Les fers à repasser de la SNCF
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- Опубліковано 26 вер 2024
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Merci pour cette vidéo.
Les 14000 étaient déjà radiées et les 13000 n'étaient pas utilisées sur les roulements où j'étais affecté, par contre la conduite des 12000 et 14100 laissait des souvenirs certains. En premier lieu l'ergonomie particulière des cabines. Si on voulait s'asseoir, c'était un peu de guingois sur un strapontin chichement rembourré. On se trouvait dans une serre l'été (d'autant que le sommet du transfo était en fait la base du pupitre), et un frigo l'hiver (si on excepte les radiateurs qui en réalité grillaient principalement les mollets). Le disjoncteur était monté au plafond de la cabine, détonation à hauteur d'oreilles garantie à chaque sectionnement !
Le "coupe-jambon" des 12000 nécessitait un peu de doigté pour ajuster l'effort de traction : on ne montait que demi-cran par demi-cran (par demi-tour de manivelle, donc), et l'on ne pouvait rester qu'un temps très limité sur un demi-cran, sous peine de disjonction automatique (pour protéger les résistances d'un échauffement excessif). Les crans "pleins", eux, pouvaient bien évidemment être utilisés sans limitation de temps. Aborder un sectionnement était une gymnastique où le sobriquet de coupe-jambon trouvait soudain tout son sens : on moulinait pour retirer à la volée tous les crans de traction, on disjonctait, et une fois le sectionnement passé et le disjoncteur refermé, on pouvait remettre les crans de traction progressivement... demi-cran par demi-cran.
Une particularité des 14100 était l'inertie incroyable du groupe convertisseur, une machine rotative de plusieurs tonnes, qui se traduisait par une phase de lancement plutôt longue et un mugissement constant bien connu des riverains. Comme la traction était directement conditionnée au fait que le convertisseur avait atteint sa vitesse nominale, chaque disjonction/remise en service nécessitait d'attendre... que le groupe ait ré-accéléré à cette fameuse vitesse de fonctionnement (matérialisée au pupitre par l'extinction d'un témoin blanc). Et lorsque le profil n'était pas favorable, ces secondes de remise en route après un sectionnement semblaient parfois bien longues, alors qu'on voyait son élan disparaître petit à petit. Mais passé cet inconvénient, les CC-14100 offraient un mode de conduite d'une facilité déconcertante. Le grand volant en bakélite (à la place du coupe-jambon des 12000/13000) était lui-même cranté, se manœuvrait sans difficulté particulière, et offrait même un freinage électrique qui, bien que de puissance modeste, était un luxe inconnu des 12000, par exemple. La contrepartie, c'est qu'on avait le temps de voir passer le paysage : les trains étaient déjà lourds en eux-mêmes, et ces CC étaient limitées à 60km/h de toutes façons.
C'était de l'électro-mécanique rustique, un assemblage de solutions à la fois ingénieuses et tangibles, sur laquelle les anciens avaient encore pu pratiquer le dépannage "de seconde intervention", le schéma électrique sous les yeux... Chose qui n'a évidemment plus guère été possible avec l'arrivée des chaînes de traction à commande électronique (et le confort qui va avec !).
Grand merci pour ce témoignage !
En effet , je corrobore tes dires , sur les 12000 , quand en plus on avait les crans de shuntage et que dans le brouillard on se prenait du ''jaune'' souviens-toi de ce qui s'ensuivait .... Sur les 14100 , souviens-toi aussi comme nous étions bercés de droite à gauche comme dans les bras de nos mères ...d'ailleurs , les blousons suspendus aux deux porte- manteau en avaient usé de ces peintures jaunes sur la tôle ! Le seule avantage de ces séries était la portance car nous étions beaucoup moins secoués que sur les 16500 .Pour le reste je ne les regrette pas du tout . bien à toi .
Merci beaucoup pour vos morceaux de vies à bord de vos machines. J'espère vraiment que ceux ci fassent l'objet de témoignages préservés dans un livre relatant la carrière de ses machines.
73's QRO
Bonjour , tout d'abord ,merci pour cette vidéo . En effet ,vous ''assurez'' vraiment bien ces présentations . Cela fait ''pro'' !! J 'ai conduit ces locos
(sauf la 14000) , tout ce que vous avez dit est juste sauf une chose importante : les 14100 étaient limitées à 60 km /h et non 80 .
