp , l'infirmier a eu du boulot !
Les genêts n'ont pas d'épines, ce sont les ajoncs qui piquent méchamment.. 😋🤪
Ha ha ! C'est sûrement vrai mais ce sont plutôt des épines dont je me souviens !😖Et ça fait 41 ans !!@@verdierjean-pierre3906
formidable le puma l'impression d'un tobogan
Exact ! Cette image est très réaliste . J'avais eu la sensation d'un plongeon tranquille dans l'eau d'une piscine .@@jojofigaro9
J 'ai lu beaucoup de commentaires ci dessous . ça sent le vécu !! Pour ma part , voici 2 ou 3 anecdotes .
81/12 . 13ème RDP . 462862 ETAP janvier 82 .
1er saut , dernier embarqué , 1er à sortir du Transal . Resté en position à la porte plus de 6 mns ! Le pilote a du refaire un tour . Pendant ce temps , j'admirais les Pyrénées et la mer très au loin .
En attendant de relever le siège et d'accrocher mon mousqueton , il y avait en face de moi un Gradé , très calme .
Je m'adresse respectueusement à lui en lui disant : Mes respects , c'est mon 1er saut ! Et vous , vous êtes rendu à combien ?
Réponse inoubliable !!:: J'ai arrêté de compter à partir de 2000 !!!
je suis de la 72/08 du 13 rdp
9 ans avant moi alors ! Après les classes , je suis parti pour le CERP à Cercottes , plus calme ...@@jojofigaro9
Ah! Le Bon vieux temps
le 13eme RDP fait juste de la reconnaissance et du renseignement ? ou il peut aussi faire des missions de type CTLO comme le 1er RPIMA ?
Le 13 à Dieuze, la Grande Époque 👍👍👍🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Super reportage un ancien de la BOMAP section livraison par air a Toulouse brevet parachutiste 494552 un super souvenir de cette époque
Merci pour le rappel.
Ancien du 35 RAP 4 batterie puis 17 RGP Droits devant 🤙
On ne peut que leur souhaiter une belle carrière.
Brevet prémilitaire en 1964 (Fréjus) 17° RGAP (Castelsarrasin classe 662A) brevet militaire à l’ETAP fin 66 brevet n° 252 mille et quelques brevet chute libre en octobre 67 (dernier des 16 mois d’armée) que de bons souvenirs 😊
N°252 mille pas très loin du 252142 mars 1966 le mien au 1er RCP 65/2C
Cordialement à toi
je suis de la 79/10 GRAND RESPECTS aux paras du 35em
C'est ce que j'aime bien dans le milieu para... même si loin de la zone de saut on fait peur avec des histoires du passé... quand on saute, on se soutient mutuellement... ce qui est à l'opposé de ce qui se passe dans le milieu civil, quasiment pas d'entraide, des bâtons dans les roues... particulièrement dans un domaine où cela ne devrait pas exister le milieu de la réinsertion! Heureusement depuis peu il y a une entreprise qui remet cela en question : Café Joyeux, monté par un skipper amateur et ancien patron!
Vraiment très fière des vous.merci.🎉
D'accord avec vous mes Fréres, 8RPIM 1978 Brevet 426140 Avril 1979 !! Ca fait du bien de voir cela !!
Que des mecs et sa plaisir sa touche haut ❤ des vrais parachutisme 😊😅
Vive. Les parachutisme sont des des vrais frères d'armes 😊❤
Sa fait plaisir de vous voir les paras 😅😊❤
Bonjour d un ancien 392720 je garde que de bons souvenirs de l étap premier saut ; baptème de l air et premier à sortir Mais la pèche et la fierté !! quel bonheur après 👍🏻👍🏻👍🏻
Merci beaucoup des bon mauniteur parachutisme bien en cadrer hauteur à noté haileux 😅😊 que du baume haut cœur 😅😊
Moi suis parachute de la 363 promotion parachutistes marocaine ❤
Super reportage un ancien du 6ème rpima de mont de marsant brevet parachutiste 538472 1ère compagnie de combat
Mes amitiés parachutiste
paramicale mon frère
@@renegiroux9151 merci l ami
Ancien du 3 rpima brevet 493217
Un truc de dingue je connais pas mon numéro de sécurité sociale mais mon brevet para jamais oublié
Breveté en janvier 82l, les 4sauts du brevet ont paru déjà 29:38 29:40 29:43 29:44
Concernant l'ETAP , le 1ère semaine est captivante ! Entrainement au sol et simulations ( OK freineur ! ) . Voir depuis le sol les collègues de la semaine précédente sauter des Transall , tu te dis avec un pincement et un bon stress : la semaine prochaine , c'est pour moi !!! Entre les 2 semaines , il se passe un truc dans la tête ...
Vive les paras et vive la france. Surtout sans macron.🇨🇵
Mais tg
Vive Macron 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Parfois il faut mieux la fermer avant de sortir le mot de trop….
@@ArthurMR3575mdr mon cul oui qu'il degage
Chacun ses opinions @@ArthurMR3575
Bon souvenir avec les paras du 35 au camp de Warehouse en Afgha, quand on rentrait de mission en coopération avec eux c'était barbecue avec ambiance musique à la guitare au top. Ancien du 93ème RAM.
On voit les Pyrénées à l horizon et la nuit les neiges éternelles sont fluorescentes
Superbe vidéo ❤❤❤
En plus en 1976 brevet préparation para une semaine a Marseille et une semaine a Calvis avec le 2rcp quel honneur, je me souvient encore de leur accueil, on avait eux droit déjà a un saut de nuit ,et UNE selection sportive tres sévère avec beaucoup de recaler. Donc deja pret pour LETAPE ,par contre on a sauté derrière le crasch d'un para,je garderai cette images et beaucoup d'autres que l'ont peut voir malheureusement , dans cette vie de para.
,et la pour le coups sais vraiment très dur.
Hommage a tous les frères car les paras et une grande FAMILLE.
Fabuleux l'ETAP !! j'y suis passé deux fois . On se comprend
C'est vrai que l'évolution est flagrante autant au niveau matériels que logistic,un grand salut a tous de la 84/03 num brevet 490558.quel bonne époque.🤘
Dans le commentaire il est dit que pour certains c'est la première fois qu'ils vont sauter.
À mon époque, années 80, avant de s'engager dans les paras, il fallait faire la préparation militaire parachutiste.
Une semaine de théorique à Marseille et une semaine à Borgo en Corse pour faire les 4 sauts.
Pour notre groupe, nous avions eu la chance et le privilège de les faire sur la DZ du 2e REP à Calvi!
Ce premier saut je m'en souviendrai jusqu'au bout!
3 eme RCP a pau ,1991,instructeur IEC et membre SER du régiment.
mais on avait pas des casques en plastoc..
et par st michel, vive les paras...
Un casque Gueno, j'ai toujours le mien.
Bravo super reportage
Magnifique documentaire
Un beau reportage pour moi , à Dieuze au 13RDP de 1979 à 1988 BP432372
La seule fois où j'ai sauté à Wright, je me suis foulé une cheville....en arrivant sur la coupole d'un lieutenant du 13, mais c'était avant que j'arrive dans une vigne en ayant lâchement abandonné mon avion .
Je suis fière de vous les gars vous faites la fière de la France vive la république et vive la France 🇫🇷🕊️
Merci souvenir de mes 20 seaux avec mon FRF1
Par saint Michel vive les Para 💪
Bravo à vous et votre engagement !
La 4ème compagnie grise 3 camp du hameau des bon chaud haut cœur ❤😅😊
l'ETAP, très bon souvenir
Bravo
Bon souvenir 92/01 j aimerai revenir faire un saut
2 Rep .... the best
Superbe reportage ❤
❤❤❤
Vive les paras
Que de bons souvenirs à l'ETAP (601563), mais pour certains nous avions fait une PMP auparavant, j'avais comme instructeur un adj du CRAP... Et à mon époque, si tu faisais un refus de saut, le chef largueur te foutait (poussait) un coup de pied au cul pour te faire sortir de l'avion 😂 J'ai eu la chance de sauter depuis un Casa CN-235, Transall C160, Hercule, C-130, super Puma,... Et par Saint Michel, vive les Paras !
bjr a tous ainsi qu aux chefs je suis le para patrick fretin 4350..