Ce qui rendait la conduite plus délicate que sur les 12000 car sans la connaissance parfaite du profil de l'artère Nord /Est il était aisé de planter un chou et d'aller vers la demande de secours inéluctable '' d s ''. En effet , nombre de sectionnements étaient '' judicieusement '' placés dans le ''trou'' juste avant la rampe suivante....Quand on avait un train de tôles de 360 m de long et 2060 tonnes ; il fallait passer la crête précédente
à la bonne vitesse , parfois 15 km/h voir moins et dès la bascule , mettre le freinage par récupération à l'aide du même manipulateur que la traction car il avait une position freinage (dont vous n'avez pas parlé ) ,qui renvoyait du courant à la caténaire et tenir le fameux ''60'' juste dans le trou avant de couper le courant de manière à reprendre la traction à la vitesse la plus élevée possible car il n'était pas rare de finir la rampe suivante à moins de 5 km/h (voir moins suivant les conditions météo ). Un jour , je faisais un train de seulement 1650 t mais plus long , environ 450 m , la gare de Fourmies me fait passer en déviation à 30 km/h au lieu de 60 !!! c'était l'automne , les feuilles et la pluie ,j 'ai monté la rampe suivante à 1 et 2 km/h !!! l'aiguilleur m'avait fait signe d'en ''mettre ''et de ne pas m'arrêter ....Si je m'étais garé ,c'était la ''d s'' !! Arrivés à Hirson je fus garé , l'agent de gare me demanda : Le régul veut savoir pourquoi t'as perdu du temps entre nos deux gares ? je lui rétorquai : qu'il demande à Fourmies !! J'avais mis 20 minutes de retard au ter 2 niveaux qui venait de Lille ...
Mon aide conducteur , qui par ailleurs était conducteur de maoeuvres à Aulnoye ,(c'était avant la radio sol-train ) avait les pieds sur les deux commandes des sablières mais ça patinait dur quand même !!! Si j'avais eu 2060 t (le maxi sur cette ligne ) je me serais arrêté à Fourmies car je ne serais pas monté derrière..... Voilà toute la différence notoire qu'il fallait préciser pour la vitesse des 14100 !! Une 12000 pouvait monter à 100 km/h certes , mais elle tirait moins lourd et patinait plus ! Voilà une précision avec une anecdote du métier ,c'était très dur , les vitesses moyennes étaient de 30 km/h sur les 14100 .Cela rendait les nuits très pénibles mais l'esprit d'équipe était compensateur !! Bien à vous .
Bonjour Katfifur , merci pour votre témoignage trés interressant pour nous les modélistes ferroviaires . Le réel nous guide dans le fonctionnement de nos réseaux . A plus pour de nouvelles anecdotes sur Aiguillage ! 👍
Vraiment impressionnant, pas le droit à l’erreur et toujours anticiper… Chapeau bas 👍👏
J'ai bien connu ces BB 12000 sur des trains marchandises Bobigny Lens (avion).En cabine visibilité à 360 degrés.La nuit,en rase campagne enneigée,la caténaire étant givrée,le panto tirait des arcs,c'était magique.
Toute mon enfance , je les regardais depuis la passerelle en gare de Lunéville , puis j'attendais le passage du Kleber et du Stanislas .
Ah , les 14100, toute mon enfance ! En tant que Thionvillois, elles faisaient partie de ma vie ! J'en ai passé des heures aux abords de la ligne vers Metz, sur la passerelle piétonne enjambant la Moselle, prêt à dégainer mon appareil photo instamatic dès qu'un convoi apparaissait ! Ces bonnes vieilles machines étaient bien impressionnantes visuellement, mais aussi au niveau sonore car elle avaient un chant très particulier, très régulier et assez haut perché, à l'arrêt, en marche, lourdement attelées ou haut-le-pied, toujours la même musique... Lorsque le conducteur la mettait en service, il lui fallait plus d'une minute d'accélération puis elle restait au même régime moteur jusqu'à l'extinction qui durait encore bien plus longtemps... C'est souvent qu'elles tractaient de lourds convois composés de wagons-cigares aux nombreux essieux, chargés de fonte liquide, des tombereaux à deux essieux, vides, étaient intercalés pour ne pas dépasser la charge maximale sur la voie (ce que j'ignorai à l'époque !). Elles côtoyaient les petites soeur 12000, les 16500 (danseuses) qui tractaient parfois en UM ce que les 14100 traînaient seules... Les A1A-A1A 62000 Baldwin, elle aussi avaient une voix (sans jeu de mot) particulière à la Harley-Davidson, les 63000 qui donnaient un coup de main pour le triage...Puis sont arrivées les BB 15000, le baptême de la 15014 auquel j'ai assisté... Que de bons souvenirs !!! Nostalgie, nostalgie...
En modélisme, je possède trois 14100, cette machine est ma madeleine de Proust ferroviaire...
Merci Thierry !!!
Souvenir d'un Strasbourg-Lille quand j'étais étudiant. Le train a été pris en charge par une de ces BB entre Charleville et Lille. J'étais dans la première voiture Corail derrière la machine, et j'ai passé un long moment sur la plateforme d'extrémité de la voiture à observer la loco et son mécano.
Comme le souligne un autre commentateur, l'alliance entre un fer à repasser et les voitures Corail était assez exotique ! Ça n'aurait pas été beaucoup plus étrange si on avait attelé une rame Grand-Confort derrière une 141TA d'Ussel :-)
Valenciennois , né en 1955 , j'ai bien connu ces machines , les 14100 m'impressionnant par leur bruit et j'admirais les BB très rapides sur les trains légers de Voyageurs Lille Aulnoye
Ta, tatata, ta, tatatata,
Je m'appell' BB
J'm'appell' BB
J'm'appell' BB
Pour sûr que c'était une rapide 😁👍
@@robertnortan87 pornographie
J'ai pu conduire une BB 13000 quand j'étais adolescent. C'était avec mon papa , mécanicien au dépôt de Nancy. On était allé chercher une rame de voitures Bruhat sur le faisceau de Jarville la Malgrange et je suis rentré en gare de Nancy aux commandes. Mon papa était à mes cotés , bien sûr. Ensuite, la rame était coupée en 2 parties composées de 4 bruhats et 1 OCEM 1/2 classe. L'une prenait la direction de Longwy et l'autre la direction de Lunéville. On parlait d'omnibus et non de TER.
C’était le bon temps de l’optimisme et de la liberté. Même celle de laisser conduire le fiston (en cachette) . Vous parlez d’un rêve assouvi!!! Encore une oeuvre de conservation mémoriale du patrimoine ferroviaire assumée par cette chaîne d’une très grande qualité.
Jolie vidéo, j ai passé mon examen de conduite sur une BB12000 faute de BB16500 disponible à l époque…..je garde un bon souvenir de ces machines ..à noter : on parle de poste de conduite pour une locomotive et non de pilotage.
Oui beaucoup de souvenirs ! j'ai eu l'occasion de rouler sur ces machines lors de "stages vacances" étant étudiant. je me rappelle bien d'un "détail" qui agaçait les conducteurs: les pare-brises avaient beaucoup de bulles d'air incluses!
Bonsoir ayant été a Thionville toute mon enfance j allais les regarder passer avec des wagons de minerais remplis direction les acieries de Seremange SOLLAC .
Merci
Entré en 1971 au dépôt de Bobigny ce fut une des machine étudié (BB12000) pour passer l'examen d'élève mécanicien.
J'aimais bien ses machines où l'on avait une vue à 360°. Bruyantes certes mais l'on avait vraiment l'impression de maitriser la puissance, enfin de vraiment piloter un train
.
A 4:15 je reconnais la rotonde de Chambery dont je recommande la visite. Vous aurez peut être la chance de voir une motrice faire son entrée ou sa sortie...
Oohhhh la loco des trains de minerai de mon enfance !!! Et aussi parfois de trains voyageurs qui m'emmenaient à Nancy le matin
Bonjour j ai bien connu la 12000 je la conduisais sur l axe Bobigny somain engin très bruyant à cause des ventilateurs et chaque ouverture du disjoncteur était comparable à une explosion ! Sinon enfin très fiable et très performante pour les trains de fret même sous la pluie . Que de souvenirs !
J'ai eu l'occasion au milieu des années 80 de prendre un train de nuit de Dijon à Metz. Quelle surprise à l'arrivée de trouver que la locomotive en tête était la BB13001.
Moi je n’ai jamais réellement vu ces engins atypiques au niveau du look ( pardon du « design » ). Mais je les connaissais car, gamin, je regardais dans les catalogues de jouets de Noël les coffrets de trains électriques en H.O. de Jouef ou Hornby et il y avait le coffret de cette fameuse locomotive ! Soixante ans après je me souviens encore qu’il y avait sur la boîte les dessins de hauts fourneaux et la mention de Thionville ! Comme quoi ça m’a marqué. Bravo pour cette vidéo 👍👏
Vos reportages sont passionnants et bien documentés. Ça fait aussi plaisir de voir que les commentaires sont instructifs et toujours courtois. 👍
Ah là là...ma loco Hornby HO préférée quand j'étais gamin..Je l'ai encore, ma Valenciennes Thionville
Mon premier souvenir d'un train, vers Thionville, un temps moche gris et ce monstre qui tire d'énormes wagons de minerais de fer, très lentement, la forme m'a marqué.
Super reportage merci, et même les commentaires sont super 👌
et oui la ligne d’Annemasse Aix les bains fut un projet de l'époque bien connu soit pour des prototypes soit pour la circulation .très beau reportages et très instructif .merci pour ce magnifique reportages ! 👍👋😉
😀 merci pour votre retour
Mon premier train electrique , HORNBY , était tiré par une BB 13000 (1956)
Maintenant qu'il y a prescription (lol) on était jeune et on jetait des cailloux sur les wagons quand ces trains passés.
Que de beaux souvenirs mdrr
Que de souvenirs d'enfance quand je vois cette locomotive, même né en 85 ces locomotive je les voyais passer car j'habitais en Moselle à côté de la voie fermer.
En faite petit elle me ferai peur lol , j'adorais regarder la ligne depuis un point haut et les voir arriver au loin ( elle sortais d'un virage) me donnait des frissons et le bruit quel fesai.