Beau reportage, belle école que l'ETAP. Mais de mon temps (on dirait un vieux qui parle.) on ne portait pas le béret rouge avant d'avoir été breveté. Casquette TAP (Bigeard) pendant les classes et le temps de la formation à l'ETAP
Brevet N° 553 250 du 12 septembre 1990.
Tu connaît compagnie ?
Vous auriez du venir filmer entre 70 et 75, voire avant, et que des appelés, votre vidéo me fait doucement rigoler.
Que de très bons souvenirs depuis mon premier saut en 1974
1 rpima puis 8 rpima
Brevet 359164
Que st Michel vous protège tous
Vive les para
Daniel
@@jeanmarie1155 salut
Vu le numéro de brevet nous devions être dans le même avion très cordialement et paramicalment
Tu es dans quelle ville maintenant
Moi dans le 03
Je pense l'a 1
Je suis de moulins 03
Merci pour ce reportage un ancien appelle du 13rdp
franchement les militaires me font bander
Brav🌍
slt coco que de bon souvenir 22 ans au 1 rhp sa s oublie pas para un jour para toujours
Quel est le nom du chant de 47:16 à 47:22 ?
St Michel 1982 . Cercottes . Lever 6h00 , largage d'un Nord Atlas , très beau temps . 1ère fois ! Portes ouvertes , cercueil volant , tremblements et brouhaha ahurissants ! Inoubliables sensations à 20 ans ! Atterrissage en douceur sur un champ labouré et pliage sommaire un peu dans la gadoue !
ils gagneront le droit d'aller pantoufler en roumanie !
D'autres qui viennent profiter des filles ivoirienne ici, la vidéo de celui là je ne vais pas le raté
Faut parler français monsieur
J'y etait,tout pareil,et brevete 👍
J ai fais ce stage y a 25 ans
@chedlielgharbi8499 J'étais souvent le "premier en position" ou le dernier lorsque je m'arrangerais avec le chef largeur pour faire une sortie "face moteur" en automatique. Lorsque j'étais le dernier je laissais 3-4 mètres entre moi et le précédent de façon à bien me jeter avec un demi-tour au niveau de la porte. Jusqu'au jour où le para devant moi a fait un refus de saut, je me souviens encore de son nom mais chut. Bras et jambes écartées il ne voulait pas sortir. Le largeur lui a mit un coup de pied dans le parachute dorsal et il a dégagé. Seulement mon élan a été coupé et la porte d'un Transall est large. J'essaie quand même de sortir "face moteur" mais me voilà projeté en avant tête la première comme un sac de patates. Pas très académique pour une sortie "face moteur" ou même pour une sortie classique. Sacré choc à l'ouverture, suspentes emmêlées, pédalage jusqu'à 10 mètres du sol et bien sûr je suis largué hors-zone. Et cerise sur le gâteau à chaque tour de rotation je voyais la piste de la DZ et les camions en déplacement qui venaient nous récupérer. Les chauffeurs ne pouvaient pas me voir et pendant un long moment j'ai cru que j'allais être écrasé. Je me suis posé à 10 mètres d'un camion en mouvement... Putaingggg de saut je m'en souviens comme si c'était hier. Après j'ai fait de la chute dans le civil et il n'y avait pas encore de GPS. Largage au-dessus des nuages à Valenciennes. Erreur, grosse erreur. Encore un putaingggg de saut, j'ai faillit atterrir dans un énorme transformateur électrique et finir grillé. Ces sauts sont inoubliables. Amitiés Para à tous, aux anciens et aux nouveaux 👍👍👍🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Quelle bonne atmosphère n'ai je pas retrouve ,j'avais vingt ans en l'an1982eton était fringant.Alors ,on a vécu un plus en comparant avec le biffin moyen.un saut avec PB ou j'ai cognée lecoxis mais on a su porte et par St Michel vive les paras .A nos anciens miséricorde 81/12
6 RPIMa ❤❤❤❤
J'ai failli aller chez les 🍓 fraises des bois mais j' ai préféré les CPA, parceque ces mecs la ils en bavent vraiment, chapeau les gars....