Même à seulement 37 ans les revoir me donne de sacré souvenirs merci pour les reportages de votre chaîne
Mon grand-père était chef de gare de Don Sainghin dans le Nord près de Lille, la maison de mes parents était... place de la gare :) . De la fenêtre de ma chambre j'ai eu l'occasion de voir beaucoup de trains (y compris des vapeurs étant né en 1958). Il me semble que je voyais assez souvent des fers à repasser tractant d'interminables files de wagons de charbon destinés à la centrale toute proche des Ansereuilles.
Merci pour cette vidéo. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la CC14018 sur laquelle je fus photographié en arrivant au dépôt de
Mohon. J'étais alors étudiant et employé par la SNCF en tant qu'AICR pendant les vacances d'été. Cette machine était alors dans sa livrée verte et ne possédait pas de veille automatique (homme mort). Cela devait être en août 1972 ou1973.... Que de bons souvenirs à bord de ces 12000 14000 ou 16500 du dépôt de Lens.
Toujours pleins de choses à apprendre AVEC MR PUPIER; Amicalement la Bourgogne.
C'est une de mes machines préférée.
De part son look et aussi de son usage plutôt industriel.
J'ai 2 modèles HO:
- une Jouef
- une Hornby
Bien que je ne possède plus de réseau HO, elle sont mes préférées.
Je ne suis pas du Nord ou de la Lorraine et donc je ne les ai jamais vu rouler mais les 2, en HO, sont des souvenirs de cadeaux de Noël.
Je me rappelle du catalogue Hornby qui la présentait en bleu.
Merci pour me faire revivre le temps de mon enfance.
Je me rappelle la première fois que j'ai vue les BB 12000 c'était dans le triage de Lens c'était la première fois que je voyais ces machines j'avais 10 ans c'était en décembre 1999 elle était la garé les unes derrière les autres en attente de leur dernier voyage vers le ferrailleur
Coucou et coucou j'aime le train ce manifique j'adore boucoup à bientôt Merci 💓❤️👍
Très intéressant comme reportage.
Natif de Metz, ces machines faisaient partie du paysage ferroviaire de mon enfance, d'autant que mon père les conduisait.
Ah oui que je les aime ces machines, j habite à 2km5 de Thionville-Valenciennes et petits avec l école ,on allait se promener dans les bois et on s arrêtait saluer les trains sur les ponts près de l ancienne gare. On savait lequel descendait du charbon du Nord et lequel montait de la minette de Lorraine. J adorais le klaxon deux tons. Elles avaient de la gueule. Pas belles mais de la gueule. Aujourd'hui sur la ligne, il n y a plus rien.
Pour info, c est en Alsace-Moselle que l on roule à droite ailleurs c est à gauche. J ajouterais que pour beaucoup c était la centrale électrique de Herserange qui alimentait en électricité la ligne. Cet énergie était produite par les gaz de hauts-fourneaux, l économie circulaire avant l heure.
Bonjour .oui merci des infos .quel destin magique qui a été brisé par les politiques. Vraiment dommage
je suis étonné de voir que ces machines ont été retiré si tard du parc. Je suis né au debut des années 80, et enfant j'etais un gros fan de train et je n'ai aucun souvenir de les avoir jamais vu circuler par chez moi
Ancien conducteur, la CC14100 était VL 60 km/h et non 80 comme dit dans le sujet. D’autre part, la circulation à droite ne se faisait que sur les lignes Alsace/Moselle et non Alsace/Lorraine.
Je ne suis pas particulièrement intéressé par le thème de votre chaîne mais vos vidéos sont très documentées, votre commentaire très pro... Donc me voilà converti ! Merci
Merci et bienvenu !
Bonjour je confirme la vitesse de 60km/h j'ai commencé à rouler dessus en 1969, très belle vidéo
Toujours aussi passionnant, après le témoignage sur les sous-marin ...
Encore merci pour ce travail.
Et oui,étant enfant , j'adorais les voir passer avec leur look si caractéristique.
👍😃
Bonsoir
Merci pour cette vidéo, habitant dans les Ardennes en bordure le la ligne Valenciennes-Thionville, c’est les premières locomotives que j’ai vues; il y avait aussi les michelines pour les voyageurs.
Il me semble aussi que ces locomotives tiraient les voitures des Calais-Bales et Paris-Luxembourg, ou c’était déjà les locomotives vert clair ( je ne sais plus)
Mais que c'est intéressant, bravo ! ET...merci ! 😉👍
Étant gamin dans les années 80, je regardais passer les fers à repasser qui couraient sur la ligne Est... régulièrement en TM, vers LAGNY SUR MARNE jusque dans les années 90 il me semble. Et d'un coup, plus rien... Je me rappelle à quel point ces machines me donnaient une impression de puissance... Il faut dire que c'était impressionnant à voir... Une de mes préférées.