perso 1 er RPIMA servie de 78 a 2000 brevet 422055 moniteur 941
@@jeannoelgaulupeau1629 bravo pour ton courage, j' ai un pote qui était au 3 ème rpmia et un autre au 21 RIMa, je peux te dire qu ils en ont bavé
ici on met les paras au pat ✊
avec une el4, formation en 10 mn, largage a millau 3/4 heure de nord atlas, depart mont de marsant, penetration tactique, saut avec la ser, capitaine Dupuis, colonel Dantin premier a la portiere maneuvre cormoran, qui a pris la suite du colonel Beal, pshicote pas pepair, crache du nord atlas dans le sud en 1977
superbe vidéo ! juste une question j'ai toujours entendu dire qu'il était dangereux de faire ventral si la corolle principale était ouverte ? pouvez-vous m 'expliquer ? merci
Bonne question ! Mes souvenirs d'appelé sont anciens , 81/12 13ème RDP , mais l'instruction au sol à l 'ETAP 01/82 était très dense et " musclée " , alors ça reste longtemps dans la mémoire .
Pour le ventral , la principale raison de l'utiliser , c'est quand tu es en torche avec le dorsal à la sortie de l'avion , donc tu piques et tu t'écrases au sol!
La technique d'ouverture du ventral est très élaborée et technique , consistant à tirer la poignée , ouvrir le sac et dérouler les suspentes en les secouant vers l' avant le long des jambes relevées et serrées . Tout ça en faisant gaffe au vent .
Pourquoi ?
Si ton ventral passe en s'engouffrant entre tes deux jambes , s'ouvre par l'arrière , c'est mort , tu es à l 'envers et retourné à 500 m d'altitude !
Lors des sauts à Pau , on a tous fait ventral avec la coque dorsale bien ouverte (entrainement ) , et le respect de la technique précise d'ouverture fait que le ventral s'ouvre et se place en renfort du dorsal formant une sorte de double champignon !
En résumé , les techniques et le bons sens , qu'ils soient paysan ou militaire , ça reste !!
pas du tout on devais même faire ventral pour un ou deux panneaux déchirés sur la coupole . le seul problème c'est que avec deux coupoles ça se met à tourner
Bien d'accord sur les panneaux déchirés . Mes camarades et moi n'en ont jamais eu , merci St Michel ! J'indiquais que la raison principale , suivant mon expérience à l'époque était la torche @@jojofigaro9
Dans les sauts d’entraînement il y avait un saut avec ouverture du ventral.
Para un jour Para toujours 369788 des sacrés bons souvenirs avec les potes 🇫🇷
Bientôt je vais passer mon brevet
pas un mot de trop, je l ai vaicu en 1976 pmp orlean, Garache doit ce souvenir
😂😂😂😂 "un stage hors-norme"... C'est quoi la norme? Il faut qu'ils place le "hors-norme" ou" hors du commun" dans chaque vidéo.
Avant pas de brevet, pas de beret
Oui on avait la casquette tap
Souvenirs 1999 Pmp avec le major Messina lol
Je pensais que les jeunes recrues ne méritaient le célèbre béret rouge seulement après avoir sauté en parachute et réussi leur brevet. A la manière du képi blanc pour la légion. Etes-vous de mon avis ou suis-je trop con ?
Pour le béret, c'est une marche, comme pour les fourragères. 😉
La France doit se préparer en conséquence car si il y arriver un conflit de haute intensité la France résistera seulement en 1 semaine parceque la France n 'a pas de munitions en grande quantité et manque d'effectif militaire il est primordial de se préparer
Le plancher des vaches bordel !
Et pourtant cest pas grand chose : rien à faire à part se laisser tomber ....
Mes brèves salutations à vous toutes, j' aime armé surtout (parachutisme) français.Comment je vais faire pour vous rejoindre
Tiens, depuis 1972 pour l’instruction au sol des hangars ont poussé !. 😂
Ici on recense les numéros de brevet :
La vue est superbe à la verticale de WRITH
J'ai envie de rejoindre l'armée et plus précisément les parachutiste mais j'ai des très très légère acouphènes, mais aucune baisse d’audition, vous pensez que ça va ?
Tente ta chance et tu saura
amour et amitiés à tout mes frères para..73/06