Merci à vous 🙏 ça donne envie de se l'offrir en HO ! 👍
Super boulot. Petit fils de cheminot je me souviens de ces machines dans mon nord de Lorraine natal. Une petite madeleine de Proust...
Cette série de vidéos sur les machines SNCF est prometteuse !
Vivement les prochains rdv ...
Merci pour votre très bon travail.
Merci Thierry.
Originaire de Charleville-Mézières, je me souviens très bien de ces machines que je voyais gravir la pente à la sortie de la gare de Charleville en direction d'Hirson-Valenciennes. Elles avaient fière allure avec leur design particulier, tant avec une rame voyageur qu'avec une rame marchandise. Que de souvenirs!
Oh , j'ai oublié ! à propos des 14100 , j'ai deux histoires vécues à conter : Un jour mon mécanicien me dit : prends le manche , je vais faire un tour ! On était en rampe à moins de 4 km/h , il descend puis remonte à pied le long du train sur la piste et revient dans la cabine , il était allé pisser !! Je venais d'arriver au service 14100 en tant qu'aide-conducteur , je fus bien surpris par ce ''chemin de fer là '' mais je m'y suis vite adapté car j ' en vis d'autres par la suite ...... Par exemple : on m'a plusieurs fois ''donné le manche'' en conditions difficiles pour que mon mécano descende mettre du sable sur le rails devant la loco en roulant ! C'était aussi bien souvent un prétexte pour me laisser continuer le train jusqu'au bout .........
Il est vrai que j'ai roulé en aide - conducteur avec des mécaniciens qui avaient tous été ''vapeur'' et avaient gardé intacte leur mentalité ,
vous savez , celle qu'on appelait : '' La grande famille des cheminots ''. Ils étaient de ceux qui transmettaient leur savoir faire mais aussi leur savoir être ........
Allez , cette fois je vous laisse chers passionnés car je suis plus à l'aise avec le mptr / fr d'une 14100 qu'avec un clavier d'ordi et cela me prend un temps fou pour faire un texte ... Mais ça fait plaisir . bises à tous !
Le genre de fantaisie qui me refait penser à ce qui a entrainé la catastrophe de la ligne en direction de Canfranc. Le mécano et son aide sortis tous les 2 pour mettre sable et cailloux devant leur BB midi non équipée de VA et laissée en traction, en peine avec la faible tension disponible et les patinages. Disjonction de la machine! M.... ! J'imagine le coup de sang dès le bruit de la disjonction, la prise conscience dans l'instant du ptit détail qui leur avait échappé !
@@citrovideorevient130 Oui , c'est vrai , il fallait être inconscient pour laisser seule une loc sans VA en traction ...Cependant , les impératifs de régularité ont souvent eu tendance à '' flirter '' au -dessus de celles de la sécurité......Pour ma part , je n'ai jamais vu ou entendu parler de deux agents abandonnant leur poste en même temps sauf à l'arrêt quand on avait planté un chou .....En outre , il s'agissait de circonstances exceptionnelles .De plus ,à l'époque , la plupart des roulements aide -conducteur du Nord et Est étaient des roulements attitrés avec celui du mécanicien . Les aicr de carrière étaient tous d'anciens chauffeurs et nous, les autres, étions en formation de conducteur (qui durait entre 18 mois et 2 ans parfois ) S'ajoutait à cela les années d'attente pour être nommé elcr ,cela pouvait faire jusqu'à 8 ans de conduite en second ...J'ai eu de la chance , je n'en ai fait que 5 ..... Donc , nous connaissions le métier et savions faire un train lourd! Ce qui a permis ces ''fantaisies ''comme vous le dîtes si bien , mais cela a permis à nombre de trains de ne pas faire de D S .Ce qui à l'époque , aurait engendré une pagaille sur toute l'artère tant le trafic y était dense (surtout la nuit) , contrairement à nos jours où tout
le fret ou presque est sur les autoroutes .... belle journée à vous . nb : aicr :aide-conducteur, elcr :élève-conducteur (premier grade de conducteur de route) ;DS :demande de secours .
Clair que les limites maximales remorquables autorisées étant trop souvent approchées, voire officieusement dépassées, ça peut vite donner aux machines et leurs équipes qq difficultés, et en adhérence dégradée… il y a bien des fois où la finesse de conduite n’a pas suffit.
@@citrovideorevient130 En effet , un jour mon mécano a relevé un train de ''tôles'' ces fameux rouleaux hyper lourds , sur le bulletin de composition il y avait 2040 t , en réalité 2800 !!!
@@katfigur5911merci pour l'explication des acronymes 😉
Bonjour, J'ai beaucoup aimé ce reportage qui me rappel de nombreux souvenir. En effet, Fils de cheminot mon père les a toutes conduites et je l'ai accompagné de temps en temps. Je les ai vu aussi en réparation au dépôt de Mohon dans les Ateliers ou stocké sous la rotonde (de Charlevilles-Mézières) qui en avait beaucoup. Elles font parti de mes machines préféré depuis ma jeunesse et font parti intégrante de mon réseau sous plusieurs version Bleue ou bien Vert & Jaune. J'ai aussi récupérer les notices technique de conduite de mon père datant de 1972. Que de souvenir...
né en 1951 et habitant une cité minière au nord de Thionville, je voyais à l'âge de 5 ans les décapodes qui tiraient les lourds trains de minette. Puis, très vite, les caténaires ont été posées et les CC 14100 ont remplacé les 150X. Impressionnant !
bonsoir Thierry, une excellente idée cette série sur les locomotives. Côté "fer à repasser", je les ai beaucoup côtoyé (surtout les BB et leur ventilo si caractéristique). et je dois dire qu'elles me plaisent toujours autant. Leur forme est originale et trahissait aussi l'époque de leur construction. J'attends deux modèles en Ho commandés depuis 5 moi, je rage. J'aime ces machines, merci de les avoir remis à l'honneur. Bonne continuation
Salut Christophe , en espérant voir ses deux " fers à repasser " sur ta prochaine vidéo si toutefois le fabricant ne te mène pas en bateau .
On imagine le Professeur PSX ébranlé au bout de 5 mois d'attente . . . 🤣
Bonsoir et merci pour ce superbe reportage.
Elles sont mes machines préférées.
J'en ai vu passer un paquet à la gare de Thionville dans ma jeunesse dans les années 80-90. Puis déménagement oblige dans le sud j'ai découvert la BB 8000 et CC 6500,mais de très loin j'aime les fers à repasser.
Vivement le jour où je pourrais en acquérir sur mon réseau a l'échelle N
Bonsoir Thierry
avec retard je visionne ce bon reportage sur ces machines que je n'ai pas connu autrement qu'en modélisme
Ce reportage me permet de savoir ces différences qui étaient inconnues pour ma part
Encore une fois je m'endormirait avec un savoir supplémentaire
Merci pour tout ce que tu fais
A+
Fab
Bonjour.
Je les ai connues aussi quand j'étais môme, mais fort loin de l'Alsace-Moselle : à même pas 25 km de Paris, elles remorquaient des trains de marchandises sur la ligne Paris - Soissons - Laon.
Je viens d'ailleurs de modifier ma BB12079 en lui mettant un éclairage un peu plus conforme que ce que Jouef avait prévu d'origine.
Alors il y a une erreur, c'est en Alsace et Moselle que les trains roulent à droite. Il y a des systèmes appelés saute mouton. Il y en a un à Novéant juste avant Metz, c'est tout simplement parce que les trains allemands roulent à droite et que l'Alsace, Moselle ont été allemandes entre 1870 et 1918. Ce saute mouton change le sens des trains depuis Paris et depuis Pont à Mousson. Je les trouve magnifiques les 12000 je les ai regardé rouler sur la ligne Nancy Thionville il y a très longtemps avec du fret. Il y avait également les 16500 et les 16000 qui ont été remplacées assez rapidement par les 15000 c'est une autre époque, ce n'est pas si triste et aseptisé que les TGV
Mince en effet, j’ai dit Lorraine en voulant dire Moselle, désolé !
@@aiguillages ce n'est pas grave 😉 c'est une très belle présentation et c'est toujours un grand plaisir d'entendre parler des fers à repasser, elles avaient un look terrible par rapport aux reste du parc
bonsoir, les 16500 sont restées bien longtemps
Il y a aussi un saute-mouton sur Valenciennes-Thionville entre Audun-le-Roman et Audun-le-Tiche, si je me souviens bien.
@@antoinebesnehard également à Imling, à l’approche de Sarrebourg
Je découvre cette chaîne et j’apprécie énormément le contenu. J’ai passé mes étés, enfant, chez mes grands-parents qui avaient un jardin qui donnait sur le triage. Je restais tout le temps à regarder les manœuvres et j’étais impressionné à l’époque du son et du claquement du disjoncteur. J’ai pu, un jour y monter en allant flâner au dépôt , devant la grande dame florentine. Souvenirs de gosse.
… c’était Aulnoye …
Merci pour ces reportages toujours aussi intéressants.
Très bien commenté pour améliorer notre culture générale. J'ai toujours adoré la forme particulière de cette loco.
Merci je pense à mon grand père qui était cheminot
Bonsoir, et oui je me souviens très bien des fers à repasser très impressionnantes quand on es un petit garçon 😄 les commentaires et le sujet en fond un récit passionnant, vivement la prochaine vidéo grand merci à vous pour tous le travail de recherche 👍
Quand j allais a haguenau de Narbonne j attendais a la vitre d arriver a Belfort. Et la on pouvait voir 2 crocodiles.
Je ne me souviens plus la série. C était entre 1998 et 2005
Petit, c'étaient mes préfèrées en allant du Luxembourg vers la Suisse en train
12:18 Ça me fait penser à la Crocodile que je trouvais magnifique. C'est bizarre pour moi d'apprendre que des locomotives étaient surnommées "fer à repasser" car je connais ça plutôt en tant qu'avions qui volent (très) mal 🤣
Merci pour cette vidéo intéressante!
Les machines de mon enfance à Longwy françaises, et luxembourgroises. Ech soen eng frendleche Bonjour zu Letzebuergeren.
Oui, jusque dans les années 2000, des locos similaires, aux couleurs CFL, bordeaux-jaunes, tractaient des trains de voyageurs, vers Ettelbruck, entre autre.
Ça fait plaisir, ce reportage, même si la voix est toujours un peu enrouée!
Super comme d'habitude. Merci Thierry pour votre reportage.
Ayant eu la chance (enfin si l'on peu dire) d'avoir longtemps conduit les 12000 & 13000 sur l'est. La BB12000 ayant été "ma" machine de base avec la BB16500 autre danseuse célèbre de la SNCF !
Merci pour votre travail et les excellents reportages.
This is a good video! Best regards from Switzerland
Machines multicourants ? Je croyais qu'on les surnommait "crocodiles" mais c'est peut-être une autre série ?
Je trouve les versions bleu pétrole, et vert d'eau pour la BB, absolument sublimes 😍
Merci pour cet excellent reportage, qui a aussi donné de nombreux commentaires très intéressants 😊👍🏻
Superbe vidéo encore une fois.
La seule fois où j'ai vu des fer à repasser ( hors musée) c'était à Lens... Où elles étaient garées ( certainement radiées) sur une même voie...
Vraiment atypique comme ligne...
Magnifique reportage une nouvelle fois, merci et bravo
Bonjour j’ai bien connu les locomotive 🚂 à vapeur sur la banlieue Est . Avec les problèmes d’électricité il va falloir repenser au locomotive 🚂 qui fonctionnent au charbon !
merci pour vos videos
Alors Thierry ? La voix refonctionne presque ? Parfait !! Merci pour ce sujet sur des machines fort sympathiques ! Auw suivantes !!
J’ai un peu forcé et c’est passé ;) !
Oui, je les ai vu circuler du côté de Mulhouse en 1970 ...
Toujours aussi intéressant, bien documenté et bien narré !
Les 14100 comportaient un Groupe Tournant "synchrone" (GT) alimenté en l'alternatif qui entraînait deux dynamos (une de chaque côté du GT) ces 2 dynamos fournissaient du courant continu aux 6 moteurs de traction (moteurs série) donc les 14000 étaient assez simples et patinaient parfois. Ce sont les 14000 munies du même GT avec ensuite un système invraisemblable qui fournissait aux moteurs de traction asynchrones à cage d'écureuil un courant de fréquence variable. Donc seules les 14000 ne patinaient pas... A cette époque l'électronique de puissance n'existait pas et on transformait tout avec des combinaison de générateurs/moteur soit accouplés soit avec bobinages mêlés. Les ingénieurs d'avant avaient autant d'astuces qu'un chien a de puces... et tout ça sans ordinateur avec simplement une règle à calcul.
Les moteurs des 14000 trop en avance sur leur temps ? Les moteurs CA sont formidables et d'une rare simplicité mais c'est leur pilotage qui nécessite une finesse que seule l'électronique moderne a permis de réaliser. Chapeau aux ingénieurs d'avoir tenté cet exploit avec la technologie de l'époque quand-même 👌
Les redresseur triphasé au mercure.... ou comment allier électricité et la chimie. Une vieille technologie venant des US il me semble!!!! Je sais que les japonais ont aussi testé ce type de redresseur durant la même époque ,sur des loco ayant sensiblement la meme forme qui plus est.
@@Lodai974 tu parles le l'ignitron à tâche cathodique ? Malgré mes recherches j'ai jamais vraiment compris comment ça marche, si se n'est que ça ajis comme un redresseur de courant.
C'est en sa que les vieilles machines ou vielle technologie m'intéressent, car quand on analyse un peu les conceptions on se rend compte que c'est astuce sur astuces.
@@Pk_501.5 yup c'est ca .
Encore une intéressante vidéo. N'ayant pas de l'occasion d'aller dans le Nord Est, je n'ai pas de souvenirs de ces locomotives si ce n'est un train spécial d'adieu par une association ferroviaire. Même si ce n'est pas le sujet, j'ai apprécié de voir la 231 G 558 en cours de restauration et que je souhaite revoir l'an prochain pour fêter son centenaire avec un peu de retard.
Très bon documentaire
Merci
Merci encore pour ce magnifique reportage !!!!
Superbe exposé Merci Thierry😀👍😀
je me rappelle tres bien des BB, elles passaient souvent a amneville, je me rappelle que la terre tremblait au passage...c'etait les annees 75-84...
Sadly no sub title into English but seem to know what it being said some times.
I love the older locos and especially ones with the diamond pantographs.
I have been to France many times and travelled down to the South on the TGV.
The diversity of electric traction is amazing.
I really like the BB26000 Sybiac locos, even on 1500 DC they can run at 200kph.
I would loved to have seen the world speed record of 331KPH in 1955 down at Facture.
J'en ai vu une stationné au Creusot et je suis curieux de connaître le projet de cette exemplaire
Je me souviens avoir été frappé enfant par la vue d'une CC 14000 en gare de Bar-le-Duc, toute de bleu vêtue, c'était en soi assez mémorable. J'ai toujours cette image en tête aujourd'hui. Le problème de leur inscription en courbe vient essentiellement de l'empattement considérable de leurs bogies, du fait du système de suspension par ressorts à lames et balanciers qui prend beaucoup de place en longueur, ainsi l'on fit d'autres choix pour les futures CC de vitesse, notamment les 6500 et 72000. Je pense que leurs concepteurs favorisaient la longueur de ces bogies dans le but de leur donner un certain effet d'anticabrage.
Bonjour, épisode intéressant.
Je les ai toujours appelé crocodile...
Apres avoir passer et repasser dans ma memoire mes souvenirs d enfance , je me souviens tres bien de ces locos qui m avais impressionner a la gare de Vaise
???
j ai travailler a epernay et je reparais les moteurs de traction BB 13000 au moment de mon arriver au groupe tournant que de bon souvenir fabrice
dans la vallée de la fensch en Moselle ces locomotives faisaient partie du paysage quotidien à la grande époque de la sidérurgie est ce aussi celles qu'on appelait crocodile ?
non, les crocodiles sont des machines développées en suisse qui ont des bielles d'entrainement au niveau des roues, mais leur allure générale ressemble effectivement car elles ont une cabine centrale
Reportage magnifique 👏👍
Bonjour,sur Salaumine (62),il y a en a une exposé au rond poind.
Bonjour Thierry,
Merci une nouvelle fois pour ce super reportage.
Bon après-midi et bon weekend.
Bonsoir Thierry, j'avais entendu et vu dans d'anciens " la vie du rail" ces machines mais pas en vidéo et encore moins en vrai; il va falloir que j'y remédies afin d'enrichir ma connaissance et merci pour me les avoir connaitre dans ce reportage !!
Bonjour Thierry
Merci pour cette vidéo passionnante. Je croyais que les 14000 14100 étaient limités à 60km/h.
Merci d’avoir apporté cette précision.
Bonne soirée
De mémoire, mon père m'avait indiqué que le vitesse limite était 60 km/h.
J'ai relu Ferrovissime Hors série n°2, il est indiqué 60 km/h.
Tout les sites qui traitent des 14000 indiquent 60 km/h.
Il y a eu des essais à 80 km/h mais l'usure de la voie et de la machine était trop importante pour envisager de rouler à 80 km/h.
@@ligeamodelisme2031 Oui c'est tout à fait ça.
super reportage, bravo Thierry !!
Superbe !!!
Très intéressant. Je n'en reviens pas que ces machines aient été retirées aussi tardivement.
J'ai vu souvent et pendant pas mal d'années vu des BB 12000 au triage d'Achères, j'imagine que leurs dépôts d'origine avait déjà fermé à l'époque (dans les années 90).
Bjr
alors la dernière fois les "sous marins"
cette semaine les "fers à repasser" de sacré appellation pour des machines dont je n'ai le moindre souvenir ......
d'où l'utilité de suivre de près cette chaine youtube !
merci pour ce reportage
Patrick
S'étant fait " porté pâle " Lundi dernier Thierry reprend le travail plus tôt que prévu avec une voix enrouée mais " ça va le faire " malgré tout .
Reportage bien détaillé comme dab et pour ma part les fers à repasser sont plus " gracieux " en modéle réduit qu'en réel .😀
Merci Christian, oui j’avoue j’ai un peu forcé, mais c’est passé !
@@aiguillages Bonjour Thierry , oui c'est comme ça qu'on reconnait les bons éléments . . . 😀
J’ai roulé en cc14100 en 85 entre Somain et Lumes. Le parcours Dunkerque-Somain étant assuré par 2 bb12000 en UM. Même si les parcours s’effectuaient de nuit, impossible de dormir en cabine. Un casque anti bruit aurait été le bienvenu. Par contre, sa capacité à tirer des trains de 3600t n’était pas usurpé.
Moches mais superbes machines ou quand la forme rejoint la fonction. Je les trouve fascinantes. Merci Thierry pour ce reportage ... trop court. Serait il possible de soulever les capots de ces engins et de connaître la cabine ?
Les modélistes échelle N qui attendent fébrilement la sortie des CC 14000 et 14100 prévue en 2022 par ARNOLD seront enchantés par ce magnifique reportage !
Et bonne nouvelle : Thierry a retrouvé sa voie (pardon : sa voix !)
Encore une belle vidéo, avec plein d'infos, merci.